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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Jeudi 16 mars 4 16 /03 /Mars 08:24

Bonjour MS. DANA,
 
J'ai acheté les procédures il y a quelques temps pour mon épouse qui a un a caractère dominant assez prononcé.

Nous sommes ensemble depuis 11 ans, elle a l'habitude de sortir seule régulièrement avec d'autres hommes que moi.
Je lui fait des massages du corps et des pieds (ce qu'elle adore) quand elle doit sortir. Je suis en érection toute la soirée et dans un état second assez jaloux quand même (je ne m'endors pas ).

Elle rentre en général assez tard et de temps en temps elle me demande de lui faire l'amour ou de la lécher en fonction de ce qu'elle a fait avec son partenaire. Elle se fait sodomiser à chaque fois alors qu'elle me le refuse car j'ai un bon diamètre parait-il, c'est très dur a encaisser et surtout à constater avec le goût du gel.

J'ai acheté un God-Ceinture pour qu'elle puisse me dominer physiquement. Cependant c'est assez douloureux malgré la crême et elle-même ne semble pas hyper motivée ce qui m'aurait je pense facilité l'introduction. Après plusieurs tentatives où nos avons quand même passé un bon moment nous n'avons pas passé le cap où elle me pénétre en donnant des coups de reins ce qui lui aurait peut-être permis de vivre quelque chose de nouveau et de passer une novelle étape en sentant sa domination physique sur moi. Ce que j'aurai accepté.
Je pense que ce qui l'intéresse le plus, elle l'a déjà, une très grande liberté sexuelle que je lui ai donné par amour, mais il me manque un côté peut être plus raide qui me rendrait plus soumis. Je suis prêt à ce qu'elle fasse l'amour devant moi et qu'elle m'humilie devant son amant ou des amies.
 
Je ne sais pas comment faire car après tout elle décide, mais si je laisse aller il n'y a pas de progression.
 
Avez-vous un conseil ?
 
Respectueusement
 
Frédéric.



Eternelle question.
 
"Pourquoi ma maitresse n'est elle pas plus sévère, ou pourquoi n'évolue t'elle pas assez vite ?"
Et bien parce que nous sommes des femmes et que nous n'avons pas les mêmes attentes que les soumis. Tout simplement.
 
Il est si bon de diriger, de décider de tout et de se faire servir. Pourquoi devrions nous trouver agreable forcement de punir et prendre le soumis ?
 
Pourtant quelque part un soumis qui se donne vraiment, qui apprend la patience et l'abnegation mérite un vrai échange.
Car comme Elise le dit si bien, c'est comme une danse la D&s. Le soumis se soumet, la maitresse profite de sa soumission pour en faire un homme meilleur. Mais elle doit en cela lui donner ce dont il a besoin pour progresser.
De la domination.
 
Chaque soumis à sa façon de vibrer, et possède un caractere et des attentes particulieres. A nous d'apprendre ce qui le touche, ce qui le fait vibrer et le rend plus soumis.
 
Donc pour te répondre directement Frédéric : C'est bien, continue à la servir et à l'adorer de plus en plus. Tout naturellement avec le temps, les mois et les années elle deviendra plus exigeante et dominante.
N'exiges rien toi, mais parlez ensemble, et dit lui que tu as besoin de ressentir sa domination pour être encore meilleur, plus docile, plus serviable et attentif.
 
C'est un mode de fonctionnement à deux, qui ne fonctionne que si les deux parlent, échangent et se comprennent. Rien ne doit être obligé pour la dominante. Ce qu'elle n'aime pas, elle ne doit pas  être forçée de le faire, mais en ce cas elle doit trouver d'autres pratiques qui soumettent le soumis et lui donnent la soumission dont il a besoin pour rester à sa place.


Concernant le god ceinture :

Personnelement j'aime prendre mon soumis, cela me donne beaucoup de plaisir, même physique et je trouve que c'est un très bon prélude à mon plaisir.

Mais je le repète nous sommes toutes différentes.

J'ai un amant moi aussi, un peu "un plan cul" comme le disent nos adolescents. Avec lui je peux m'amuser et faire ce que je ne veux pas donner à mon soumis. Car je considère, et c'est une approche personnelle, qu'un soumis n'a pas à pénétrer sa maitresse. Le simple fait de le faire peut rendre le soumis tout à coup beaucoup plus "homme" et ses cotés dominants peuvent bien vite revenir.
C'est moi qui le prend, c'est un acte fort, psychologiquement et symboliquement parlant.
Je domine, je prend. Il se soumet et en est heureux.

Dans la domination les symboles comptent aussi beaucoup.

 
Bonne chance à vous deux.
 
Ms Dana



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Par LO
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Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 17:05

J’apprécie beaucoup votre site et je souhaite lui apporter mon témoignage. Je m’appelle Armelle, j’ai 30 ans et j’ai découvert mes pulsions de dominatrice dès le début de ma relation avec Daniel, mon petit ami. J’ai pris plaisir à définir un certain nombre de règles et, grâce à internet, j’ai découvert les différents aspects de l’univers de la domination. Au début, je me suis tenu à de petits jeux très soft : lui attacher les mains, le chevaucher durant nos rapports, lui imposer de longs cunnilingus, ce dont je raffole…

Il m’a avoué prendre du plaisir à ces séances pourtant il a eu du mal à s’accepter en temps que soumis. Quand je lui dis que j’aimerai qu’il fasse le ménage nu devant moi et qu’il aurait droit à la fessée si cela n’était pas fait correctement, il s’est rebellé, le ton a monté et il a claqué la porte. J’ai eu peur d’avoir été trop loin car je tiens sincèrement à lui.

Pourtant quand il a sonné 3 heures plus tard, j’ai préféré caché ma joie de le voir de retour. Je l’ai fais rentrer dans le salon d’un air glacial, il m’a demandé pardon en affirmant être prêt à accepter mes demandes. Je lui ai répondu que c’était un peu tard et que je ne tenais pas à rester avec un homme capricieux et lâche. Il s’est alors mis à pleurer, je me sentais prête à craquer et à lui ouvrir mes bras. Je me suis retenu, au fond de moi j’ai senti que c’était le moment ou jamais d’établir définitivement nos rapports.

J’ai promené mon regard à travers la pièce à la recherche d’une idée, mes yeux se sont posé sur un de ses verres à bière et je me suis souvenu d’un site qui parlait des jeux uro, à l’époque, j’avais été trouvé cela plutôt extrême, mais là cela a provoqué un moi un déclic. J’ai pris le verre, je me suis installé devant Daniel, descendu mon jean et ma culotte et, sans un mot, j’ai …rempli le verre en le regardant droit dans les yeux. Puis je le lui ai tendu : » si tu veux vraiment accepter mes désirs et continuer à vivre avec moi, je pense que tu as compris comment me le prouver. » Le pauvre, il tremblait ! Pourtant il a saisi le verre et la portée à sa bouche. Je me suis mise à l’encourager ; «ne vas pas trop vite, prends de petites gorgées, elles seront plus faciles à avaler, oui comme ç, c’est bien, mon chéri.. » Au bout de cinq minutes, il avait ingurgité la moitié du verre, j’ai estimé que pour une première fois, il pouvait s’arrêter là et que la leçon était donné. Je l’ai prise par la main et l’ai conduit vers la chambre. J’étais si excité que j’ai eu un orgasme très rapidement. A ma surprise, lui aussi n’a pas tardé à jouir.

 

La fièvre de l’émotion retombé, nous nous sommes câlinés tout doucement, tendrement, j’ai tenu à lui précisé que je n’entendais pas le dominer et l’humilier en permanence, que je le respectais et l’aimais et que je prenais l’acte qu’il avait eu le courage d’accomplir pour une formidable preuve d’amour de sa part.

C’est ainsi que les moments de domination font maintenant partie intégrante de notre vie de couple. Nos jeux n’ont rien d’extrême, je n’ai aucune envie par exemple de le faire souffrir physiquement. Par contre, j’ai développé les jeux qui tournent autour de mon pipi. Je limite ses dégustations de ma liqueur dorée à un fois tous les quinze jours mais j’essaye d’en faire un moment intense pour lui comme pour moi. Il y a quinze jours, j’ai eu une idée un peu folle. Stéphanie, une très bonne amie à nous deux, étais à la maison et Daniel a proposé de prendre l’apéro, Stéphanie a demandé un kir pêche. Pour une fois, je me suis proposé pour aller à la cuisine, j’en suis revenue avec pour Stéphanie et moi deux kirs pêches et pour Daniel, vous l’avez deviné ? un verre de champagne, cuvée maison. Il a évidemment deviné de quoi il s’agissait mais j’ai attiré l’attention de Stéphanie en lançant une plaisanterie sur un sujet quelconque, le temps qu’il arrive à se trouver une contenance. Nous avons ensuite siroté, chacun notre verre. Stéphanie étant à mille lieues d’imaginer ce qui se passait. J’étais sidéré par ma propre audace mais quelle excitation !

Voilà, je ne sais pas les réactions que cette lettre suscitera. Là où d’autres dominatrices manieront le fouet et les chaînes pour soumettre leur compagnon, je suis curieuse de savoir si d’autres femmes centrent la domination de leur homme autour des jeux uro.( sans que cela devienne une exclusivité, bien entendu)

                                                                                                                        ARMELLE

 
 
Réponse Ms. Dana :
 

Faire preuve de fermeté est la meilleure des solutions. Que ce soit comme vous lors de cette confrontation important où vous avez su montrer que vous étiez intransigeante sur la volonté de vous imposer, ou lors de tout autre moment de crise ou de désobéissance de votre compagnon.

Montrer de la faiblesse est la dernière des solutions. Vous risqueriez de perdre bien des progrès et du respect profond de votre soumis.

Vous avez agis avec la plus grande intelligence, car après l’avoir amené à déposé les armes, vous avez fait preuve de tendresse et d’amour. Car il ne faut pas oublier que ces sentiments sont la base de la construction d’une relation entre dominante et soumis. Récompenser son soumis après des épreuves difficiles, ou parce qu’il montre qu’il fait des efforts pour être un homme meilleur est important. Bravo Armelle.

Pour ce qui est de l’uro, c’est une pratique très intime, qui rapproche beaucoup le soumis de sa maitresse. Cela a souvent un impact très fort sur son désir de soumission, et sur l’amour qu’il vous porte. Tout comme le queening ou l’utilisation du god ceinture. Ce sont des gestes intimes, des moments intenses qui donnent lieu à des échanges d’énergie très puissants entre la maitresse et son compagnon. Bien des hommes sont de plus extrêmement sensibles à ces pratiques.

Je n’ai que peu de témoignages sur ce sujet qui reste parfois encore un peu tabou, mais je suis persuadée que nous sommes très nombreuses à pratiquer cela, que ce soit dans le cadre d’une éducation de nos soumis ou pour des couples classiques qui ont envie de varier leurs plaisirs.

Pour une dominatrice c’est un outil de plus, fort agréable et fort puissant. Votre idée de l’inviter à boire votre champagne en présence de votre amie est excellente ; d’ailleurs parfois je me demande si un soumis mérite de boire du champagne autre que le nôtre lors des grandes occasions. Je ne suis pas loin de penser qu’ils préfèreraient souvent le notre. Pensez y mesdames, car nous sommes aussi ici pour échanger nos idées.

Merci encore Armelle de ce témoignage qui nous apporte à toutes.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 16:56
 


Q. J’aime ce mode de vie fondé sur la domination féminine, et j’ai dominé mon mari, particulièrement à travers l’humiliation verbale. Cependant je l’aime vraiment et ne veux pas affaiblir sa propre estime. Je veux qu’il soit confiant dans son travail et sa vie en générale. Qu’en pensez-vous ?
 
A. J’aime aussi mon mari et ne voudrais pas non plus blesser son estime. Pourtant, je suis aussi experte en humiliation verbale. Je peux réduire un homme à néant en quelques minutes. Vous confondez estime et ego machiste. Quand j’humilie mon mari en le traitant de mâle stupide ou que j’évoque l’inutilité de son pénis, j’attaque son ego de mâle. Je blesse sa fierté masculine, ce qui est un must dans le développement de sa nature soumise.
C’est différent que d’attaquer sa propre estime. Je ne l’humilie jamais sur son aspect physique ou sur les performances concernant les tâches que je lui ai assignées (aussi longtemps qu’il fait son maximum). Je l’humilie toujours sur le fait qu’il est du sexe masculin et donc inférieur à moi. Mon but est de casser son ego machiste et la meilleure façon que j’aie trouvée est de rabaisser sa masculinité (et particulièrement le symbole de celle-ci, son pénis).
Un homme ne tire pas sa propre estime de la taille de son sexe. Mais en étant productif et aimé. J’encourage toujours mon mari à exceller dans sa carrière et dans les tâches que je lui attribue. Je le guide vers le meilleur de lui-même. Il sait que je l’aime, et le simple fait qu’une belle femme supérieure ait choisi de passer son temps avec lui lui procure confiance et bonheur.

Q. Elise j’aime vraiment vos procédures et ce style de vie. J’ai toujours été très conservatrice et même prude. Cependant à travers ce style de vie j’ai pu exprimer une autre facette de moi-même, que je gardais cachée. Je me sens libérée et libre.
La seule chose avec laquelle j’aie encore des problèmes est l’utilisation d’un langage vulgaire. Je n’arrive pas à me voir faire ca. Quel est l’importance du langage durant les sessions ?
 
A. Je suis si heureuse que vous vous sentiez libre et libérée. Si vous ne pouvez l’être devant votre mari, alors qu’est-ce qui pourrait vous libérer ? En ce qui concerne le langage, vous avez juste besoin de combattre vos inhibitions. J’aime parler de manière érotique et sexy devant mon mari quand je joue avec lui. Les mots comme le pénis, le vagin, la pénétration sont un vocabulaire par trop clinique. Je n’enseigne pas à une classe de biologie heureusement. J’ai une sexualité intense. J’utilise des mots comme bite, chatte, enculer, car ces mots sont érotiques sexy et amusants.
Mais ne vous trompez pas. Je n’utilise jamais ce type de langage dans la vie courante. Je suis une femme supérieure et je suis une Dame. Je n’apprécie pas les gens utilisant un langage obscène devant moi, et je ne le fais certainement pas. Il y a un temps et un lieu pour cela. Je ne raconte même pas de blagues cochonnes en public.
Je n’utilise pas un langage obscène devant mon mari dans notre vie quotidienne, mais quand nous « jouons » je me sens libre de parler très « salement ». Cela nous excite. Alors ne vous sentez pas coupable d’utiliser un vocabulaire érotique et « sale » pendant ces moments-là. Cela ne fait qu’épicer les choses. Bien sûr, si vous n’y parvenez pas, ne vous inquiétez pas. Ce qui compte, c’est que vous vous sentiez libre, sans inhibition, libérée,.
 
 
Q. J’aime votre site. Des amis m’en ont parlé. Cela a été d’une grande aide, et j’essaye d’être la meilleure dominatrice possible. Vous connaissez vraiment bien tout ça. Parfois je me sens exploratrice d’une caverne sans lumière.
Notre relation a été compliquée, je ne vous ennuierai pas avec les détails. C’est la première fois depuis que nous avons commencé que les choses sont plus claires. Il veut être dominé, et je veux explorer mes cotés dominants. C’est dommage que nous n’ayons pas connu cela dès nos débuts. Je suis encore débutante mais j’y viens naturellement. J’ai toujours aimé le bondage. Je ne me souviens pas quand j’ai réalisé cela mais j’étais bien jeune, encore vierge quand j’ai découvert ma curiosité.
J’ai commencée a être dominatrice sur scène pour un show de bondage. C’est très différent que de l’être dans le privé, un show ne reste qu’un show.
Je me bats avec certains aspects de cette nouvelle relation. Je n’aime pas l’humiliation, je pense que je suis une personne trop gentille … je me sent toujours coupable des choses que je dis. Se moquer de la taille d’un pénis. Lui dire qu’il n’est rien qu’un homme insignifiant. Avez-vous une idée pour me permettre de dépasser cela ? De plus, il parle de choses dont je ne suis pas familière. Qu’est ce que le Queening ? Merci d’avance pour votre réponse.
 
A. Le Queening consiste pour la femme dominante à asseoir son cul sur le visage du male soumis et lui demande de la lécher. C’est très érotique et agréable pour une femme, très humiliant pour un soumis.
La plupart des hommes soumis sont très tournés vers le cul des femmes, son apparence, sa forme et sa douceur. Pour un homme soumis, le cul de la femme représente aussi le pouvoir sur lui. Le soumis n’éprouve pas seulement une grande envie de l’embrasser et de le lécher, mais aussi d’être écrasé par lui. Il désire être captif et impuissant à travers cet acte, ainsi il se sent conquis et à la merci de sa Reine (d’où le terme Queening). Assurez-vous de lui laisser juste un peu d’air. Peu d’activités de domination féminine transportent autant un homme aussi loin dans cet état de soumission connu sous le nom de « sous espace », autant que le Queening.
En ce qui concerne les humiliations verbales, soyez vous-même et expérimentez-les. Certaines femmes excitent leurs hommes en leur disant qu’ils ont un petit sexe, de manière ludique et sexy. D’autres le font d’une façon dure, salope. Trouvez la meilleure façon de le faire, soyez cool et amusez-vous.
Certaines des meilleures dominatrices n’ont jamais élevé la voix. Elles dominent avec leur sexualité et leur aura de dominatrice. Elles parlent avec des murmures séduisants et dominent avec leur regard et leur langage corporel. La domination ne se fait pas toujours par la force. Cela peut aussi être mystérieux et sensuel. Toutes ces approches peuvent toucher la nature soumise de l’homme. Essayez et trouvez ce qui marche le mieux sur votre soumis et ce qui vous plaît le plus. Et avant tout, amusez-vous.
 

Q. Maîtresse Sutton, ma compagne et ses amies sont sorties à une soirée et ont ramené des photos. Ses amies m’ont montré des photos de strip-tease de ma compagne tenant des sexes d’hommes et souriant. Ces gars étaient très bien membrés et j’ai été littéralement humilié, ne pouvant me mesurer à eux.
J’ai été excité de ne pas me sentir au niveau. Ses amies ont poussé plus loin en me racontant combien ma compagne s’est amusée en tâtant et touchant ces hommes.
Depuis cette soirée, ma compagne est devenue plus sûre d’elle-même et plus exigeante au lit. Elle s’est mise aussi à regarder les hommes et à faire des commentaires sur leur corps. Je lui ai promis de ne jamais aller dans un club de strip-tease féminin si elle promettait de ne pas retourner à ces spectacles masculins. Elle m’a dit qu’elle avait passé la meilleure soirée de sa vie et qu’elle y retournerait quand elle voudrait. Mais elle m’interdit d’aller dans un club de strip-tease. Sa nouvelle attitude m’a excitée au plus haut point. J’ai même commencé à désirer être cocu. Des conseils ?
 
A. Il est évident que sa liberté sexuelle a touché votre nature soumise et vous avez découvert que vous aimiez être humilié. Vous n’êtes pas le seul, de nombreux soumis aiment être humiliés. C’est un désir commun chez les soumis. L’humiliation est la domination de votre esprit. Elle a voulu vous faire rendre sexuellement inférieur car cela lui donne un pouvoir sur vous. Elle sent que c’est en vous. Sinon, pourquoi aurait-elle permis à ses amies de vous montrer ces photos ? Elle veut vous humilier car elle sent que vous deviendrez plus soumis envers elle. En lisant votre texte, je pense qu’elle a touché dans le mille.
Elle aime vous exciter avec les strip-tease masculins car elle sait que cela vous excite. Je suis sûr que vous avez bandé quand elle vous a humilié et il est donc facile pour elle de connaître votre réaction. Qu’importe ce que vous dites (comme lui demander de ne pas y retourner), votre sexe lui a parlé un autre langage.
Le principal est qu’elle ait choisit d’être encore avec vous. Comme vous n’êtes pas marié avec elle, elle aurait pu vous laisser pour un homme mieux doté que vous. Mais la majorité des femmes ne sont pas si superficielles. Elle vous aime et veut être avec vous. Elle aime juste vous exciter et vous humilier car elle aime avoir le dessus dans votre relation. Cela l’excite probablement autant que vous. Quand elle tenait le sexe des ces autres hommes, elle était probablement plus excitée par la pensée qu’elle allait vous le faire savoir que par le fait d’être avec ces hommes. C’est la même motivation qu’ont les femmes quand elles trompent leur mari. Elles sont plus excitées par le fait d’humilier leur mari que par celui d’avoir des relations sexuelles avec un autre homme.
Vous risquez d’être trompé dans l’avenir, puisque vous aimez tous deux ces jeux d’humiliation. Mais allez-y doucement. Vous n’êtes même pas mariés. Vous devriez d’abord construire une vie créative avec votre compagne dominante. Engagez-vous vers d’autres formes d’humiliation, et gardez les amants comme de simples fantasme pour le moment. Elle peut aimer vous taquiner sur le fait d’avoir un amant dans le futur, mais cela ne veut pas dire qu’elle le fera nécessairement. Elle a choisi d’être avec vous. Il est évident que vous êtes celui qu’elle aime, quelle que soit la taille de votre sexe. Faites en sorte de la traiter avec le respect et l’amour qu’elle mérite. Construisez votre vie avec elle et laissez l’amant au stade du fantasme.

 
Q. J’ai envie d’expérimenter des activités comme l’adoration forcée ou volontaire des pieds/talons/du corps, d’être physiquement discipliné (fessée, fouet, gifles, être piétiné) d’être utilisé comme toilettes. La trame de fond semble être la souffrance par une humiliation divine provenant d’une belle Dame. C’est ce que je désire de la femme à qui je donnerai ce pouvoir sur moi (ou qui le prendra de moi), celle avec qui je partagerai une relation respectueuse, monogame, et amoureuse.
J’ai commence a révéler ma nature soumise à la dernière femme que j’ai rencontrée. Je lui ai révélé mes tendances soumises et j’ai désiré lui donner le pouvoir dans notre intimité. Elle ne semblait pas dégoûtée par cela, mais me dit que la plupart des femme (y compris elle-même) n’aiment pas prendre le contrôle, mais préfèrent que ce soient les hommes qui le prennent.
Son point de vue ma découragé. J’ai pensé qu’il ne serait pas possible de trouver une compagne désirant s’engager dans une relation monogame BDSM d’échange de pouvoir, et qui pourrait quand même vraiment aimer et respecter l’homme qu’elle piétine, bat et humilie.
Est-ce non réaliste pour un homme de trouver une partenaire de vie avec qui il peut explorer sa nature soumise, dans une telle relation ?
 
A. C’est un objectif réaliste, mais je prétends que la majorité des relations fondées sur la domination féminine impliquent un respect et un amour mutuel. En fait il faut plus de respect et de confiance entre les partenaires dans une relation D&S que dans une relation vanille, car elle implique que les partenaires soient plus ouverts sur leur désirs intérieurs. Une telle relation doit fonctionner sur la confiance et le respect. Je dirais que seule une femme qui aime son mari voudra explorer sa nature soumise. Seule une femme qui respecte un homme et qui désire vraiment comprendre un homme sera ouverte à la pratique d’activités que la société considère comme anormale. Le mariage et la monogamie sont supposés être un partage de l’intimité avec un autre, aussi loin que l’on puisse aller. Quel dommage que tant de partenaires mariés cachent leur vrais rêves et désirs au partenaire de leur vie. Comment une réelle intimité peut-elle exister si les deux partenaires ne sont pas honnêtes et ouverts à l’autre ?
Je vous applaudis d’avoir eu le courage de confier à votre amie vos désirs. Mais faites attention à la manière dont vous procédez. La société change, mais les vieux stéréotypes ne sont pas morts. Tant de femmes doivent encore surmonter la programmation sociale et religieuse qui promouvait une vision patriarcale des relations homme/femme.
 
Il est évident que votre compagne conserve encore a l’esprit des vieux clichés qui veulent que les femmes laissent le contrôle aux hommes. Bien que quelques femmes gardent ce stéréotype comme valeur, beaucoup d’autres aujourd’hui ne sont plus victime de cette éducation.
C’est particulièrement vrai avec les femmes plus mûres. Les femmes les plus jeunes sont plus influencées par cette éducation. Une femme qui a l’expérience des relations homme/femme, devient plus sage et découvre que si elle veut être heureuse et réussir dans la vie, elle a besoin de prendre le contrôle. La bonne nouvelle, c’est que de plus en plus de jeunes femmes sont éduquées différemment. La société change et vous verrez dans le futur moins de femmes désirant laisser le contrôle à l’homme.
Il est important pour le soumis d’être prudent dans son approche pour révéler à sa partenaire ses désirs. Même si elle a un esprit ouvert, vous serez sage de l’initier doucement à ce style de vie en séduisant sa nature dominante avec votre servitude. Je vous recommande de lire mon article « comment initier votre femme ou votre compagne au style de vie fondé sur la domination féminine ». Montrez-lui les bénéfices de ce style de vie d’abord, puis quand elle commence à répondre favorablement à votre servitude, vous pouvez vous ouvrir à elle en lui confessant vos désirs les plus profonds.
Quand vous le faites, soyez préparé au fait qu’elle ne veuille pas tout faire de vos désirs en ce qui concerne la D&S. Mais la vraie soumission et le vrai esclavage consistent à répondre aux désirs de la femme. Vous devez lui laisser du temps pour progresser dans ce mode de vie. Des « non » d’aujourd’hui, pourraient devenir des « oui » de demain quand sa nature dominante se sera épanouie et que ses perspectives auront changé. Alors ne soyez pas découragé. Ayez l’espoir que vous rencontrerez une femme qui vous respecte assez pour explorer votre nature soumise avec la confiance, la sécurité et l’amour dans le cadre d’une relation monogame.

 
Q. Chère Madame, je voudrais avant tout vous féliciter pour ce que vous faites.  Je crois que vous représentez le mouvement le plus progressiste dans l’évolution du statut des femmes.
Vous mettez l’accent sur la totale et complète humiliation du soumis, ce qui est, je crois, une chose superbe, à la mesure de vos compétences et de l’intelligence que vous avez.
Dans les nombreuses activités que vous décrivez pour humilier les hommes, il y en a une que je n’avais jamais vue et qui me parle. C’est le « chatouillement ». Il y a au moins 3 raisons pour lesquelles je trouve cela utile.
Cela ne provoque ni douleur ni injure. Cela met l’accent sur une humiliation psychologique que je crois plus efficace.
Cela permet de réduire le mâle à l’état infantile, lui enlève toute dignité et le repositionne dans la situation d’un enfant (ce qui est le vrai état des hommes), situation dans laquelle une femme peut garder un contrôle strict.
 La complicité que provoque le chatouillement du mâle dans sa propre humiliation est qu’il cède à celle-ci.
Je me souviens d’une scène dans laquelle un homme était chatouillé sans merci. Un trio de femme l’observait et riait gaiement de ses efforts désespérés et supplications. C’était superbe de regarder ces femmes ignorant totalement ses suppliques, avec des sourires espiègles. Graduellement les suppliques du mâle cessèrent et il fut submergé par un rire convulsif. C’était comme s’il avait abandonné tout vestige d’amour propre et avait inclus les femmes dans sa propre folie. Une femme poursuivit encore plus ardemment tandis que le rire de l’homme éclatait en hurlements, et elle nota à quel point son machisme pouvait être contrôlé par les doigts d’une femme.
Les hommes ne sont pas mauvais, mais leur machisme l’est, et je pense que nos efforts pour humilier les hommes sont une lutte du bien contre le mal. L’humiliation totale des mâles représente le triomphe du bien. Le mâle est en quelque sorte exorcisé par l’humiliation de la puissance destructrice de son ego. Alors je crois que l’humiliation des hommes n’est pas simplement agréable mais surtout sacrée.
Des que je vois un homme qui capitule, je me sens plus en sécurité et pense que nous allons vers un monde plus beau. Je vous remercie de tous les commentaires que vous pourriez faire sur ma façon de voir les choses et vous remercie de tout le bien que vous faites à tous.
 
A. Vos observations à propos des jeux d’humiliation sont astucieuses. Ce qui suit est extrait de mon livre « domination féminine ». J’évoque Maîtresse Roxane (qui est une conseillère téléphonique professionnelle, une femme vivant la domination au quotidien et dominatrice de son mari).
« Le degré d’humiliation verbale recherché par chaque mâle varie, mais ce que la majorité semble avoir en commun est le besoin de se sentir aimé ou d’obtenir de l’attention, même s’ils sont rabaissés ou dégradés par une femme supérieure. Cela semble contradictoire, mais ça ne l’est pas. Comme un instructeur de camp de redressement, je comprends que l’humiliation verbale soit une technique nécessaire d’entraînement, employée pour le bénéfice du soumis et le bien commun. Dans mon cas, le but est plus rationnel : une société moins violente dirigée par les Femmes.
Avant qu’une véritable reformation du mâle soit possible, les vieilles attitudes et les défenses internes doivent être extirpées. C’est le grand but de l’humiliation verbale. Oui, le mâle recherche une gratification sexuelle immédiate, mais le processus peut aussi aider les hommes à accepter leur vraie nature et leur besoin fondamental de servir les femmes. L’humiliation verbale leur enlève leur machisme et éventuellement (si l’entraînement réussit), leur ôte les vestiges de leur masculinité traditionnelle. Quand le sujet est maté, la reconstruction peut être entamée sérieusement, et l’homme et la femme deviennent plus heureux. »
Roxane évoquait essentiellement l’humiliation verbale, mais ses observations sont vraies pour toutes les formes d’humiliation et il est évident que vous êtes d’accord avec sa philosophie d’arracher aux mâles leur ego et leur fierté à travers des jeux d’humiliation.
Le chatouillement peut être une forme de jeu d’humiliation sur la perte de contrôle. Ce fétichisme est souvent issu d’expériences enfantines. La plupart des chatouillements évoquent cette période. Peut-être une sœur plus âgée ou une amie féminine ou bien même une femme détenant l’autorité jouait avec vous quand vous étiez un jeune garçon en vous tenant et chatouillant jusque ce que vous demandiez pitié. Cela commence comme un jeu mais implique de se rendre. Ce peut donc être une forme de bondage ou de jeux humiliants.
Cela peut prendre différentes formes. Vous semblez aimer l’image mentale du pouvoir exercé sur un homme par des doigts de femme. Cela peut se faire aussi avec une plume, un coton tige ou tout matériel doux. Certaines femmes aiment incorporer le chatouillement dans leur session punition corporelle comme la dominatrice aime jouer avec le mental de son soumis attaché tandis qu’elle caresse doucement la peau de sa victime avec une lanière en cuir de son fouet ou de sa cravache, chatouillant sa peau avant de frapper pour le discipliner. Il y a des paddles qui ont un côté en tissu doux et l’autre en cuir, d’où une combinaison très sensuelle de chatouillement et de châtiment corporel. Le mâle soumis ne sait pas ce qui arrivera ensuite, la sensualité ou la douleur.
 
Enfin, le chatouillement correspond à une perte de contrôle. Vous aimez sans doute ce sentiment d’impuissance et de perte de contrôle et vos fantasmes les incorporent via cette technique. Il semble que vous ayez bien compris l’origine de ce désir et que vous l’ayez incorporé dans celui de vous soumettre à une femme. Vous avez eu une révélation sur le chatouillement qui a parlé à votre nature soumise et vous avez bien fait de vous en ouvrir à moi.
 .
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 08:05

Q. Aucun des livres de dressage que j’ai lu ne traite de la façon de gérer la nudité comme mode d’humiliation. C’est pourtant l’essentiel de mes fantasmes, être contraint de m’exposer nu devant une ou plusieurs femmes (dans une nouvelle que j’ai lu, il y avait une scène où un homme portait des vêtements féminins et rien dessous ; Il devait s’allonger sur un canapé dans une position où il était totalement exposé, alors que sa maitresse et ses hôtes faisaient des remarques dégradantes le concernant).

Quand j’étais à l’école (dans les années 1950), c’était humiliant de savoir juste qu’une fille pouvait deviner mes parties génitales sous mon pantalon, et d’être appelé au tableau avec une érection (elles avaient lieu souvent et de manière imprévue à cet âge), et c’était une frayeur constante que je ressentais. A présent j’admets que d’être nu n’est plus une chose qui m’embarrasse, mais c’est encore un fantasme, alors pourquoi ne pas utiliser cette humiliation psychologique ? Suis-je spécial que d’avoir ce fantasme ?



 
Réponse Elise Sutton : 


Non, vous n’êtes pas spécial. L’humiliation de la nudité me fait penser à Adam et Eve au jardin d’Eden. Ils étaient nus et trouvaient cela naturel jusqu’à ce qu’ils se rebellent contre Dieu, alors ils remarquèrent leur nudité et en eurent honte. La culpabilité provoque la honte.

Vous avez grandit dans une société opprimée sexuellement et le corps était sensé être couvert car la nudité totale ou partielle était considérée comme une honte. Cet état d’esprit était général et a été instillé aux enfants. Tous les descendants d’Adam et d’Eve ont été élevés à cette période avec l’idée de l’inconfort et de la vulnérabilité de l’état de nudité.

Ajoutez la pudibonderie de la société dans laquelle nous avons été élevés, et c’est un petit miracle de culpabilité et de honte à votre entrée dans la puberté.

 

Vous avez à l’évidence vécue des expériences embarrassantes avec les femmes durant votre enfance et votre adolescence ce qui explique la honte et la culpabilité que vous ressentez sur la nudité et votre sexe. Ces incidents embarrassant ont sans doute touché et alimenté votre nature soumise et ont laissé une trace durable dans votre sexualité.

En touchant votre nature soumise et votre sexualité, ces émotions embarrassantes et honteuses ont évoluées en des stimulants sexuels et en pensées plaisantes et en fantasmes.

La raison pour laquelle vous n’avez pas pu lire de littérature sur votre fétichisme particulier est que la plupart d’entre nous ressentons de la difficulté à être nu en présence de tiers. C’est courant. Même les acteurs ou top model habitués à être nus, se sentiraient embarrassés s’ils l’étaient devant une foule d’étranger ou devant la famille ou les amis.

Etre nu est très intime et la société nous protège en nous permettant de choisir qui partagera notre intimité. C’est contre la loi de forcer une personne et aussi interdit de faire de l’exhibitionnisme.

Alors naturellement un mâle soumis qui aime être humilié pourrait désirer être forcé de s’exposer par la volonté d’une femme dominante et dans les mains de ses amies. C’est tout à fait pareil que pour les hommes qui désirent être féminisé et être contraint de parader ainsi vêtu devant un parterre de femmes. L’humiliation peu ainsi toucher ses leviers psychologiques qui attisent l’excitation et qui fait qu’une situation embarrassante peut devenir une expérience plaisante.

Je crois que votre désir devient de plus en plus courant parmi les hommes, car on en retrouve de plus ne plus souvent sur les sites de domination. Alors que la femme continue à gagner sa place dans le monde du business, et que les hommes commencent à voir les femmes comme des images d’autorité, votre phantasme devient de plus en plus populaire.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 06:49

Q. Chère Ms.sutton : Ma femme m’a dit qu’elle voudrait que je devienne son “Gant de toilette humain ». Cela m’a excité beaucoup mentalement, mais je dois avouer que je ne suis pas certain de ce que cela signifie. J’imagine qu’elle parlait d’utiliser ma langue après l’amour au lieu d’utiliser un gant de toilette, mais pourrait’il s’agir d’autres choses ?

Avez-vous déjà entendu parlé d’un tel fétichisme ?

R. Je pense que vous devez patienter et attendre pour voir ce que votre femme a à l’esprit. A l’évidence nous pouvons utiliser notre imagination et les possibilités sont sans fin pour la façon dont une femme peut utiliser un homme comme son gant de toilette humain.

Voyons cela, juste pour s’amuser :

Elle pourrait  utiliser son gant de toilette humain après avoir jouit,. Je parie que vous aimeriez.

Elle pourrait vous utiliser comme gant de toilette humain quand elle prend une douche, ou même un bain, en vous faisant lécher les différentes parties de son corps. Elle pourrait le faire pour une grande partie d’elle-même en toute sécurité.

Elle pourrait vous utiliser comme gant de toilette humain pour ses pieds après une longue journée de travail. Quand elle rentre elle pourrait enlever ses chaussures et convoquer son gant de toilette. Aimeriez vous la servir ainsi ?

Elle pourrait aussi utiliser son gant de toilette humain au retour de la gym. Ce serait vilain n’est ce pas ? Pensez vous que vous puissiez supporter de lécher ses dessous de bras, ses pieds et peut être son cul après qu’elle revienne de la gym ?

Comme vous l’avez mentionné, elle pourrait vous utiliser comme son gant de toilette après une relation sexuelle avec vous. Mais avez-vous pensé qu’elle puisse aussi le faire après qu’elle ait eut une relation sexuelle avec un autre ? Je me demande si vous pourriez supporter cela ?

Il y a tant de façon qu’une femme pourrait imaginer pour utiliser un gant de toilette humain. J’en connais de nombreuses que les femmes ont utilisé, que je ne citerais pas là, car elles ne sont pas vraiment hygiéniques. Utiliser juste votre imagination et je crois que vous allez trouver. Alors regardez à présent simplement comment votre femme utilise son gant de toilette sur les différentes parties de son corps et imaginez vous à la place du gant. Je crois que vous allez être excité ou éprouver un peu de répulsion, ou les deux.

Par LO - Publié dans : Les pratiques
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