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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:59

De Albert

Chère Mtres Sutton, mon nom est Albert et j’ai 45 ans, ma femme Diane est une Maitresse merveilleuse de 44 ans. Nous sommes mariés depuis 22 ans et nous vivons une relation D&S heureuse 24/24h 7j/7 depuis 2 ans.

Elle me permet de partager notre expérience avec vous. Le style de vie D&S a sauvé notre marige et nous a rendu heureux. Nous pensons que notre expérience peut aider certaines femmes à entamer la D&S et certains hommes à assumer fierement leur soumission à leur femme. Nous sommes anglais et j’essayerai d’être le plus clair possible.

Quand j’ai rencontré ma future femme, je suis tout de suite tombé amoureux, pas seulement du au fait qu’elle soir belle, sensuelle intelligente et amusante, mais par dessus tout en raison de sa force mentale. Je sentais inconsciement que j’avais besoin d’une femme forte. Nous nous sommes mariés quelques mois plus tard. Elle prit immédiatement les rennes. Je pourrais dire que nous étions déjà légèrement dans un mode de vie D&S mais soft. Nous avions du sexe traditionnel, et aucune forme explicite de D&S. Mais ma femme était dominante et j’étais déjà sous sa coupe. Nous partagions les taches de la maison, mais inéquitablement : 75% pour moi, 25% pour elle. Elle me demandais régulièrement mon opinion sur les sujets quotidiens (vacances, amis…) mais elle prenait finalement la plupart des décisions et pas toujours celles que j’aurai souhaité.

Sexuelement, elle était presque toujours au dessus. Nous étions tous les deux éduqués mais elle était bien plus mure, comme le sont les femmes la plupart du temps. Je n’étais pas un mauvais garçon, mais parfois je ne réalisais pas ses attentes. Quand elle désaprouvait mon attitude, sa voix impressionante suffisait à me remettre dans le droit chemin. Parfois elle y rajouter quelques giffles bien singlantes pour me signifier que j’avais à changer rapidement ma façon de penser. Nous étions totalement heureux. Cela dura 10 ans. Elle était une femme parfaite et je la remercie pour ses attentions, c’était presque une femme parfaite.

Les 10 années suivantes furent un cauchemar. Nous avons eut un bébé. Les soins du bébé, le travail, les nuits courtes changèrent notre vie. Ma femme du adapter ses priorités. Elle avait moins de temps à passer avec moi et était régulièrement fatiguée. Puis elle fit une grosse faute. Elle arrêta de diriger ma vie. J’étais plus libre que jamais. Je me sentais si mal à l’aise. Je devins nerveux et agresssif. Ayant besoin d’être controlé d’une façon ou d’une autre, j’ai été voir une domina professionnelle. Puis de nombreuses autres. Quand j’ai eu internet, j’ai passé des centaines d’heures à voir des sites pornos et fétichistes. Là j’ai découvert un autre jeu de pouvoir : la lutte érotique. J’ai eu plusieurs amantes et j’ai aussi découvert en rencontrant des hommes que j’étais bi. Finalement j’ai rencontré des escort boy. A la maison, même si j’étais présent, j’étais absent. Je devins faignant et n’arraitais d’aider ma femme. Elle a du tout faire : travailler dur, prendre soin de notre enfant, l’élever, et faire les taches ménagère. Je dépensais notre argent entre les domina et les rencontres, ne faisant rien, étant un mauvais mari.

Assez etrangement ma femme ne reagit pas. Elle avait perdu toute son aggresivité et sa confiance. Elle me dit plus tard qu’elle etait malheureuse, mais qu’elle n’avait pas le temps et l’énergie pour reprendre le dessus.

Je sentais que j’étais un mauvais mari, et en avais honte. Je me dégoutais, et me sentais seul. J’étais encore amoureux, mais incapable de changer et de m’améliorer tout seul. J’étais drogué du sexe. Je savais que j’avais besoin d’une femme dominante afin de me changer. Je savais que sa vraie nature était ainsi. Elle avait juste oubliée comment diriger.

Le temps du changement était venu.

J’ai décidé non pas de parler, mais d’écrire et je fis un email. Je lui confessais tout, ma honte, mes activités coquines, mon désir de m’améliorer, ma faiblesse et mon incapacité à changer seul. Je la suppliais de commencer une vie totalement basée sur la D&S. Ce fut un choc, mais elle reagit positivement. Elle me dit qu’elle se sentait trahie. Elle me dit que j’avais perdu son estime et sa confiance en quelques minutes. Mais elle me dit qu’elle m’aimait encore et ne divorcerai pas.

Elle me donnait vraiment une seconde chance. Nous avons beaucoup parlés pendant les quelques semaines suivantes, ouvertement, essayant de comprendre nos esprits, nos besoins. Elle decida d’embrasser ce style de vie mais me demanda un peu de temps pour commencer les choses de la bonne façon. Déjà elle me demanda de lister toutes les pratiques qui composent la vie de D&S et de Sm, qu’elles soient sexuelles ou non, et me dit de lui dire ce que j’accepterai ou non.

J’avais trouvé un contrat de D&S et une liste sur l’internet et j’écrivis un très long document détaillant tout ce qu’une femme dominante peut faire dans tous les domaines. Ensuite elle me demanda d’acheter un livre sur la D&S. Elle avait besoin de comprendre mieux et d’avoir un point de vu différent du mien. Comme elle etait scpetique sur ma capacité de supporter une perte de liberté totale et permanente sans contrepartis, elle me demanda quel type de fantasme ou de fetichisme j’avais besoin pour être comblé en echange de ma soumission totale.

Elle voulait comprendre mes attentes. J’ai listé 7 besoins et fantasmes qui etaient important pour moi. Elle fut d’accord pour deux, en modifia deux autres, et en refusa les autres. Elle fut d’accord pour accomplir mon amour pour la mode, de prendre soin d’elle, d’être apprêté la plupart du temps, sexy et salope dès qu’elle le pouvait, de porter de la lingerie fine, des bas et des jaretières.

Puis elle me demanda d’écrire toutes les fois où j’en ressentais le besoin, mon sentiment sur notre nouvelle vie, par email exclusivement, d’être sincère et de parler ouvertement.

Elle me dit qu’elle devait apprendre, qu’elle ferait probablement des erreurs. Elle voulait avoir mes sentiments mais toujours ecrit de manière poli et courtoise.

Finalement elle ecrivit un premier contrat de D&S qui etait assez court et peu détaillé et nous entamâmes notre vie de D&S.

La première étape dura un an et fut assez etrange. Je pensais que ma femme aurait immédiatement achetée un fouet pour me discipliner, mais elle ne le fit pas. A la place elle fit trois choses importantes :

1/ Elle retrouva sa confiance en faisant ce qui lui plaisait de faire.

2/ Elle m’obligea à arrêter mes mauvaises habitudes. Elle installa un logiciele qui pistait tout ce que je faisais sur le micro. Elle m’enleva tous mes vidéo pornos et les enferma dans un placard. Je reçu l’ordre de rester à la maison tout le temps, sauf pour aller travailler, et je du justifier toutes mes dépenses.

3/ Elle me fit apprendre que la D&S n’est pas nécessairement porno, et ne dépend pas du nombre d’objet en cuir que la domina porte, mais signifait aussi de la frustration, du service, des restrictions et des controles.

Sa confiance et son aggressivité réapparurent vite. En ce qui me concerne, je realisais que la D&S était LE style de vie dont j’avais besoin et que j’étais prêt pour aller plus loin.

 

Un an plus tard elle me dit que les choses allaient évoluer. Elle m’expliqua que cette première année avait été une sorte de gallop d’essai. Elle avait observée mon comportement. En même temps elle comprenait mieux psychologie, ce qui etait ce dont elle avait besoin et ce qu’elle pensait de moi. Elle etait certaine que j’etais amoureux plus que jamais.

Elle avait réalisée que mon désir de me soumettre était un présent. J’avais regagné une partie de son estime, mais pas sa confiance. Elle m’aimait profondement mais sa perception de moi n’était plus la même qu’avant. Elle ne me voyait plus comme l’homme parfait comme dans les premieres années de notre mariage. Et à coté de pas mal de qualités elle souligna quelques aspect pénibles de ma personnalité. J’étais incapable de vivre un mariage basé sur l’égalité. Elle disait, « si je suis faible, tu es aggressif, si je suis forte tu rampes. Je préfères te voir ramper.».

En ce qui la concernait elle me dit avoir changée. Elle voulait plus de pouvoir et de contrôle car elle aimait beaucoup cela. Elle se sentait encore trahit et ne pouvait pas enlever ce sentiment.

Elle voulait que je paye le prix fort. Ella avait à présent des fantasmes.

Elle se sentait libérée, et devenait coquine. Elle voulait essayer ses fantasmes, mais pas tous les miens.

Elle fit un second contrat beaucoup plus dur. En ce qui me concerne, elle y lista tous les limites, les devoir et les frustrations, comment je devais me comporter en public et en privé. Quels etaient mes derniers privilèges et comment je devais les utiliser. Pour elle, elle lista tous ses droits, l’accroissement de ses libertés, et son engagement à faire de moi un soumis heureux. A coté de ma signature, elle me demanda aussi une confession detaillant toutes mes affaires. Ce n’est pas un contrat temporaire. Il était définitif.

Ma femme utilise les punitions et les recompenses pour me rendre toujours plus soumis et prend tout ce qu’elle peut de la D&S.

Les punitions peuvent être physiques ou psychologiques. Elles peuvent être très déplaisantes en fonction des erreurs, mais elle ne punis jamais sans raison. Comme je me soumet volontairement, elle n’a pas à utiliser ces armes régulièrement. A l’opposé, les récompenses sont des vraies récompenses, des choses que j’aime vraiment faire. Bien sur je dois travailler dur pour en mériter.

Nous sommes tous deux heureux. Pas besoin de dire que ma femme adore chaque aspect de sa vie de maîtresse. Elle aime se relaxer pendant que je m’occupe de la maison. Elle aime prendre un bain de soleil tout en me regardant faire le jardin à moitié nu. Elle aime aller faire du shopping avec quelques une de ses amie et revenir alors qu’un repas que j’ai fait l’attend. Je suis exposé comme une servante parfaite. Elle aime dépenser pas seulement son argent, mais aussi le mien.

Elle aime rencontrer qui elle veut quand elle veut, elle aime avoir plusieurs orgasmes dès que nous avons des relations sexuelles, elle aime être romantique, amusante, dure, salope, en fonction de son humeur, elle aime humilier, infliger de la douleur, elle adore le pouvoir et le contrôle.

Cette vie a plein d’avantages ; je suis à présent un bon mari, un bon ami, un bon amant. Je suis honête avec elle. Je la sert. Je lui prouvre mon amour en comblant tous ses besoins. Les actions sont mieux que les mots même si les mots sont encore importants.

Je n’ai pas à prendre une seule décision. J’ai juste à obéir et suivre ma Maîtresse. Je ne suis plus stressé.

Pendant les 10 premières années j’étais heureux, mais j’essayais parfois de resister. Je ressentais le besoin de la tester. Et je perdais presque tout le temps. J’étais irrité et honteux. En même temps j’étais terriblement heureux d’avoir une femme si forte.

A présent je n’essaye pas de jouer aucun role. Je suis ce que je suis et ma femme accepte ma nature comme elle est juste l’opposé. J’ai toujours ete un bon amant mais toujours anxieux de mes performances avant, soulagé juste après, et de nouveau anxieux très tot me demandant si je pourrai de nouveau être bon la fois suivante. A présent ma femme fait ce qu’elle veut. Elle se fou pas mal que j’ai ou non des érections. Le « face sitting » est toujours pour elle un moyen fiable pour avoir un plaisir intense. Je suis si relax que j’ai des erections bien plus forte qu’avant. J’ai du plaisir seulement quand j’y suis autorisé, mais je suis toujours prêt. Et quand je suis autorisé à jouir j’ai des orgasmes géniaux. Je suis totalement épuisé.

Je suis à présent celui que j’ai toujours été voulu être inconsciement : Celui qui sert, celui qui obéit, celui qui suit, celui qui dépend de la femme pour son plaisir, celui qui est pénétré, celui qui est en dessous la femme pendant la pénétration, celui qui est exhibé comme un objet sexuel, et quand ma femme est d’humeur, celui qui porte des vetements féminins et de hauts talons pour son plaisir.

Nous avons échangés les roles au regard des couples tradtitionnels.

Par le passé j’avais très souvent rêvé d’avoir une femme forte, libérée, coquine. J’ai plus que je n’avais jamais pensé possible. Ma femme m’aime. Cela signifie qu’elle veut passer le reste de sa vie avec moi en me laissant à ma place. Et passer la plupart du temps avec moi. Mais elle se sent libre de séduire ou d’être attirée par d’autres hommes. Sexuelement elle est capable seule d’avoir du plaisir, avec moi, ou avec des amants. Cette indépendance permet un haut niveau de D&S et est très émulant et stimulant pour moi. L’adultère n’était pas un de mes fantasmes passés, mais je peux vous assurer que cela augmente considérablement le niveau de D&S des deux cotés. D’ailleurs ma femme a appris a avoir des fantasmes et elle m’a dit recemment qu’il y en a au moins neuf (un correspondant à presque chaque type de pratique) qu’elle va essayer un jour ou l’autre. Je ne participerai pas à tous, mais probablement à la plupart. Ma femme est géniale.

Chaque jour j’ai la femme parfaite, et j’ai chaque jour le sentiment de le rencontrer pour la première fois. J’ai la tete qui tourne, je l’admire. Elle aime cela, elle aime avoir un mari excité qui la regarde. Elle aime voir les autres mâles lui dire qu’elle est belle. Elle aime séduire. Je suis fier de servir une Maîtresse aussi sexy. Ma femme est bien plus sage que moi, elle prend les bonnes décisions, elle administre nos biens bien mieux que je ne le ferai. Elle est capable d’avoir sa propre vie privée et d’être en même temps le pillier d’une famille.

Elle est independante. Elle guide notre famille de maniere positive. La D&S est un long processus et ma femme m’a dit que mon futur est lumineux … comme soumis. Elle ne reviendra jamais en arrière, elle ne refera plus jamais la même erreur. Mais ce que nous vivons ce jour est si intense que je n’aimerai pas revenir en arrière. De toute façon je ne peux lutter contre elle.

 

Réponse d’Elise : Albert vous êtes un homme béni. Votre femme est vraiment superbe et vous auriez eu intérêt à la servir avec zèle et vous dédier à elle tous les jours de votre vie. Vous lui avez fait courir un danger à elle et votre famille avec votre comportement insouciant. Mais vous avez été sage de tout lui avouer ainsi. De nombreuses femmes vous auraient quittées, mais votre femme a prouvée sa supériorité et son amour pour vous en vous donnant une seconde chance. C’est une femme incroyable. Elle a vu votre nature soumise et elle a décidée de comprendre pourquoi vous désiriez la domination féminine. C’est une femme intelligente. A présent elle peut utiliser votre nature soumise et vos désirs à son avantage. C’est tout à fait cela ce style de vie. Heureusement toujours plus de femmes suivront l’exemple de la votre. Elle aurait pu divorcer et recommencer mais avec aucune garantie sur la fidélité de son suivant. Elle a été intelligente de realiser qu’elle a investit une vie sur vous et de décider de vous entrainer pour devenir un mari obéissant. Elle a vu votre faiblesse comme un avantage pour elle, mais le plus important elle a comprit que ses rêves pouvaient devenir réalité en vous donnant ce dont vous aviez besoin, la domination. J’aime comment elle a procédée pour prendre le contrôle de votre vie, et comment cela vous a rendu une personne meilleure. Vous avez une dette envers elle que vous ne pourrez jamais lui rembourser. Faite en sorte de toujours progresser pour elle. Je suis heureuses pour vous deux.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:23
Date: Wed, 27 Jan 2010
Subject: Nos debut dans la D/S
From: hugo31bo



Bonjour,

Tout d'abord merci pour votre site, c'est avant tout grâce a celui ci que nous avons vraiment découvert la D/S, bien sur au départ c'était une idée de monsieur, comme apparemment très souvent, pour résumer notre situation il y a encore quelque mois, Lady était plutôt passive dans notre couple pas soumise ce n'était pas vraiment le cas, mais elle me laissais gérer notre sexualité , nous avions alors 3 ou 4 rapports semaine;  j'étais un macho, imposant souvent mon statut de "mâle", j'abusais très souvent de sa gentillesse. Mais il y avait un problème et même un dilemme, comment pouvais-je jouer les machos alors que je portais des dessous féminins sous mes jeans, et que je passais une partie de mon temps libre a tromper ma femme avec des hommes , déjà a l'époque je jouais la soumise travesti !!!, bien sur Lady était au courant de tout cela , disons qu'elle tolérait et ne voulait pas savoir... notre couple était donc plutôt en perdition.
Après avoir décider Lady a lire quelques articles de votre site; j'ai eu la surprise un jour de l'entendre me dire, " je veux bien essayer la domination, la première chose que je voudrais te demander c'est d'arrêter de porter des dessous féminin une semaine par mois " , je dois dire que j'ai accepter de suite.
Ayant découvert la cage de chasteté, je lui ai proposer d'en porter une, afin de me soumettre a sa libido, bien sur je ne m'attendais pas a ce qui allais ce passer; Lady a voulu que je lui donne du plaisir oralement et a commencer a me frustrer, nous sommes passer a un rapport mensuel qui se terminais toujours comme cela: je devais la nettoyer de ma semence, je dois dire que c'était assez humiliant . j'ai compris assez rapidement que Lady avais lu quelques articles sur l'éducation, la discpline et les punitions, car elle m'a demander d'acheter une cravache.
des le lendemain je crois, j'ai reçu ma première éducation une dizaine de coup sur les fesses, c'était assez marquant, elle a recommencer tous les jours.
Bien sur je devais faire le ménage a la maison ainsi qu'une parti du repassage, n'étant pas satisfaite du travail que j'avais fait dans la salle de bain, elle m'annonça " 30 coups de cravache" le miroir n'est pas clean !!!,
elle m'entraîna dans la chambre me fit baisser mon pantalon et m'administra ma première correction,j'étais honteux, j'avais devant moi désormais une Maîtresse .
Assez rapidement elle m'imposa le port de la cage du vendredi soir jusqu'au lundi matin, en contrepartie de tout cela Lady me permettais quelque chose auquel je ne croyais pas, elle me permettais de rester en dessous féminin devant elle, et surtout que je porte mes escarpins pendant le ménage, chose qu'elle ne supportais pas avant; elle me trouva méme un prénom féminin " Bree", elle me parle maintenant régulièrement au féminin, bref je suis devenu sa " soumise" Jamais je n'aurais pu imaginer que cela se produise un jour.
Nous avons franchi des étapes incroyables en 6 mois et surtout le principal, nous avons retrouver une vrai complicité .
Depuis 3 mois environ Lady me frustre encore plus, je dois la servir oralement, la masser bien sur, parfois elle se pénètre avec son toys, et quand elle a fini de jouer, elle me souhaite une bonne nuit, je dois dire que j'ai du mal a m'endormir étant en érection a ce moment la, la cage me fait mal.
Lady a introduit des nouvelle règles le samedi soir, quand elle en a envie elle me demande d'aller chercher un verre, d'enlever ma cage, et de me masturber devant elle, si j'arrive a jouir je dois alors boire ma semence,et bien sur remettre la cage ensuite.
Étant un adepte de la sodomie a l'époque ou je fréquentais le milieu homo, Lady me frustre car elle sait que j'aime cela, nous avons acheter un gode ceinture,une des règles est que le samedi soir je dois me faire un lavement; je ne sais bien sur jamais si Lady auras envie de faire quoique ce soit, la première fois, elle m'a fait mettre a quatre pattes j'étais rester en fille affubler de ma guêpière et de mes bas, lady cracha dans mon sillon pour me lubrifier, je me sentis humilier, ma femme me traitais comme je le faisais a l'époque avec elle, les temps changent....
Elle m'introduisit un petit plug pour me préparer et sorti l'artillerie lourde un gode asse gros ... j'eus le temps de mettre un peu de lubrifiant, et elle força mon entrée sous le coup de la douleur je m'esquivais, elle me fit remettre a quatre pattes et me pénétra.
J'attends patiemment le jour ou elle enfilera son gode ceinture pour me posséder vraiment. REALITE.jpg
Depuis de nouvelle règle me sont imposer, je ne doit jamais manquer de respect a Lady, je ne dois pas la toucher sans sa permission, le simple faite de lui avoir toucher les fesses m'a valu 10 coups de canne ( Lady a introduit la canne pour les punitions, et la cravache pour l'éducation, elle pense au fouet de plus en plus ), dernièrement elle m'a demander de me calmer sur ma consommation de vin ( j'aime bien boire 2,3 verres après le repas) , m'ayant demander de ne plus me resservir, je lui ai désobéi , elle a donc comptabiliser 10 coups de plus, avec toutes les bêtises précédentes je me suis donc retrouver un lundi midi a quatre pattes cul nu afin que Lady me punisse, jamais je n'aurais penser qu'elle irais jusque la, j'ai pris 70 coups de cravache qui mon totalement anéantie , j'avais mal, les larmes au yeux, j'ai embrasser les pieds de ma Maîtresse pour m'excuser, je me sentais totalement soumis a ma Maîtresse, mais j'étais heureux du traitement qu'elle m'avait fait subir...
Bien que Maîtresse n'en formule pas le désir, je me vois de moins en moins pouvoir lui faire l'amour, ma libido a baisser, j'ai l'impression que ce n'est plus mon rôle maintenant,  elle m'a dit que le fait d'éjaculer en elle, me redonnerais du pouvoir et que cela bien sur elle ne le voulais pas, je suis devenu sa soumise, il lui arrive aussi parfois de me gifler pour me rabaisser, je dois dire que c'est très puissant, je pense de plus en plus ressembler a une lopette a ses yeux, chose qui dans un sens a toujours été une vérité, mais aujourd'hui c'est Lady qui m'a transformer en cela, et a la vitesse a laquelle elle progresse, je pense ne pas être au bout des mes surprises...En autre surprise sur la métamorphose de Maîtresse, elle se sent plus sur dans son travail ( elle travaille dans l'immobilier ) et dans les relations avec les personnes surtout les hommes bien sur !!! 
Mais le vrai bonheur avant tout, c'est que nous sommes redevenu un couple, je chérie ma Maîtresse du mieux que je peux et je pense même ne jamais l'avoir autant aimer....
Merci de nous avoir aider a découvrir cette nouvelle vie.

Maîtresse Lady Val et soumise bree.


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REPONSE MS.DANA :


Bonjour

Et merci. Ce site est justement fait pour cela, et cela me récompense de mon implication quand je reçois des témoignages m'indiquant qu'une femme s'en instruit  et y trouve de quoi appuyer les débuts de sa prise de conscience.

Devenir dominante n'est pas evident, même si les hommes pensent que ce pourrait être simple, il faut franchir un certains nombres de barrières. Alors bravo encore à ta maitresse, qui de toute évidence a comprit tout l'intérêt pour elle et pour sa relation d'embrasser si judicieusement ce mode de vie.

C'est intéressant de noter l'évolution, qui ressemble à celle de nombreuse femmes devenue maitresse, non pas par envie de faire plaisir, mais parce qu'elles ont eut elle l'occasion de découvrir le plaisir de la domination. Avoir un homme à ses pieds et le transformer pour en faire un soumis avec lequel c'est bien plus agreable de vivre est une chose fantastique.

Je lui souhaite de continuer sur ce chemin, elle a fort bien débuté et comprit comment marche les hommes.
A toi je te souhaite de la suivre et de devenir vraiment soumis, tu verras que non seulement ta maitresse te surprendra, mais elle te rendra totalement heureux de l'être quand tu auras franchis l'etape de l'abandon, tout comme elle franchit l'étape de la prise de pouvoir.

Tant de couple devraient suivre votre exemple, et en verrait leur vie bouleversée dans le bon sens.

Ms Dana

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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 06:19
De Dieter B:
 

Chère Ms.Sutton, merci pour ce merveilleux site et la façon dont vous le gérez.

Je voudrais vous parler de mon éducation pour vous montrer que l’enfance détermine la façon dont un garçon comprend le don qu’est l’autorité féminine. Plus tard dans ma vie ce fut naturel que ma femme prenne le dessus et devienne le chef de famille. A présent je vie un mariage heureux depuis plus de 30 ans. Nous l’avons fait nous même, sans autre information concernant ce style de vie. Le résultat est à peut prêt le même, même si nous n’avons jamais utilisés les termes domination et soumission, mais plutôt chef, Dirigeante, Reine … et dévotion, adoration. Nous ne connaissons tout simplement pas ces mots.

Je suis allemand, alors pardonnez moi si je fais des erreurs de langage.

Je suis né en Allemagne en 1949. Ma mère avait 40 ans et mon père 42. J’ai été élevé avec ma sœur âgée de deux ans de plus que moi. J’ai trois autres sœurs mais elles sont nées avant la seconde guerre mondiale alors elles sont bien plus âgées et je n’ai pas de souvenir d’avoir vécu avec elles. L’Allemagne était pauvre et détruite par la guerre et mes parents avaient tout perdu pendant celle-ci, mais fort heureusement ils étaient en vie et leurs enfants aussi.

Peut’ on douter qu’Ulysse traitait le Déesse Athéna comme supérieure à lui ? Non, je ne le pense pas. Mais sans aucun doute Ulysse était un homme fort, un héro même.

Pour moi la suprématie de la femme était établie comme une vérité dès ma tendre enfance, avant même que je n’ai eut conscience que les désirs sexuels existent. J’ai grandis avec l’expérience quotidienne d’un père adorant ma mère, pas simplement avec des mots mais aussi en l’aidant et en prenant soin d’elle autant qu’on puisse le faire. J’aimais voir ma mère rougir sous sa courtoisie, et j’aimais et admirais mon père de la rose merveilleuse qu’il fit de ma mère. Ma mère plaisantait gentiment de l’attitude de mon père. Ce jour je peux dire qu’elle l’excitait exprès. Elle trouvait aussi tout le temps des raisons de le traiter comme son chevalier. Je l’aimais, quand elle était fière de dire a mon père qu’il était son héro et j’’aimais voir mon père évoluer à la lumière de cette fierté. Il était l’homme le plus heureux du monde. Même un petit garçon peut garder comprendre et garder cela dans son cœur.

Est-ce que cela a à voir avec la suprématie féminine ? N’est ce pas juste une histoire romantique ? Les deux je crois. Ce que j’ai décris est l’atmosphère dans lequel j’ai été élevé, mais mon père m’a appris avec cette Force de persuasion impressionnante, que seuls les hommes sous la direction des femmes peuvent devenir heureux et réussir en même temps. Il m’a dit que les femmes nous sortiraient du mal des civilisations et que l’humanité se porterait bien mieux si moins d’hommes avaient le pouvoir de la violence. Il m’a dit que les vrais hommes doivent lutter par tous les moyens pour la liberté de leurs épouses, et se soumettre à l’autorité naturelle de leur femme. Je croyais mon père, il était mon modèle, et notre vie familiale me prouvait qu’il avait raison. Même si j’étais aussi sauvage qu’un garçon puisse l’être, envers les femmes j’essayais de copier l’attitude de mon père comme le font les petits garçons et en fut récompensé au delà de toute mesure. J’étais le petit chéri de toutes les femmes et l’ami de confiance des filles.

Il n’y eut aucune note sexuelle dans mon éducation. Ma mère dirigeait la maison avec fierté. Je crois que l’on peut comprendre qu’un garçon ait sa vie formée quand une mère aimante le couvre de baiser et de joie, l’appelant « son petit héro ». Ma mère n’a jamais demandée de soumission directement et elle n’en avait pas besoin. Pour nous les enfants c’était la chose la plus naturelle du monde de lui demander les permissions. Nous avons appris qu’une mère pouvait revenir sur les décisions du père, mais qu’un père ne devait jamais changer les décisions de la mère. Et il y avait bien des décisions sérieuses à prendre.

C’était peu de temps après la guerre et l’Allemagne était bien pauvre. Mes parents avaient bien des préoccupations et ils parlaient souvent en notre présence de leurs problèmes. Cela ne nous faisait nul mal à nous les enfants, car ils ne se lamentaient pas, mais parlaient sérieusement et positivement. Ce que nous avons appris ; Quand il y a une solution, il n’y a plus de problème. Ma mère décidait toujours mais le présentait plutôt sous forme de suggestion que mon père acceptait toujours. Il disait souvent ; « Tort ou raison, de toute façon tu as toujours raison »

Ma sœur bien sur était la princesse de mon père. Mais j’étais le petit héro de ma mère, alors le monde était merveilleux. C’est certain pour un garçon c’est pas toujours amusant d’avoir une sœur plus âgée de deux ans. Si quelqu’un dans la famille me donnait le sentiment de me dominer, c’était ma sœur. Mais c’est souvent ce que vivent les garçons, alors ce n’était pas la fin du monde. On avait pas le droit de se battre, alors nos luttes se passaient avec des mots, encore ces disputes étaient ‘elles interdites en présence des parents, mais arrivaient néanmoins. Quand ma mère était présente elle disait juste avec ses mots à elle ; « J’attends que vous arrêtiez cela de suite », et cela nous calmait instantanément. Avec mon père c’était plus dur, car il disait habituellement ; « je t’en prie d’arrête d’embêter ta sœur, un homme cède toujours ».

Un jour que je trouvais que l’injustice était trop grande j’ai crié ; « Noooooon, elle est si méchante ». Puis je quittais la chambre, en claquant la porte. Papa me suivit. Il n’était pas en colère contre moi mais il dit d’une voix douce : « tout ce que tu feras aura deux effets ; un extérieur et un intérieur. Alors quand tu perds ton self contrôle le monde s’en apercevra et tu le sentiras. Les gens ne te respecteront pas si tu perds le contrôle. Alors où est le bénéfice de ton action ? »

Je suis resté têtu même si j’étais hésitant : « mais c’est si injuste quand Rosi m’embête et que tu dis que je dois arrêter ». Papa a caressé ma tête : «Qui t’as dit que la justice était toujours équitable ? Non mon garçon, ce serait te tromper. Je vais te dire un secret ; Quand ta mère m’embête je l’aime encore plus, car tout ce qui vient d’elle est un cadeau pour moi. Je crois que tu peux comprendre cela, n’est ce pas ? ». J’approuvais, car quand maman m’embêtait je ne ressentais jamais de mal, mais du plaisir. « Tu vois », continua papa, « Rosi ne veut pas vraiment de faire du mal, elle suis juste l’exemple de sa maman, car sa mère est son vrai modèle. Si tu étais une fille, ne voudrais tu pas lui ressembler ? ». Cela me paraissait compréhensible, mais je n’étais pas encore satisfait : « mais quand maman est là, elle ne permet jamais à Rosi de m’embêter » dis-je, « bien sur que non » dit mon père, « car elle t’aime tellement qu’elle ne peut supporter de te voir souffrir. N’oublie pas que tu es son rayon de soleil. Mais est-ce que ce ne serait pas bien si tu la surprenais ? Lui montrer que tu sais garder ton self contrôle de plus en plus, comme un vrai homme le fait ? ».

Wow, c’était une tache merveilleuse ca ! Pour surprendre maman ! Et j’ai ressenti là que ce serait si facile e pour moi de faire comme un vrai homme. Mais bien sur, une sœur est une chose terrible pour les nerfs d’un garçon et cela a pris des années et bien des discussions avec papa  

 

A cette époque c’était courant de travailler et d’être payé en liquide à la semaine. Tous les vendredi papa ramenait l’argent à maman et recevait d’elle quelques pièces pour lui, comme on reçoit de l’argent de poche. Est ce que c’est mal ? Bien sur que non, c’était simplement naturel que le cœur et le chef de famille contrôle l’argent.

Comme ma mère était aussi le cœur de la famille, je comprends facilement ce qu’est la vraie beauté. Un jour il me glissa dans l’oreille « regarde comme ta mère est belle, elle pense avec son cœur. Elle te tricote un pull-over et cela la met en joie ». Oui elle était si belle et je la regardais admiratif. Elle leva les yeux, car elle avait sentis nos regards. Elle vit comment on la regardait et rougit. Et j’appris ce qu’était la beauté.

J’ai eu une enfance merveilleuse et je sais combien un garçon peut être heureux et épanoui dans un monde dirigé par les femmes. J’ai lu tant de livre, de sagas grecque, de livre de chevalerie etc, et là encore je trouvais la même chose : les hommes forts sont guidés par les Déesses et les Reines. Les hommes forts tombent à genoux et baissent la tête devant les Déesses et les Reines, leur dédiant leur amour et leur vie. Rien n’était plus facile à comprendre que cela.

Papa me donna de nombreux exemple pour me faire comprendre leur rôle dans la vie. Il m’apprit aussi, qu’une fois que je serai marié, ma femme et non ma mère aurait à être au dessus de moi. Ironiquement la vie nous apprend que cela est aussi vrai : Environ un an après mon mariage, nous avons rendu visite à mes parents quelques jours. Ma mère et ma femme planifiaient le jour suivant et ne nous demandaient pas notre avis. Ma mère finit par dire : « tu pourras aller où tu veux, mon fils restera avec moi ». Ma femme avait les larmes aux yeux. C’était la première fois de ma vie que je fus en colère contre ma mère, et donc contre mon père. Les deux « héros » perdirent leur contrôle et je rompais avec mes parents pendant presque un an jusqu’à ce que ma femme me fit me réconcilier avec eux. Tout fut de nouveau merveilleux, mais je crois que cet épisode était nécessaire à ma mère, pour lui faire comprendre qu’à présent il y avait une autre Reine dans ma vie. Cela a du être difficile à accepter pour elle, même pour une personne aussi compréhensive qu’elle.

Je pense encore que mes parents étaient à part en bien des aspects, mais dans un domaine ils étaient comme ceux de leur génération : Aucune initiation sexuelle. L’environnement et l’époque étaient asexuels Je n’ai jamais vu mes parents ou quiconque d’autre nu, et la dernière fois que je vis ma sœur nu c’était avant même que je rentre à l’école.

Alors j’étais assez innocent arrivé à la puberté. J’avais ressenti des excitations dans mon enfance, mais là elles étaient bien plus fortes mais je ne pouvais les empêcher.

Pendant la puberté, j’ai réalisé autre chose, quelque chose de mystique concernant les filles. Quelque chose que je ne pouvais pas saisir, mais qui m’a fait souffrir. Je voulais partager cette beauté féminine. Je ne voulais pas être une fille, mais être une partie d’elle pour me faire peur. Les filles en général me font cet effet là. Tout d’elles est beauté mystique, leur visage, leur corps, leur façon de se déplacer, de parler, de rire, la façon qu’elles ont de me regarder, tout me submerge de beauté. Etre avec les filles était pour moi un privilège, mais je passais la plupart de mon temps avec les garçons, à jouer au football, à faire du judo, etc. Mais la « vie sexuelle », comme de se masturber dans les toilettes et d’être collé aux photos des catalogues de lingerie, me semblait affreux et primitif. Je me masturbais aussi mais je n’avais pas de fantasme, je le faisais pour le plaisir. Quand j’ai eu 14 ans j’ai reniflé pour la première fois une culotte sale de ma sœur. L’odeur piquante me fit bander et je me masturbais pour la première fois pour une raison précise.

 Plus je grandissais moins j’aimais la façon dont mes amis parlaient des filles. Mais j’aimais danser et pas eux. Alors j’étais entouré de filles et n’éprouvais aucune envie de rejoindre mes copains au bar. C’était l’époque des Beatles, le disco commençait, et la libération de la femme était un sujet d’actualité.

A l’âge de 17 ans je perdais ma virginité avec une fille de 22 ans. Elle était très compréhensive et m’aida dans mon embarras en me montrant la façon qu’elle aimait. Elle était le guide et j’étais au paradis. Lui faire l’amour me donna l’illusion un moment que j’avais atteint ce que je recherchais depuis toujours, en étant une partie d’elle même, étant une partie de l’infinie beauté féminine qu’elle représentait à mes yeux. Mais je n’ai pu garder ce sentiment, il me toucha un moment et puis s’évapora.

Ensuite je rencontrais une femme et nous nous sommes vite aperçu que nous étions fait l’un pour l’autre. J’étais devenu un étudiant, un grand jeune homme, confiant en lui, bavard etc. de ceux qui sont fier de leurs talents. Cela resta un moment jusqu’à ce que ma copine (ma femme actuelle) réalise que l’adoration que je lui portais n’était pas juste un comportement pour aller dans son lit, mais qu’elle était vraiment ma Déesse. Cela prit encore beaucoup de temps pour qu’elle surmonte son impression que son devoir féminin était de me faire jouir. Je lui dis encore et encore, que rien ne m’excitait plus que de la voir épanouie. Lui donner son plaisir m’excitait au plus haut point. Finalement elle le comprit et devint plus active et plus demandeuse (je me demande pourquoi les femmes deviennent plus en demande de sexualité quand elles réalisent qu’elles dominent) et attendant de moi que je lui donne avant son plaisir ; cela devint la normalité dans notre couple, et j’en étais heureux. Bien sur j’aimais avoir des orgasmes mais je ne suis pas un violeur. En général si la femme n’est pas excitée je ne désire pas avoir mon plaisir. Cette simple pensée m’embarrasse, de savoir que je fais tout pour lui donner du plaisir alors qu’elle attend juste que j’aie fini, c’est la mort de mon désir.

 

Puis vint la chose la plus merveilleuse de ma vie ; Elle était sur le lit, se masturbant et moi lui titillant les sein, lui léchant l’anus, le sexe et ses doigts virevoltants. Plus elle avait envie plus je la servais bien avec ma langue. Quand elle commença à gémir et à bouger son corps tout mon être était concentré à son bonheur. Je ne sentais pas mon corps, je n’en avais pas. Je n’avais plus de pensé, plus de cerveau. Je ne ressentais plus qu’une chose, l’importance de sa jouissance qui venait. J’étais un simple objet léchant, comme ses mains étaient des simples objets servant à sa masturbation. JE DEVINS UNE PARTIE D’ELLE MEME !!!!! Comme elle était perdue dans son désir, je l’étais aussi. Perdu dans sa soif de plaisir, pas dans la mienne. Je n’étais pas là. Je n’existais plus en temps que personne. J’étais une partie d’elle même. C’était tellement intense que je ne compris ce qui m’arrivait qu’après son orgasme et quand mon esprit émergea de nouveau dans mon corps. Mais je fus dans l’incapacité de parler un long moment.

Mon Dieu, j’étais une partie d’Elle, j’avais vécu la beauté de la féminité, c’est comme savoir ce que le paradis signifiait. Depuis 30 ans c’est le plus haut degré de sexualité que j’ai vécu. Comparé avec cela l’éjaculation n’est rien pour moi. J’ais besoin de mon sexe pour faire pipi, autrement il appartient à ma femme. Cela devient important quand elle voulu jouer avec, l’avoir en elle. Si elle veut autrement que je lui fasse plaisir, elle me permet d’avoir une meilleure chance de faire partie d’elle. C’est bon la pénétration, mais je n’ai jamais vécu ce que l’on peut lire à droite ou à gauche, qu’un couple fusionne quand un homme éjacule. Cela me sépare plutôt de ma femme en raison des tensions fortes du corps, chose qu’on ne peut aisément ignorer.

Le fétichisme de ma femme est de mordre. De mon épaule à tout le corps, tout est valable pour sa faim de tigresse. Lascivement elle couvre mon corps de baiser, me mordille doucement, et soudainement me mord durement. Longtemps et vraiment durement. Je n’ai pas le droit de me protéger (parfois je suis attaché) et de faire plus de bruit qu’un gémissement. Une variante consiste pour elle à me regarder dans les yeux pendant qu’elle pince l’intérieur de mes cuisses très fortement. (Mon dentiste est surprit de la douleur que je peux supporter. Mais je lui dis que je fais comme les femmes au moment de l’accouchement, je respire fortement). Elle adore en plus le Queening. C’est un rêve devenant réalité pour moi de me réveiller et de sentir mon visage si prêt du paradis et son odeur me ramène au pays du paradis.

J’ai fondé et dirigé 4 sociétés. Ma femme n’a pas d’entreprise car elle n’a pas de travail régulier, mais elles lui appartiennent à 100%. J’adore la voir marcher dans les couloirs de mes entreprises, alors qu’elle sait qu’elle en est propriétaire. Et j’adore la voir traiter les gens gentiment et être amicale avec les employés et jouir d’un sentiment de pouvoir, car tout le monde connaît et respecte le fait qu’elle en soit propriétaire. Aucune porte ne lui est fermée, et aucune réunion n’est si importante qu’on ne puisse prendre le temps de l’accueillir avec respect quand elle vient.

J’aime follement ma femme et je ressens son amour. J’aime son talent naturel pour me faire comprendre à moi et aux autres qui dirige sans les écraser. Alors c’est si facile pour moi, et pas simplement au lit, de tomber sous sa dépendance et direction et de jouir de sa beauté. Toutes femme qui sait qu’elle est supérieure est plus belle, et ma femme est la plus belle pour moi. Peut être que notre façon de vivre la suprématie féminine est’ elle un peu vieillotte. D’un autre coté, il n’y a quasi aucun autre homme qui vit depuis plus que mes 57 ans sous l’autorité féminine. Alors je suis béni, béni par les Déesses.  

 

Réponse d’Elise:

Dieter, j’aime l’histoire de votre vie. C’est une belle histoire, romantique et cela met bien en valeur l’essence de ce style de vie. Ce n’est pas vieillot. Cela montre comment les hommes devraient voir et traiter les femmes. Votre père vous a instillé de merveilleuses valeurs et vous les avez conservées au sein de votre mariage.

Vous êtes vraiment un homme béni. Vous aviez une mère et un père merveilleux et à présent vous avec une merveilleuse femme. J’espère que votre histoire va encourager d’autres hommes à élever leurs garçons avec cette révérence envers leur femme, comme votre père avec votre mère.

Votre femme et vous avez un mariage d’amour basé sur la domination féminine. Ce n’est pas une question de pratique de D&s dans votre intimité. Ce qui compte avant tout c’est l’attitude. Vous la voyez comme supérieure et comme une Déesse et vous la traiter en conséquence. Et elle a été capable d’embrasser son rôle dominant tout en vous traitant avec amour et avec le respect que vous méritez.

Merci d’avoir partagé avec nous, je vous souhaite a vous deux des années de bonheur.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 06:18

Je voulais vous parler de mon expérience que je vis aux cotés de mon soumis. Mais avant tout je dois remonter à notre rencontre d'il y a maintenant 3 ans. Cette rencontre est le fruit d'un mal être au sein de nos couples  et d'un très grand amour et écoute lors de notre découverte mutuelle.  

Ca a été la rencontre de ma vie!! Je dis cela car jamais je n'aurais pu imaginer changer de conception du couple telle que la société nous l'inculque ! Avec le cliché de la femme sexuellement soumise.

En effet, ayant été et voulant être considérée comme objet sexuel, je prends aujourd'hui un réel plaisir à dominer mon amour soumis. Mais cela a je dois dire passer par des moments très difficiles ! Au bout de 6 mois de notre relation, mon soumis (d'aujourd'hui) m'a demandé si je voulais être sa soumise!! Je ne savais de quoi il en relevait exactement!! En tout cas il voulait me faire découvrir l'aspect d'une nouvelle conception du rapport dans le couple. Alors que notre histoire avait débuté avec comme une révélation de l'Amour, celle-ci prenait une autre tournure. Il m'a fait découvrir des sites où je découvrais le sadomasochisme. Cela n'évoquait pas grand chose en moi car je ne connaissais pas ce milieu et surtout le dénigrait complètement!! Donc il a voulu m'amener sur ce chemin!! Mais au fil de cette relation je souffrais beaucoup, car en même temps que je voulais aller plus loin, par curiosité et par amour, j'étais frustrée!! Car je voyais des clichés de soumises qu'il aimait regarder et moi j'étais là impuissante voulant aller plus loin comme elles mais lui en fait ne s'occupant pas de moi comme je l'aurais aimé. Au travers de nos rencontres avec de tierces personnes du milieu et il y en a eu de fortes intéressantes, je découvrais qu'il n'était pas vraiment dominant et d'ailleurs il est vrai que le pseudo de notre annonce qu'il avait fait paraitre dans un site sm était nous sommes ouverts comme couple polyvalent. Mais j'avais vraiment du mal à entrevoir ce qu'il allait advenir de notre couple! j'avais peur, je ne savais pas ce qu'il recherchait exactement et j'étais perdue et jalouse de ce qui ne m'arrivait pas comme toutes les autres soumises!! Après l'avoir harcelé avec ma frustration croissante, un jour, il m'a quand même avoué qu'il aimerait être dominé!! Mais depuis le parcours est tout de même toujours ambigu!! je ne suis pas complètement dominante et lui a quelques fois ces rechutes de pseudo dominant!! Je pense avoir besoin de redevenir objet sexuel et c'est à travers mon passé basé sur cette sexualité, mais mon objectif est qu'il devienne à part entière mon serviteur mais le chemin est long et pavé d'embuches où je me perds quelques fois!!

Je lui ai fait signé un contrat en juillet 2006 suivie d'une lettre d'éducation que je vous ai joint!! Aujourd'hui je ne m' épanoui pas vraiment dans cette relation car je voudrais aller plus loin , mais sans doute un manque de confiance en moi rendent l'éducation de mon soumis difficile. Je sais qu'il en a besoin!! Sexuellement parlant, je le domine très bien et nous y prenons un plaisir mutuel!! Mais sur le plan psychologique, cela est plus difficile!! D'un tempérament doux j'ai du mal à m'imposer ou a imposer mes volontés ! Le contrat ou lettre d'éducation est la volonté de me montrer intransigeante n'est pas exactement le reflet de ma personnalité!! Je suis je pense un peu trop laxiste dans la vie et n'arrive pas à suivre des règles très longtemps!! Que dois-je faire exactement pour être en quelque sorte a la hauteur. J'attends vos conseils, même si j'ai lu avec grand intérêt votre site, j'ai du mal a mettre en application!! dois je forcer les choses? dois-je continuer sur cette voie? je suis perdue et j'aimerai une épaule sur laquelle me reposer pour m'aider a être la meilleure des maitresses aux yeux de mon soumis!

Je vous avez déjà écrit pour faire partie d'un cercle de maitresses  dans le nord est dans la  région lorraine, mais le mail de réponse a été effacé!! pouvez-vous me redonner des coordonnées de maitresses de cette région afin que je puisse prendre contact avec celles-ci.

J'espère avoir été suffisamment claire dans la description de ma situation et que vous pourrez m'aider a progresser dans ce statut!! Un peu désespérée, j'attends de vos nouvelles avec impatience!!

Mrs Diana

 
OBJET : Lettre à Nimbus 
Verdun le 24 aout 2006
 
PREMIER BILAN
Le 27 juillet 2006, tu as signé un contrat nous liant et dont je te rappelle les grandes lignes :
 
RESPECT, SOINS ET BIEN ETRE DE TA MAITRESSE .
 

Tu as déjà fait des progrès notamment dans le nombre et la ponctualité de tes appels , mais je ne suis pas entièrement satisfaite…

Je ne ré aborderais pas le fait que tu m’aies raccroché au nez à plusieurs reprises lors de ton 1er camp de cet été, car tu as été corrigé pour cela, et tu ne l’as pas refait. Je ne reparle pas non plus de cette semaine passée à Verdun ensemble où j’avais établi un agenda et que tu as semblé oublier. Cela dit j’ai pu m’adonner à te prodiguer journellement des corrections en tout genre.

 Je te parle de cette semaine descendue à Vias, où tu as été négligent à mon égard, où tes promesses se sont envolées, tu es devenu amnésique d’un seul coup…Alors, je te rappelle que, même si nous ne sommes pas seuls et que nous ne pouvons faire face à 100% à nos conditions respectives, tu ne dois pas oublier qu’en toute circonstance tu dois apporter à ta Maîtresse les soins, le confort et le bien être. Ca passe par le respect de mes désirs, volontés. Mon désir de découvrir la région du Cap à vélo notamment, tu as semblé l’oublier . Je pensais que tu l’avais assimilé. Tu n’as pas cet esprit de prendre soin de moi, de manière permanente et c’est ce que je te reproche . Ton éducation est à parfaire à ce niveau là !!! alors comme je n’ai pas pu te punir pour ces exactions, par manque de temps, puisque tu es reparti en camp aussitôt, je vais donc le faire à ton retour de ce 2ème camp.

Tu auras comme tu l’as souhaité, des MARQUES TEMPORAIRES !Tu auras la primeur de prendre 10 coups de cravaches sur chaque lobe de ton fessier. Maintenant, il s’agit pour toi que même si ce n’est pas à but sexuel, tu me dois attention de manière constante, il faut que tu te le rentres dans ta petite tête. Notamment tu as oublié trop souvent de me demander des nouvelles de mon état, puisque tu le savais je souffrais de maux de ventre. Tu ne l’as fait qu’une fois ! Et hier soir silence radio, alors que j’étais très mal, de plus tu savais que j’étais seule à la maison et qu’entourée de voisins dégénérés, je n’ai pas pu m’endormir avant 2h00 du mat. Mais tu n’as même pas pris soin de m’appeler pour savoir si tout allait bien !!Tu seras puni pour cela, je te laisserai croupir dans ton coin le temps que je déciderai et je vaquerai à mes occupations choisies à ce moment là…Et tu as oublié de m’avertir de tes moments passés sous la douche où je t’aurais demandé pour mon plaisir d’exécuter mes vices. Pour ceci tu auras 10 coups de paddle sur chaque fesse.

 Je te demanderai de t’agenouiller en me présentant tes excuses et de me demander d’être puni pour ces manquements.

Saches aussi que tu seras puni comme je le souhaiterai et sans raison et ce sera d’autant plus un réel plaisir à le pratiquer selon mes caprices du moment !

Concernant ton hygiène de vie, je vais t’imposer un régime alimentaire et une activité physique. Tu ne rechigneras pas devant les ordres que je te donnerai à ce niveau là sinon je te laisserai comme un chien sans collier !Je veux être fier de mon chien, afin que je puisse l’exhiber, l’offrir.

Pour le moment, je te retrouve et je te veux en forme, sans aucune plainte ou jérémiade de ta part, si tu te rechignes les corrections seront doublées. Et n’oublie pas que tu es en période d’essai et qu’à tout moment je peux te congédier, nimbus !!                                                                                                                                                       Maîtresse Diana

CONTRAT LIANT MAITRESSE DIANA ET SON SOUMIS

Fait à Verdun le 27 Juillet 2006

De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon appartenance et ma dévotion envers la Femme que j’admire et que j’adore, je m’offre en esclavage à Maîtresse Diana.. Je désire me consacrer entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs.

Règles générales

L’esclave accepte d’obéir à sa Maîtresse à tout égard. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire (    STOP ), et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu’Elle en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. Ce mot code marque l’arrêt immédiat de la séance.

L’esclave maintiendra son corps disponible, pour sa Maîtresse à tous moments, d’une hygiène irréprochable, le sexe,  les aisselles épilées, ni barbe, et le cul rincé périodiquement au minimum 3 fois par semaine. Pour ses rencontres avec Elle, il prendra soin de suivre Ses conseils vestimentaires.

 En outre, l’esclave accepte que sa Maîtresse possède le droit de déterminer si d’autres personnes peuvent utiliser son corps et l’usage qu’ils peuvent en faire. La Maîtresse discutera tous les cas possibles à l’avance avec Son esclave afin d’être certain que ces jeux avec d’autres personnes ne violent pas des limites établies. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps et à d’autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. L’esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurité. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit qu’il fait, le bâillonne ou prenne d’autres mesures pour le réduire au silence.

L’esclave accepte que des photos ou des films de lui soit prises en séance tout en sachant qu’elles resteront d’ordre totalement privé et que si certaines sont montrées sur certains sites sm, se sera toujours visage masqué et sans signe distinctif qui pourrait lui porter préjudice dans sa vie professionnelle et privée.

L’esclave s’engage à avoir le même respect de la vie privée et professionnelle de sa Maîtresse et des personnes qu’Elle pourrait lui faire rencontrer en restant digne de la confiance que sa Maîtresse lui fait même si un jour ce contrat s’achève.

L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu’Elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre, il formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte.

L’esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec respect, il s’adressera à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame » (sauf devant un public non BDSM, auquel cas il agira selon la décision de sa Maîtresse). Il suivra les conseils de sa Maîtresse pour s’adresser à d’autres dominant(e) ou soumis(e).

La Maîtresse a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.

L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et Celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer des dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. La Maîtresse et l’esclave admettent que C/chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus.

Par ma signature ci-dessous, j’accepte d’obéir à toutes les règles que ma Maîtresse m’imposera … Je Lui confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, pour un essais de trois mois .

Esclave                                                         Maîtresse Diana me nommera :Nimbus

 

 J’accepte le désir de Mon esclave Nimbus de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté.
Je m’engage à enseigner les règles de savoir vivre et de tenue pour faire de Mon esclave Ma fierté. Je m’engage également à répondre et à expliquer le mieux possible le pourquoi de certaines règles pour que Mon esclave comprenne et vive au mieux sa soumission et qu’il y puise force et estime de lui-même.

Maîtresse    Diana 
 


Réponse Ms.Dana
 

Merci Diana de votre lettre et de vos documents. Bien des femmes sont ou ont été confrontées à votre souci.

Il n’est pas étonnant qu’au départ vous ayez eu le réflexe de « dénigrer » ce que vous ne connaissiez pas, et ce qui est encore tabou en notre société. Notre éducation nous a malheureusement souvent formatés à avoir un esprit docile, alors que nous avons tant de choses en nous et que très souvent nos compagnons ont besoin intrinsèquement qu’on s’impose à eux. Mais c’est cette éducation qui fait que vous avez encore quelques difficultés à vous imposer à lui, en plus de son éducation à lui.

Mais, en en parlant autour de nous à ceux de nos amies proches qui peuvent l’entendre nous permettrons d’ouvrir doucement mais surement l’esprit des gens. Il faut du temps et c’est justement ce que nous sommes en train de faire ensemble : C’est pour cela que le site a été crée.

 
Venons en au cœur du sujet :

Qu’il vous ait prise comme soumise, ne me paraît pas étonnant, puisque même s’ils sont eux soumis au plus profond d’eux même, ces messieurs ont besoin d’être rassurés, et c’est assez courant de commencer ce mode de relation ainsi. Que vous ayez encore des envies de ce type ne porte pas à conséquence, nous en reparlerons. Mais cela ne doit pas se faire avec votre soumis. Plus jamais. Vivre en « switch » est très compliqué pour épanouir le couple.

Il a finit évidemment un jour par vous avouer qu’il voulait être dominé. C’est la logique des choses, que la pente naturelle l’emporte. Tout comme il est encore logique qu’il ait encore des penchants machistes, mais qui avec le temps et son éducation s’estomperont.

Mais justement c’est votre charge à présent de l’éduquer pour cela.

Donc rien de bien grave, juste qu’il y a du travail, et quelques bonnes bases à mettre en place. L’essentiel est que comme vous le dites vous-même, que votre objectif soit «  qu’il devienne mon serviteur ». Et sachez que vous avez tous les atouts pour cela.

Non seulement votre pouvoir féminin, votre sexualité qui l’attire, mais aussi votre désir de devenir dominante et le sien de devenir votre soumis.

Vous dites que vous n’êtes pas épanouie encore ce jour car vous « aimeriez aller plus loin ». Oui vous avez totalement raison. Ce que j’entends moi, est que votre compagnon vous frustre par son comportement. Il est indécis, et tout sauf pugnace dans l’aboutissement de son désir. Il faut comprendre que ce mode de vie est comme une danse, et on ne progresse en danse que quand on danse à deux. L’un faisant progresser l’autre et ainsi de suite.

Donc la question qui se pose à vous est la suivante : Comment faire en sorte qu’il se soumette plus encore ?

Car vous dites que vous avez un tempérament trop doux et laxiste. Ce n’est pas un avantage certes, mais j’ai plutôt tendance à croire que c’est surtout une question non seulement de confiance en votre pouvoir et surtout d’habitude d’exercer ce pouvoir.

 

Alors comment développer ce pouvoir, comment devenir plus dominante dans votre contexte et comment le rendre plus soumis lui ?

Je ne sais pas si vous vivez déjà ensemble, mais je vais partir de ce principe.

 

Si j’ai bien compris, il vous faudrait je-pense revenir à l’application simple, mais régulière de certains fondamentaux. Mais il faut avant tout créer un choc psychologique pour secouer ce feignant qui n’assume même pas ses propres désirs correctement, ni les vôtres. Donc mettez les points sur les « i ».

 

Un jour prochain, je vous propose de préparer à son insu une soirée qui va vous permettre de reposer les choses.

Préparer non seulement le cadre mais aussi une tenue qui ne laissera aucun doute sur vos intentions de franchir un cap dans votre prise de pouvoir.

Le premier conseil est de faire porter à votre soumis le plus rapidement possible une cage de chasteté. Donc procurez-vous en une (il y a bien des sites qui en vendent par correspondance (moe, démonia, etc.). Prenez un modèle qui peut être porté en permanence, donc dans la série des « CB ». La frustration est la clé. C’est essentiel de la mettre en œuvre, sinon vous n’y arriverez pas.

Enfin ayant à porter de main une cravache et des liens. Pour bien finaliser la préparation, dites-lui que tel jour, il ne devra rentrer qu’à telle heure, et vous avant son arrivée, mettez-vous en condition mentale pour être dure et motivé à le soumettre.

 

Lors de cette soirée, vous devrez non seulement créer un premier rituel à réaliser à chaque fois qu’il vous rencontre (comme de vous embrasser les pieds en prononçant une phrase de soumission), mais vous devez marquer le coup, de façon psychologique :

 

Faites le mettre nu, attachez le les mains dans le dos, frapper suffisamment fort pour qu’il s’en plaigne, et dites-lui que vous voulez que les choses changent. Et entre chaque série de coups et entre chaque annonce (voir ci dessous) faites-lui baiser vos pieds et dire « oui maitresse je ferai tout ce que vous voudrez ». Et dites-lui ; «  A partir de maintenant ….. » 

Déjà il n’aura plus de mot de sécurité.

De plus il n’aura plus le droit d’accès à votre corps si vous êtes mécontente de lui.

Que vous avez décidé qu’il devrait désormais vous vouvoyer !

Il ne pourra plus non plus s’asseoir ailleurs que par terre en votre particulier. (il doit vivre sa place de soumis par son quotidien).

Il devra désormais toujours porter une tenue appropriée en votre intérieur. (Nu avec un collier est un classique).

Enfin que de ce jour, vous voulez réaliser concrètement ce qu’il y a dans le contrat, et comme « son corps vous appartient », que désormais vous avez décidé qu’il devra porter une cage de chasteté en permanence. Qu’il n’a pas le choix, et que s’il n’accepte pas vos volontés, qu’il vous perdra immanquablement, car vous en avez assez d’un faux soumis qui vous fatigue.

 

Voilà le début de votre soirée, mais sachez que oui vous avez visiblement besoin non seulement de vous imposer à lui, mais de plus le faire de manière régulière. C’est pourquoi au début une séance de dressage hebdomadaire me semble appropriée. Si vous voulez une aide déjà toute prête et progressive pour toutes vos soirées, je vous avoue que « les procédures » sont très appropriées et très efficaces.

 

N’oubliez jamais, jamais, que ce mode de vie « il en a besoin », et que vous vous devez vous faire plaisir. Pensez à vous et à votre plaisir d’abord, faites-le lui comprendre, et qu’il oublie un peu ce contrat où il y a bien trop de chose pour le soumis et si peu pour vous. N’a t’il pas promis de «  Je désire me consacrer entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs. »

 

Alors qu’il mette cela en pratique, et si besoin interdisez-lui de parler sans autorisation.

 

En fait un contrat pourrait tenir en une seule phrase ; « J’ordonne, tu obéis ! »

Je vous souhaite le meilleur Diana.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 05:57

Mes respects Madame,
 

Auriez vous un moment à m'accorder, mon couple est un échec, je n'ai pas touché ma femme depuis plus de 17 ans, depuis 3 à 4 ans, je vais assez mal, je me suis découvert une envie de soumission.

A ce jour je me défoule dans un blog et j'ai eu une petite expérience, une pro m'a introduit un plug. J'ai vraiment une perversion, j'ai envie d'être dominé et d'être sodomisé par une femme phallique.

Serait ce une solution pour retrouver un peu de bonheur dans mon couple, je ne crois pas que ma femme soit tentée par ce genre d'expérience, elle me trompe et bizarrement je n'en ai aucune colère.

Suis je vraiment un soumis dans l'âme, cette pratique peut elle être une solution pour moi et mon épouse que j'aime toujours. Dois je plutôt trouver une autre maitresse, je n'envisage pas de séparation avant le départ de mes filles.

 

Avoir des envies sm et pourtant mourir de ne plus faire jouir une femme, quel paradoxe?

 
Pour vous servir
Louis
 

Réponse Ms. Dana :

 

Louis. J’ai un sentiment très partagé en lisant votre lettre. De la peine pour votre couple et pourtant une certaine interrogation quand à vos désirs.

Vous dites aimer votre femme, et avoir envie de soumission. Et pourtant vous évoquer le fait d’aller vers une autre.

Je crois que vous, plus que tout autres, devez mettre en pratique ce que le site apprend aux soumis. Servir, choyer, soulager, s’occuper de sa femme, la voir comme une reine et tout faire pour son bonheur.

Alors il va vous falloir agir, et non pas rester et accepter avec une sorte de fatalité une séparation annoncée.

J’ignore ce qu’elle ressent pour vous. Mais je sais que de toute façon une femme qui voit son mari agir avec docilité, respect, amour et tout faire pour lui rendre la vie plus facile et heureuse ne peut que le prendre favorablement. Ensuite il sera temps de lui parler et de lui dire que vous voulez vivre à son service, dans l’acceptation et la soumission. Elle a des amants, vous le savez, vous l’accepter… et bien vous pourrez le lui dire… que vous accepterez tout pour vivre à ses pieds, à son service.

Pourquoi aller chercher ailleurs Louis, alors que vous avez l’amour pour elle ?

Bougez-vous, et arrêtez de penser à vous, à vos fantasmes, pensez à elle à ses désirs et attentes. Et vous verrez qu’immanquablement, si vous devenez « réellement soumis », c’est à dire si vous avez compris qu’il faut apprendre à vous oublier pour elle, elle sera bien plus réceptive avec le temps à la domination. Elle pourrait même vous étonner.

Le plus dur reste à faire. Comprendre ce qu’est la soumission et la mettre en pratique. Les fruits de celle-ci arrivent ensuite. Vous dites être un soumis dans l’âme, alors prouvez-le !

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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