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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:40
Bonjour Madame
 

je me présente je suis une marocaine de mère et d'Arabie saoudite par mon père. Je suis mariée depuis 7 ans a un français et j'habite en France. Des le jour ou j'ai rencontre celui qui allait devenir mon "mari" j'ai décelé en lui une timidité assez forte et par la suite un caractère relativement impressionnable. Nous nous sommes maries après avoir rencontre quelques difficultés dues a nos religions différentes. Problème qui a été réglé par la conversion de mon mari a ma religion . Après le mariage je me suis installée en France chez lui. Il tenait a l'époque un café bar j'ai fait venir ma mère et ma sœur du Maroc chez nous et ensuite j'ai pris la décision de transformer son café bar en restaurant oriental que je gère maintenant avec l'aide de ma mère de ma sœur. Ne voulant pas de mon mari au restaurant je l'ai persuade non sans mal tout de même qu'il me serait plus utile en restant a la maison en s'occupant de la maison bien évidemment sa fierté en a prise un coup au départ mais encore une fois avec l'aide ma mère qui lui a appris tout ce que doit savoir "une femme musulmane mariée au foyer" il a finalement accepte relativement facilement cette situation et ainsi petit a petit je l'ai amène a vivre en vraie épouse musulmane dépendante dévouée son apparence n'étant pas réellement féminine de visage ( le corps peut être crédible) je l'ai donc amène a vivre dans la plus stricte discipline d'une épouse musulmane en l'habillant de façon adéquate qui le recouvre en général de la tète aux pieds son visage étant souvent voile jusqu'aux yeux j'ai remarque très vite un changement assez net dans son comportement envers ma mère ma sœur et surtout moi bien sur une docilité non feinte et apparemment bien vécue de sa part maintenant comme quoi dans ce cas précis apparemment l'habit fait le moine si je puis dire...même s'il n'a jamais avoue avoir des fantasmes de féminisation il a admis être attire par la condition féminine musulmane dans sa plus stricte expression... nous avons depuis quitte l'appartement que nous occupions pour nous installer dans une maison de ville et depuis 4 ans qu'on habite la bas le voisinage est persuade que mon mari est une femme musulmane ne le voyant qu'ainsi j'ai rencontre un amant marocain comme moi qui vit maintenant quasiment chez moi la encore au début ca a été un peu difficile mon mari devant dormir au rez de chaussée chez ma mère et son inquiétude la plus forte était la peur que je le quitte je le laisse avec cette peur en lui disant que tant qu'il reste a sa place de domestique de la maison je le garderais et il fait tout pour ca.

 
Ma question est n'étais je pas trop dure avec lui?

Dois je maintenir cette situation car parfois mon pouvoir sur lui me fait peur d'autres fois il me grise ....      merci si vous me répondez     aicha

 

Réponse Ms.Dana :
 

Et bien voilà une histoire étonnante. Et je suis heureuse dans le fond de voir que les femmes musulmanes s’émancipent aussi ainsi. Le monde évolue et nous ne pouvons que nous en réjouir. Retourner la situation comme les femmes occidentales le fond et plaçant leur mari comme elles l’étaient elles même avant 1968 est déjà une bonne chose, mais voir que cela fait tâche d’huile je ne peux que m’en réjouir.

L’inversion des rôles et l’utilisation des contraintes religieuses inversée est une drôle de leçon qui permet de renvoyer à l’homme l’image de ce qu’il fait de nous. Ceux qui seront choqué oublieraient’ ils que pourtant bien des femmes vivent cela, et j’imagine pas toujours en le désirant vraiment.

 

Evidement tout cela doit se passer dans la consensualité et l’amour. Et c’est là où je suis un peu gênée. Car à lire et relire votre témoignage je ne suis pas certaine d’en discerner. Hors ce mode de vie n’est pas l’exploitation de l’homme par la femme, ce n’est pas le but du tout, ce n’est pas de la gynarchie. Ce mode de vie c’est le développement de la soumission de l’homme et de la domination de la femme dans un amour partagé, pour que le couple s’épanouisse dans le respect et le bonheur de chacun.

Alors et bien, je ne pourrai répondre à votre question. Je crois que seul lui pourrait le faire. Car en dehors d’une extrême soumission comme il semble la vivre, est ‘il heureux et épanouis d’avoir tout abandonné à votre pouvoir. Désirait’ il que vous ayez un amant ?

Rien que la réponse à cette question vous dira si vous avez été ou non trop loin.

 

Et oui comme vous le dites Aicha, le pouvoir est grisant, mais il ne faut pas oublier qu’il donne des responsabilités, et que celle de l’épanouissement du soumis en est une essentielle aussi.

 
Merci encore de nous avoir offert ce témoignage.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:27

Q. Chère Ms Sutton, je viens de lire votre livre sur la « Domination Féminine ». Quelle lecture! Je ne peux m’en lasser. Cela m’a mis dans un état de « soumission profonde » et je ne suis plus arrivé à travailler avant d’avoir achevé sa lecture. J’ai toujours eut le sentiment que les femmes détiennent un pouvoir incroyable sur les mâles, c’est un don de Dieu qui est inscrit dans les gênes de notre espèce. J’imagine que Dieu quand il a calibré l’attirance que provoque la femme et l’homme, a eut un coup de fil juste après qu’il ait paramétré le pouvoir d’attraction de la femme et a oublier de faire la même chose avec l’homme quand il a raccroché … puisque le drame des mâles est que nous sommes vraiment les plus mal lotis des deux sexes. Je me suis appliqué à suivre vos instructions pour séduire le coté dominant de ma femme en me soumettant tout seul. Ma situation n’est pas nouvelle mais ma femme est vraiment très croyante. Il y a quelque année elle m’a dit qu’elle comptait suivre à la lettre les recommandations de l’église et que nous arrêterions le « sexe oral » car il est contraire aux enseignements de la religion catholique, afin qu’elle ne se sente plus coupable de le faire. J’ai répondu ‘ok’ même si en fait j’adore lui donner ainsi du plaisir. Heureusement nous le pratiquons encore. Elle pense aussi que j’étais perverti le jour où je lui ai acheté des bas, et que j’ai suggéré qu’elle les porte avec des talons hauts.

Comme la plupart des hommes j’ai ma propre histoire sur la façon subliminale dont la D&s s’est implantée en moi dès mon plus jeune âge. Mais c’est ancré en moi. Ces années dernières, avec l’internet, je suis allé voir une domina pro car je sentais que je ne pourrais jamais vivre une relation sur le mode de vie de domination féminine.

Mais votre livre m’a redonné espoir, et je vous remercie tant pour cela !!! Mon expérience avec la domina professionnelle a été absolument magique, mais je sais que un mariage sous la domination de la femme et de son autorité aimante, avec ma Femme serait absolument grandiose !

Ma question ; y a t’il quelque chose de spécial que je pourrai faire en plus des instructions de votre livre et de votre site qui est spécifique aux femmes élevées strictement dans la religion ? Je vous remercie du fond du cœur, vous êtes fantastique !

 
 

R. Merci pour votre enthousiasme et vos éloges. Je suis heureuse de savoir que mon livre n’a pas seulement touché votre nature soumise mais vous a aussi rendu l’espoir. L’espoir est une force puissante. L’éducation religieuse est dure a dépasser, surtout si elle se matérialise en culpabilité sur le sexe. Cela m’attriste, quand j’en entends parler, car j’ai étudié la bible et la doctrine chrétienne. Si les gens voulaient avoir juste un peu de sens commun ils auraient finalement une plus grande spiritualité. La peur de l’enfer et de la damnation qu’on nous a inculquée quand nous étions enfant, est très dure à surmonter. En fait qui a crée le sexe ? Le Diable ? L’homme ? Hollywood? …Non! Dieu a crée le sexe et il l’a fait pour qu’il soit agréable et amusant. Alors penser que la personne spirituelle est aussi une personne sexuelle, mais la religion a salit et culpabilisé le sexe alors qu’il s’agit d’une fonction naturelle de l’être humain.

Qu’a fait l’église catholique ? Elle a interdit à ses prêtres de se marier. Est ce un hasard qu’il y a tant eut de scandales sexuels au sein de l’église ? On ne peut écarter les pulsions sexuelles. C’est en chacun de nous, vous pouvez l’ignorer et essayer au mieux l’abstinence, mais Dieu a crée les être humain pour être des personnes sexuelles et particulièrement la femme. Que fait la religion ? Elle essaye de couvrir la femme d’opprobre et de vêtements affreux dans l’espoir que les hommes ne les trouveront pas désirables ou attirantes. Que c’est stupide !

Dieu a crée la femme pour être belle et sexuellement désirable et il ne l’a pas fait par distraction. Dieu a voulu que la femme soit belle et attirante et il a voulu que les hommes soient captifs de la beauté des femmes.

Pensez-vous que Dieu qui a crée la vie avec de si grandes beautés, couleurs et variété, puisse faire une erreur en accordant la beauté aux femmes ? Alors pourquoi la religion combat’ elle cela au nom de Dieu ? Pourquoi ne pas admettre la beauté des fleurs ? Pourquoi ne pas interdire aux gens de regarder les fleurs ou le ciel, l’océan, la foret ou un coucher de soleil ?

La religion cherche à étouffer la sexualité des femmes au non de la modestie, et elle endoctrine les gens avec l’idée erronée que le sexe est sale. Le sexe est plaisir, ainsi Dieu a voulu que les gens puissent avoir ces plaisirs librement, afin que la race humaine puisse se multiplier en permettant de vivre l’intimité et la romance. Et je crois que Dieu qui crée la diversité des oiseaux, des fleurs, des plantes, des insectes, des étoiles et même des flocons de neige, a aussi crée la variété dans le sexe. Il n’existe pas une seule façon de vivre le sexe (comme la position du missionnaire) et seule la religion a pu faire que les gens ont sacrifié le don de créativité que leur a fait Dieu afin de transformer toute la variété et les gouts en une façon standard. La religion se moque de la créativité de Dieu et réduit celui ci en une idole patriarche. Dieu a ordonné que nous n’ayons pas d’autres dieux et nous a prévenus contre l’idolâtrie. Je crois que la plupart des religions (y comprit celle catholique) ont en cela renié le pouvoir de Dieu et réduit celui ci à un « veau d’or » que l’homme utilise pour provoquer la peur des gens afin de les contrôler. Votre mariage a en cela été impacté négativement par la religion. Votre femme est belle dans son cœur et dans son esprit. Elle veut satisfaire son créateur. Elle veut honorer Dieu. Quelle belle âme, si précieuse. Vous devriez l’adorer et vous battre pour la rendre heureuse chaque jour car elle le mérite. Heureusement votre soumission secrète a allumé un feu en elle et elle a eut une révélation qui va lui permettre de trouver son vrai potentiel de femme. Heureusement son pouvoir féminin dormant a été touché par votre soumission, pour certaines choses. Avec son esprit elle a décidé que recevoir du plaisir oral était un pêché mais sa sexualité féminine a aimé cela et a fait qu’elle le fait encore avec vous. Ce qui est triste c’est qu’elle ne peut totalement en profiter en raison de la culpabilité qu’elle ressent. C’est la faute de la religion. Peut être évoluera t’elle en voyant qu’il n’y a rien de sale pour une femme de recevoir de tels plaisirs. Peut être votre volonté de la servir et de séduire son coté dominant à travers votre soumission lui ouvrira de nouvelles portes sur les orgasmes féminins et comment la nature a crée la jouissance féminine et que recevoir ainsi du plaisir oral est biologiquement plus naturel presque que la pénétration. Le meilleur conseil que je puisse vous donner est de ne jamais perdre espoir, et de vous dédié à la rendre heureuse. Peut importe qu’elle s’engage ou non vers la domination féminine, elle mérite votre servitude et votre adoration. Vous l’avez épousé et vous connaissiez son éducation alors vous devez être fidèles à l’engagement que vous avez fait avec elle. C’est une créature de Dieu, alors soyez romantique et faites lui savoir que vous croyez que la romance et le sexe sont un don de Dieu. Elle aimera être courtisée. Lui faire couler son bain, la baigner, la masser, lui donner du plaisir oral est romantique, et si elle exprime de la culpabilité, rappelez-lui de manière aimante que c’est Dieu qui a crée la romance et le sexe, et qu’ainsi vous satisfaisez Dieu en participant à son don de sexe et de romance. De tels commentaires doux venant de vous lui donneront à penser.

Ce que vous ne devez pas faire est de critiquer sa Foi. J’ai critiqué l’institution de la religion, mais vous n’avez pas à le faire. Vous devez lui montrer les bénéfices d’une relation où l’homme sert la femme. Si jamais elle exprime de la culpabilité, vous devez lui rappeler de manière aimante que le sexe est un don de Dieu. Son éducation luttera peut être, mais son esprit recevra votre idée et cela pourrait l’amener à y penser.

Par dessus tout, chérissez là. Une personne spirituelle est une belle personne. Ne la blamer pas pour la doc trine qui la gêne en tant que femme. Elle est toujours digne de votre soumission et vous ne pouvez pas connaître le futur. Je prie pour que vous et votre épouse ayez de merveilleuses années ensemble. 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:09
Q. Bonjour Elise : Il y a des femmes qui, pour dire les choses comme elles sont, sont des dominatrices naturelles et d’une façon ou d’une autre traitent leur partenaire comme vous le décrivez dans votre site. Ce sont des femmes vraiment effrayantes, mais ce sont des créatures rares. Alors comme la plupart des hommes demandent à leur partenaire de les dominer, je ne vois pas comment ce peut être de la vraie domination. N’est ce pas en fait un simple fantasme masculin ?
 
R. Comment puis-je répondre sérieusement à votre question quand vous commencez par dire que les femmes dominantes sont effrayantes ? Vous devez penser qu’elles sont effrayantes pour une raison bien particulière, mais l’homme vraiment soumis voit les femmes dominantes comme étant des Déesses terriennes, digne de respect et d’adoration. En quoi est ce effrayant d’adorer une femme ?
Et pourquoi dites-vous que les femmes dominantes sont rares ? Vous devez donner une définition à la domination pour dire qu’elles sont rares. Est-ce qu’une femme qui réussit sa carrière est dominante ? Est-ce qu’une femme extravertie est une femme dominante ? Est-ce que la femme autoritaire est une femme dominante ? Est-ce que la femme calme, sure d’elle-même qui croit qu’elle est supérieure aux hommes est une femme dominante ?
J’imagine que vous faites référence aux femmes qui s’engagent ouvertement dans la D&s dans la chambre comme étant rare. Ces femmes ne sont pas rares du tout. En fait vous seriez surpris de voir combien de femmes pratique la D&s dans leur intimité. C’est facile de dire que les femmes extraverties, les femmes d’affaire pourraient être ouvertes à la D&s, mais vous seriez aussi surpris d’apprendre que beaucoup de femmes que vous ne soupçonneriez pratiquent la D&s dans le privé de leur ménage. Les femmes avec qui vous travailler, celles que vous rencontrez dans la rue, celles de vos familles. Elles ne vont pas partager ce qu’elles font derrière leurs volets clôt, pas plus que vous partageriez vous avec elle ce que vous faites (ou voudriez faire) dans votre intimité. La plupart des gens pratiquent ce style de vie en privé et dans le secret.
A présent je crois qu’en effet il y a une minorité qui sont à l’initiative de ce style de vie, comme ce sont les hommes qui en parlent d’abord à leur femme. Mais simplement parce que l’homme en parle d’abord à sa femme, ne signifie pas qu’elle ne va pas le pratique et l’aimer et même plus que les hommes. En fait c’est une histoire commune qui est raconté encore et encore par les femmes. L’homme introduit la femme à la D&s et la femme est une novice complète, mais elle en vient à aimer ce style de vie et désire vivre et aller plus loin que l’homme qui les a initié. Chaque mois nous interviewons une femme qui vit la domination et il est si courant de voir qu’une femme initiée par un homme, se sent totalement libérée, comme un oiseau qui sort de sa cage. Je dois aussi préciser que je reçois de plus en plus d’email de femme me demandant comment elles pourraient initier leur mari à la domination féminine. Elles viennent sur mon site et elles désirent vivre ce style de vie mais elles ne sont pas certaines de la façon dont leur mari va réagir quand ils apprennent que leur femme veut les dominer dans la chambre. Les temps changent alors vous feriez bien de vous tenir prêt, car il va y avoir de plus en plus de « femmes effrayantes » tout autour de vous !
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:07
De la part de Carl M. :
 

Chère Mme Sutton, tout d’abord je vous prie d’accepter un modeste mot d’encouragement de ma part, pour tout le temps et les efforts que vous consacrez à votre site Web et vos livres. Votre travail représente une véritable source d’information, d’une grande valeur. J’apprécie particulièrement les témoignages d’histoires vécues, car ils apportent un exemple concret du style de vie que vous prônez. Vos commentaires en réponse sont toujours limpides, utiles et édifiants.

Dans mon cas personnel, vos travaux m’ont permis de mieux comprendre et interpréter un certain nombre d’évènements qui me sont arrivés au cours de ma vie, et ainsi d’en tirer beaucoup plus d’enseignements bénéfiques. En particulier je me souviens d’une situation qui résonne en moi d’une façon toute particulière, et que j’espère vous faire partager. Cette histoire, qui pourrait être un bon exemple de la nécessité d’être compatissant envers autrui (ou au moins de le paraître), est arrivée durant mes années d’écolier au début des années 70, alors que je vivais dans la banlieue d’une grande ville avec ma mère, très impliquée à l’époque dans sa carrière professionnelle.

Quand j’étais enfant, je n’étais pas autorisé à beaucoup regarder la télévision, mais un jour (j’avais dans les douze ans) je tombai par hasard sur un épisode d’une série populaire à l’époque. J’ai oublié les détails de l’intrigue ainsi que le nom du programme, mais cela semblait être une version japonaise de « la mégère apprivoisée ». On apprenait à une jeune femme l’humilité en la forçant à faire le service durant le dîner. En compagnie de la maîtresse de maison vêtue d’un kimono, elle devait préparer et servir le repas aux hommes de la famille, qui dînaient tranquillement pendant que les deux femmes restaient à leurs côtés, attentives à leurs désirs. Une fois que les hommes eurent fini leur repas et furent partis, elles débarrassèrent la table et firent la vaisselle. C’est seulement une fois tous les besoins des hommes totalement satisfaits que les deux femmes s’autorisèrent un peu de repos et purent commencer à manger.

Maman fut scandalisée par cette émission, et écrivit à la chaîne de télé locale, exigeant qu’elle ne soit plus jamais diffusée, car elle montrait un stéréotype négatif de la femme (je ne sais pas si elle reçut jamais une réponse). De plus elle était mécontente de la réaction amusée que j’avais eue devant la situation de la fille. Je ne me rappelle pas précisément de ce que j’avais dit ou ressenti à ce moment en regardant la télé, mais cela avait dû être quelque chose comme : la fille a eu ce qu’elle méritait, ou bien j’aurais aimé vivre au bon vieux temps où l’homme était encore le maître chez lui, avant que les femmes ne s’émancipent. Maman travaillait alors à plein temps, et donc elle comptait sur moi pour effectuer les corvées ménagères de la maison. Aussi elle s’imagina que si je me mettais à croire que tout cela était le rôle de la femme comme l’illustrait cette émission, j’étais susceptible de me rebeller. Elle me prépara donc une petite leçon spéciale d’humilité.

Quand j’étais en sixième, j’avais une conscience très nette de la chance que j’avais de vivre durant les années 1970 et non 1870. Bien que l’école privée où j’étais inscrit était très stricte, les quelques rares coups de règles que j’avais pu récolter sur mon postérieur étaient presque comiques comparés aux sévères corrections infligées un siècle auparavant. L’uniforme que nous devions porter était plutôt confortable et discret, par rapport aux costumes sophistiqués qui avaient été populaires autrefois dans les classes aisées. Aussi maman se dit qu’une bonne façon de me détourner de toute attitude rétrograde à propos des rôles respectifs des hommes et des femmes était de m’apprendre ce qu’était réellement la vie dans l’ancien temps. Après quelques achats dans des magasins de vêtements pour enfants et à l’antenne locale de vente de l’Armée du Salut (Ebay n’existait pas à l’époque et il n’y avait encore de vide greniers), elle était prête.

Les dimanche matin après la messe étaient d’habitude plutôt tranquilles. La récompense pour ma bonne tenue durant l’office consistait en un délicieux petit pain local, que j’adorais déguster après l’avoir tartiné de moutarde, tout en me livrant à un passe-temps quelconque. Maman se plongeait d’ordinaire dans son journal dominical jusqu’à midi, avant de retrouver une amie dans un magasin, visiter un musée ou une galerie. Dimanche après-midi était son moment de détente ; à moins d’avoir une occupation précise de prévue, je devais habituellement rester à la maison pour faire mes devoirs (ou, durant les vacances, lire un ouvrage qu’elle m’avait indiqué) pendant son absence. Elle appelait souvent d’une cabine à l’improviste, pour s’assurer que j’étais bien à la maison.

Mais ce dimanche matin fut différent. Nous rentrâmes de l’église, et j’allais pour me changer et mettre des vêtements plus décontractés pour la maison, quand maman m’arrêta. Elle me demanda si je me souvenais de l’épisode que j’avais vu à la télévision quelques semaines auparavant, et pourquoi je trouvais cela si comique de voir cette fille forcée de servir les hommes. Je ne sus que répondre, à part que je ne me souvenais pas de l’émission, et tentai de nier mon amusement envers la situation subie par cette pauvre fille.

Maman me demanda de retirer ma veste du dimanche, et me demanda si j’avais déjà entendu parler du petit Lord Fauntleroy. Ce nom ne m’était pas inconnu, mais tout ce que je savais était qu’il s’agissait d’un petit garçon snobinard qui aimait s’habiller de façon efféminée. Maman me répondit que j’avais en partie raison. Elle m’expliqua que Cédric, le personnage du roman, était un jeune aristocrate de la fin du 19ème siècle, qui s’habillait de la même façon que les autres, à une époque où les hommes étaient encore des vrais hommes, et que les femmes restaient au foyer, là où elles devaient être comme je semblais le penser. Elle affirma que le costume de Fauntleroy était à l’époque le symbole de son statut social, et que cela me ferait du bien d’en essayer un. Sur ces mots elle se dirigea vers sa penderie et commença à en sortir quelques objets qui allaient contribuer à corriger mon comportement. J’avais une taille moyenne pour mon âge (c’est-à-dire en gros la taille d’une petite femme adulte), aussi trouver un ensemble qui ressemblait de façon réaliste à ce que pouvait porter Fauntleroy à l’époque n’avait pas été trop compliqué.

Maman n’avait pas réussi à retrouver des fixations pour les bas passant par-dessus les épaules, comme les garçons en portaient un siècle plus tôt, aussi en avait-elle bricolées à l’aide de porte-jarretelles et de bretelles de pantalons. J’enfilai avec peine cette espèce de harnachement. Puis je dus mettre une paire de bas blancs.

Maman me tendit une chemise blanche à dentelle, et un nœud papillon. J’enfilai la chemise, mais comme elle se boutonnait à l’arrière, maman le fit pour moi puis attacha le nœud papillon en le plaçant sous mon menton. Ce qu’elle avait trouvé de plus approchant de la culotte en velours de mon modèle fut le bas d’une combinaison de sport en velours gris, qu’elle me donna ensuite (maman m’expliqua que les pantalons de Fauntleroy se boutonnaient à la chemise et n’avaient pas de ceinture, et donc des shorts classiques n’auraient pas été adéquats). Elle tira sur le bas de ma tenue jusqu’à mes genoux, et la fixa solidement à l’aide d’épingles afin de la faire ressembler à une culotte courte.

Puis vinrent une paire de mocassins à talons, et l’une des écharpes de maman servit à imiter une ceinture à l’ancienne. Un veston féminin au col étroit suivit. Ensuite ce fut le tour d’une perruque blonde provenant d’un costume d’Halloween pour fille, et pour couronner le tout une casquette de marin avec une languette passant sous le menton.

Je me sentais totalement ridicule dans cette tenue, mais maman m’assura que je ne devais pas avoir honte, car ce costume était la parfaite imitation de ce qu’un garçon de mon âge aurait porté un siècle plus tôt. Elle m’expliqua que les jeunes garçons aristocrates s’habillaient complètement en filles jusqu’à l’âge de 8-10 ans, et qu’une tenue comme la mienne représentait une transition vers l’âge adulte, et était portée typiquement à l’adolescence, quand les garçons commençaient à pouvoir mettre de vrais pantalons.

Je n’ai pas de mots pour exprimer la tempête d’émotions que je ressentais alors. D’un côté, je savais que ce que j’avais dit et pensé au sujet de la fille à la télé (et des femmes en général) était méchant. Aussi n’étais-je pas révolté par cette punition ; je savais que j’en méritais une, et j’étais d’une certaine manière soulagé qu’elle soit arrivée. Mais j’étais embarrassé et mal à l’aise, et inquiet de ce que maman allait faire de moi dans ce costume, à qui elle allait en parler, et qui allait me voir ainsi.

L’attitude de maman traduisait plus de la détermination que de la colère, aussi n’avais-je pas réellement peur. Je pensais qu’il valait mieux ne pas résister ou pleurnicher. Et ce n’était pas la première fois qu’elle me costumait ainsi, car j’avais déjà joué dans certaines pièces de théâtre à l’école auparavant (j’avais tenu le rôle d’un elfe lors des fêtes de Noël), et je m’étais récemment déguisé en George Washington lors d’une journée à l’école sur le thème « qui aimerais-tu être ? » (ce qui fut profondément embarrassant, car TOUS les autres garçons s’étaient déguisés en champions de sport, alors que c’étaient les filles qui s’étaient déguisées en présidents, astronautes ou autres scientifiques).

Si je devais vraiment choisir un mot pour décrire mes sentiments à cet instant, je dirais que j’étais comme engourdi. Il faut dire qu’à l’époque j’avais commencé à développer une curiosité pour les vêtements féminins, et j’avais déjà passé plus d’un dimanche à fouiller en cachette dans le tiroir de sous-vêtements de maman pour essayer ses collants, ses chemises de nuit ou ses chaussures. Elle n’avait jamais paru le remarquer. Aussi peut-être que le sentiment qui prédominait en moi était la confusion, étant puni de cette manière particulière, à cet instant particulier. J’étais troublé par les émotions contradictoires que je ressentais. La sensualité émanant du nylon et de la soie de ma chemise m’intriguait, mais j’étais incapable d’admettre ouvertement ce sentiment. Je fis semblant d’être en colère, mais seulement parce que je pensais que c’était ce que maman attendait, et j’espérais que si elle voyait ainsi mon irritation, elle penserait que j’avais appris ma leçon, quelle qu’elle soit, et qu’elle mettrait ainsi fin à ma punition en me permettant d’échapper à cette confusion qui m’envahissait. Je me demandais si cette humiliation était la méthode de maman pour me soigner de ce besoin d’aller fouiller dans son tiroir de lingerie en me confrontant à mon désir en sa présence. Mais peut-être était-ce l’inverse. Peut-être pensait-elle que ma curiosité était normale, et qu’elle me donnait ainsi le moyen d’explorer mes désirs dans des limites acceptables pour elle, et sans me mettre dans l’embarras, en admettant qu’elle ait deviné ce que je faisais durant son absence. Ne pas savoir quelle hypothèse était la bonne représentait la réelle punition pour moi, et je préférais ne pas lui demander.

Maman m’amena à la cuisine et remplit une théière avec de l’eau, la mit sur le feu, et me demanda de placer une douzaine de cookies sur un plateau, pendant qu’elle allait se changer pour se mettre à l’aise, en passant un peignoir. Je surveillai l’eau ; quand elle se mit à bouillir je fermai le gaz. Maman revint dans la cuisine et m’ordonna de lui préparer une tasse de thé, puis de le lui apporter au salon sur le plateau, avec les cookies et une serviette. Ce que je fis. Maman était confortement allongée sur le canapé, tenant un livre, et me dit de rester debout à côté d’elle en portant le plateau de façon à ce qu’il soit à portée de main.

Elle ne but que quelques gorgées de son thé et ne toucha presque pas aux cookies, car elle semblait complètement absorbée par son livre. Je lui demandai si je pouvais prendre un gâteau, mais elle me répondit qu’ils étaient pour elle. Je demandai la permission d’aller aux toilettes, mais elle refusa. Je lui dis que j’étais fatigué de porter le plateau à bout de bras. Elle me répondit qu’elle-même était fatiguée de mes plaintes et m’ordonna de rester bien droit, sans remuer ou me retourner pour regarder l’horloge. À partir de cet instant, elle me fit taire dès que je tentais d’ouvrir la bouche. Aussi acceptai-je la situation, et restai debout, immobile.

Après environ une demi-heure, Maman reposa son livre, m’ordonna de débarrasser le plateau, et de revenir ensuite la voir. J’obéis. Elle me demanda si je trouvais toujours amusant que la fille de la télé ait été punie en devant servir le dîner aux hommes, et attendre pendant qu’ils mangeaient. Elle me demanda si les tâches ménagères étaient le travail des femmes. Elle me demanda si cela m’amusait de voir ces japonaises entortillées dans leurs kimonos si serrés qu’elle pouvaient difficilement respirer, et avec leurs pieds si bandés qu’elles ne pouvaient pas marcher correctement. Et enfin elle me demanda si j’appréciais d’être un serviteur, et si je désirais être un majordome ou un valet plus tard. À toutes ces questions je répondis non. Comme je paraissais sincère dans ma contrition, maman me pris dans ses bras comme elle le faisait après chaque punition, et parti s’habiller pour aller retrouver son amie Gwen pour une séance de lèche-vitrines.

Cependant, avant de quitter la maison elle prit un ruban et le passa à travers les boucles de chacune de mes chaussures, puis à travers l’œillet d’un bouton de ma chemise et autour d’un autre bouton, ainsi que le long de la jugulaire de ma casquette de marin, afin de prévenir toute tentative d’enlever mes vêtements sans qu’elle ne le sache. Maman me dit combien elle me trouvait mignon dans mon costume de Fauntleroy, et me demanda de faire le ménage dans cette tenue, et elle voulait être certaine que je ne la retirerai pas durant son absence. Si j’en avais besoin pour aller aux toilettes, je pouvais baisser ma culotte, mais avec la chemise et mes chaussures attachées ainsi sur moi je ne pouvais enlever ni les bas ni les bretelles.

Maman me laissa pour aller retrouver Gwen, puis revint plus tard dans l’après-midi, et m’obligea à garder le costume jusqu’au bain du soir. Halloween n’était plus très loin, et alors que j’allais vers la salle de bains, maman m’avertit que si j’exprimais encore une fois la moindre pensée sexiste, elle me ferait sortir pour Halloween déguisé ainsi. Inutile de dire que je me comportai parfaitement dans la période qui suivit.

Les années passèrent et je découvris votre site Web ainsi que votre livre. Ce qui me frappa le plus était le témoignage de femmes qui décrivaient leur relation avec leur conjoint comme « nous discutons, je décide, il obéit », qui appréciaient les nombreuses « discussions productives » qu’elles pouvaient avoir avec leur mari alors qu’elles étaient en train de le punir attaché sur un cheval d’arçons, et qui transformaient la passion fétichiste « choquante » et secrète de leur époux pour leurs sous-vêtements en un outil de domination. Je fus également convaincu par votre affirmation qu’il n’existe jamais de relation égalitaire. Un des deux partenaires doit être le dominant. Les décisions doivent être prises par quelqu’un, une liste d’actions doit être établie, et pour toutes les raisons convaincantes que vous donnez, c’est la femme la mieux placée pour jouer ce rôle.

Suite à ma propre expérience, et l’observation d’autres, je pense que vous avez raison. Les femmes ont naturellement les dons d’organisation et de communication qui leur donne l’avantage dans notre monde actuel, et elles devraient ouvertement prendre les rôles dominants, en particulier dans la vie familiale. J’admire la franchise avec laquelle vous discutez du pouvoir sensuel que les femmes (peut-être quelquefois à leur insu) possèdent. Développer et utiliser ce pouvoir semble être la clé pour passer ce point crucial où la curiosité masculine envers la soumission et les jeux de rôle deviennent un besoin émotionnel profond. Tous les hommes admirent les femmes puissantes, et il serait vain qu’un homme refuse ou remette en question ce fait avéré. Vous êtes complètement dans le vrai, et pour toutes les raisons que vous indiquez, ce monde devient de plus en plus un monde régi par les femmes.

Dans le cas de mon éducation, maman était affectueuse et attentive dans de nombreux domaines (intellectuel, spirituel, émotionnel), mais elle était également exigeante pour mes résultats scolaires, autoritaire à la maison, et tout à fait implacable quand elle m’infligeait des punitions quelquefois désuètes. Mais comme beaucoup d’hommes, je suppose, une fois que j’eus grandi et que je me fus installé, que j’ai perdu ce sens de la discipline ainsi que le respect pour les femmes.

J’allais avoir un retour brutal aux réalités quand j’emménageai avec Anna dans son appartement. Il ne me fallut que quelques jours de cohabitation pour que réalise avec quelle fermeté Anna avait pris en charge notre relation, et à quelle hauteur elle mettait la barre pour que je la satisfasse. Elle insistait pour que je sois disponible, serviable et obéissant à tout instant et dans toutes conditions. Elle organisa la vie à la maison, pris en main les aspects financiers, et exigea que je maintienne la maison impeccable et en ordre. Anna avait tout simplement pris les commandes de notre vie commune, et n’imaginait pas une seconde que je puisse mettre en question ce fait, ou que je puisse désirer autre chose.

J’étais attiré par la nature dominante d’Anna, mais cela se passait bien longtemps avant qu’Internet puisse apporter toute cette large variété d’information et d’opinions accessibles à partir de son clavier d’ordinateur. Bien qu’Anna était probablement intriguée par sa propre volonté de dominer, elle n’avait jamais réellement exploré cette curiosité, et c’est en fait moi-même qui l’introduisis au concept de la discipline conjugale et l’encourageai à être aussi stricte qu’elle le désirait. Je sus qu’elle avait adopté ce pouvoir nouvellement découvert quand, à ma grande surprise, peu de temps après que nous ayons commencé à vivre ensemble, elle m’entraîna dans la chambre après dîner, me fit me déshabiller et me mettre à quatre pattes sur le lit, et m’infligea une vingtaine de violents coups de canne – pour avoir mangé trop vite, traînassé, pas apprécié ses plats cuisinés, et ignoré sa conversation à table. J’avais mal et étais un peu choqué, mais bien sûr je devins beaucoup plus attentif envers ses besoins après cet épisode.


Votre travail est une source d’inspiration, car à travers vos recherches, en documentant les expériences des autres, et en présentant les courants d’opinions dans les médias grâce à une sélection d’articles et les conseils de soutien, vous donnez la possibilité d’explorer et de légitimer la vaste gamme d’émotions et de désirs associés au mode de vie de domination féminine et de soumission masculine. Ainsi analyser de façon cohérente les différentes expériences de ma vie est devenu plus facile. J’ai pu revoir sous un nouveau jour quelques unes des expériences de mon enfance, comme cette fois où j’ai dû me déguiser en costume de Fauntleroy, que je vois maintenant comme un entraînement pour ma vie future, plus que comme un souvenir à oublier.

 

Réponse d’Elise :

 

Carl, tu as été élevé par une Mère très avisée. Elle t’a enseigné le respect des femmes, et cela n’est pas toujours le cas dans une famille monoparentale tenue par la mère. Elle ne n’a pas voulu que ce soit la télévision qui fasse ton éducation, c’est elle qui t’a élevé en t’inculquant des valeurs féministes. Et maintenant tu es un homme meilleur grâce à cela. Tu as recherché une partenaire qui puisse être le genre de femme qui serait également autoritaire et qui exigerait le respect envers elle. Ainsi tu as réussi à te réaliser dans une relation avec une femme dominante.

Punir un enfant est vraiment l’éduquer. Ta mère a saisi l’occasion de ton attitude sexiste pour t’infliger une leçon valable pour toute ta vie. La plupart des gens sont toujours à la recherche de conseils de la part de psychologues, de prêtres, pour savoir comment punir leurs enfants. Je pense que la bonne réponse vient de la motivation des parents. Punir sous le coup de la colère un fils ou une fille est toujours une mauvaise solution, qu’importe si cela consiste en un châtiment corporel ou une punition psychologique. Mais ta mère a sévi de la bonne manière. Elle a utilisé ta punition comme un moyen de te donner une leçon de vie, une leçon dont tu te souviens encore maintenant, une leçon qui t’a permis de devenir un homme plus réfléchi et respectueux.

Sa méthode de punition a requis également beaucoup d’inventivité et d’efforts de sa part. C’est toujours facile de fesser ou de crier sur un enfant, mais cela demande de grandes qualités parentales de concevoir une punition qui va réellement éduquer un enfant. Et au final, qu’une femme punisse l’enfant qu’elle adore ou bien son mari, l’objet de cette discipline et d’éduquer et d’apprendre. Ta mère l’avait compris et tu as beaucoup de chance, ainsi qu’Anna qui a pu construire sur les fondations que ta mère a établies pour le reste de ta vie.

Bien amicalement.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:07
Q. Bonjour Elise. Je suis une lectrice assidue de votre site. J’en ai parlé à une collègue au travail et je ne m’attendais pas du tout à sa réaction. Elle était très contrariée que je puisse avoir « si piètre opinion d’elle » et que je puisse imaginer « l’envoyer sur un site perverti ! ». J’essaye de l’aider à résoudre un certain nombre de problèmes personnels dans son mariage comme je suis convaincue que la domination féminine résoudrait ses soucis. Son mari semble n’avoir plus d’intérêt dans le sexe. Nous ne parlons presque plus à présent et nos relations au travail sont devenues très formelles.

J’ai appris que j’aurai dû être plus précautionneux sur ce sujet. Certaines personnes voient la domination féminine comme quelque chose d’étrange ou comme une plaisanterie ou comme simplement un petit jeu pour les préliminaires, mais pas pour en faire un style de vie. Je ne sais vraiment pas comment parler de la domination féminine sérieusement à d’autres femmes. Tant de lectrices du site ont une histoire analogue en ayant été initié à ce mode de vie par leurs maris ou compagnons, elles ont essayé à reculons et à présent elles n’imaginent pas vivre autrement que comme cela !

Devons nous faire du prosélytisme sur la domination féminine ou serait-ce par trop en imposer aux gens ? 

 

R. Vous devez toujours garder à l’esprit que chaque personne à ses propres valeurs basées sur son éducation, sa culture religieuse et sa programmation sociale. La lecture de mon site à fait raisonner quelque chose en vous. Vous le trouvez intellectuellement honnête et assez soft comparé à la plupart des sites dédiés à la domination féminine. L’autorité féminine aimant vous excite et c’est tout naturel que vous vouliez partager cela avec une femme qui lutte pour son couple. Seulement votre amie a ses propres idées préconçues et quand elle a vu le contenu de mon site (par exemple un homme agenouillé devant une femme) elle en a été offensée, car le concept de soumission d’un homme aux femmes est étranger à ses propres valeurs.

Vous pourriez montrer mon site à 10 personnes différentes, chacune l’interpréterait différemment en fonction de leurs propres valeurs et leur ouverture d’esprit. Une féministe aimera plus probablement cette approche de l’autorité. Une femme libérée sexuellement réagirait encore différemment qu’une femme plus prude. Une jeune femme aurait sa réaction, une citadine et une campagnarde la leur. C’est pour cela que vous devez user de sagesse quand vous voulez faire la promotion à d’autre femme de ce mode de vie basé sur la domination féminine. En montrant mon site à certaines, vous vous dévoilez à elles et vous devriez auparavant être certaine que votre interlocutrice possède un esprit ouvert sinon vous risquez d’avoir des réactions négatives.

Je pense qu’une approche plus sage est de discuter des principes de l’autorité aimante de la femme, de femme à femme, sans lui montrer un site ou un livre. Vous pouvez imprimer certains articles de mon site, et les utiliser comme point de départ. Pour entamer une discussion sur les bénéfices d’une relation où la femme dirige. Puis si la femme semble être ouverte d’esprit à ce concept et semble curieuse d’en savoir plus, alors peut être vous pouvez l’orienter vers mon site ou lui donner mon livre à lire.

Je ne serai pas trop bouleversée de la réaction de cette femme. Vous avez essayé de l’aider alors votre motivation était pure et honnête. Si elle a réagit négativement, c’est plutôt en raison de la vision étroite des relations hommes/femmes qu’elle a, qu’en raison de vous. Cela ne la rend pas méchante pour autant, mais elle tient à un certain modèle social et elle ne voit pas l’intérêt d’examiner des styles de vie alternatifs qui ne correspondent pas avec ses idées préconçues. Utiliser cette expérience pour que la prochaine fois vous abordiez avec une femme le sujet de manière plus douce. Alors vous pourrez jauger si la personne est plus ou moins ouverte à en apprendre plus. Tout ce que vous avez fait est de planter une graine. Qu’elle en vienne à pousser ou non dépends du style de sol sur lequel elle est plantée.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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