Articles Récents

Afin de permettre une navigation facile, utilisez les liens directement sur les RUBRIQUES du sommaire.

 

Si vous voulez nous poser des questions, ou nous faire part d'expériences vécues, faites nous un email à : mon_univers_4@hotmail.com

CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 18:09

De Doreen B.



Chère Elise, je vous écris afin de vous remercier pour votre site Web très instructif, et pour tous vos conseils extrêmement utiles et avisés que l’on peut y trouver.

Cela fait maintenant 15 mois que je vis une relation de domination féminine, et je souhaitais vous raconter mon histoire et la manière dont elle a commencé. J’habite au Royaume-Uni, j’ai 56 ans et je suis veuve depuis une dizaine d’années. Depuis la mort de mon mari bien-aimé, je n’ai plus eu de relation avec d’autres hommes. Même s’il m’est arrivé de sortir quelques rares fois avec un collègue de travail, c’est toujours resté strictement formel et dans le cadre des obligations professionnelles. Mon mari m’a laissé une somme confortable, et après son décès j’ai décidé de vendre notre maison pour m’en acheter une plus petite. J’ai repris depuis un travail à mi-temps, et avec mon salaire, plus mes pensions de veuvage et le résultat de mes placements, je suis à l’abri du besoin.


Il y a tout juste deux ans maintenant, ma fille quitta son mari et partit à l’étranger pour vivre avec un autre homme. Évidemment, mon gendre fut anéanti par cette histoire, et je restai en contact avec lui, car il continuait pour moi à faire partie de la famille. Quelques mois après le départ de ma fille, Timothy m’appela pour me demander s’il pouvait m’inviter à dîner, car il voulait discuter de quelque chose avec moi.


Durant le repas, il me dit qu’il m’avait toujours admirée et qu’il me trouvait très séduisante (même si j’avais 20 ans de plus que lui), et je me demandais alors où il voulait en venir ! Il me sidéra alors en m’apprenant qu’il m’avait toujours considérée comme une femme dominante et autoritaire (même si je ne m’étais jamais vue moi-même sous cet angle), et que cela faisait des années qu’il rêvait de m’être soumis et de devenir mon serviteur personnel ! Il voulait faire ma lessive, mon ménage, mon repassage, la cuisine pour moi !

Je lui répondis alors que je n’avais jamais rien entendu d’aussi ridicule de ma vie. Evidemment, il fut extrêmement embarrassé et n’arrêta pas de s’excuser et de me demander de le pardonner. Je lui dis que le sujet était clos, et que je ne lui en tiendrais pas rigueur pour la suite, puis il me raccompagna chez moi.


C’est alors que quelque chose de très étrange m’arriva : je n’arrêtai pas repenser à tout ce qu’il m’avait dit. Je n’arrivais pas à sortir ces pensées de mon esprit. Je compris également qu’il lui avait fallu une sorte de courage un peu fou pour avouer ainsi de tels sentiments envers moi. Je décidai alors que je ne pouvais pas laisser l’affaire en l’état, aussi le rappelai-je pour lui demander de venir chez moi afin d’éclaircir tout malentendu entre nous et de revenir à une relation normale. Du moins était-ce mon idée au départ !

Quand il revint, je lui demandai de m’en apprendre un peu plus au sujet de tout ce qu’il m’avait dit, et il m’avoua tout. C’était un habitué des nombreux sites Internet consacrés à la domination féminine, dont d’ailleurs votre site faisait partie. Il semblait réellement sincère, et je me retrouvai de plus en plus intéressée par ce qu’il me disait, malgré toute l’étrangeté de notre conversation ! Je pensai que j’étais en train de devenir folle !

Je lui dis alors que je réfléchirais à la manière dont il pourrait m’aider, en faisant mes courses ou du bricolage pour moi, et que je l’appellerais quand j’aurai pris ma décision.

J’allai sur votre site et commençai à lire les témoignages et les questions posées, et, le plus important, vos réponses et vos conseils sur tous les sujets abordés. Soudain, je pus voir tous les avantages qu’une relation de domination féminine pourrait m’apporter, et plus je me renseignais sur ce sujet, plus cela m’excitait.


Il y avait, bien sûr, quelques problèmes à régler, et dont le moindre n’était pas celui constitué par ma fille, car je me demandais comment elle réagirait en voyant son ex-mari en train de laver mon linge !


Timothy était occupé à cette époque à vendre leur maison, et durant cette période il avait laissé de côté sa carrière professionnelle. Je lui suggérai de venir chez moi dès que possible, et qu’alors je lui montrerais quelles corvées il devrait effectuer, et de quelle manière.

Je l’avertis qu’il n’y aurait jamais rien de sexuel entre nous (il avait bien précisé dès le début que lui-même n’était pas à la recherche d’un « flirt »), et qu’il devrait se contenter de trouver sa satisfaction uniquement à travers son travail à mon service.


Il commença par venir 3 ou 4 fois par semaine, quand il n’était pas au travail ou occupé par la vente de la maison, et je lui assignai tous les travaux de bricolage dont je n’avais jamais eu le temps de m’occuper, et qui traînaient depuis des lustres.


Je remarquai que quand je lui demandais de faire des tâches plus domestiques, comme laver le sol, passer l’aspirateur et faire les poussières, ou encore nettoyer la salle de bains et les toilettes, cela semblait l’exciter. Je commençai vite à en profiter pour le dresser à faire les choses de la manière dont je le souhaitais et suivant les critères de qualité que je désirais.

Pour faire court, cela fait maintenant quinze mois que je profite des bienfaits d’une domination féminine permanente.


Quand Timothy eut enfin vendu la maison, il emménagea dans la plus petite de mes chambres, et il me céda sa part du résultat de la vente. Je plaçai alors cet argent afin de le faire fructifier et d’assurer un revenu régulier, tout en le mettant à nos deux noms afin de garantir qu’il puisse le récupérer sans problème s’il venait à m’arriver quelque chose.

Timothy se mit à mi-temps, son salaire étant versé sur mon compte. Comme nous n’avions plus besoin de cet argent, il a récemment totalement arrêté de travailler. Il est donc maintenant en mesure de consacrer toute son énergie et tout son temps à me servir.

Pour lui, une journée typique commence vers 6 heures du matin pour effectuer ses premières corvées, puis, à l’horaire que je lui ai préalablement indiqué, il vient me réveiller en m’apportant le petit déjeuner au lit, avec café, tartines et fruits.


Pendant que je prends mon petit déjeuner, il va me préparer la salle de bains et s’assure qu’une serviette chaude m’attend. Sur mes indications, il me met à disposition les vêtements que je vais porter pour la journée, puis va sortir ma voiture en vérifiant que tout est bien en ordre. Quand je suis prête, il vient me servir encore du café en bas, puis je lui donne la liste des courses, appels téléphoniques ou toutes autres corvées particulières qu’il devra effectuer dans la journée, pendant qu’il note tout cela consciencieusement sur un carnet.

Pendant que je suis dehors en train de travailler, de faire du shopping ou chez des amis, il passe la journée à nettoyer, laver, repasser et faire les courses pour la maison, s’assurant que tout soit impeccable pour mon retour. Il suit une procédure maintenant bien établie pour veiller à ce que tout soit parfaitement propre du sol au plafond toutes les semaines, et que chaque chose soit à sa place et vérifiée tous les jours.


Quand je rentre à la maison, il me prépare un café ou un verre de vin, suivant l’heure. Le soir, pendant que je bouquine, écoute de la musique ou regarde la télé, il prépare le dîner, puis vient me rejoindre pour s’assurer que je n’ai pas besoin de ses services et que je ne manque de rien.


Suivant votre conseil, et après avoir effectué mes propres observations, j’ai pris le contrôle de sa vie sexuelle en limitant ses orgasmes à une ou deux fois par mois, suivant son mérite. Il porte une ceinture de chasteté en permanence. Nous en avons essayé quelques unes que j’avais achetées sur Internet, mais il les trouvait inconfortable et elles ne garantissaient pas le niveau de sécurité que je désirais. Aussi, il y a maintenant huit mois, je lui ai fait faire un piercing afin d’installer un dispositif sur mesure, qui lui convient parfaitement.

Chaque semaine je fais une évaluation de ses efforts au cours des jours passés, et lui explique sur quels points il doit encore s’améliorer. Je décide ensuite s’il a mérité une punition (ce qui est toujours le cas !), et l’informe du nombre de coups de fouet ou de cravache qu’il devra recevoir, et/ou des jours supplémentaires durant lesquels il devra porter sa ceinture de chasteté.


Il doit noter sur le calendrier la date de sa prochaine libération, et la mettre à jour si je décide de le punir en ajoutant un délai. Il sait bien qu’il vaut mieux pour lui ne pas protester quand je lui impose des jours supplémentaires, mais sa déception est visible lorsqu’il doit aller barrer la vieille date pour la remplacer par la nouvelle.

Cela m’amuse toujours, lorsque le jour de la libération approche, de le voir devenir encore plus attentionné et de constater tous les efforts qu’il déploie pour éviter de me contrarier ou de me déranger.


Je lui inflige également des punitions sommaires pour des fautes isolées arrivant durant la semaine, et qui m’ont agacée pour une raison ou une autre. Cependant, la séance hebdomadaire d’évaluation est devenue une pierre angulaire de notre relation. Cela me permet de préciser les services que j’attends de lui et de faire le point sur la semaine qui vient de s’écouler, et ainsi de repartir sur de nouvelles bases pour la semaine suivante.

Timothy m’a dit que ces séances étaient particulièrement importantes pour lui, car il se sentait ainsi « lavé » et pardonné de ses erreurs et ses fautes passées, et cela lui permettait de se concentrer sur la semaine à venir.


Inutile de préciser que j’ai rarement besoin de sévir deux fois pour la même faute, car il sait très bien que la punition est d’une extrême sévérité quand cela arrive !

Au début, je n’étais pas trop sûre de moi en ce qui concerne les punitions corporelles, mais au fil des mois j’ai découvert à force d’essais et de tâtonnements que Timothy pouvait encaisser de sévères corrections, et qu’il en avait même besoin pour atteindre un état de sérénité à la suite de son évaluation. Maintenant je n’ai plus peur d’utiliser la cravache, et comme je le dis moi-même, je suis devenue experte dans la manière d’aligner les coups de badine ! Quand j’ai terminé, il s’agenouille à mes pieds et me remercie de l’avoir corrigé tout en me promettant de me servir encore mieux.


Malgré ce que j’avais dit à Timothy à propos du sexe au début de notre relation, nous sommes devenus beaucoup plus proches au fur et à mesure que les mois passèrent, avec des rapports plus profonds et plus intimes. Maintenant, deux ou trois fois par semaine, il me fait délicieusement jouir avec sa langue. J’ai appris à apprécier son dévouement, et jamais dans ma vie je me suis sentie aussi détendue.


Bien que je garde secret les détails de cette relation vis-à-vis de la plupart de mes connaissances, j’ai parlé de Timothy à une amie très proche, et elle adore venir chez moi prendre un bon repas, qu’il nous prépare et nous sert avec beaucoup de respect. C’est un véritable cordon bleu (ses plats sont aussi bien présentés qu’ils sont délicieux), et il aime faire le service. Elle le taquine sans pitié au sujet de sa domestication, et il finit toujours par devenir rouge d’humiliation lorsqu’elle en a fini avec lui. Paradoxalement, je sais très bien que malgré sa gêne, il raffole de ce traitement et attend toujours avec impatience les visites de mon amie, avec un mélange d’excitation et d’appréhension.

Lorsque nous discutons, ce que nous faisons régulièrement, Timothy me dit qu’il n’a jamais été aussi heureux de sa vie, et je le crois. C’est un garçon intelligent et raffiné, et j’apprécie de l’avoir auprès de moi pour me confier et lui parler. De plus, qu’il est bon pour moi d’avoir un homme à la maison après toutes ces années !


De mon point de vue, bien que j’aie toujours des problèmes avec ma fille qui n’arrive pas à comprendre ce qui se passe (mais qui, je suppose, est en train petit à petit d’accepter les choses comme elles sont), je me sens heureuse comme jamais je ne l’avais été ces dernières années, en tout cas depuis le décès de mon mari. Je pense que votre soutien aux femmes qui veulent vivre ce type de relations ne peut apporter que du bien à long terme.

Dans un des récents témoignages publiés sur votre site, une dominatrice remarquait qu’il était tellement agréable d’être une Reine, et je ne pourrais être plus d’accord !




Réponse d’Elise :


Félicitations à vous, Doreen. Vous et Timothy avez tous les deux découvert de manière consensuelle un mode de vie qui vous satisfait. Le fait qu’il ait été marié avec votre fille ne doit pas constituer un obstacle pour vous, car c’est elle qui a décidé de le quitter, ce qui l’a rendu disponible. Vous-même êtes libre, et deux adultes ont le droit de suivre le mode de vie qu’ils ont choisi.


Je dois reconnaître à Timothy le mérite d’avoir eu le courage de vous avouer ses sentiments envers vous. Il a été honnête, et cette honnêteté a permis de vous inciter à faire des recherches sur ce sujet, et cela a eut pour résultat cette relation exceptionnelle et raffinée dans laquelle chacun satisfait les besoins de l’autre.


La vie est courte et les gens gâchent tellement de leur précieux temps à se demander ce que les autres pensent d’eux, et à essayer de se conformer aux normes de notre société. Il semble que vous et Timothy ayez eu une révélation en explorant un mode de vie fondé sur la domination féminine. Timothy a beaucoup de chance de vous avoir, et, oui, vous avez raison, c’est si agréable d’être une Reine ! Prenez bien soin de vous.



RETOUR SITE

Par LO
Voir les 0 commentaires
Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 17:53
De Cindy B
 

Bonjour Elise : mon nom est Cindy et j'ai 26 ans et j'achève mes études de droit. J'aimerai partager avec vous l'histoire de ma progression dans la domination, et comment j'ai entrainé ce qui a été mon mari, mon "mâle Alpha", à être mon esclave. Quand j'ai quitté le collège à 18 ans j'étais sexuellement naïve. J'ai rencontré mon mari Brian qui avait trois ans de plus que moi. Nous sommes tombés amoureux très vite. Nous étions jeunes, rebelles, et amoureux, alors nous avons décidés de nous marier.

A ce moment notre vie sexuelle était active. Nous avions des relations presque chaque jour, et j'étais très généreuse en ce qui concerne les fellations et les jeux de mains. Il est important de noter qu'il avait une personnalité très macho. C'était un sportif typique avec beaucoup de testostérone. Bien sur c'était juste sa personnalité naturelle et je l'aimais avec tout mon cœur.

Tout semblait parfait. Il a finit ses études et a décroché un bon job. Je suis tombée enceinte à 19 ans et de nouveau à 21 ans. Nous avons eut un beau garçon et une belle fille. J'ai du arrêter mes études mais ses revenus étaient suffisant pour vivre confortablement.

Puis un jour tout a changé. Il y a environ 10 mois, nos enfants étaient chez leur tante, et moi en shopping avec des amies. Mon mari était à la maison, seul, et ne pensait pas que je revienne si tôt. Et bien, ce fut un CHOC, en entrant dans la chambre et en le découvrant se masturbant portant une de mes paires de collant. Il fût extrêmement embarrassé. Je ne savais pas si je devais crier ou pleurer. Je quittais la maison. J'étais chamboulée. Nous avons parlés au téléphone cette nuit là et le lendemain nous avons discutés de visu sur la situation. Il me confessa qu'il était fétichiste des bas, des maillots et des collants. Il me confessa qu'il était aussi très soumis et aimait l'idée que je dirige. 

Fétichisme, désirs de soumission? J'étais juste une jeune femme, et ne connaissait rien à tout cela. Alors j'entamais des recherches sur ce sujet. Avec l'aide de votre site et de quelques autres je finis par prendre connaissance de ce domaine que j'ignorais totalement avant. J'aurai du deviner pour les collants, en plusieurs occasions il m'a acheté de la lingerie, tout y compris des bas. Et je me souviens à présent qu'à chaque fois que j'en portais, il devenait fou. Il me dit ne pas m'avoir parlé de son fétichisme avant, car il en était gêné, mais en mes recherches je me suis aperçue qu'énormément d'hommes sont fétichistes.

En ce qui concerne la soumission.. plus j'ai lu sur ce sujet, plus cela m'a attiré. Je n'y avais pas songé avant, mais l'idée de voir mon gros macho être mon esclave et moi être un Reine dominatrice qui obtient tout ce qu'elle demande me plut vraiment. L'heure d'un changement de vie avait sonné. La première des choses que je lui ordonnais est que s'en était finis de la masturbation. Je m'assure à présent qu'il perde cette petite habitude égoïste en lui faisant porter une CB2000. 

Cela va sans dire mais le temps où je lui faisais des fellations est aussi révolu. Et pas besoin de pénétration. Nous avons déjà deux beaux enfants, et je n'en veux pas d'autres. Au départ, il supplia, il cria, il me demanda de ne pas lui interdire cela, mais je dirige à présent, et je fixe les règles. Cela prit un peu de temps pour tout lui faire accepter, mais il s'y est fait, y compris  le fait que je contrôle ses orgasmes. Bien sur j'ai mes propres besoins sexuels, dont il prend soin avec sa langue ou avec un de mes petits jouets sexuel.  Il fait un superbe travail avec ces devoirs, et mes désirs sont totalement comblés. En ce qui concerne son fétichisme, je l'utilise comme récompense pour un bon comportement. Mais je régule son accès à celui-ci. Déjà j'ai enfermé à clefs mes dessous car visiblement il aime l'idée d'en porter lui même. Ensuite j'en porte assez souvent, mais je ne laisse pas me toucher. Je l'excite de temps en temps en laissant de temps en temps trainer ma jambe contre la sienne en lui souriant comme si de rien n'était. Ou parfois je porte mes collants sous mes pantalons. Je le laisse toucher mon pantalon en disant des choses comme "C'est super. Le collant que je porte sous mon pantalon est fin. C'est si bon de les sentir sur ma peau, quand tu te frottes à moi. Que c'est dommage que tu ne puisse les toucher". Alors .. à la fin de la semaine (ou plus souvent s'il a été TRES bien), si la maison est parfaitement tenue, si les enfants ont bien été mis au lit, si le diner a été bon, je le satisfait. Il y a bien des manières de le faire, mais elles incluent le port dessous et le fait de les laisser les embrasser et toucher, ou même de lui en faire porter un moment. Comme j'aime l'interdire d'orgasme,  et comme l'idée de pratiquer le milking ne m'attire pas, je le laisse avoir un orgasme pour la bonne santé de sa prostate environ une fois toutes les six semaines. Il se masturbe en ayant mis une paire de bas rose puis en les frottant à son pénis. Puis il s'allonge sur le sol et éjacule (aucun lubrifiant autorisé) en me disant combien je suis belle, combien il m'aime et combien je suis une Déesse.

Elise merci beaucoup pour votre site. Il m'a aidé énormément dans cette expérience. Comme vous pouvez imaginer, l'abstinence et l'interdit d'orgasme on changés en mieux mon mari. Il est plus attentif et aimant. Il n'y a plus aucune dispute et nous sommes tous les deux heureux. Nous nous aimons tellement et ce style de vie est parfait pour nous.      

Réponse d'Elise :

Pas besoin de me remercier, mais vous devriez remercier ce jour où vous avez surpris votre mari portant vos collants. Cela l'a obligé à surmonter son ego de mâle et à vous confesser ce qu'il désirait vraiment sexuellement. Il avait cette sexualité secrète qu'il avait peur de partager avec vous en raison de sa fierté de mâle. Mais vous l'avez découverte et il a été forcé de se confronter à la réalité de ce qu'il était et de ce dont il avait besoin. Cela vous a ouvert une porte vers plus d'intimité, car à présent votre vie sexuelle est basée sur la réalité et non pas sur une fausse sexualité correspondant aux attentes de la société. En découvrant son petit secret, cela a provoqué un changement de pouvoir au sein de votre mariage car il est visible que vous êtes tous les deux plus heureux et comblés. Vous utilisez son fétichisme pour le dresser, vous utiliser le teasing ("l'excitation") et l'interdit d'orgasme pour l'obligé à garder son attention sur vos besoins et sur vous. Cela a aussi le merveilleux avantage de rendre les taches ménagères excitantes pour lui car il les voit comme un moyen d'avoir la récompense qu'il attend si désespérément. Cela rend les choses amusantes pour tous les deux.

La sexualité est devenue pour votre plaisir, mais au fond de lui il le désirait très fort car cela le rend plus heureux. Vos jeux avec son esprit sont si excitant pour lui, et le comble sexuellement bien plus que la sexualité que vous aviez avant de découvrir ce style de vie. 

Certaines personnes ne comprennent pas cette dynamique et pensent que la femme est cruelle, mais si elles parlaient avec le mari (ou avec les milliers d'autres soumis dans une relation analogue), ils découvriraient que la nature soumise des hommes fait qu'ils aiment à être contrôlés ainsi, et qu'ils ne veulent pas revenir en arrière. Merci d'avoir partagé votre expérience.  

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 16:47



 

De Mtrs et Ronnie  
Chère Elise, mon partenaire, Ronnie, m’a montré votre site comme une façon d’éveiller graduellement ma dominance au sein de notre relation. J’ai trouvé vos lettres et vos réponses à la fois rassurantes et formatrices. C’est agréable de voir tant de lettres d’hommes qui sont à l’évidence comblés à leur place de soumis, mais j’aimerais partager mon point de vue de femme dominante heureuse.
J’ai rencontré Ronnie il y a deux ans environ. J’ai écrit  une annonce pour un « homme sérieux » dans un journal local, environ six mois après avoir fermé la porte d’un mariage malheureux et dysfonctionnel. J’étais prête pour une autre relation, mais selon mes volontés. Je dois signaler que je n’ai pas passé d’annonce pour trouver un homme soumis (même si c’est ce que j’ai eu), car à ce moment-là, ma nature dominante ne s’était pas encore révélée. Ronnie fut un des douze hommes que je rencontrai en réponse à mon annonce. Bien qu’initialement pas mon favori, je me sentais très bien en sa compagnie et savais instinctivement que nous pourrions être amis. Plusieurs rencontres suivirent et l’attirance grandit car je réalisais que Ronnie était un homme qui communiquait réellement avec les femmes. Sa conversation était intelligente et amusante, et son niveau d’attention était nouveau pour moi. Puis vint le sexe …
Durant notre première nuit il n’y eut pas de pénétration (cela me surprit alors) mais cela fut vraiment mémorable pour d’autres raisons. Je n’avais jamais rencontré un homme aussi tactile ! Alors que nous commencions à nous explorer l’un l’autre, il devint bientôt évident qu’il éprouvait un immense plaisir à me donner du plaisir oralement. Lentement mais sûrement il me révéla de plus en plus d’aspects de sa nature soumise et me convainquit que la réciprocité (en terme d’orgasme) n’était pas essentielle pour lui. Il commença à jouer à m’appeler « maîtresse » et, acceptant mon titre, je commençai à prendre confiance et à m’approprier d’autres aspects de ce rôle.
 
Que fait Ronnie pour moi ?
- Il me donne du plaisir sexuel quand et où je veux. Quel que soit le moment de la journée ou de la nuit, la langue de Ronnie et son pénis sont disponibles pour mon plaisir. Mes orgasmes priment toujours sur les siens. Il ne peut en avoir que lorsque je le lui permets. Comme traitement occasionnel, je m’assieds confortablement sur lui et me frotte doucement pendant qu’il fait son travail avec sa langue.
  1. - Ronnie me demande toujours mon opinion et la respecte pour bien des choses. Le plus important, il respecte mes décisions.
  2. - Il nettoie la maison et doit avoir le look approprié. Cela implique le port de talons hauts, des bas blancs italiens, un slip fin blanc en dentelle et un tablier blanc. Je lui attache aussi des poids aux tétons qu’il doit porter tant que le ménage n’est pas fini. Les poids l’aident à rester concentré sur sa tâche et l’incitent à ne pas lambiner !
  3. - Je lui fait pratiquer un entraînement anal régulier, qui ne manque jamais de le rendre vraiment carpette. (J’ai presque toujours un orgasme en le prenant avec mon god ceinture favori). Peu importe le type de plaisir que j’ai à l’esprit : Ronnie se soumet et tire son bonheur de ma satisfaction.
  4. - Il m’amène le café au lit et, le matin, quand nous ne sommes pas pressés, il me réveille en me léchant avec enthousiasme le cul. Cela le met en condition et j’adore.  
 
Comment ma vie a-t-elle changé depuis que j’assume mon rôle de dominante ?
  1. - Ma vie sexuelle est variée, intense et très satisfaisante.
  2. - J’ai surmonté certain des effets de ma socialisation de femme, et je reconnais que mon désire d’exercer une autorité aimante est devenue naturelle et positive.
  3. - Ronnie et moi avons le plaisir de gérer un site web. J’y affiche certaines chroniques concernant notre vie.
  4. - Nous avons rejoint un groupe BDSM dans notre ville, j’y ai trouvé des amies qui comprennent et acceptent notre relation de Dominante / soumis. Pour mon plus grand bénéfice je suis devenue amie avec une femme dominante expérimentée qui m’aide et me conseille quand j’en ai besoin. Elle m’a récemment assistée pour un anniversaire spécial que j’avais préparé à Ronnie.
  5. - Je suis devenu bien plus à l’aise dans ma peau. Je peux parler librement du sexe pour la première fois de ma vie, et j’ai toujours ce que je veux !
Mais une bonne relation nécessite plus que du super sexe. Ce qui fait que notre relation fonctionne est la reconnaissance de nos rôles complémentaires, une communication ouverte et honnête, un sens de l’humour parfois, un désir partagé de toujours avancer et découvrir des niveaux plus élevés de notre intimité et de notre confiance. J’espère que mon histoire parlera à certains de vos lecteurs et qu’ils trouveront la voie qui les mène à ce mode de vie.
Réponse d’Elise : Merci d’avoir partagé votre merveilleuse relation avec moi. C’est une relation belle et aimante et je suis heureuse pour vous deux. Vous avez avec brio souligné pourquoi les femmes aiment ce style de vie et pourquoi plus de femmes encore gagneraient à le vivre. C’est satisfaisant et épanouissant pour la dominante et le soumis. Envoyez-moi l’adresse de votre site. J’aime toujours lire les histoires des gens vivant cette expérience. Je pourrais même inclure certaines d’entres elles sur mon site si je pense que d’autres peuvent en bénéficier. Merci encore et je souhaite que votre relation continue à évoluer et à s’épanouir.

De William H:
 Chère Mtrs Sutton je vous remercie pour ce site merveilleux qui m’a aidé a comprendre mes désirs de soumission. Vos mots m’ont permis de réaliser que la chose la plus importante pour vivre le vrai bonheur est de trouver la vraie femme avec qui passer notre vie. Je vous en remercie ainsi que tout le genre féminin que j’adore. Depuis trois ans, les deux choses auxquelles je  me suis consacré sans relâche sont ma carrière et mes soirées libres. J’ai pris des cours de cuisine, de couture, de maquillage pour être prêt à la servir de manière correcte quand je la rencontrerai. Je me suis aussi abonné à des journaux féminins pour être au courant des soucis et préoccupations des femmes. J’ai appris à faire des manucures, des pédicures et des massages. Vivant seul dans ma maison, je suis devenu assez bon pour le ménage et le linge. Je laisse toujours ma maison impeccable, comme j’imagine laisser celle de ma maîtresse. J’ai rencontré trois femmes dont je pensais qu’elles pouvaient être celle que j’attends.
 J’ai gâché la première occasion en avouant trop tôt, et trop brusquement mes désirs de soumission et mon besoin d’être mis en esclavage par une femme. 
La seconde me plaisait énormément, mais avait elle aussi des désirs de soumission. Nous en avons parlé comme des amis et avons conclu que nous ne correspondions pas. 
Quand j’avouai à la troisième mes désirs de devenir son esclave, elle me rit au nez et me laissa tomber. J’ai été très déprimé ensuite. Je pensais avoir tout fait bien, mais il semble que la femme dominante de mes rêves est juste un fantasme. J’ai bien rencontré quelques dominatrices dans un groupe BDSM, mais elles étaient professionnelles ou mariées. Et j’étais prêt à laisser tomber quand j’ai rencontré Jennifer. Ma seconde compagne qui était soumise me présenta à elle. Jennifer est l’une des plus belles femmes que j’aie jamais vues, et je ne peux croire qu’elle s’intéresse à moi. Elle a 5 ans de moins que moi et 5 centimètres de plus. C’est une noire très sportive, et je suis un mâle blanc bien peu résistant. Depuis que j’ai commencé ma relation avec elle j’ai appris que les femmes noires sont en règle générale très dominantes, bien plus que la plupart des femmes blanches. Jennifer était agressive, autant sur le plan domestique que sur le plan sexuel dès le début. En peu de temps, elle me fit ramper à ses pieds. Elle me confessa ses désirs de domination avant même que je n’avoue ma soumission et elle me demanda si je voulais devenir son soumis.
Nous avons eu aucun  problème pour endosser nos rôles respectifs et je elle me mit en esclavage total en quelques mois, bien que je connaisse très peu d’elle. Elle travaillait 4 jours par semaine, et je ne la voyais pas ces jours-là, ni le jour, ni la nuit. Elle m’assignait les tâches ménagères à faire pendant son absence et je passais mes nuits à nettoyer son appartement, à faire son linge et ses courses. Elle mit en place une liste de règles de vie pour moi. Sa liberté sexuelle complète figurait en tête. Je devais bien sûr être monogame. Je devais aussi lui demander l’autorisation pour jouir, et obéir à tous ses ordres sans hésitation ni question. Jennifer est une femme bien plus dominante que je ne l’avais rêvé. J’étais et je suis totalement amoureux d’elle. 
Les soirs que nous passions ensemble, j’étais autorisé à prendre soin de ma nouvelle maîtresse. Je faisais ses repas, des massages, prenais soin de ses mains et ongles, et devais adorer ses pieds et son cul. Je ne sais pourquoi, mais elle ne me permit jamais de toucher sa chatte ou de la pénétrer. Je n’ai jamais eu le droit de me masturber ou d’avoir un orgasme sans sa permission. Au départ j’avais le droit à un orgasme par semaine qui bientôt se transforma en un toutes les deux semaines, puis trois semaines. Je devins obsédé par le goût de ses pieds et de son cul et jamais fatigué de les lécher et embrasser. Elle passe beaucoup de temps à s’asseoir sur mon visage et à me dominer. Elle a rajouté l’utilisation du god ceinture, de la fessée, du fouet et de la gifle.  Il est devenu évident pour tous les deux qu’elle peut me faire tout ce qu’elle veut. Quand elle me  pousse sur mes genoux et me met son cul magnifique sur mon visage, je suis sans défense.  Durant notre première année, elle vint s’installer chez moi. Elle prit à ce moment-là totalement contrôle de notre relation, y compris des finances. Pendant les séances de dressage, j’acceptai de fermer mon compte en banque et de lui donner tout mon argent, plus mes moyens de paiement. Je devins si servile que je ne pouvais rien lui refuser.
Il y a six mois Jennifer m’avoua qu’elle était sa vie. C’est une escort girl de luxe. Si elle aime l’homme, elle a des relations sexuelles avec lui. C’est pour cela qu’elle n’a pas besoin de moi pour cela, et qu’elle ne désire pas de pénétration de ma part. C’est aussi pour cela qu’elle aime que je lui lèche le cul et non la chatte. Ses clients l’enculent plusieurs fois la semaine. Je l’ai priée de ne plus vivre ainsi, et je suis prêt à tout lui donner, ma maison, ma voiture tout ce que j’ai si elle arrête. Elle rit de moi et me dit que si elle voulait ma maison et ma voiture elle les aurait déjà obtenues, et que je n’aurais rien pu y faire. Et elle a raison. Jennifer veut continuer à être escort girl encore quelques années. Elle dit qu’elle sera prête à arrêter à trente ans. Elle espère avoir assez d’argent pour se retirer. Il est possible qu’elle ait alors presque un million de côté, surtout depuis que nous vivons sur mes revenus . Elle m’a demandé de l’épouser et de devenir son mari esclave. J’ai un mois pour y penser et lui donner ma décision.  Si j’accepte, ce sera ma dernière décision. Elle prendra possession de tout ce que nous gagnons ensemble. Je devrai signer un contrat de mariage indiquant que je ne posséderai rien.
Elle me dit que nous n’avons fait qu’effleuré la surface de sa personnalité dominante et que je tomberai dans une soumission dont je n’avais jamais rêvé avant.. Je devrai changer mon nom pour prendre le sien. Je n’aurai aucun droit comme mari. Je lui appartiendrai et serai plus un servant ou un esclave qu’un mari. Bien sûr je suis déjà son esclave et elle ne menace pas de me quitter si je ne marie pas avec elle. Je dois vous avouer que je suis effrayé. J’ai peur de ce que ma vie pourrait devenir en tant qu’esclave de Jennifer bien que je n’imagine pas supporter de ne plus être avec elle. C’est la femme de mes rêves et la femme de mes cauchemars en même temps. Je sais que je ne peux attendre des conseils de vous qui en connaissez si peu de nous, mais j’ai senti le besoin de me soulager en me confiant et en l’écrivant. Je ne peux encore croire que cela m’arrive. Je ne peux vivre dans la peur du futur. Je sais que je ne peux vivre sans Jennifer. La pensée de tout devoir recommencer et chercher une femme dominante est plus que je ne pourrais faire. Je n’attends pas que vous me disiez que je dois me marier ou pas avec Jennifer, mais j’aimerais quand même avoir votre avis. 
 
Réponse d’Elise:  
Jennifer semble être une femme qui sait ce qu’elle veut. Elle a des objectifs et des projets planifiés. 
Elle vous aime certainement pour vous proposer le mariage et de plus elle vous mène à la baguette, et veut que l’homme qu’elle épousera le fasse de son propre choix. Comme vous le dites, vous seul pouvez prendre la décision. Il y a quelques mots clés qui manquent à  votre histoire. L’amour, l’adoration. Aimez-vous Jennifer ? L’adorez-vous ? Si non, ne vous mariez pas avec elle. Vous aimez être dominé par une femme et ne voulez pas  vivre en dehors de sa domination, mais aimez-vous cette femme ?  La façon dont vous répondrez à cette question sera votre réponse à la question du mariage. On peut vivre notre vie comme esclave mari d’une femme, mais seul un homme aimant et adorant une femme peut vraiment vivre une telle vie d’obéissance et de dévotion. Vous êtes excité parce que vous avez réussi à trouver la femme de vos rêves et vous ne voulez pas la perdre. Mais qu’en sera-t-il dans cinq ans ? C’est pour cela qu’il doit y avoir un lien très fort d’amour et de respect mutuel. Si vous pensez que cela existe, alors vous seriez fou de ne pas vous marier avec elle. Mais vous respecte-t-elle ? Vous devez aussi avoir confiance dans l’amour qu’elle vous porte.
Même si cela ne sera pas un mariage traditionnel, il doit y avoir de l’amour et du respect mutuel. Arrêtez de penser cinq minutes avec votre queue pour penser avec votre cœur. Si vous l’aimez et pensez qu’elle vous aime, alors mariez-vous. Sinon, je conseillerais de continuer votre relation avec elle comme en ce moment (si elle le veut). Vous avez une grande chance d’avoir une femme si dominante et j’espère que vous allez continuer à la servir avec zèle et enthousiasme. 
Le mariage est un engagement mais pas une extension d’un jeu D&S. 
Il doit y avoir de l’amour, de la dévotion, de l’engagement et du respect des deux côtés. Ce sont les fondements du mariage. La D &S et la domination féminine sont des manières de solidifier ces fondements. 

De Julian C :
 Chère madame, j’ai découvert récemment votre site et je le trouve très inspirant. En tant que sincère croyant en la domination féminine votre intelligence et votre profondeur de vue sur la domination des hommes est incroyable. Je crois que tous les hommes soumis qui ont eu l’honneur de vous donner du plaisir sont chanceux au delà des mots.
Je suis marié depuis 10 mois avec une femme dominante belle et supérieure, j’ai 42 ans et elle en a 31. Notre vie est centrée sur une chose : son plaisir.  Je pense constamment à trouver des nouveaux moyens de lui faire plaisir et de la servir. J’ai lu des magazines de mode féminin pour trouver des idées afin de lui acheter des vêtements tendance. J’ai même pris un cours de cuisine pour apprendre à cuisiner ses plats préférés quand nous ne dînons pas à l’extérieur. 
Nous avons tous les deux découvert les bénéfices merveilleux de la chasteté masculine et je n’ai pas eu de jouissance depuis 6 mois. Je suis toujours en état d’excitation et de besoin, mais ma femme en tire tant de plaisir que je ne veux pas la contrarier en ayant un orgasme. Elle aime m’embrasser passionnément et se frotter à moi quand elle est excitée. Je dois régulièrement la supplier d’arrêter avant que j’aie un accident. 
Puis elle m’ordonne de la satisfaire oralement pour avoir de multiples orgasmes. Elle voyage beaucoup, et quand elle est au loin je pense sans arrêt aux cadeaux que je pourrais acheter pour la surprendre à son retour. 
Il y a deux semaine elle est rentrée d’Europe dans l’après-midi. Je savais qu’elle serait fatiguée, alors j’ai préparé  un bain chaud moussant pour elle. Je l’ai déshabillée et portée jusqu’au bain dans lequel je l’ai doucement posée. J’ai mis de la musique classique, apporté un verre de son Chablis favori et je l’ai laissée respirer. Après une demi-heure, elle a sonné la cloche pour que je vienne l’aider pour la sécher.
Nous sommes allés dans la chambre et je l’ai massée avec une crème luxueuse sur le dos et les jambes. Comme elle se retournait j’ai commencé à lui masser les seins et l’abdomen. Elle poussa ma tête entre ses jambes et je l’amenai à un orgasme lent et explosif. Comme toujours, je lui ai ensuite massé le dos jusqu’à ce qu’elle trouve un sommeil réparateur.
Nous avons mis son réveil pour deux heures et je suis descendu préparer un repas spécial pour son retour. Lors de ce type de soirée, elle aime que je sois nu avec mon collier en cuir blanc et ma laisse en or de 60 cm. J’ai perdu la notion du temps avec le repas. Elle vint derrière moi, passa ses bras autour de moi et me dit, joueuse : « je suis morte de faim. Le dîner doit être prêt d’ici 5 minutes ou je fouette ton cul ». J’adore la façon qu’elle a de me couper le souffle avec sa beauté et sa sensualité. Elle voulait me faire une surprise avec sa tenue et n’a pas voulu d’aide pour s’habiller. Elle portait un pantalon orange de Calvin Klein qui semblait deux tailles trop petites, un col roulé en cachemire qui exposait son ventre, un diamant et un anneau de ventre en platine, et ses chaussures rainbow avec de hauts talons. Je fis le service et restai à ses côtés. Elle tira sur ma laisse et m'embrassa passionnément en taquinant mon membre gonflé. Après le dessert nous entrâmes dans la phase finale de ce que je pensais une soirée parfaite. Elle s’allongea sur son canapé blanc avec des magazines que je lui avais apportés. Je lui servis un brandy et allumai sa cigarette. Elle ne fume pas souvent, mais elle dit, et je suis d’accord, qu’aucun plaisir ne doit lui être interdit. Je me prosternai à ses pieds, enlevai ses chaussures et commençai à les masser avec de la crème.  Son visage reflétait le plaisir et c’était une immense récompense pour moi.  
Enfin pour couronner notre soirée, je lui offris un petit paquet. Un cadeau que j’avais cherché depuis un mois, et j’étais impatient de le lui offrir. Elle ouvrit le paquet pour y trouver un jolie bague d’orteil en diamant et platine ainsi qu’une chaîne de cheville assorti. Elle me demanda comment j’avais eu l’argent pour cela, mon salaire étant déposé sur un compte à son nom. Elle me donne une petite allocation pour mes dépenses, surtout quand elle voyage, mais même en ne mangeant pas depuis une semaine je n’aurais pu lui offrir cela. Je lui dis fièrement que j’avais pris un job à mi-temps la nuit  dans une bijouterie ce qui m’avait permis de me le procurer à un prix intéressant. C’était une belle soirée dont je pensais qu’elle était parfaite, mais mon présent lui déplu. Elle se mit en colère et me donna une gifle magistrale. Elle se leva et me frappa le sexe avec ses pieds, plusieurs fois. Je ne l’avais jamais vue aussi en colère. Elle me dit qu’elle était très mécontente que j’aie pris un travail sans lui demander la permission. Voilà pour notre soirée de rêve… Elle est encore en colère mais je ferai de mon mieux pour qu’elle ne le soit plus.
Réponse d’Elise.
Quelle fin étonnante de votre histoire. J’allais faire un commentaire sur la belle relation que vous aviez sous l’égide de sa domination féminine. Elle a l’air très belle et vous avez de la chance d’être son mari. Ce n’est pas facile de commenter sa réaction et comprendre le pourquoi d’une telle colère sans lui parler, mais il doit s’agir d’un domaine qui touche fortement son autorité.  Vous auriez dû le savoir et vous auriez dû réaliser qu’elle ne serait pas  contente que vous preniez une décision aussi importante sans la consulter. Vous aviez raison de vouloir servir votre Reine.  Je peux dire que vous l’aimez beaucoup et que vous ne voulez rien d’autre que lui faire plaisir. Votre amour pour elle vous a motivé à trouver cet emploi. Mais pour être un bon soumis il faut aussi connaître votre maîtresse, ses désirs et ses besoins. Le bijou était mignon mais elle aurait préféré avoir votre obéissance. Aucun bien matériel n’a autant de valeur que votre attachement et votre obéissance.
La communication entre vous deux est vitale et il faut qu’il y ait une réconciliation immédiate. Demandez-lui pardon, promettez de ne plus jamais prendre une décision importante sans la consulter, et continuez à la servir d’une si belle façon. Vous devez juste communiquer un peu plus pour mieux anticiper ses besoins.

 

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 16:38

 

 

 


De Eve G: 

Bonjour Elise. Je voudrais vous parler de mon mariage et j’ai quelques questions. Avant tout je pratique la suprématie féminine comme vous et j’aime cette vie, bien plus que je ne l’avais imaginé. J’ai eu les plus fabuleux orgasmes de ma vie. Je me suis marié avec mon époux il y a 5 ans et il n’a pas le droit de jouir depuis 5 ans, depuis notre mariage en fait. Sa frustration me permet d’avoir une libido élevée et délicieuse. Il connut son dernier orgasme lors de notre nuit de noces. Il savait ce que nous avions planifié en qualité de couple D&S. Son dernier orgasme tache encore une copie du contrat que nous avions écrit. J’ai fait voulu qu’il laisse la sa semence afin qu’il puisse voir ce qu’il ne pourrait plus jamais faire tant que nous serons mariés. Nous avons une relation aimante, et même si sa frustration grandit toujours, je l’ai en main avec une vraie supériorité. 
Il a un fils d’une relation précédente et j’ai une fille que j’aime plus que la vie. Elle a 16 ans, lui 14. Je l’aime et le traite comme mon fils. Nous leur donnons la meilleure école, et un environnement pour s’épanouir. Nous avons une organisation très fonctionnelle et nous ne pratiquons pas notre style de vie devant eux. Mon beau fils est devenu naturellement très curieux de la sexualité et la semaine dernière je l’ai surpris en train de se masturber devant un magazine dans sa chambre. Le pauvre garçon était si embarrassé, et je l’étais aussi un peu. Je pense qu’il n’avait encore joui mais qu’il n’en était pas loin. Je l’ai fermement grondé, j’ai prit le magazine et lui ai dit que son père et moi parlerions de cela dès son retour à la maison. Nous avons décidé en tant que parents que nous enlèverions la serrure de sa chambre. Nous en avons parlé sérieusement car, en tant que femme dominante, je ne veux pas qu’il se masturbe dans ma maison. Je ne veux aucune semence masculine pouvant salir mon sol. Je laisse ma fille se masturber dans sa chambre fermée. Je lui ai même acheté des jouets pour qu’elle ait plus de plaisir, ainsi qu’un film pour lui montrer ce que peut être l’amour au sein d’un couple. Elle était curieuse. Je pensais que je pourrais l’aider pour découvrir les curiosités qui trottent dans sa tête, car je veux qu’elle grandisse comme une femme forte, sensuelle, et dominante comme moi. Est-ce que je fais bien ? Ne suis-je pas injuste d’interdire la masturbation à mon beau fils et de l’autoriser à ma fille ? Bien sûr, mon mari soumis est toujours d’accord avec ce que je décide. Ne suis-je pas trop salope de laisser ma fille se masturber et de l’interdire à notre fils ? 
Je dois être honnête : j’éprouve du plaisir à interdire cela à notre fils comme je l’interdis à son père, à savoir que la maison est fermement aux mains des femmes. Mon mari porte une CB2000 en permanence, quel objet merveilleux que celui-là ! Serait-il criminel d’en faire porter une à mon beau fils ? Ce sont NOS règles et mon mari est d’accord… Elise, je ne veux pas que du sperme salisse ma maison ! Ce sont mes règles. Que dois-je faire ? Mon beau-fils est, comme mon mari, intelligent et compréhensif. L’autre soir, mon mari lui a parlé avec amour du respect de la règle d’interdiction de masturbation à la maison. Il lui a dit qu’il comprenait ses besoins sexuels mais qu’il devait apprendre le self contrôle. Il lui a expliqué que si on l’attrapait à le refaire, il serait confondu et perdrait certains privilèges, comme de pouvoir jouer aux jeux vidéo. Ils ont eu une longue conversation. Je me sens coupable de l’avoir espionnée et que cela m’ait excité. 
Ma fille et moi parlons librement du sexe ensemble et c’est merveilleux d’avoir une telle relation. Elle me dit être si curieuse et je veux l’aider. Elle aime aguicher les garçons à l’école et elle se transforme en une si jolie fille. Elle me remercie toujours de l’aider, et nous rions et avons de superbes moment en parlant. Je suis vraiment bénie, mais ne serait-ce pas trop cruel de faire mettre une cage de chasteté à mon beau-fils, comme à son père ? Ma fille a avoué le tourmenter occasionnellement de façon très subtile. Un bon apprentissage pour son futur statut de dominante je pense. Votre aide serait grandement appréciée sur ce sujet. Merci encore pour tout ! 
 
Réponse d’Elise : 
C’est toujours super de rencontrer une sœur qui vit très sérieusement ce style de vie. A la façon dont vous décrivez votre mariage, j’avoue aimer votre style. 
Laissez-moi répondre à vos préoccupations sur vos enfants. Philosophiquement parlant, Je suis d’accord avec votre refus de la masturbation masculine sous votre toit. La chasteté et le contrôle des orgasmes des garçons adolescents ainsi que la libération sexuelle des filles correspondent à mes croyances concernant la suprématie féminine. Cependant, la réalité actuelle, les raisons pratiques et la sagesse doivent nous freiner pour mettre en œuvre nos opinions et les imposer à nos enfants. On doit laisser les enfants grandir et développer leur propre sexualité et opinions. Nous pouvons les guider mais nous ne devons jamais les impliquer dans notre style de vie. Votre fils doit découvrir sa nature soumise le temps venu, et de sa propre façon. De même, votre fille doit découvrir sa nature dominante le moment venu et à sa façon. 
Il est de votre responsabilité de discuter de sexualité et des relations humaines avec votre fille. Il est important que vous participiez à la construction d’une belle image d’elle-même, que vous l’aidiez à devenir une jeune femme sûre d’elle-même. Si elle vous parle de sexe, il est de votre devoir parental d’être ouverte et honnête avec elle, de lui donner des conseils qui la protègeront dans cette société folle où nous vivons. Il y a de nombreux dangers en rapport avec la sexualité. Il est de votre devoir de faire en sorte qu’elle les comprenne. De même il est important que vous lui fassiez réaliser quel pouvoir ont les femmes sur les hommes et comment elle doit en user proprement. 
Aguicher les garçons uniquement pour avoir des sensations peut être dangereux. On sait que les garçons violent les femmes. En revanche, il est tout à fait bien pour elle de marcher et parler comme une femme sûre d’elle-même, supérieure, et qui attend que les hommes la traitent comme une reine. Sinon elle n’aurait rien à faire avec eux. Assurez-vous qu’elle comprenne bien à quel point elle est unique, et comme elle doit demander aux garçons de la traiter avec respect et déférence. D’un autre côté, il est aussi important qu’elle voie son beau-père d’une façon favorable, et je vous recommande de garder caché votre style de vie. Dès qu’elle sera adulte, et si elle vous demande de parler de votre relation avec son beau-père, vous pourrez vouloir partager, des choses non visuelles avec elle sur la domination féminine et vos idées sur la suprématie féminine, mais jusque là, il vaut mieux ne rien montrer. 
En ce qui concerne votre beau-fils, vous avez besoin de lui faire connaître les règles de la maison, et il a besoin de savoir que vous êtes sérieuse, et qu’il ferait mieux d’obéir aux règles. Vous devez là encore cacher votre style de vie et le laisser grandir à sa manière. Lui faire porter une cage de chasteté est trop intime. C’est une chose que sa future femme ou sa future petit amie décidera. Pas sa belle mère. A mon avis, vous devriez traiter vos deux enfants de la même façon, alors si vous encouragez votre fille à découvrir son corps et sa sexualité, vous devez faire en sorte que votre fils ne le sache pas. Votre fils a besoin de se sentir unique aussi, et il est trop jeune pour comprendre la domination féminine, l’interdit d’orgasme et de telles pratiques.
Dites-lui juste que vous interdisez la masturbation chez vous par respect pour vous. Mais vous ne pourrez réellement l’empêcher. S’il le fait sous la douche, vous ne le saurez jamais et vous ne pourrez rien faire d’autre que de lui faire confiance. Laissez-lui connaître vos sentiments, dites-lui que sa conscience doit l’obliger à respecter les règles.
En tant que partisane de la suprématie féminine, il est plus important que vous et votre mari appreniez à votre fils comment traiter et respecter les femmes.
Voir comment votre mari agit avec vous chaque jour lui apprendra de manière efficace comment traiter les femmes. Vous avez le droit de lui demander de ne pas se masturber sous votre toit, mais à mon sens la façon dont il va voir les relations femme/mâle est bien plus important. Apprenez-lui à être un gentleman et vous aiderez grandement à défendre la cause de la suprématie féminine.

 

 

RETOUR 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 16:30
Bonjour, je m'appelle Céline, j'ai 25 ans et je domine mon concubin depuis 3 ans.
 
Nous n'avons pas encore d'enfants, mais un beau jour cela va arriver. Je sais que
Maîtresse Sutton conseille de ne pas pratiquer la D/S devant eux. Cependant je suis
très exigeante avec Louis : il doit me vouvoyer en toutes circonstances, m'appeler
"Maîtresse Céline", et très souvent me servir nu.
Il pourra continuer quand notre enfant sera encore bébé, mais plus tard ?
Même si je lui donne l'autorisation de se conduire autrement, il va se couper, tant il 
est habitué. Bref, je crois qu'on ne peut pas cacher à ses enfants la nature de nos
relations. Savoir que leur père est un esclave est-ce si grave ?
Bien à vous,
Maîtresse Céline

 
Réponse Ms. Dana
 

Céline. Je comprends votre question. Combien votre relation vous apporte de bonheur et que vous ne voulez pas en changer pour continuer à vivre votre vie de Reine qui vous plait tant, et qui fait son bonheur à lui. Ce mode de vie, comme vous l’avez découvert peut être merveilleux et donner au couple un avenir certain à notre époque où il y a tant divorces.

Mais voilà. L’enfant arrive et il a sa place, toute sa place. Personne ne peut totalement savoir ce que donnerait l’éducation d’un enfant avec un père ouvertement esclave de sa femme. Certes il existe déjà dans de très nombreux foyer ce genre de situation non avouée où la femme est celle qui décide et dirige ouvertement, sans pour autant avoir de « signes extérieur visible de la situation ». Donc votre question est légitime.

Sans avoir de réponse sur l’impact réel de l’éducation de nos enfants, que pensez vous que nous devions faire : Notre premier devoir de parents est de les protéger et de les éduquer.

Autant je conçois que l’on veuille éduquer nos filles à devenir de futures femmes sures d’elles même et dirigeant leur couple.

Autant je conçois que l’on veuille éduquer nos garçons à devenir des maris, attentifs, aimant doux et serviables, pour leur propre bonheur.

Autant se pose la question de savoir faire cela tout en les protégeant.

 

Alors, en tant que parents l’éducation de vos enfants c’est vous qui la choisissez. Vous avez cette liberté si vous ne mettez pas vos enfants en danger. Vous avez le devoir de les protéger : Les protéger de quoi me direz vous ?

C’est là toute la question. Personne ne peut répondre, mais :

Peut’ on penser que de voir leur père vivre ouvertement soumis obéissant, appelant sa femme Maitresse devant ses propres enfants à un impact sur eux ?

La doctrine actuelle de la psychanalyse, pour faire simple indique que le père sert de référent et à un rôle à jouer dans la structuration mentale des enfants. Il poserait des repères, des règles et serait le symbole de l’autorité ; Voilà que l’on peut penser que la société patriarcale refait surface dans les thèses de nos psy. En quoi la mère ne pourrait pas jouer ce rôle, et pourquoi un père ne devrait pas être « maternel ». Vous voyez même les mots sont formatés pour nous obliger à penser d’une façon. Mais regardons les choses en face.

Bien que très souvent de nos jours le père brille par son absence. Divorce, travail, copains, ou TV … tant de père n’assume rien. Et dans ce cas quel rôle jouent’ il ? Je l’ignore. Il n’en demeure pas moins que de donner l’exemple d’un père esclave peut avoir des conséquences en ce domaine, que nul ne peut par la preuve affirmer, mais tant qu’il existe un risque pour les enfants, il ne faut pas les y exposer.

C’est un sujet à controverse, et chacune fera dans sa relation comme elle le voudra. Hormis que j’écarte totalement le fait de se mettre nu ou d’avoir tout autre manifestation sexuelle devant les enfants, et je n’ai pas besoin d’expliquer pourquoi.

La relation mère dominante / Père soumis existe, et peut ouvertement exister. Mais il faut savoir mesurer les choses, et ma vision personnelle est de montrer aux enfants par l’exemple, que la mère décide et le père obéis. Qu’ils sont heureux de cet équilibre, et donc qu’ils offrent à leur enfants un environnement propice à leur développement serein. Mais aller au delà, personnellement je ne m’y risquerais pas, car qui nous dit que de voir une mère « abusive et autoritaire », traitant ouvertement le père comme un serviteur soumis, ne provoquerait pas la haine des enfants envers leur mère ?

Cette réaction serait sommes toute logique, car la relation D&s ne peut être comprise sans être vécu. Comment voulez vous que les enfants voient tout l’amour de leur mère pour leur père, alors que celle-ci leur montre finalement des manifestations qui leur semblent totalement contraire.

Et pour eux… ce n’est pas souhaitable pour leur épanouissement.

Bien sûr il s’agit de généralité et chaque situation est unique. Mais il faut bien apporter une réponse à toutes celles qui se posent légitimement cette question.

Donc, si vous voulez vivre ce mode de vie avec des enfants, n’enlever pas l’autorité du père sur eux, ne dégrader pas celui ci à leurs yeux. Montrez que la mère dirige bel et bien la maison, que le père lui obéis dans l’amour, et que cela est une relation qui apporte le bonheur à chacun. N’allez pas plus loin à mon sens.

Par LO - Publié dans : La compréhension
Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés