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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 09:45

De : christophe.g  Envoyé : ven. 02/05/08 

 

Bonjour, Je vous Félicite pour la grande qualité humaine de votre site dans un domaine pourtant où l'on peut noter tant de dérives ! Je me présente très brièvement, je suis théologien catholique (plus précisément, apprenti car je n'ai pas fini mes études), engagé dans le mouvement de la théologie féministe.

Je m'intéresse actuellement au mysticisme, et notamment à celui de ces saints amants de la Sagesse éternelle, "composante" féminine de Dieu. Vous le savez peut être en effet, les récents développements de la théologie chrétienne permettent de parler à la fois de la composante masculine et féminine de Dieu.

Pour la dimension féminine, la Bible regorge de textes magnifiques concernant Sophia, la sagesse éternelle, qui s'est incarnée en Jésus(depuis l'antiquité des théologiens ont développé ce thème, pourtant souvent méconnu au XXI siècle !!).

Quand je lis par exemple dans votre site le passage sur le sous espace (A.alinéa 9 suite), je reconnais ce qu'éprouvent les grands mystiques amants (leur relation est résolument érotique) de Dieu au féminin, comme Henri Suso. Au cas où ce thème vous intéresserait, je suis prêt à échanger avec vous sur ce sujet, en vous donnant, par exemple, des références bibliographiques.

Il me semble en effet que l'éros sans spiritualité est vide, tout comme la spiritualité sans éros est vaine. Votre univers et celui de la théologie ont tant d' intérêt à se rencontrer, pour un enrichissement mutuel. Bien sûr, compte tenu que ce thème est hélas encore "sulfureux", je vous serais reconnaissant de rester discrete sur mon identité.

Bien cordialement ,Christophe G.

 



 

Réponse Ms.Dana :

 

Christophe. Merci pour votre lettre intéressante et pour vos gentils mots sur mon site.

 

Vous êtes le premier théologien qui nous fait l'honneur je crois de nous visiter. Bienvenue alors, car il est un point commun que nous avons certainement ; l'amour de l'humain. 

Vous m'ouvrez des horizons en parlant de "théologie féministe" : Je suis catholique, Elise Sutton aussi, et j'avoue être particulièrement surprise par l'association catholicisme/théologie féministe. Pour moi justement la religion catholique a de tout temps négligée la moitié de l'humanité, et cela se poursuit car aucune femme à ma connaissance ne peut être prêtre. 

Vous parlez aussi de composante féminine et masculine de Dieu. Cela m'étonne encore plus cars soyons réaliste : J'ai tendance à penser que certain pourrait fort s'offusquer si je disais : "Et si Dieu était une femme ?"

Même si cette pensée me plait, j'en ferai tousser plus d'un même au sein de notre gentille communauté D&s qui est pourtant tolérante et ouverte.

Rien que cette phrase risquerait d'avoir un petit coté blasphématoire, car elle heurte de plein fouet tout ce conservatisme et cette pesanteur qu'ont les églises de nos grandes religions, et dont nous portons les valeurs en nous de part l'éducation religieuse de notre enfance.

 

Sur le fond. Pour moi même si je ne suis pas pratiquante je fais le distinguo entre la domination et la spiritualité. Je comprends fort bien que les soumis entre dans un état d'adoration de nous, "le sous espace" qui les pousse dans un monde de sérénité et de paix. Que cet état est proche j'imagine de celui des mystiques. Certain parlerons de décharge d'endorphine, d'autres de mysticisme.

En tant que dominante je ne connais pas cet état moi même, mais je le constate et vois des transformations physiques dans les yeux et le comportement de mon soumis, et que cet état s'associe à de l'adoration et à la soumission nul doute. Le rapprochement avec la spiritualité ne se fait pour moi que abstraitement. Car si je suis sa Déesse en ces moments là, je ne suis pas une Déesse, mais une femme dominante qui s'assume comme telle.  

Reste que oui, je suis intéressée par tout ce qui pourrait nous en apprendre sur les rapports entre la femme et la religion. Sachez cependant que c'est par désir d'enrichissement intellectuel, car loin, très loin de moi l'idée d'intégrer une notion de religion dans notre vie D&s. Cela pourrait ressembler fort à une sorte de secte. Et je me méfie au plus haut point de ces gens là.



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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:46
Q. Chère Mtrs Sutton, en tant que père de 4 belles filles je suis encouragé par fait qu’apparemment la société évolue vers un leadership féminin. Je crois que cela offre de grandes opportunités pour les femmes d’explorer et d’atteindre un potentiel professionnel, et une satisfaction personnelle dans leur relation avec les hommes. Je désire vraiment cela pour mes filles.
Je dois aussi dire que je deviens un mari plus attentif avec ma femme comme je veux tant que nous vivions les 30, 40 ou 50 prochaines années ensemble, quoiqu’il arrive, les meilleures années pour elle et moi. Après tant de recherche sur moi-même ces dernières années, j’ai décidé que mon seul but dans ma vie serait de rendre sa vie aussi joyeuse que possible, et de la laisser prendre la direction de notre mariage. Quelques simples pas dans ce sens lui ont apporté de grandes satisfactions, et de plaisir pour moi. J’aurai simplement souhaité avoir commencé cela plus jeune. J’ai bien compris que vous voyez cette évolution vers la domination féminine se nourrit de l’accroissement de la soumission du mâle, et vice versa, dans une danse perpétuelle, si je peux paraphraser. Si vous pouvez un moment extrapoler la fin éventuelle de ce cycle, j’aimerai entendre votre vision d’un monde futur.
Au risque de paraître paranoïaque, je dois aussi vous demander si vous ne pensez pas que cette danse de la domination féminine et de la soumission masculine ne comporte pas un risque potentiel d’extrémisme. L’histoire et les évènements actuels dans certaines parties du monde ont montré qu’une société patriarcale absolue engendre une oppression des femmes. Comment l’inverse peut’ il être évité si le genre féminin continue à accroitre sa domination et son pouvoir sur les mâles ? J’ai lu certaines des pratiques soutenues par les femmes dominantes … le contrôle total des finances me vient à l’esprit. Nous avons assez de témoignage historique qui montrent que ceux qui sont dépendant financièrement dans le mariage souffrent s’ils doivent mettre fin à leur union, ou pire, restent et endurent car ils n’ont pas les moyens financiers de partir. 
 
R. Déjà laissez moi vous féliciter pour avoir fait décider que rendre votre femme heureuse est le but principal de votre vie. Alors que tant d’hommes luttent pour accumuler de l’argent, accroitre leur score au golf, vous poursuivez un but qui enrichira non seulement la vie de votre femme mais aussi votre vie. L’argent et les enrichissements personnels sont des buts temporaires au mieux, et ne peuvent jamais satisfaire l’esprit. Mais un homme qui se dédie à servir la femme, et spécialement la sienne, trouvera une satisfaction personnelle que ne connaissent pas les autres hommes. Il y a une loi spirituelle en jeu, qui dit qu’un homme ne pourra pas donner en se sacrifiant, sans en même temps recevoir.
Vous avez posé quelques questions très provocatrices. Ces questions sur le futur ont déjà été abordées ici, mais en résumé et pour être claire, je tiens à vous rappeler que je ne suis pas visionnaire, mais que j’étudie plutôt l’évolution et en suis venue à la conclusion que la société évolue vers la domination féminine. Nous prenons de plus en plus la direction de places dans la société, mais bien sur personne ne sais avec certitude l’avenir. Votre question sur l’extrémiste est plus intéressante et j’aimerai y répondre. Pour chaque action, il y a une réaction et parfois cette réaction devient extrême.
La guerre, l’espionnage, la violence, la vengeance, et l’oppression sont les enfants des sociétés patriarcales. Celui qui vie par l’épée périra probablement par elle. La haine engendre la haine et la violence engendrent la violence, la guerre engendre la guerre. Il y a toujours eut des guerres dans le monde, car c’est ainsi que les mâles résolvent les conflits. Il n’y aura jamais la paix tant que les mâles dirigeront les pays. Même quand les hommes essayent de faire la paix, cela ne fonctionne pas. Les Nations Unies ? Cet organisme a été conçu pour promouvoir la paix et empêcher la guerre. Cela fonctionne t’il ? Je crois que cela ne fonctionnera jamais tant que les hommes en auront la charge.
Regardez les récents scandales ayant touchés les NU. Les Nations Unies sont devenues impuissantes et il y a plus de guerre ce jour que quand elles ont été crées. Si vous voulez qu’elles fonctionnent, laissez les femmes en prendre les commandes. Si tous les diplomates, et gouvernant étaient des femmes, vous auriez une grande chance d’avoir la paix. Bien sur les hommes ne voudrons pas abandonner leur pouvoir, le changement se fera lentement et douloureusement, mais heureusement il se produira.
Revenons au sujet où les femmes abuseraient des hommes de manières similaires à ce que les hommes ont fait dans les sociétés patriarcales, je crois que la clé est de bien comprendre la différence entre les hommes et les femmes.
Entendez vous parler souvent d’homme abusant des femmes, d’enfants ou d’animaux, et comparer avec le nombre de femme abusant d’hommes, d’enfants ou d’animaux ? Vous comprenez tout de suite la différence. Ce sont les hommes qui maltraitent dans 90% des cas des femmes, et dans 95% des cas des enfants, et dans 98% des cas des animaux. Les incarcérations en prison pour des crimes violents sont masculines dans 93% des cas. Le propos n’est pas de rentrer dans le détail des chiffres, mais plutôt de dire combien les mâles abusent plus souvent des autres. C'est un sous-produit du côté sombre de la nature masculine. Les mâles sont par nature agressifs. Ajouter cela à leur ego et vous aurez la formule de l’extrémisme.
Une étude intéressante que vous pourriez faire pour vous-même est comment les mâles forment des bandes, un peu comme les loups, et analyser leur structure où la proie est le plus faible. Les gangs sont un parfait exemple de cela. Les jeunes hommes rentrent dans des bandes et commettent des violences et des crimes. Le crime organisé en est un autre exemple, une famille de crime se forme pour utiliser la peur des plus faible et les extorquer. Et bien-sur il y a les dictatures où les hommes utilisent la peur et l’intimidation pour maintenir une nation dans la soumission. Tout cela dans des structures patriarcales. Naturellement, la plupart des hommes sont respectueux de la loi et accommodants. Mais le coté sombre de la nature masculine les poussent à abuser des plus faibles. C’est la théorie Darwinienne de la survie de plus fort sur le plus faible, et dans bien des cultures les femmes sont considérées comme étant les plus faibles, alors elles sont vues comme des proies et sont abusées, tout comme les enfants ou les animaux. Sans loi, sans l’influence des femmes, la nature masculine peut être animale, et c’est la loi du plus fort. L’homme est un loup pour l’homme. Nous voyons cela partout dans le monde avec la violence, les guerres, le terrorisme.
Il est temps que les femmes prennent le pouvoir et je crois que la société évolue dans cette direction, poussée par la nature, comme une nécessité de survie. La nature a mis dans le mâle une graine de soumission afin d’équilibrer l’ego du mâle et l’éloigner de sa nature bestiale. Les femmes sont aussi capables de maltraiter les autres, et d’en abuser, mais ce n’est pas leur naturel qui est plutôt celui de l’éducation et de la protection. Le mâle est le chasseur et donc plus apte à devenir violent. La conceptrice penche au contraire vers le soin, ce qui est très visible concernant les enfants et les animaux. C’est la tendance du cœur féminin et de son esprit humain qui la protège de cet extrémisme. Les femmes qui deviennent extrémistes le deviennent en général par dévotion aveugle à un homme. Que ce soit un culte d’adoration ou une femme suicidaire, la plupart du temps cela provient toujours d’un lavage de cerveau qui a été motivé par sa dévotion à un chef masculin. Nous le voyons aussi pour les femmes qui se joignent à des bandes. Elles sont toujours les petites amies des membres masculins du gang. La meilleure façon pour les femmes de ne pas se faire abuser est de se libérer des hommes. Et quand je dis libérer, je ne dis pas vivre séparément, mais plutôt être autonome.
Quand les femmes ne sont pas autorisées à travailler ou avoir une carrière, et qu’elles sont dépendantes du mâle gagnant sa vie, elles deviennent des victimes d’abus car elles sont impuissantes. Sous le système patriarcal, une femme est à la merci d’un homme. Si elle choisit bien au moment du mariage elle n’aura pas de soucis. Mais si elle fait un mauvais choix, elle devient impuissante sauf si elle a les moyens de s’assumer. La Femme de maison est à la merci de son mari ou de services sociaux si elle est abusée.
Quand une femme contrôle l’argent, un homme est à la merci de son éducatrice. Ce n’est pas une mauvaise place. Et la plupart de femmes ne veulent pas que leurs hommes restent à la maison. Certaines le font, mais la plupart non. La plupart des femmes désirent que leur homme ait une carrière et ne veulent pas que cela change. Alors abandonner votre salaire à l’autorité de votre femme est très extrême ? Vous ne devenez pas un mari sans défense. La domination féminine est quand un homme se rend de lui-même à la femme, de sa propre volonté. C’est un acte d’amour et de dévotion et c’est de lui-même qu’il comprend avoir besoin d’être sous l’autorité aimante de la femme. C’est un homme obéissant à son propre désir de soumission, au prix de ses propres ambitions. Rien n’est forcé. Le pouvoir féminin est sexuel et spirituel, pas physique. L’extrémisme ne peut se développer dans ce contexte.
Cela ne veut pas dire qu’il y aura des abus occasionnels mineur de l’autorité et du pouvoir féminin. Les femmes sont aussi humaines et peuvent faire des erreurs. Mais globalement les femmes approchent les conflits et le pouvoir différemment. C’est la différence entre le masculin et le féminin. Les femmes ne peuvent diriger par la force, cela n’arrivera jamais car la nature du mâle ne se soumettra jamais à la force. Ce peut être un fantasme féminin (exp : les amazones), mais le mâle combattra une attaque physique. C’est l’essence des conflits de notre monde actuel. La nature masculine veut « répliquer » à l’agression. La nature féminine n’est pas de renverser le monde patriarcal par la force physique. Elle le fait à travers la force spirituelle et le pouvoir sexuel. La nature masculine est de se soumettre en lui-même à la nature féminine. Nous voyons de plus en plus de mâles qui désirent se soumettre, de leur propre volonté. Ils en meurent d’envie car ils en ont besoin. C’est un processus naturel, et cela fait qu’il est moins probable d’aller vers un extrémisme.
J’espère que cette longue réponse vous donne une perspective différente du pouvoir et de l’abus de pouvoir. Une erreur que font les hommes est qu’ils pensent que quand les femmes deviennent dominantes, elles désirent être comme les hommes. Ce n’est pas le cas. La domination et l’autorité des femmes sont différentes de la façon dont les hommes les perçoivent. Les hommes pensent qu’afin qu’il y ait un gagnant, il doit aussi y avoir un perdant. Les femmes sont de meilleures dirigeantes car elles cherchent des solutions de gagnant/gagnant. Je crois que cette caractéristique féminine peut faire évoluer la société vers un bien commun.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:46

 


 

De Yann : votre site est très intéressant. Je pensais jusqu'à présent que la domination féminine n'était qu'un fantasme que je pouvais réaliser par l'intermédiaire de professionnelles. Mon désir est de vivre ce fantasme au quotidien; est-ce possible, que dois-faire, ou dois-je m'adresser ? Pouvez-vous me guider ? Merci.

R. Ms.Dana : 
Merci Yann. Et non, ce n'est pas qu'un fantasme ! C'est un mode de vie qui devient de plus en plus courant à voir les publications que l'on trouve même dans la presse. Le petit livre "Osez le SM" ou les articles dans les magazines féminins expliquant que ce n'est pas "mal" que de vivre une sexualité libérée, démontrent qu'en France aussi, nous assistons à une évolution essentielle au sein de la vie de couple.
Le livre "Les hommes préfèrent les chieuses" où les femmes peuvent trouver de judicieux conseils nous prouve que le temps est révolu que celui où la femme devant dieu jurait fidélité et soumission à son époux. Et fort heureusement! Même les jeunes femmes peuvent lire ce livre finalement qui les aide à prendre conscience du "pouvoir féminin" qu'elles détiennent sur les hommes.
Ce sont là ouvrages de plus en plus courants qui ne sont, de plus, j'en suis persuadée, que le sommet de l'iceberg. Ils sont les prémices à la compréhension ouverte que la femme possède ce pouvoir et peut en avoir bien d'autres dans sa vie de couple. Car il est vrai que nous n'en sommes pas encore à pouvoir vivre ouvertement ce mode de vie. Les homosexuels sont en avance sur nous. Eux ont combattu à grand frais, victimes de rejets et parfois d'opprobre, mais ont finalement acquis un certain droit à vivre plus ouvertement leur homosexualité. Pensez à la Gay Pride.
C'est un doux paradoxe, car je ne doute pas qu'il y ait bien plus de couples dominantes/soumis que d'homosexuels, mais cette relation reste secrète et intime car elle est encore tabou dans notre société. L'image d'un homme soumis à sa femme n'a pas bonne presse, et pourtant un homme soumis apporte bien plus de bonheur qu'un macho. Alors laissons faire le temps et soyons les acteurs du futur dans notre monde personnel.
Nous pouvons leur léguer une vision de cette relation à nos enfants à travers notre mode de vie, de manière subtile et intelligente, dans l'objectif de les rendre heureux et de construire des couples pérennes. Il y a tellement de divorces et de célibataires, et en même temps tellement d'hommes qui désirent servir la femme comme un Reine, et tellement de femmes qui désirent l'être. Alors laissons le temps au temps, et apprenons déjà à vivre bien ce mode de vie, et à nous y épanouir.
Pour vous répondre Yann, il n'y a pas de méthode miracle, toute faite, clef en main, pour vivre immédiatement vos désirs de soumission. Il existe plusieurs façons pour vous de trouver une femme qui voudra bien devenir votre maitresse.
La plus rapide en dehors des professionnelles, est de chatter sur des sites dédiés à cela. Mais il y a bien plus de soumis que de dominatrices, et elles sont fort sollicitées. De plus beaucoup de soumis ne sont que des fantasmeurs sur ces sites, et n'osent pas vivre leurs désirs, et ne le faisant que de manière sporadique s'ils ont la chance qu'une domina veuille bien leur faire une séance.
Il faut savoir que les femmes sur ces sites cherchent des soumis, des vrais soumis désirant s'impliquer totalement dans une vie de servitude et d'amour, dans une réelle relation dominante/dominé quotidienne et de couple. Mais elles sont la plupart du temps dégoutées de n'avoir à faire qu'à des soumis de pacotille. Je connais en ce moment deux dominatrices proches de moi, qui n'arrivent pas à trouver un soumis voulant vivre ce mode de vie. C'est un comble quand on voit combien de messieurs écrivent en criant leur volonté de se soumettre à la femme. Evidement leurs fantasmes leur font imaginer qu'une top modèle, prix Nobel et millionnaire n'attend qu'eux ...
L'exigence de ces soumis n'a pas de limite, c'est étonnant. Là ne sont pas les hommes soumis, mais ceux qui luttent avec eux même contre la peur de l'engagement.
La meilleure façon de devenir soumis, à mon avis, consiste à rencontrer simplement une femme, comme le font tous les couples standards, et si elle vous plaît et que vous lui plaisez, de l'amener doucement à prendre le pouvoir par votre humilité et votre soumission. Ainsi elle pourra devenir votre dominatrice et votre compagne. C'est dans le couple que pousse la fleur du jardin de la domination féminine, et vous en êtes le jardinier. C'est plus long certes, mais plus sûr et combien plus sage et épanouissant, car la découverte se fait ensemble dans l'amour et la compréhension.
Alors vous pourrez vivre une vie heureuse de soumission comme tant d'hommes ont réussi à la vivre quand ils ont osé s'engager vraiment, ont appris à penser à leur femme avant de ne penser qu'à eux, et ont ainsi connu le bonheur de vivre une réelle soumission, qu'elle devienne soft ou dure, en fonction de la relation de couple. Sur ce terrain chaque couple dominante/soumis a son histoire, mais elles restent toutes respectables et désirables.
Tenez nous au courant Yann, et je vous souhaite bonne chance dans la recherche de votre future Déesse.

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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:45
De Emily
Il est trop fun votre site j'adore car moi aussi je crois que c'est cool de dominer les 
mecs.
Cependant je note que vous ne parlez que des femmes mariées or moi j'ai 20 ans
mais ça ne m'empêche pas d'avoir des amants. j'ai remarqué que certains aiment
être dominés pendant l'amour et là je peux dire que je ne m'en prive pas.
Alors j'exige qu'ils m'appellent mademoiselle Emily.
Mais je ne sais pas comment me procurer des accessoires. j'adorerais les fouetter
mais où peut-on trouver un fouet ou une cravache?
 
Réponse Ms.Dana

Bravo Emily. Plus on commence tôt plus on a d’expérience. C’est encore assez rare les très jeunes dominatrice, mais il y en a de plus en plus. Et je vois de plus que cela te plait et t’amuses. C’est ainsi qu’il faut commencer. Tu as raison d’exiger, tu verras les hommes ne t’en aimeront que plus encore.

Pour les accessoires c’est simple. Tu trouveras des cravaches dans des magasins de sport. Pour les fouets et les menottes par contre, tu as le choix entre des boutiques dans le marais à Paris, ou Démonia dans le 11ieme, ou commander sur l’internet. Le plus simple est de laisser le soin à tes « amants » de t’offrir ce qui te plait.

Alors n’hésites pas à montrer ce site à tes soumis, pour qu’ils le lisent attentivement et comprennent ce que c’est la soumission. Tant d’hommes croient avoir compris, et pourtant ….

Et oui la société évolue et les jeunes femmes le prouvent.

Par LO - Publié dans : Débuter
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:40

Q. Bonjour Elise. Merci pour votre site et spécialement pour les réponses qu’il apporte. Je suis nouvelle : Il y a environ 3 mois j’ai commencé à rencontrer un homme soumis qui avait plus de 8 ans d’expérience dans le Bdsm. Bien que je ne sois pas très confiante et à l’aise dans le rôle dominant, je voudrai bien commencer doucement cela et découvrir mon niveau dans les différentes activités.

Ma question : Je travaille pour l’église catholique et je suis avocate pour défendre les droits de l’homme. Je crois que tous les gens sont égaux et méritent d’être aimés ; Nous sommes tous des créations de dieu et devons être traités ainsi. Comment puis-je réconcilier mes croyances qui me disent de « traiter mon prochain comme j’aimerai être traitée moi-même », avec les actions du bdsm, comme les humiliations, la douleur infligée, la soumission forcée, etc. Est ce qu’infliger de la douleur des humiliations, etc … est une façon morale d’agir ? J’ai eu une longue conversation la nuit dernière avec l’homme que je rencontre. Il m’a demandé en si ma moralité n’est pas un problème. Il est inquiet du fait d’un possible conflit entre mes valeurs et ces activités, et que je pourrais vouloir mettre fin à notre relation à cause de cela. Je me le demande aussi, si je vais arriver à concilier mes valeurs avec ce style de vie qu’il désire expérimenter avec moi.

Je vais essayer d’être plus explicite en décomposant les différentes parties de ma question :

  1. La question de l’égalité : Je crois que nous sommes tous égaux devant Dieu. Je sais que nous avons des capacités différentes, et que dans un couple c’est normal d’avoir des ‘rôles’ différents pour autant que l’on soit mutuellement d’accord et complémentaires. La D&s semble nous forcer à avoir des rôles stricts et définis.
  2. La douleur : C’est un vrai problème pour moi. Je ne voudrai pas que l’on me fasse mal, ni faire mal à quiconque, surtout à la personne que j’aime. C’est en plus contre mes principes de blesser intentionnellement. Je ne sais comment gérer ce dilemme.
  3. Les humiliations : Je crois que nous sommes fait pour mettre les autres en valeur, pas pour les faire pleurer et les casser. Je sais que vous faites un distinguo entre humilier son égo et sa propre estime. Mais je ne suis pas convaincue qu’il faille en rien humilier quelqu’un.
 Merci de vos réponses.
 

A. Merci de poser honnêtement cette question importante. J’aborde la compatibilité des croyances religieuse et de la domination féminine car cela est un vrai problème pour pas mal. Il y a des aspects de la domination féminine qui vous attirent en tant que femme, et il y a une partie de vous qui voudrait explorer ce style de vie, alors comment réconcilier tout cela avec vos valeurs ?

Naturellement je ne peux répondre pour tout le monde, je donne simplement mon avis. Vous devez en fin de compte réconcilier votre style de vie avec votre système de croyance basé sur votre propre conscience. Je suis cependant heureuse de répondre à votre question selon mon système de pensées à moi et mes croyances en tant que Catholique. Cela pourra vous aider mais vous devrez faire vous-même votre propre cheminement. Une partie du chemin spirituel est d’apprendre les uns des autres.

Je pense qu’une des erreures la plus courante qui existe sur ce style de vie qu’est la D&s, et la domination féminine, est qu’elle implique de maltraiter une autre personne. Cette assertion est faite par les gens qui ne voient que la surface des choses, de l’extérieur, mais ne prennent pas le temps d’examiner la profondeur et le contenu d’une relation D&s.

Votre compagnon a vécu ce style de vie depuis 8 ans, alors je suis certaine qu’il a vu toute une diversité de relation et de style de vivre ce mode de vie. Il a vu que dans la majorité des ces relations ces gens font vraiment attentions les uns aux autres. Il a intégré cela, mais cela reste un style de vie étranger encore pour vous. Alors vous ne pouvez simplement vous faire votre idée qu’avec vos connaissances limitées de celui ci, pour vous faire un jugement. Les hommes se jugent de l’extérieur. Dieu nous juge pour ce que nous sommes vraiment. Alors comment le fait d’infliger de la douleur ou d’humilier une autre personne peuvent être des actions d’amour et d’attention ? Cela vient de la motivation et de la compréhension. Regardons de plus prêt chacune de vos 3 questions.

Parlons déjà de l’égalité : Etre égaux ne veut pas dire que nous sommes identiques. Dieu nous aime tous pareillement, quels que soit le sexe ou la race, la classe sociale, les croyances politiques ou religieuses. Dieu nous aime quand nous sommes bons, quand nous sommes mauvais, quand nous allons à l’église ou pas, il nous aime inconditionnellement. Nous devons chercher aussi à aimer les autres inconditionnellement. Mais l’égalité ne veut pas dire que nous sommes des clones. Nous sommes tous différents avec des talents uniques, des dons et des personnalités.

La domination féminine n’est pas basée sur l’inégalité mais plutôt sur l’autorité de la femme, et en tant que catholique vous devriez comprendre ce qu’est l’autorité. En tant que telle vous êtes soumise à l’autorité de l’église et à sa hiérarchie. Personne n’est meilleur au sein de cette hiérarchie pour Dieu, mais néanmoins l’église reconnait cette hiérarchie comme une autorité. Là où je ne suis pas d’accord c’est que ces places au sein de l’église (prêtre, évêque, archevêque…) sont réservées aux hommes. Alors vous avez été élevée pour croire que les hommes doivent détenir les positions d’autorité car toutes ces soi disantes positions ordonnées par Dieu sont occupées par des hommes. Je ne vais pas débattre de cela ici (une autre fois), mais je vous disais cela pour vous expliquer que l’égalité n’est pas la même chose que l’autorité. Nous rencontrons l’autorité dans tous les aspects de notre vie. Le gouvernement a une autorité dans de nombreux domaines, et il en faut pour maintenir une société civilisée avec ses lois. Je suis certaine que dans votre travail vous voyez chaque jour l’autorité au sein de la structure juridique. Ces gens sont tous égaux aux yeux de la loi, mais dans leur monde structuré ils ne sont pas égaux et il y a de l’autorité. L’irrespect et la désobéissance envers un supérieur vous feront probablement licencier.

Au sein du mariage, la plupart des religions apprennent que le mari a l’autorité sur la femme. Beaucoup de catholiques croient que le mari dirige la femme. Ainsi la même église qui apprend l’égalité nous apprend aussi que les femmes doivent se soumettre à leur époux. C’est amusant de voir comment les croyants semble accepter cela, mais cela crée aussi des soucis si l’inverse existe : Et vous en êtes le parfait exemple, ce qui n’est pas une critique mais plutôt une démonstration de la façon dont les femmes ont reçu un lavage de cerveau par la religion. La doctrine de l’autorité spirituelle et de l’égalité fonctionne tant que c’est l’homme qui dirige, mais si la femme dirige l’église lui fait cadeau de ce dilemme à gérer. La domination et la soumission ne sont pas différentes de ce que l’église nous a apprit depuis des siècles. Nous pouvons tous êtres égaux devant Dieu, mais nous pouvons aussi avoir des relations où une personne a une autorité sur une autre. En cas de domination féminine, c’est la femme qui dirige la relation. Elle n’est pas mieux que l’homme, mais elle a l’autorité et l’homme doit lui obéir et l’honorer. La femme domine l’homme avec amour et l’homme se soumet avec amour. C’est le profil d’une relation de domination féminine réussit.

Les gens qui choisissent de vivre ce style de vie en sont venus à la décision qu’une relation bénéficiera d’harmonie et de paix quand la femme dirige en raison de sa nature féminine.

Ensuite vous parlez de la douleur :

Vous parlez d’infliger de la douleur à une autre personne. Blesser quelqu’un n’est pas la même chose que discipliner quelqu’un. Là encore cela dépend des motivations. Jésus avait douze disciples. Le mot discipline vient du grecque et signifie « un étudiant discipliné. Je suis certaine que vous connaissez la discipline de l’église. Quand j’étais à l’école catholique, les nones utilisaient des punitions corporelles pour discipliner les enfants. Les parents catholiques donnent aussi des fessés à leurs enfants pour les discipliner. Ont’il un problème de moralité ou de valeur  pour autant ? Non, au contraire, leurs valeurs encouragent même cela, de nombreux textes bibliques y font même référence.

La discipline est bonne et spécialement essentielle pour les hommes. Si un mâle a besoin et même désire « le bâton » afin de l’aider dans la vie pour être un homme meilleur, alors comment cela pourrait’ il être cruel de lui administrer ? Dans les mains d’une femme qui l’aime, « le bâton » (ou le fouet, le paddle, la cravache ou la cane) peut amener la paix à l’esprit du mâle indiscipliné. Alors ne voyez pas le « bâton » comme un instrument de douleur mais plutôt comme un instrument de correction. Cela fait’ il mal ? Oui, mais la douleur n’est pas négative si elle apprend à s’améliorer.

Dans de nombreux cas l’esprit du mâle désire ardemment le bâton car il lui amène le pardon de ses fautes. Là encore peu de gens se donnent la peine d’examiner pourquoi l’homme veut être discipliné par la femme. La simple vue extérieure d’une femme qui fouette un homme laisse à penser qu’il y a abus. Quand c’est fait avec amour, cela peut être très sain, et même très intime, et une expérience qui rapproche à chaque fois la femme adulte et son homme. 

Enfin vous évoquez l’humiliation : Je crois que vous avez deja des éléments de réponse ayant lu mon site. L’humiliation vise l’ego et la fierté du mâle. Vous dites que nous devons aider à construire les autres et non pas les rabaisser. C’est exactement ce que fait l’humiliation. Mais vous ne pouvez construire sur de mauvaises fondations. Si vous voulez construire une nouvelle maison, vous devez d’abord raser les vielles fondations avant de reconstruire. L’humiliation n’est pas donnée à tout le monde et je la considère comme une activité avancée de la D&s. Votre soumis doit désirer cela et doit surtout y répondre pour que cela soit efficace. Le revers de la médaille est que cela peut blesser l’esprit si cela n’est pas fait intelligemment. C’est pour cela que je recommande au sein de la relation D&s, mais pas dans les relations quotidiennes entre un homme et une femme. Fait correctement c’est un outil très puissant pour détruire les mauvais penchants et pour construire une relation plus puissante. Evidement là aussi tout vient de la motivation à l’origine de l’humiliation.

Avec la bonne motivation et la bonne attitude le style de vie de domination féminine est parfaitement compatible avec une vie chrétienne. Les anciens de l’église ne seront peut être pas d’accord avec moi, mais il y a des théologiens qui sont eux d’accords avec ma vision des choses. Ce qui manque le plus dans l’église protestante et catholique, est une meilleure compréhension de la nature féminine de Dieu. J’en parle dans mon livre en évoquant « le pouvoir latent d’Eve » et je crois que c’est une doctrine importante à comprendre pour saisir le coté féminin de Dieu.

Peut être qu’en explorant la domination féminine avec votre partenaire, vous pourriez gagner une plus grande compréhension de vous en tant que femme et de la nature féminine de Dieu.
Par LO - Publié dans : La compréhension
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