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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 07:09


Q. Les Lesbiennes sont-elles les meilleures dominatrices ? La meilleure que j’aie jamais eu en était une. Que pensez-vous des lesbiennes ?
 
A. J’aime les Lesbiennes. Certaines de mes meilleures amies en sont. Je ne partage pas leur style de vie, en raison de mes goûts. Cependant je ne les juge pas et ne les condamne pas non plus en raison de mes propres penchants. Certaines femmes réalisent combien les hommes peuvent être des salauds. Par leurs affreux traitements, les hommes ont peut-être forcé des femmes à se jeter dans les bras d’autres femmes. Les femmes savent être romantiques et aimantes. Les femmes sont de grandes amantes. Certaines en ont eu assez des hommes et ont décidé qu’elles n’avaient plus besoin d’eux.
Ce que mes amies lesbiennes n’ont pas réussi à comprendre c’est que les mâles soumis sont différents. Un mâle soumis, traité de manière appropriée par une femme, peut être féminin et faire l’amour avec tendresse comme une femme, tout en étant viril et masculin comme un homme. Un homme soumis c’est le meilleur des deux mondes.
Le lesbianisme n’est étranger à aucune femme. La plupart des  hétérosexuelles ne ressentent pas de répulsion à l’idée de toucher ou d’embrasser une autre femme, contrairement aux hommes hétéros. Allez dans un night club, et observez la façon dont les femmes dansent les unes avec les autres. La plupart d’entre elles sont hétéros. Les femmes n’ont pas peur d’être intimes avec d’autres femmes.
L’histoire à travers les âges montre qu’elles l’ont toujours été, même mariées à un homme. Quand les hommes partaient loin à la guerre, les femmes restaient ensemble pour élever les enfants et défendre leur maison. Sans homme à leurs côtés, ces femmes ont pu avoir des relations amicales particulières incluant des caresses, des baisers, des massages, et parfois même de l’intimité sexuelle. Une fois les hommes à la maison, elles avaient des relations avec leur maris, mais gardaient leurs affinités avec leurs amies. A l’époque de la reine Victoria, les femmes avaient l’habitude de s’embrasser, de se toucher, se caresser les unes les autres. De nombreuses lettres en témoignent, évoquant les moments particuliers d’intimité qu’elles avaient ensemble. Là encore ces femmes étaient hétéros et aimaient leur époux, mais appréciaient les moments intimes avec d’autres femmes. C’est la même chose aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que les femmes sont belles. Les femmes sont romantiques. Les femmes sont courtoises et savent faire l’amour. Cela attire les deux sexes.
Les femmes sont nées pour désirer les hommes, pas les femmes. C’est l’ordre naturel des choses. Cependant, quand le genre masculin devient trop macho et commence à abuser d’elles, le désir des femmes s’estompe. Leur sexualité a besoin de vivre, alors elles font ce petit pas qui les amène à désirer une autre femme. J’ai connu bien peu de lesbiennes vraiment bisexuelles, mais quand elles connaissent la domination féminine, elles développent des relations très intimes avec des soumis mâles.
Alors pour répondre à votre question initiale, une femme qui aime les hommes soumis ferait une excellente dominatrice. Elle peut y rajouter cette dimension psychologique supplémentaire qu’elle est intouchable par son mâle soumis, car elle préfère les femmes. Un homme qui est dressé par une lesbienne, sait que son excitation à elle, provient de la domination du genre masculin et que son intérêt pour la D&s est plus social et psychologique que sexuel. 
 
 
Q. J’ai lu votre site avec un grand intérêt et j’y ai trouvé beaucoup d’informations me rappelant mon mariage. Il y a un aspect qui n’est pas abordé ici : la domination d’une femme sur une soumise.
 
R. Il y a un petit livre nommé « Certaines Femmes » ("Some Women" ) par Laura Antoniou qui pourrait vous intéresser. C’est une série d’essais écris par des femmes incluant la D&s et la domination féminine au sein de relations lesbiennes. Vous pouvez le trouver sur Amazon.com
Je crois en la suprématie féminine et je verrais une femme explorer ses fantasmes de soumission avec une autre femme plutôt qu’avec un homme. Je connais des couples mariés qui ont une femme soumise à la femme, mais qui domine le mari. Cela correspond à mon système de valeurs.
Comme dans toute relation D&s, il y a besoin de beaucoup d’honnêteté et d’ouverture d’esprit entre les partenaires pour s’assurer que tous soient comblés. Une telle relation peut contenir ou non une partie lesbienne.
Si vous êtes mariée, vous avez besoin d’être doublement attentive à une relation avec une femme ayant des désirs de soumission sexuelle. La relation d’une femme dominante ayant des relations sexuelles avec sa soumise est acceptable au sein du mariage, si elle a pour but d’humilier et de tromper le mari soumis. Cependant, le sexe sans le « consentement » du mari soumis est une erreur, que ce soit avec une femme ou un homme. C’est pour cela que tous les partenaires doivent bien avoir compris les règles et les attentes d’une telle relation.
Bien sûr, il est possible pour une femme dominante et une femme ayant des désirs de soumission d’avoir une relation non sexuelle. Une telle relation consistera en une relation D&s seulement. Mais je me répète, je verrais une femme explorer tout désir de soumission avec une femme dominante plutôt qu’avec un mâle dominant.
 
 
Q. Mtrs Sutton, je suis marié à une femme merveilleuse avec un potentiel de grande dominante. Elle a une personnalité agressive et extravertie. Le souci, c’est qu’elle me dit ne pas aimer le sexe et qu’elle n’est pas ouverte aux discussions sur les sujets qu’elle considère comme « déviants ». Pourtant, je sens que ce style de vie lui conviendrait. De plus, c’est notre second mariage pour tous les deux et elle m’a dit une fois qu’elle n’avait jamais aimé le sexe. Et en effet même avec moi cela s’est vérifié, sauf dans nos débuts. Elle adorait cela et l’on dirait que notre mariage a refroidi sa libido.
Etonnamment, je sais que l’ex-mari de ma femme été réellement dominant, un macho qui essayait de la garder sous sa coupe et se voyait comme un vrai sexe machine avec les femmes.
Je l’ai toujours traitée avec le plus grand respect et lui ai permis d’être elle-même. Toutes les six semaines environ elle semble très agitée et elle aime que je la serve oralement, son cul et sa chatte. Après elle me monte et m’utilise jusqu'à ce que je jouisse, mais elle semble s’ennuyer comme si elle ne faisait que son devoir de femme mariée. Après elle redevient froide pour le sexe pendant six semaines ou plus. Des conseils ?
A. Il est difficile de donner des conseils ou de faire une analyse sans parler avec votre femme. Mais d’expérience je sais que les femmes apprécient moins le sexe après le mariage pour deux raisons : un manque de romance ou un manque d’excitation sexuelle. La plupart des femmes ont besoin de romance et de préliminaires avant l’acte sexuel et il n’y en a pas assez après le mariage. Les hommes ont tendance à considérer que la femme est acquise par le mariage et le quotidien occupe le temps de la femme.. Le stress peut interférer avec la vie sexuelle de la femme. C’est particulièrement vrai avec la venue des enfants. Une femme a besoin d’être courtisée. La plupart des femmes n’aiment pas l’acte sexuel à la va vite. Malheureusement, dans la plupart des mariages, c’est à cela qu’il se résume.
 
L’autre raison qui refroidit les femmes, c’est la routine. L’acte sexuel pendant la période amoureuse est excitant car plein de nouveauté. Après le mariage, cette excitation peut devenir routine. Le merveilleux avantage de la vie fondée sur la domination féminine et des mariages D&s est que le sexe n’est jamais une routine, est toujours nouveau et excitant.
Mon conseil pour vous, c’est de la courtiser et de séduire sa nature dominante en la servant et lui faisant plaisir. Vous devriez la voir et la traiter comme pendant votre période amoureuse. Avoir des dîners aux chandelles où vous l’attendez et la servez. Vous pourriez lui donner un bain, la masser avec des huiles et lotions, et la servir oralement. On dirait qu’elle aime être honorée ainsi, et si vous faites cela bien, vous pourriez développer son côté dominant. Vous devriez écrire des poèmes et exprimer vos pensées pour lui dire combien vous l’adorez et avez de la ferveur pour elle. Vous devriez doucement l’initier à certaines activités D&s. La romance et votre soumission l’aideront à se sentir tranquille et à apprécier la sexualité.
Si elle ne réagit pas à cela, alors il est possible qu’elle ait des soucis plus profonds et qu’elle doive les explorer avec un conseiller. Il peut y avoir une raison physique ou psychologique derrière cela. Si elle ne désire l’acte sexuel que toutes les 6 semaines, plus de romance et de patiente séduction de sa nature dominante pourraient développer ses appétits sexuels. Je connais de nombreuses femmes qui disaient que le sexe n’avait pas d’importance pour elles, mais depuis qu’elles ont goûté à ce style de vie, elles n’en ont jamais assez. Je connais des maris qui se plaignaient que leurs femmes ne s’intéressaient pas assez à la sexualité, mais à présent ils se plaignent qu’elles épuisent. Ce style de vie est aussi une façon de faire redécouvrir aux femmes la sexualité de façon nouvelle et excitante, et quand le génie est sorti de la bouteille, on ne peut l’y replacer. Quand cela arrive, faites attention : aucun homme ne peut lutter avec une femme qui découvre sa vraie nature dominante et sa sexualité. J’espère que cela vous aidera.
 
 
Q. Mtrs Elise, j’ai besoin de vos conseils. Je suis un homme de 23 ans encore vierge. J’ai vraiment peur des femmes. Je me sentais extrêmement bien avec les filles quand j’étais juste un petit garçon. Mais à l’adolescence j’ai découvert que mon pénis était plus petit que la moyenne, cela m’a fait devenir impuissant, apeuré et déprimé. Quand j’ai commencé à entendre des choses comme « en matière de taille » ou « plus c’est gros, plus c’est bon », cela me fit très mal. J’ai connu plusieurs femmes qui ont ouvertement admis que la taille avait son importance et, depuis quelques années, je suis devenu encore plus dépressif. J’ai beaucoup pleuré de cela et me sens incapable d’être aimé. Cela me terrifie de savoir que les femmes ont un tel pouvoir sexuel et émotionnel sur les hommes et qu’elles vont révéler aux yeux de la société combien les hommes sont incapables de satisfaire leurs désirs les plus profonds. J’ai le sentiment que les hommes n’ont aucune valeur aux yeux des femmes et qu’ils n’en auront jamais assez quel que soit leur cœur. Les hommes peuvent être remplacés par des vibros ou des gods plus gros, et que les hommes n’ont plus de place ou de valeur pour les femmes à présent.
Les garçons ont appris que les vrais hommes doivent être braves, forts et toujours meilleurs que les filles et les hommes tombent de haut devant la réalité. Le seul moment que je suis capable de gérer est l’instant où je me masturbe avec un fantasme de soumission. Depuis des années, la seule façon que j’ai d’y parvenir est de penser qu’une femme prend tout pouvoir sur moi. Cela inclut la pensée de la petitesse de mon sexe qui ne me permet pas de satisfaire une femme. Je ne fais que 12 cm.
Dès que le fantasme s’évanouit, je me sens nul. Je pleure souvent, souhaitant pouvoir trouver une femme extravertie aimante pour laquelle la taille de mon sexe n’a VRAIMENT aucune importance et qui puisse m’aider et comprendre mon désespoir et ma peur. Je suis terrifié à l’idée que cela soit révélé car les femmes attendent plus que je ne peux donner au lit. La seule façon dont je peux gérer ma douleur est de m’adonner à mes fantasmes sexuels.
Pensez-vous que les hommes avec des petits pénis sont plus faciles à dominer par les femmes ? Est-ce qu’un homme petit aura jamais une place dans la société et dans la communauté des Femmes Dominantes ?
A. Avant tout, un sexe masculin de taille moyenne mesure 5 et 7 pouces (12.5 à 15 cm). Si le vôtre ne fait que 10 cm alors vous êtes tout prêt de la moyenne. La plupart des hommes pensent qu’ils sont plus petits que la moyenne et les femmes dominantes capitalisent sur la fragilité de l’égo féminin pour faire croire à l’homme qu’il est plus petit que la moyenne.
 
Si les hommes ne faisaient pas une fixation sur la taille, les femmes ne pourraient pas aussi facilement manipuler les hommes et jouer avec leur esprit. Bien sûr si tout était par ailleurs égal, les femmes préfèreraient un grand sexe, mais la taille du pénis est loin d’être la première chose que les femmes recherchent chez un homme. Les femmes ne sont pas aussi superficielles que les hommes, et bien que la taille puisse être importante pour certaines, la plupart préfèrent un homme doué avec sa langue à un homme au grand sexe. Un grand sexe peut être acheté dans une boutique ou commandé sur le net, mais une femme ne peut acheter la bouche aimante ou courtoise d’un homme soumis qui révère les femmes et qui sait comment les satisfaire oralement.
Arrêtez de faire une fixation et de vous tourmenter sur cette partie de votre anatomie. Commencez à apprendre comment traiter une femme. Les femmes veulent des hommes qui les traitent comme des Reines et qui les servent avec respect. Une femme dominante veut un homme qui connaît sa place et qui la traite avec une soumission profonde. Si vous vous focalisez sur cela plutôt que sur votre anatomie, vous aurez une relation.
Les femmes dominantes sont moins concernées par la taille du pénis d’un homme car la femme dominante n’est pas impressionnée par le pénis masculin, qu’il soit gros ou petit. La femme dominante fait de l’homme son esclave grâce à son pénis et c’est l’insécurité des mâles sur leur taille qui donne un avantage de puissance aux femmes dominantes.
Vous êtes très jeune. Vous avez la vie devant vous. Je suis certaine que vous êtes un homme gentil qui a beaucoup à offrir à une femme. Je vous conseille donc de passer moins de temps à vous plaindre et de concentrer votre énergie sur ce qui peut être changé. Tenez-vous en forme, apprenez à bien vous habiller, apprenez l’hygiène et les manières, et commencez à servir les femmes avec une attitude humble et soumise.
Pensez aux autres. Si vous faites cela, vous vous sentirez mieux et vous aurez une meilleure image de vous, qui combinée avec le cœur d’un serviteur vous rendra attractif pour les femmes. Soyez attentif à satisfaire les besoins d’une femme, et apprenez comment lui faire plaisir. Elle ne fera alors plus attention à la taille de votre sexe. Comme vous le disiez, si elle désire un gros sexe, elle peut toujours en acheter un. Mais elle ne peut acheter un soumis aimant, un gentleman qui la traite comme une Reine.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 06:33
Chère Madame,
 

Nous sommes mariées depuis 15 ans, avec mon second maris ; nous avons 47 ans tout les deux aujourd’hui. Ce fut une belle histoire d’amour pendant les trois premières années, puis comme la plupart des couples le quotidien, nous a un peu submergé et notre libido sans être laissé de coté était très classique et sans surprises, petit à petit, nous ne faisions l’amour qu’une à deux fois par moi, toujours de la même manière ; d’abords il me faisait jouir avec sa langue, puis il me pénétrait pour prendre son plaisir à son tour et puis plus rien jusqu’au mois suivant.

Je sais que j’y suis pour beaucoup ; car mes pulsions sexuelles sont très cycliques et mon mari s’en plaignait. Alors il se masturbait souvent en cachette ou même devant moi, je le branlais aussi de temps en temps, car je pensais qu’un homme pour être équilibré avait besoin d’éjaculer régulièrement, et petit à petit sans m’en rendre compte, mon mari qui je pense avait déjà des dispositions ancrées en lui, (devint soumis), bien sur,  je ne m’en rendais pas compte car j’ignorais tout de ce style de vie, dont vous parlez si bien dans votre site.

Mon époux devenait un étranger, il ne s’intéressait plus vraiment à moi, il était distant énervé, il ne s’impliquait plus dans les tâches ménagères, j’avais beau lui demander ce qui n’allait pas il fuyait la question toujours sur les nerfs, je sentais le malaise sans être capable de l’expliquer.

 

Puis il y a de cela quatre mois, il m’a expliqué rouge de honte et la peur au ventre, son désir de soumission, je tombai du ciel, je n’aurai jamais pensé à cela, il m’a fallut du temps pour comprendre et accepter ce que j’aurai cru inacceptable.

Puis il m’a rassuré, expliqué ce qu’il voulait, il m’a dit que mon comportement sexuel le frustrait, mais tant qu’à être frustrer autant que cette frustration serve à quelque chose, il souhaitait donc être interdit d’orgasme pour redevenir plus énergique, moins fainéant, s’impliquer plus dans la vie quotidienne et me redécouvrir sous un nouveau jour.


Il avait déjà découvert votre site, qui l’a aidé m’a t’il dit à mettre fin à toutes ses années où il n’osait pas m’en parler.

Il avait déjà fait un essai seul dans son coin, il avait tenue sept jour sans se toucher, et le connaissant : c’était pour lui un exploit et c’est vrai que cet effort lui avait donné le courage de m’avouer son fantasme et je l’avais effectivement trouvé beaucoup plus agréable pendant cette semaine.

J’ai donc pris chaque jour un peu plus connaissance avec votre site où j’y puise énormément de conseils et sans vouloir me l’avouer au début ; je me rends compte que je suis quelque par une dominante, et que je le dominais déjà puisque mes envies sexuelles passaient avant les siennes depuis longtemps.

 

Nous avons donc commandé notre première cage de chasteté : une CB 3000 Curve et notre vie D / S a commencée ; Il devient plus amoureux ne me contrarie plus sans arrêt comme avant, il devient docile, prévenant et surtout se défonce dans les tâches ménagères.

En bref un changement radical, ce que je découvre est tout le contraire de ce que j’imaginais, il apprécie de s’abstenir de jouir, mais uniquement si c’est moi qui détiens la clef de son sexe, il souhaite devenir ma chose, mais j’ai encore bien des réticences à lui faire subir des séances de dressage, malgré que je sente qu’il en ait vraiment besoin pour se motiver, pour avancer et être toujours meilleur, mais pour moi cela est encore difficile, et notre relation stagne.

 

Quelque part, je me sens un peu ridicule de le fesser comme un enfant, je croyais avoir épousé un homme et pas un gamin qui cherche les punitions et teste mes limites.

D’un autre coté sans cela il retombe dans le quotidien et s’éloigne de nouveau, le dénis d’orgasme est une chose, mais elle n’est pas suffisante, quand j’arrive à correspondre à ces attentes en matière de domination, il devient merveilleux, nous redevenons complice, notre sexualité est pétillante ; j’ai beaucoup plus d’orgasmes avec son service oral qu’avant, il s’applique à me procurer le maximum de plaisir.

 

Alors comment être une vraie dominante permanente ? quand on bloque sur plein d’ a priori pleins de contradictions, pleins de tabous . . . Je ne sais trop comment m’y prendre ? C’est un autre homme que je découvre, c’est attirant cette vie, mais c’est difficile.

Pour le moment : Je lui interdis le port de sous-vêtements inutile avec la cage, par conséquent son nom de soumis est Kunu, je l’oblige à se raser tout le corps pour être plus doux la nuit contre moi, et je trouve cela plus jolis, un peu féminin aussi.

Je lui fait aussi écrire journellement un compte rendus ou il inscrit ses impressions, ses envies, ses rêves, il y fait une vraie auto analyse, qui me permet de le connaître chaque jours un peu mieux, c’est très instructif pour moi.

Il doit aussi s’administrer des douches dorées pour avoir encore la peau plus douce, nous avons récemment acheté un gode ceinture, nous ne l’avons pas encore essayé.

Mais il a besoins de séances de soumissions, de dressage, je le sens quand il redevient tendu et désobéissant, mais c’est là que je coince, je n’arrive pas à passer ce cap.

Que puis-je faire pour devenir plus forte, plus dominante, plus salope ? Je n’ai pas d’autres personnes à qui le demander.

D’avance merci pour vos conseils, et encore bravo pour votre site.

                                                                                                    
Une Maîtresse inexpérimentée.

 
 
 
Amélioration de la cage :
 

Une autre petite chose ; j’ai lus que beaucoup de soumis ont un problème avec les cages de chastetés qui leur blesse les testicules surtout pendant les érections nocturne.

Mon petit soumis de mari, qui est bricoleur a crée un petit système tout simple qui rend le port permanent de sa cage beaucoup plus confortable et sans être moins efficace pour autant.

Je pense que l’explication de ce système intéressera beaucoup de soumis qui souhaitent porter de façon permanente une cage sans pour autant souffrir inutilement.

Il faut d’abord commencer par renforcer la cage en récupérant le haut d’un des 5 anneaux dont on ne se sert pas, la matière se scie bien avec une scie à métaux, puis on colle à la Super-Glue ce nouveau haut contre celui de la cage, bien en face des trous, après avoir retiré les guides.

Une fois sec, on perce de part en part les deux haut collé au diamètre des guides que l’on remplacera par des vis à métaux et des écrous, beaucoup plus solide.

Attention aux perçage bien calé la pièce à percer, utilisez une mèche neuve et tournez doucement sans appuyer, sinon ça casse !     

 

Puis ensuite on attachera, (une fois la cage sur le sexe) une chaîne à ces écrous après avoir fait le tour de la taille, (on trouve de la chaîne plate dans tous les magasins de bricolage, on les coupes avec une bonnes paires de tenailles) une petite chaîne équipé d’un mousqueton permettra le réglage de tension sur le pubis.

Ensuite sur le bas de l’anneau au niveau de la charnière derrière les testicules ; on passe une petite gaine de tissu relié à un anneau brisé, sur lequel on fixe deux autres chaînes qui passeront sous chaque fesses pour venir s’accrocher à l’aide de deux mousquetons à l’avant aux niveau du pubis également. (Voir photos.)

On ajuste la taille des chaînes en prenant les mesures sur le corps.

C’est simple, ensuite il suffit de les couper à la bonne longueur.

 

Ce système a pour but de tenir l’anneau plaqué au ventre pendant les érections et par conséquent ne plus tirer sur les bourses et les coincer entre l’anneau et la cage.

Sans être vraiment sans douleurs, il rend les érections bien plus tolérable.

De plus il n’interdit pas les fonctions naturel du soumis et laisse ses fesses libres pour les fessées et son anus peut être aussi utiliser sans rien enlever.

Le tout reste discret sous un pantalon.
 

Tout bricoleur avec un peu de patience et beaucoup de soins, peut réaliser ce petit système très efficace.

 

Vous pouvez diffuser ces deux lettres sur le net si elles restent anonymes.

 
D’avance merci.
 
 
 
Réponse Ms.Dana :
 

Votre témoignage me fait extrêmement plaisir. Il me conforte dans la démarche de partage d’expérience et de conseil que j’ai entrepris.

Votre histoire, même si elle reste unique par vos personnalités, pourrait être un exemple type de tant d’histoire de couple découvrant l’apport de la Domination et Soumission (D&s).

 

Il est tellement évident que ce mode de vie qu'est l’inclusion de la domination / Soumission au sein du couple apporte un nouvel élan, et une telle énergie que je me demande encore comment on pourrait vivre sans.

 

Vous évoquez la masturbation de votre mari, et son effet néfaste sur l’intimité du couple. Vous avez sentit de vous même, peut être inconsciemment que cela posait un problème réel et profond à votre relation. Un homme qui a jouit retrouve ses penchant naturels, la flemmardise, le désintérêt voir un caractère insupportable. La frustration est fondamentale, c’est la base de l’éducation d’un homme, pour en faire une personne bien.

 

Qu'il ait eu le courage de vous parler de son désir de soumission est très belle chose, il a proposé et comprit de lui même où était tout l’intérêt pour votre relation qu'’il vous devienne soumis. Oui je sais, cela fait étrange d’entendre de tels mots, bien des femmes n’arrivent pas simplement à les écouter ; Elles les entendent mais s’y refuse d’emblée, le poids de l’éducation qu’elles ont reçue les empêche d’ouvrir leurs esprits, sur un Art de vivre qui pourtant leur donnerait tant de bonheur.

Je suis heureuse que le site ait pu l’aider à saisir la démarche et à comprendre le mécanisme qui peut rendre le couple heureux en l’épanouissant lui dans sa soumission et vous dans une nouvelle vie merveilleuse.

 

Bravo pour avoir eu le courage de venir lire vous même le site. Il est fait au départ pour les femmes, pour les aider à entreprendre cette vie que découvrir tout le bonheur qui est à leur porter de main en comprenant simplement quelques principes de bases. Et oui en toute femme il y a une part latente de dominante. Il faut simplement en avoir conscience et l’éveiller, se laisser aller à elle et la reconnaître comme positive et constructive pour le couple.

 

Chaque chose en son temps. Apprenez à avoir du plaisir à le dresser. Laissez le vous servir, faites-lui des remarques, soyez exigeante et ordonnez !

Tentez si vous n’êtes vraiment pas contente de commencer à le punir en le mettant au coin, ou de lui donner une fessée. C’est sensuel et cela est une très bonne chose pour découvrir le plaisir que l’on peut avoir en dominant aussi physiquement. Car ce plaisir est réel, il a des répercussions non seulement mentales très puissantes, mais aussi physiques, vous verrez.

Vous avez bien comprit qu'un soumis a besoin d’être corrigé pour progresser. Alors faites-le à votre façon et en vous faisant plaisir. Mais punissez-le car en effet un soumis a besoin de cela pour progresser, c’est indéniable, et vous verrez cela devient même très plaisant pour nous.

 

Vous verrez qu'avec le plaisir qui va grandir de jour en jour en découvrant votre nouveau statut, en apprenant doucement à le dresser et le punir, il va être de plus en plus docile et attentif, merveilleux et prévenant. Alors cela vaut la peine d’aller au départ au delà de ses préjugés, qui n’en seront plus bientôt, dès que vous aurez gouté à la vie de dominante. Vous aurez naturellement tendance à vouloir la vivre en permanence ainsi.

La domination permanente s’instaure petit à petit. A force d’exiger, de vous faire servir, votre nature dominante va se développer, et elle a déjà commencée au vu de tout ce que vous lui faites faire déjà. Alors continuez, il faut plusieurs années pour que les choses se mettent vraiment en place.

Mais ne relâcher pas prise, n’accepter pas qu'’il régresse, exiger qu'’il vous serve et serve bien. Et vous de votre coté, prenez plaisir, prenez du plaisir, profitez de votre temps libre, et amusez vous !

 

L’idéal est de réserver un soir de la semaine, par exemple le vendredi, pour une séance de dressage. Ce jour là habillez vous sexy, préparez vous, et pensez à quelques idées que vous aimeriez essayer sur lui. Fessées, cravaches, gifles… ou tout autre chose qui vous vient à l’esprit.

Je sais ce n’est pas évident, c’est pour cela qu'’il existe des PROCEDURES, une vingtaine (voir chapitre procédures), qui vous guident totalement en vous prenant par la main pour ces séances de dressage.

C’est très pratique et très progressif. Elle vous aideraient surement à passer ce cap que tant de jeunes dominantes ont du mal à franchir… et qui pourtant une fois passé assure une vie si agréable et riche.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 19:46

Date: Tue, 16 Nov 2010 17:17:05 +0100
Subject: Une réponse
From: iloxxx


Bonjour,

Je suis universitaire et m'intéresse à la psychologie. Ce qui m'a amené à me poser des questions sur les pathologie et les perversions, et qui m'a amené à votre blog.
Je pense qu'il fallait que quelqu'un vous dise ceci: vous êtes dégoutée du machisme et du sexisme? C'est normal. Ce qui l'est moins c'est la réaction de féministe exacerbée que vous avez développée. En clair, vous trouvez une pratique injuste et y répondez par une autre tout aussi obtuse. 
Est-ce pour masquer vos fantasmes ou y croyez-vous vraiment?

Plus grave, j'ai lu des choses particulièrement choquante sur votre site.Attention, ne vous méprenez pas, je n'ai rien contre ce genre de pratique (même si il révèle une instabilité chez les deux protagonistes), tant qu'on parle d'adulte consentant que peut-on trouver à y redire? Néanmoins, je met un bémol sur les cas suivants:
l'histoire de cette femme qui laisse son fils avoir des rapports avec une dominatrice,
Et également de cette femme qui puni son fils pour se masturber.
Vous n'avez pas marqué de désaccord profond dans ces cas. Or, que ces histoires soient vraies ou fausses importent peu car, dans les deux cas des esprits faibles peuvent être influencé par vos réponses.
Et en ce sens vous avez une responsabilité morale eu égard à vos ce que vous leur répondez.

 

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REPONSE DE MS DANA :

 

Bonjour.

Si vous avez bien lu le site, vous avez du voir qu'il est fait en deux parties.

1- Les témoignages des lettres et réponses d'Elise Sutton, traduits par nos soins en français, et bien évidement dont nous ne sommes pas responsables. C'est ces traductions que vous évoquez, elles ne reflètent pas mon opinion.
Je note au passage qu'Elise Sutton est universitaire et spécialisé en psychologie. Ce qui n'est pas la garantie de détenir une quelconque vérité.

2- Les réponses que JE fais aux emails que JE reçois, et pour lesquels je donne des conseils pour que les femmes se libèrent enfin. Elles m'engagent et vous pourrez voir à travers mes nombreuses réponses que je dis et répète que les enfants doivent avoir leur propre sexualité et qu'ils ne doivent en rien être mis au courant de notre mode de vie. Je ne confond pas ma vie intime et celle de mes enfants.

Jusqu'à ce jour et depuis des années que le site existe, je n'ai reçu que des centaines de remerciement de femmes et d'hommes qui m'ont témoignés une profonde gratitude pour leur avoir ouvert des portes sur leur relations et les frustrations qui leurs interdisaient de vivre avant.

Devoir vous répondre sur ces sujets est blessant, car si vous m'aviez lu vous ne m'auriez même pas posé ces questions et fait ces remarques.

Pour le reste, le jugement que vous portez sur " l'instabilité" qui serait révélée par notre mode de vie, sachez qu'en ce domaine nous n'avons pas du tout la même opinion et que je trouve votre avis quelque peu "formaté" par une "science" qui n'en est pas encore une. Si la psychologie avait la réponse aux relation D/S, cela ferait longtemps que nous serions au courant croyiez moi.
Si vous pratiquiez vous verriez que s'accepter tel que l'on est, est porteur d'une bien plus grande stabilité et pérennité, que de vouloir être ce qu'il faudrait être, dans notre idéal ou dans celui de la société. Les fait sont là, le bonheur et la sérénité que connaissent tous ces couples en sont la meilleure preuve. La théorie aussi profonde que la prétendent les détenteur d'un savoir en matière d'inconscient humain, n'a jamais apporté de preuve aussi réelles et concrètes.

Voilà mon opinion.

Sur ce, j'espère ne plus avoir à répondre à des attaques personnelles qui ne sont pas fondées et qui montre qu'avant de critiquer il faut avoir fait le tour d'un sujet, pour éviter de tomber dans le travers de pas mal de journalistes.

 

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REPONSE DE L'UNIVERSITAIRE A LA REPONSE DE MS DANA :

 

Tout d'abord merci de m'avoir répondu aussi vite et pardon car, j'ai confondu cette Elise Sutton (dont le diplôme a peut-être été trouvé dans un paquet cadeau) avec vous.

En revanche, il est inutile de vous braquez; Ce n'est pas une attaque personnelle et je ne cherche pas à vous "formatez". Je le dis moi-même: "temps que les personnes sont adultes et consentantes on ne peut rien y dire". Et quand j'utilise le terme "instabilité" ce n'est pas de le sens péjoratif d'instable mentale.

Alors pour vos réponses aux mails. Oui, vous avez reçu beaucoup de félicitations, bien. Et bien il était temps d'avoir une critique non? Quand elles sont bien faites c'est constructif.

Mais, je suis un peu déçu. Je m'attendais surtout à une réponse sur votre "ultra-féminisme". Y croyez-vous sérieusement?

 

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REPONSE DE MS DANA :

 

Je ne suis pas 'ultra féministe'. Je suis dominatrice et j'assume ma vie de dominante au quotidien.

Je respecte les hommes et particulierement les hommes respectueux et qui ne sont pas dans le jugement.

 

Je crois que les femmes ont une sensibilité plus grande aux humains que les hommes. Enfin les femmes avec un cerveau de femme. Il existe à mon avis des hommes avec un cerveau féminin qui eux aussi ont cette sensibilité qui manque parfois à bien des hommes.

 

Je ne dis pas que l'homme est inférieur, même si beaucoup d'entre eux aiment qu'on leur disent. Je pense que chacun a sa place, et les soumis la leur est aux pieds des maitresses. Ils aiment cela et tant mieux, car je suis persuadé que le couple peut ainsi trouver un équilibre et un épanouissement bien plus facilement que dans les relations classiques.

Par LO
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 18:22

Q. Chère Mme Sutton ; certaines discussions et lectures d’articles, ainsi que la relecture du roman « 2001 – L’odyssée de l’espace » d’Arthur C. Clarke m’ont conduit récemment à quelques réflexions, qui, je pense, relèvent de votre domaine d’expertise.

Cet auteur a toujours été considéré comme un visionnaire, et je crois même qu’il a été consultant pour la NASA à plusieurs reprises. Cependant, ses prédictions n’étaient pas toujours très exactes. En particulier, s’il avait décrit de façon réaliste l’ascension des femmes dans le monde de 2006, je suis certain qu’on ne l’aurait jamais publié. Son éditeur lui aurait sûrement ri au nez en le traitant de fou !

Je ne suis pas certain de la date de rédaction de ce livre, mais cela devait être probablement vers 1965 : cela n’est pas si vieux, le temps qui s’est écoulé depuis représente à peine la moitié d’une vie moyenne. Et pourtant, ce que les femmes sont capables d’accomplir de nos jours aurait paru incroyable à un citoyen de l’époque.

Quelqu’un aurait-il pu prévoir que 40 ans plus tard, les filles seraient si supérieures aux garçons dans les études qu’il serait même question de remettre au goût du jour les classes séparées ? Et ce non pas dans le but de tenter de combler le fossé grandissant entre les résultats des deux sexes, mais afin de protéger les garçons contre de trop nombreux et trop rapides syndromes d’échecs dans leur scolarité ? Ou bien que 57 % des étudiants seraient des femmes ? On voit même de plus en plus souvent le chiffre de 60 %, et il est communément admis que ce nombre va continuer à augmenter.

 

Quelqu’un aurait-il pu suggérer qu’à peine 40 ans plus tard les entreprises au développement le plus rapide seraient celles gérées par des femmes ? Bien sûr, j’ai pu entendre un nombre incalculable d’hommes argumenter sur ce point, en prétendant que « c’est uniquement parce que les femmes vendent des produits cosmétiques ou des savons, des trucs de filles. » Mais ce n’est tout simplement pas vrai. Une telle argumentation est la manifestation flagrante d’une attitude anachronique et rétrograde. Le pire est que ces hommes qui se réfugient derrière de telles inepties ne donnent même pas l’impression d’être machistes ou ignorants, mais plutôt effrayés et vulnérables. Les preuves s’accumulent sans cesse, et il est maintenant devenu évident que les femmes possèdent bien plus de talents pour diriger que les hommes.

 

Quelqu’un aurait-il pu prévoir que 40 ans plus tard, on aurait prouvé que les femmes ont plus de capacité neuronale, leur donnant ainsi la possibilité de réfléchir plus rapidement que les hommes, qu’elles peuvent utiliser les deux hémisphères de leur cerveau au contraire des hommes, et qu’elles sont capables de gérer plusieurs tâches en même temps, bien au-delà de la possibilité de leurs équivalents masculins ? Il y a 40 ans, la seule observation de ce type qui aurait pu être acceptée, peut-être, aurait été que les femmes ont une meilleure mémoire que les hommes ; et encore cette remarque n’aurait pas été générale, mais seulement réservée au cadre restreint de la mémorisation de textes par des acteurs.

 

Il est difficile d’analyser au présent les modifications qui affectent notre société, et personne ne sait réellement ce qui sera considéré comme naturel et convenable dans 40 ans. On trouvera peut-être parfaitement normal d’encourager les jeunes filles à travailler dur pour réussir leurs études, et parallèlement d’orienter les garçons vers des domaines plus pragmatiques tel que le commerce, ou simplement de leur conseiller de trouver rapidement un bon travail honnête qui pourra contribuer à compléter le revenu de leur future femme. Bien sûr, il restera (et devra rester) de la place pour des hommes talentueux et ambitieux afin qu’ils puissent aller aussi loin qu’ils le désirent dans leurs études, mais cela ne représentera qu’une exception ; en particulier si la tendance actuelle se confirme.

 

Il est certain que notre culture a subi des transformations essentielles ces

 

Par exemple, la devise : « trouve-toi une fille pour fonder une famille » sera probablement remplacée par une formule telle que « trouve une femme pour te commander et te punir. » En cas de mauvaise conduite, la remarque classique : « après tout, ce sont des garçons » ne sera plus utilisée comme excuse, mais plutôt comme préambule à une sévère punition. Je n’ai rien contre le fait d’encourager les garçons à être fiers de leurs performances physiques, comme on le voit de nos jours ; la compétition sportive me semble être une chose très naturelle, mais n’est-il pas venu le moment d’encourager de manière équivalente les filles pour leurs capacités intellectuelles ? Je ne dis pas qu’il faudrait empêcher les filles de pratiquer tous les sports qu’elles souhaiteraient, et qu‘il faudrait interdire les livres aux garçons, je dis juste que chaque sexe a ses forces et ses faiblesses par rapport à l’autre, et il faut savoir le reconnaître.

 

Comme vous êtes une femme sensée qui ne va pas divaguer sur un quelconque fantasme irréaliste de domination féminine en réponse à ma question, je me permets de vous demander :

 

Quelle place dans la société pensez-vous que la femme aura dans 40 ans ? Le rapport entre les garçons et les filles dans la scolarité va probablement continuer à évoluer, mais je ne crois pas que dès le milieu du 21ème siècle on aura déjà 80 % de femmes étudiant et enseignant à l’université. Avez-vous observé des évolutions encourageantes chez les enfants d’aujourd’hui en rapport avec le respect naturel que les hommes doivent aux femmes ?

 

De même, pensez-vous que l’on puisse réussir à trouver un moyen de permettre aux garçons de garder confiance dans leur valeur au cours de la scolarité, malgré leur incapacité à lutter avec les filles sur le plan intellectuel ? Apparemment ce n’est pas si simple, et je pense que ce serait une grosse erreur de s’acharner à maintenir artificiellement les garçons au niveau des filles. Toute réflexion de votre part sur ce sujet sera accueillie avec grand plaisir et intérêt. Merci.

 
Réponse Elise Sutton :
 

Merci pour toutes ces observations très intéressantes. Vous avez pu constater l’énorme portée des changements que notre société a subis au cours des 40 dernières années, et dans quelle direction cela nous mène. Bien que nous ne soyons pas sûr de ce à quoi ressemblera notre monde dans 40 ans (de la même manière que M. Clarke ne l’était pas il y a 40 ans), nous ne pouvons que constater que les tendances actuelles nous promettent un futur qui sera sans aucun doute dominé par les femmes : reste à voir dans quelle mesure.

 

La façon dont les sociétés évolue est un sujet fascinant à étudier. Il y a ceux qui vont adopter intuitivement un modèle linéaire, et qui supposeront donc que les x prochaines années évolueront de manière similaire (en termes de tendance) aux x dernières années. Cependant, plutôt que faire cette hypothèse simplificatrice, il vaut mieux examiner les données historiques et les indices de tendances et y appliquer une progression exponentielle. Avec un tel modèle on peut émettre des prévisions bien plus exactes sur les futures évolutions de la société.

J’ai eu l’occasion de discuter avec des chercheurs travaillant dans le domaine de la prospective, et quand on aborde le sujet de l’évolution à venir des relations entre les hommes et les femmes, la grande majorité répond que la société du futur sera dominée par les femmes. Bien sûr, tous ces spécialistes tempèrent ce jugement en précisant qu’il est impossible de réellement prédire le futur, mais seulement d’envisager des scénarios avec un certain degré de probabilité.

Ce que l’on peut affirmer avec certitude est que la progression de la domination féminine est une tendance lourde et non une mode passagère, et cette distinction est importante. Une tendance lourde aura des effets à long terme et sur de grandes distances, affectera de nombreux groupes sociaux, et progressera lentement, dénotant ainsi d’une origine profonde. Au contraire, une mode passagère n’a des effets qu’à court terme, s’étend rapidement mais superficiellement. Il est évident que la domination féminine est une tendance à long terme, car nous pouvons maintenant juger sur un certain nombre de générations de la progression d’indicateurs objectifs, tels que l’accès au droit de vote pour les femmes, ou bien leur réussite scolaire ou professionnelle.

 Quand une tendance s’étend ainsi sur plusieurs générations, on parle alors de méta-tendance. D’autres preuves de son existence peuvent être également apportées par l’éclosion d’autres sous-tendances issues de la même branche. Par exemple, pour confirmer que la femme est en train de prendre le rôle prédominant, on peut s’appuyer sur l’évolution des résultats scolaires, des obtentions de diplômes, de l’affectation des postes de chefs d’entreprise, des succès politiques, ou encore de la nomination à des postes de direction et de gestion dans les multinationales : tous ces éléments indiquent que nous nous dirigeons vers un futur où la femme dominera l’homme.
 

Et puis il y a l’apparition de nouveaux comportements sociaux, comme ces mariages de plus en plus nombreux où la femme porte sans complexe la culotte, et/ou apporte le principal revenu financier. Ou bien ces femmes prenant l’initiative de draguer des hommes plus jeunes, ces adolescentes aux comportement sexuel plus agressif, et, bien sûr, le nombre croissant de couples explorant des relations alternatives telles que la domination féminine associée à la soumission masculine : tout cela indique un renforcement du rôle dominant des femmes et celui soumis des hommes. Et ce sont là bien des tendances lourdes, et non des modes éphémères, car elles agissent à long et non à court terme.

 En examinant toutes ces faits, nous pouvons établir avec certitude la direction dans laquelle se dirige notre société. Cependant, comme les futurologues vous le diront, prédire exactement le futur est impossible à cause d’innombrables évènements imprévisibles pouvant affecter la course du monde et son économie, en y incluant les effets indépendants de l’action humaine tels que les catastrophes naturelles. Modifier une variable ici ou là peut amener à totalement modifier le cours de l’histoire.
 

Mais quelle que soit la manière, je suis sûre de l’issue finale. Le génie a été libéré de sa bouteille, et on ne pourra jamais le forcer à revenir à l’intérieur. Maintenant que les femmes ont goûté à la liberté et au pouvoir, le vieux modèle patriarcal est destiné aux poubelles de l’histoire. Le futur est féminin et la Nature elle-même nous conduit dans cette voie, avec le besoin profond et toujours croissant de soumission de l’homme, et sa vénération de l’autorité féminine. Au fur et à mesure que les femmes gagnent en pouvoir, de plus en plus d’hommes sont favorables à ce changement social, et comme la nature dominante de la femme renforce la nature soumise de l’homme, cela ne fera que nourrir et accélérer cette tendance vers la domination féminine. Merci pour cette intéressante question.

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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 11:12
Q. Elise vous indiquez que vous n’avez pas d’enfants. Mon mari et moi avons deux enfants de 6 et 10 ans. Comment suggérez-vous que nous vivions notre mode de vie D&S avec des enfants à la maison ?
 
A. Il est important que vous protégiez vos enfants innocents, que vous les exposiez pas à n’importe quelle sorte de sexualité ou d’activité de domination entre vous et votre époux. Vous devez permettre à vos enfants de grandir normalement et vous devez les protéger pour qu’il ne voient ou n’expérimentent pas tout ce que leur âge ne leur permet pas de voir et d’expérimenter. Alors ne pratiquez votre D&S que quand les enfants sont ailleurs et que vous êtes loin d’eux.
Je vous suggère d’acheter un coffre cadenassé pour y ranger votre matériel et vos vêtements. Fermez-le bien. Cela ne diffère pas de l’acte sexuel traditionnel, que vous ne faites pas si les enfants sont derrière la porte.
Vos séances seront donc bien plus importantes car elles seront plus rares. La femme devra s’assurer la totale obéissance de son compagnon grâce à ces séances, afin qu’elle puisse lui inculquer comment elle entend qu’il se comporte dans la vie quotidienne. Elle lui assignera toutes les tâches domestiques utiles.
Si la femme utilise avec intelligence ces sessions, elle peut garantir que son mari lui montrera le respect nécessaire en présence des enfants et qu’il sera un bon père pour eux. Si jamais il fait quelque chose qui ne lui plaît pas à elle, elle pourra le lui rappeler lors de la prochaine session. Cela signifie moins de discussion en présence des enfants et donc que ceux ci vont grandir dans une maison pacifique et harmonieuse.
Puis quand les enfants grandiront et quitteront la maison, vous pourrez faire en sorte que votre relation de D&S profite de cette nouvelle liberté. Jusque là, protégez vos enfants en étant discrets.
 
 
Q. Elise je sais que ce n’est pas mon problème, mais je le demande quand même. Pourquoi n’avez-vous pas d’enfant ? Vous indiquez que c’est votre choix, je demande cela simplement car nous n’en avons pas nous même et que nous en avons assez des gens qui nous demandent pourquoi, et même notre famille qui nous considère comme égoïste.
 
A. Je sais bien ce que c’est. J’ignore votre âge, mais les questions et les commentaires sur le fait de ne pas avoir d’enfant s’arrêtent en général à 40 ans. J’aime les enfants, et j’aime être parmi eux. Mon âge favori est entre 3 et 9 ans. J’ai des neveux et nièces et je joue un grand rôle dans leur éducation. Je passe beaucoup de temps avec eux. Et le dimanche je donne des cours. J’aime les enfants.
Mais je n’ai jamais désiré en avoir. Certaines femmes existent pour avoir des enfants. Moi non. Mon mari en voulait mais j’ai été claire avant notre mariage. Si j’étais tombée enceinte nous aurions eu un enfant. Cela aurait pu arriver aussi dans les premières années de notre mariage. Quand je l’ai eu initié à ce style de vie, les pénétrations sont devenus rares. Même au début de notre union, nous utilisions des préservatifs. Je ne voulais pas être enceinte. Quand nous avons été profondément impliqués dans ce style de vie D/s, je fus vraiment contre le fait d’avoir des enfants. J’aimais trop notre style de vie. C’est peut-être pourquoi j’ai embrassé si vite la philosophie de la domination féminine et interdit à mon mari de me pénétrer. Je ne voulais pour rien au monde que nous cessions ce style de vie magnifique. Certains diront que c’est égoïste. Mais une femme qui veut des enfants l’est autant à la réflexion. J’admets l’être un peu mais cela ne veut pas dire que je n’aime pas les enfants.
Une autre chose : j’aime les animaux. J’ai deux chiens et nous les traitons comme nos enfants. J’aime en prendre soin et les dresser. Je ne les compare pas aux enfants, mais je les aime et y fais attention. Je souhaiterais que les gens aient moins d’enfants et s’occupent d’au moins un animal domestique.
En conclusion, je n’ai pas d’enfant car je n’en ai jamais souhaité.
 

 Q. Chère Elise, la suprématie féminine, ça va jusqu’à où, et qu’attend-on d’un mâle ?
Je demande cela car je rêve d’être avec une femme dominante, et bien que l’idée qu’elle puisse me traiter salement, constamment me déprécier ou m’infliger des tortures cruelles me laissent froid. Est-ce que toutes les relations D/S signifient que l’homme doit donner tout ce qu’il a ? Je ne veux pas paraître effronté en disant cela, mais je suis intéressé, et je ne sais vraiment pas ce qui est attendu. Ce n’est pas ma faute si je suis né mâle, mais je rêve de me soumettre.
Et puis comment voyez-vous les femmes dominantes élevant les enfants ? Ce n’est pas que mon opinion ait beaucoup d’importance pour vous, mais j’espère qu’ils seraient élevés de la même façon. Je n’aimerais pas qu’il y ait des différences, avec à l’esprit que tous les enfants sont innocents. J’espère que vous comprenez mes sentiments.
 
A. Je répondrai en premier à votre seconde question car elle est très importante. La D&S doit se faire entre deux adultes consentants. Les enfants ne doivent jamais y être mêlés. Les adultes doivent protéger l’innocence des enfants et ne jamais jouer ou pratiquer leur style de vie devant eux. C’est pour cela que je recommande que les couples mariés se procurent un coffre pour ranger leur affaire D&S et ne l’ouvrir que quand les enfants sont loin de la maison. Les garçons et les filles doivent être traités de la même façon, pour leur permettre de se développer à leur façon. Les enfants doivent se soumettre aux deux parents comme un gardien masculin doit avoir de l’autorité sur une jeune femme mineure car sa sagesse et sa maturité lui procurent cette autorité.
Le mariage sous l’égide de la domination féminine devrait encourager l’harmonie à la maison et la femme devrait gérer son mari et son comportement. Le mari doit montrer du respect à la femme et ne jamais discuter ses ordres. Il doit obéir à la femme d’une manière révérencieuse pour que l’harmonie existe à la maison afin de permettre aux enfants de s’épanouir. Si la femme dresse bien son mari pendant les sessions cela assurera un mari obéissant et un père aimant. Les enfants respecteront leur père aimant leur mère, étant un bon citoyen responsable, faisant les tâches ménagères de la maison et passant du temps de qualité avec eux. C’est un très bon exemple de modèle masculin pour les garçons et les filles. Les enfants noteront aussi que c’est la mère qui dirige et cela aidera grandement la fille car elle sera moins influencée par les schémas sociaux stéréotypés du rôle de l’homme et de la femme.
Aucun des parents ne devrait parler de sa sexualité ou de son style de vie à ses enfants, même quand ils deviennent matures. Chacun de nous sommes des individus et nous devons explorer et découvrir notre sexualité par nous-mêmes le temps venu. Les parents sont obligés de partager les éléments de la vie avec leurs enfants et les encourager à avoir un code de moralité. Cependant ils ne devraient jamais discuter D&S ou domination féminine. Leurs enfants découvriront tout cela naturellement le temps venu. Un homme soumis n’a pas besoin d’avoir eu des parents lui expliquant ce style de vie. Son désir se développera et sa nature se dévoilera.
Cela amène à votre autre question. Vous confondez le fait de permettre à un homme de vivre ses fantasmes et réaliser ses désirs de soumission avec le fait de le traiter comme un citoyen de seconde zone. La soumission et l’esclavage sont un style de vie volontaire. On parle là d’un homme abandonnant tout pouvoir à sa Reine et Déesse. C’est un acte de dévotion au genre féminin. Rien n’est forcé ou ne peut l’être. C’est une condition du cœur.
La femme discipline, domine, et humilie l’homme afin de satisfaire ses désirs à lui et de l’entraîner à mieux la servir elle.
J’explique ce phénomène dans un certains nombre de mes réponses aux questions. Les femmes ne sont pas meilleures que les hommes. Je n’ai jamais dit que les femmes sont meilleures que les hommes ou qu’elle ont une plus grande valeur. Ce que j’ai dit c’est qu’elles sont supérieures (au dessus des hommes, avec un caractère plus fort, faites pour les diriger, avec des atout pour les éduquer et faites pour leur fixer des règles).
Une femme dresse un homme pour qu’il soit une personne meilleure, un meilleur mari, un meilleur père. Elle casse l’agressivité du mâle et canalise sa force à son service à elle, et vers l’humanité dans son ensemble. Les mâles sont agressifs, voire violents. La force et l’agressivité peuvent être bénéfiques si elles sont canalisées vers les bons besoins. N’ayez pas honte d’être un homme. Les hommes sont de belles créations et sont très spéciaux. Chaque personne est unique et spéciale, vous compris. Vous avez juste besoin de trouver une femme que vous pourrez servir.   

 
Q. Grâce surtout à votre site, j’ai choisi de vivre ce mode de vie qu’est la domination féminine. Tout c’est passé comme vous le décriviez, et je ne peux me souvenir d’une période de ma vie où j’ai été plus heureuse. Mon mari m’a montré votre site avec l’espoir que j’essaierais. J’ai dépassée ses attentes les plus sauvages et il est à présent mon soumis complet et serviteur.
Nous avons deux garçons de neuf et onze ans. Je les aime plus que ma vie et j’ai suivi vos conseils avisés en leur cachant ce mode de vie et en ne pratiquant que quand nous sommes seuls à la maison. Je crois à la discipline des enfants et nous pratiquions la discipline aimante avec eux bien avant avoir choisi ce nouveau style de vie. Mon mari et moi venons de familles où l’on nous a appris les bonnes manières et nous avons été éduqué à travers des fessées et le conditionnement de plaisir en fonction de notre attitude. Nous avons la même approche avec nos enfants et ils sont devenus deux petits garçons bien éduqués.
Cependant, depuis que j’ai pris les rennes du mariage et depuis que je vois mon mari comme mon soumis et servant, je ne lui permets plus de punir les garçons. Je pense simplement que ce n’est pas le droit d’un mâle soumis de donner des fessés aux enfants. J’administre moi-même toute la discipline et les punitions de nos enfants quand ils ont fait des bêtises. Cela ne renforce pas seulement le fait que pour mes garçons (et mon mari) c’est maman qui dirige la famille, mais je pense aussi que j’entraîne mes garçons à accepter l’autorité féminine. Je crois que d’être disciplinés par leur maman seulement, leur donne une meilleure chance de devenir des mâles soumis comme leur père, ce que je leur souhaite vraiment pour eux.
Mon dilemme est le suivant. D’un coté je fais mon possible pour cacher notre sexualité à nos fils et j’essaye de leur permettre de grandir comme des petits garçons classiques. Mais d’un autre coté, je me sens une obligation de leur instiller l’attitude appropriée de respect et de soumission envers les femmes et le genre féminin. Après tout, les parents incluent leurs convictions religieuses, politiques et leur point de vue personnel sur la société et le monde à leur enfants, alors pourquoi pas moi ? J’en suis venu à croire fortement en la suprématie féminine et en la matriarchie. N’ai-je donc pas le droit de leur instiller mes croyances et ma philosophie en ce qui concerne ce style de vie ? Bien sûr j’évoque des aspects non sexuels de ce style de vie, du respect de l’autorité féminine et de la direction par la femme.
Cela m’amène à ma dernière question. Quand j’ai fait votre psycho-analyse sur mon mari, j’ai découvert quelque chose d’intéressant et peut-être de profond. L’événement qui a peut être planté la graine de sa soumission envers les femmes dans son enfance , fût une fessée qu’il reçut de sa mère alors qu’elle ne portait qu’un soutien-gorge et des collants. Apparemment elle était en train de s’habiller quand mon mari a fait quelque chose de mal, alors elle ne prit pas le temps de finir de se vêtir et elle le mit en travers de ses cuisses pour lui administrer une fessée. Sa mère était une belle femme et il n’a jamais oublié cet incident, alors qu’il devait avoir 10 ans. Cette révélation me fait penser à la façon dont je devrais m’habiller quand je discipline mes garçons. Quelle est la tenue appropriée qu’une mère devrait porter quand elle punit ses garçons ? Est-ce que ce serait une erreur de m’habiller sexy avec l’espoir que cela leur instille la graine de la soumission ?
 
R. J’ai eu de très nombreux clients qui ont des souvenirs analogues concernant leur mère ou un responsable féminin qui les avait en charge. Les femmes sont libres dans leur maison et en général ne pensent pas vraiment à ce qu’elles portent devant les enfants. De nombreux hommes se souviennent de leur mère portant uniquement un soutien-gorge et des collants, ou un string et des bas, alors qu’elle les disciplinait. Comme pour la mère de votre mari, de nombreuses femmes ne pensent pas à la façon dont elles sont vêtues quand leur garçon fait une bêtise dont elles pensent qu’elle mérite punition. La maman peut être en train de s’habiller quand un de ses fils rentre dans sa chambre, pleurant et se plaignant d’une dispute avec son frère, alors l’instinct de maternel prend le dessus et elle réconforte l’enfant qui pleure tout en déterminant si quelqu’un a besoin d’une punition. La maman peut être à moitié habillée ou même moins quand l’incident se produit. Certaines femmes sont plus familières que d’autres avec leurs enfants.
Je suis d’accord avec vous sur le fait d’instiller votre philosophie et votre vision du monde à vos garçons en ce qui concerne la façon dont ils devraient voir les femmes, mais vous devez le faire d’une façon non sexuelle. Apprenez à vos garçons à respecter les femmes et apprenez leur la façon de traiter une fille quand ils approchent de l’âge des premiers rendez-vous. Entraînez les à être de jeunes gentlemans et le reste devrait venir tout seul. De plus, le fait de voir votre mari vous traiter avec le respect nécessaire leur donne le bon état d’esprit pour qu’ils deviennent le type de jeune homme que vous souhaitez.
La façon dont vous êtes habillée quand vous punissez vos garçons dépend totalement de votre propre conscience. Mon conseil est de les punir quelle que soit la façon dont vous êtes vêtue. Pour ma part, je n’irais pas me changer à ce moment-là. Mon avis est que vous ne devez pas vous soucier de cela mais vous focaliser sur la façon correcte de les punir. La plupart du temps, une fessée n’est pas nécessaire. Enlever un privilège ou gronder un enfant peut être aussi efficace qu’une fessée. Particulièrement si l’enfant à plus de 10 ans. Vous ne pouvez pas cependant ne plus les fesser, particulièrement si la faute ou la rébellion est grande chez le garçon. Ce qui m’amène à la bonne façon de fesser un enfant. Comment une maman devrait-elle fesser un enfant ?
D’abord, ne le faites jamais si vous êtes en colère ou bouleversée. Envoyez-les dans leur chambre et accordez-vous un moment pour vous calmer. Faites-en sorte qu’il sachent qu’ils vont avoir une fessée, afin qu’ils puissent y penser pendant que vous vous calmez. Puis prenez un instrument pour la fessée. Je recommande un paddle en bois, une cuillère en bois ou une brosse à cheveux. Quand vous rentrez dans leur chambre, faites leur baisser leur pantalon et faites-les mettre en travers de vos cuisses. Ne frappez jamais un enfant qui cherche à s’enfuir ou qui n’est pas dans la bonne position pour être puni. Si l’enfant est encore rebelle, je suis ok pour l’attraper doucement et le disposer sur vos cuisses. Ensuite, fessez-le avec des coups légers mais fermes et seulement sur ses fesses. Ne frappez jamais un enfant ailleurs que sur ses fesses. Le nombre de coups devrait être fonction de l’importance de la faute.
Après la fessée, dites-lui de penser à ce qu’il a fait et pourquoi il a été puni. Quittez la pièce environ 5 minutes. Puis revenez dans sa chambre, prenez-le dans vos bras et dites-lui combien vous l’aimez et que maman ne l’a puni que pour son propre bien. Donnez-lui plein de bisous. La façon dont vous fessez est plus importante que la façon dont vous êtes habillée. Etre juste une femme qui punit son fils aidera à développer la fibre soumise qui est présente dans chaque mâle. Apprenez à chaque garçon à être un gentleman et le monde ira bien mieux.

 Q. Bonjour. Permettez-moi de prendre une minute pour me présenter. Je suis une femme bi de 38 ans, mariée à un homme de 4 ans plus jeune que moi. Nous sommes dans une relation D&s depuis presque 3 ans à présent. Il m’est totalement soumis. Je le fesse et lui torture un peu le sexe et les seins (il est très excité par les pinces), il fait les tâches ménagères nu ou féminisé, et je le fais cocu. Je ne le fais pas beaucoup sans lui, mais occasionnellement, et j’ai par deux fois ramené un homme à la maison pour qu’il nous regarde faire, et en une occasion il nous a servi les boissons au séjour. Ma question vient d’une de vos réponses que vous avez données précédemment. Vous conseilliez à une femme de ne pas pratiquer son style de vie devant ses enfants. Je suis d’accord avec le fait qu’aucune activité sexuelle de couple ne devrait être pratiquée devant les enfants. Comme vous, mon mari et moi n’avons pas d’enfant, mais j’ai une fille de 16 ans sexuellement active qui vit avec nous. C’est une jeune femme assez étourdissante, et j’ai envie de l’amener dans la relation. Je pense que ce serait assez érotique de la voir le dominer, rire de lui, et l’humilier. Je sens aussi que ce serait très dégradant et humiliant pour lui.
Je l’imagine habillée d’une jupe en cuir qu’elle possède avec une paire de bottes. Je lui ferais faire des tâches domestiques à mon mari pendant que ma fille et moi parlerions, ferions peut-être quelques allusions en riant doucement de lui pendant qu’il bosse. Finalement, je le ferais venir et bander pour moi en face d’elle et je pointerais du doigt sa masculinité en riant et disant « vois l’effet que je te fais ». Elle l’exciterait et ferait peut être quelque comparaison défavorable avec les pénis des garçons de la fac. Elle dirait peut-être «ça ressemble à ceux des élève de l’école primaire, est-ce qu’il bande jamais ? ». A ce moment, je le ferais peut-être se masturber pour elle. Dans tous les cas, je donnerais pouvoir à ma fille sur son sexe et son orgasme et il le ferait pour nous satisfaire toutes les deux.
Pensez-vous que c’est inapproprié pour une fille de 16 ans ? Comme je le disais plus tôt, elle est déjà active sexuellement et elle et moi sommes très ouvertes sur ce sujet. Pensez-vous qu’il puisse y avoir quelque mal dans ce que je vous ai décrit ? J’espère que vous me répondrez et je vous remercie pour votre site magnifique. Il est passionnant pour moi et je suis certaine qu’il aidera de nombreuses femmes et hommes, comme il nous aide.  
 
R. Pourquoi ai-je le sentiment que c’est votre mari qui vous a suggéré cette idée ? Votre fille est mineure et il est illégal pour votre mari d’avoir une relation sexuelle avec elle. De nombreux hommes sont en prison pour avoir vécu le genre d’activité que vous suggérez avec des filles de 16 ans. Qu’elle soit active sexuellement ou pas.
Elle est trop jeune pour ce que vous suggérez. En outre, votre mari n'est pas digne de servir sexuellement votre fille. Vous ne devriez pas lui donner ce privilège. Quand votre fille sera adulte, vous pourrez la faire servir par votre mari de façon domestique. Vous pourrez vous asseoir avec elle et lui expliquer la domination féminine et comment dominer votre mari, et vous pourrez lui permettre de le dominer de façon non sexuelle. Ce sera votre décision quand le temps sera venu.
En ce qui concerne votre fille, si elle est sexuellement active, assurez-vous d’avoir une conversation avec elle sur le fait qu’elle est une Déesse et assurez-vous qu’elle comprend que son corps est un temple et qu’aucun homme n’a le droit d’attendre du sexe d’elle. Elle doit toujours attendre des hommes qu’ils la traitent comme une Reine et elle a besoin d’apprendre que l’acte sexuel est fait pour son plaisir et non pas pour celui de son petit copain.
A 16 ans, elle ne devrait pas avoir de rapports sexuels avec les garçons. Elle a toute la vie devant elle et comme vous le savez, avec l’âge, le sexe devient meilleur pour les femmes. J’aurais horreur de voir son futur si prometteur altéré par un garçon qui n’est pas digne de votre fille. Si vous ne l’avez pas fait encore, assurez-vous qu’elle comprenne tout cela.
C’est l’âge parfait pour commencer à discuter des aspects non sexuels de la suprématie féminine et de la domination féminine avec votre fille. Les jeunes filles ont besoin d’attendre que les hommes les traitent avec respect. Le sexe doit être gardé pour ce garçon spécial qui lui prouvera sa valeur en dehors de la chambre avant qu’il lui soit accordé le privilège de la servir dans la chambre. Aidez-votre fille à développer une bonne image d’elle-même et le reste devrait venir de lui même. 

Q. Ma femme était une merveilleuse dominatrice qui est morte voici deux ans d’une rupture d’anévrisme. J’étais amoureux d’elle depuis des années quand elle m’a dit qu’elle m’épouserait sous deux conditions : Que je reste toujours chaste et obéissant, et que je ne lui demande rien concernant le sexe. J’ai été d’accord et nous avons passés 13 heureuses années ensemble.
La deuxième année de notre union elle donna le jour à deux jumeaux, un garçon et une fille qui ont à présent 11 ans. Depuis sa mort, j’essaye de les élever comme elle aurait voulu. Je travaille à présent à la maison pour avoir plus de temps pour eux. Ils sont bien éduqués et heureux, sauf bien sûr quand ils pensent à leur mère. Ma femme croyait que dieu était une femme. Elle leur a appris à dire merci à la Déesse, et nous avons pris l’habitude de la prier ensemble tous les jours. Je perpétue cette tradition. Je crois que non seulement cela aide mon fils à apprendre à respecter les femmes, mais cela donne à ma fille de la fierté d’être une femme. Cela nous réconforte aussi tous.
Bien que je croie profondément en la supériorité des femmes sur les hommes, et que j’essaye de traiter mes deux enfants de manière égale, et je leur donne autant d’attention à chacun. Je ne vois aucune façon pourtant d’essayer de leur inculquer les idéologies féministes. Ils savent que je soutiens la cause féminine, et je mentionne occasionnellement que les choses seraient meilleures dans un monde où les femmes auraient le pouvoir. J’ai aussi des magazines féministes et ma femme avait une grande collection de livres sur la matriarchie et son histoire, qu’ils consultent souvent. Je sais qu’ils se souviennent combien j’étais obéissant envers leur mère et quand je vais vers les femmes, je suis toujours très respectueux et déférent. J’aimerais savoir si je suis sur la bonne voie. Est-ce que j’en fais trop ? Pas assez ? Avez-vous des suggestions ? 
 
R. Vous avez tout l’air d’un très bel homme et j’admire votre amour et l’attachement à votre femme et à ses enfants. Je pense merveilleuse la façon dont vous l’honorez en élevant ses enfants comme elle l’aurait souhaitée. Vous l’aimiez visiblement énormément et vous avez été béni de passer ces 13 années avec elle. A présent vous pouvez canaliser votre attachement pour elle vers ses enfants. Vous avez fondé votre mariage sur la servitude et vous pouvez donc la servir encore en élevant et aimant ses enfants. Je pense que vous donnez un bel exemple de la pure soumission du mâle et les hommes peuvent prendre exemple sur vous. Mon seul conseil est que vous viviez votre futur tout en honorant votre passé. Ne vous interdisez pas de rencontrer une autre femme pour la servir. Vous mettez ses enfants au premier rang de votre vie mais cela ne signifie pas que vous ne puissiez pas rechercher une autre relation. Un homme comme vous a beaucoup à offrir à une femme. Un jour, ces enfants seront adultes et devront être indépendants. Ils pourront ou ne pourront pas choisir la même voie dans leur vie que vous et votre femme. Tout ce qu’un parent peut faire est d’instiller à ses enfants les valeurs auxquelles ils croit. Aux enfants ensuite de faire leur propre choix de vie quand ils deviennent adultes.
Il est admirable de se sacrifier ainsi pour ses enfants et j’espère que vous pourrez continuer à le faire. Mais pensez à votre avenir. Quand vous serez prêt, vous aurez besoin de chercher une autre femme que vous pourrez servir avec le même attachement. Vous êtes vraiment sur la bonne voie avec cette façon d’élever ces enfants et je vous souhaite à tous trois le meilleur.

Q. J’ai lu sur votre site l’histoire d’un homme qui avait perdu sa femme et qui éduquait seul ses enfants. Il tente de les élever avec des idéaux féministes. Il dit aussi que cela aide son fils à respecter les femmes, et sa fille à être fière d’être une femme. Bien que ce soient ses enfants et qu’il ait ses croyances, ne devrait-il pas juste leur apprendre la fierté de qui ils sont et le respect de l’humanité tout entière quel que soit son sexe ? Ne devraient-ils pas avoir le choix de découvrir eux-mêmes leur propre orientation quand ils grandiront ? Est-il bien approprié pour des parents d’élever leurs enfants, même d’une façon non sexuelle, dans le l’optique de la suprématie féminine ?
 
R. Avez-vous des enfants ? Ne leur instillez-vous pas vos croyances religieuses et politiques ? Combien de parents n’influencent pas leurs enfants politiquement et spirituellement ? Est-ce que les parents demandent à leurs enfant « A quelle église veux-tu aller ce dimanche ? » Non, les parents amènent leurs enfants à l’église de leur croyance.
Pourquoi la plupart des gens défendent-ils les même idéaux que leur parents ? Parce qu’ils en ont appris les valeurs par leurs parents. Bien sûr, vous devez encourager vos enfants à penser librement et vous devez toujours les soutenir quel que soit leur choix de vie. Mais il est naturel pour les parents d’élever leurs enfants avec les mêmes valeurs qu’eux. Ce sera aux enfants de décider les valeurs qu’ils défendront quand ils deviendront adultes.
Ce gentleman a simplement continué à élever ses enfants de la même façon que leur mère les élevait quand elle était en vie. Il l’a fait comme un cadeau pour elle. Je crois que c’est merveilleux. Aussi longtemps qu’il donne aux deux enfants autant d’attention et d’amour, aussi longtemps qu’il leur permet de garder leur innocence en ne les exposant à rien de sexuel, je ne vois aucun problème à élever les enfants dans les valeurs de leur mère. Vous pouvez choisir de ne pas élever ainsi vos enfants, et j’aurais pu ne pas élever mes enfants ainsi, mais nous sommes en démocratie et les parents ont encore le droit d’éduquer leurs enfants avec leur religion personnelle, leurs idéaux politiques et sociaux. Auriez-vous ainsi réagi s’il les avait amenés dans une église patriarcale ? La plupart le sont. Vous sentez-vous concerné par toutes les filles à qui l’on apprend que Dieu est masculin et que les femmes doivent se soumettre à leur mari ? La plupart des religions le professent et elles en ont le droit. De même ce gentleman a le droit d’éduquer son fils en lui inculquant les valeurs d’une société matriarcale et en lui disant que Dieu est une femme. Nous pouvons ne pas être d’accord avec la philosophie de sa femme mais nous devons être d’accord avec le fait qu’elle a le droit de l’avoir. Tout homme qui aime assez sa femme pour élever ses enfants en fonction des souhaits de la défunte (et peut-être même à l’encontre de ses siens) devrait avoir notre respect et notre admiration. S’il instille à son fils le même genre de loyauté, de caractère et de dévotion, son fils devrait devenir un jeune homme très bien. 

 Q.  J’ai été élevé dans une maison dirigée par une femme, et qui pratiquait la suprématie féminine. J’ai appris à obéir et à servir ma mère et ma sœur. Puis j’ai rencontré une merveilleuse femme dominante et me suis marié. Nous avons un grand mariage et je lui suis définitivement soumis. J’essaye toujours de faire au mieux pour elle. Nous sommes tous les deux satisfaits. Je suis aussi très content que ma femme s’entende très bien avec ma mère et ma sœur. Nous avons aussi un fils de 4 ans.
Ma question concerne mon fils. Ma femme veut le féminiser afin de l’éduquer selon les règles féminines. Elle vient de commencer il y a quelques semaines. Elle l’habille avec des vêtements de fille, ne lui permet plus de couper ses cheveux, l’encourage à jouer à la poupée et avec d’autres jouets de filles. Elle dit que dans un an elle lui apprendra le maquillage. Ses ongles sont polis et elle lui montre le rouge à lèvre.
J’ai toujours obéi aux souhaits de ma femme, mais j’ai des réserves concernant la féminisation d’un petit garçon. Je pense que cela peut nuire à son psychisme. Bien sûr je désire avoir un garçon respectable ayant un cœur bon et, bien sûr, je ne peux m’opposer à ma Maîtresse. Je ne suis pas très bien renseigné sur tout cela, alors je ne peux avoir de certitude. Laissez-moi vous dire ma gratitude.
 
R. Je suis de votre avis sur ce sujet. Il est bien d’élever un garçon à respecter l’autorité féminine aimante et de laisser les femmes diriger, mais vous devez lui permettre de grandir à sa façon et lui laisser ses propres choix sexuels et sociaux quand il sera mature. Votre femme essaye de le forcer à se féminiser en prenant des mesures avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Ces pratiques sont parfois utilisées chez des féministes extrémistes.
Votre femme prend le risque d’avoir un sérieux effet de retour quand il grandira. Au lieu d’aimer les femmes, il pourrait bien choisir la direction inverse. Il est mieux de le laisser choisir seul, de le guider avec amour. Elle devrait plutôt lui apprendre les vertus de l’autorité féminine, et il apprendra bien plus en vous regardant interagir avec sa mère qu’il ne le fera par son approche à elle. S’il vous voit vous soumettre avec humilité à sa mère et s’il voit la façon dont vous traitez les femmes avec déférence et respect, il y a des chances pour qu’il grandisse aussi dans ce respect et cet admiration des femmes. Sa nature soumise peut être cultivée par sa mère à travers la discipline et l’amour, pas par cette féminisation forcée.
S’il choisit de lui-même de jouer avec des poupées et des jouets féminins, c’est très bien de le lui permettre et de l’encourager. Mais s’il veut jouer au foot ou avec ses copains, alors vous devriez aussi le lui permettre. Laissez sa nature se développer d’elle-même, à son rythme. Le travail des parents consiste à éduquer les enfants et à leur instiller des valeurs positives avec amour. L’enfant jugera en dernier ressort votre style de vie par l’amour et l’harmonie qu’il constatera dans votre maison.
Vous pourriez vouloir montrer à votre femme ma réponse et j’espère qu’elle reconsidèrera et réexaminera son approche dans l’éducation de son garçon. Comme elle, j’ai envie que les garçons grandissent dans le respect des femmes et dans l’apprentissage de la soumission. Cependant, je crois qu’elle trouvera que mon approche est plus saine. Son fils doit découvrir de lui-même sa nature soumise, en son temps et à sa façon. Elle a besoin d’être là pour l’aimer et le guider, et vous avez besoin d’être là pour lui apprendre par l’exemple
Par LO - Publié dans : La compréhension
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