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CERCLES de FEMMES Dominantes.
Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.
Le projet se matérialise, voir ici.
Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.
J'ai toujours pris un malin plaisir à dominer les mâles. En effet, j'ai toujours aimé frustrer les hommes. Très tôt, adolescente, j'adorais allumer les hommes.
Je me souviens, en particulier, d'un professeur de mathématiques, qui n'arrivait plus à se concentrer, et qui évitait de me regarder lorsqu'il faisait l'appel. C'était, l'un de mes premiers cobayes adultes, sur lequel je testais mon nouveau pourvoir, que je croyais être à l'époque, un pouvoir de séduction. Un jour, où il parlait du jeu d'échec, le lapsus fut terrible, un simple croisement de jambe lui fit dire "gland" au lieu de "blanc".
Je n'étais pas une fille facile, bien au contraire, j'étais impossible, mes petits copains de l'époque avaient à peine le droit de frôler mes seins. J'adorais flatter leur entrejambe, sans jamais me livrer à eux. J'étais leur déesse, ils étaient aux petits soins pour moi. De merveilleux souvenirs...
Mais j'ai surtout aimé mater des hommes plus mûrs. C'est eux, qui m'ont appris
l'humiliation. Le premier, s'appelait, Eric. J'avais 16 ans, il était marié, c'était le père d'une de mes amies. Il me ramenait chez moi, je devais passer le week-end avec eux, mais je m'étais disputée avec sa fille. J'avais posé un pied sur le tableau de bord, et l'autre à côté du levier de vitesse. À chaque changement de vitesse, sa main droite cognait contre mon genou. Son excitation était palpable. Mais, il était trop coincé. Alors, je l'ai aidé à se piéger. "Regardez", j'adore les vouvoyer, "mon collant est filé, ma mère va me tuer...". Il m'a emmenée dans un magasin de lingerie. Il était à la fois excité et mort de honte. Encore aujourd'hui, il m'arrive de me masturber en y repensant.
C'est de retour dans sa voiture, qu'il s'est jeté à l'eau, et m'a demandé s'il pouvait caresser mes pieds. Ce fut le premier homme qui s'est branlé en se frottant sur mes pieds. J'ai beaucoup expérimenté avec cet homme. Je l'ai fait tourné en bourrique jusqu'à mes 18 ans. Il a alors quitté sa femme pour vivre avec moi. Je ne l'aimais pas, et il le savait. Je suis resté trois mois avec lui, à l'issue desquelles j'étais encore vierge.
À 28 ans je me suis marié. J'avais envie de fonder un foyer. J'étais très amoureuse. Mais, je n'avais aucune envie de sexe. Je ne vous cacherai pas que je m'étais refusé à lui jusqu'à notre première soirée de noces. Deux ans qu'il attendait. Jamais un homme ne m'avait pénétrée. Il fut doux, et tendre, mais il ne put se retenir. Il était très gêné, et moi j'étais en train de découvrir une nouvelle forme de domination...
Je ne l'avais jamais vraiment dominé jusque-là. Je me refusais juste à lui. Mais, cette première nuit de noces fut le début de sa castration. Les six premiers mois furent terribles pour lui. Je ne me refusais plus à ses assauts, mais je l'humiliais à chaque fois. J'avais beaucoup de plaisir, mais je ne le montrais pas. Je le gardais exclusivement pour moi.
Je le castrais progressivement. Dès que je sentais qu'il allait jouir, qu'il était au bord de l'extase, soit je me retirais en lui disant qu'il venait de me faire mal (le pied !), sois je lui demandais d'accélérer la cadence car je commençais tout juste à sentir mon plaisir monter ce qui provoquait invariablement son éjaculation.
Après six mois de castration, je l'ai forcé à prendre rendez-vous chez un psy pour qu'il lui parle de nos problèmes sexuels. C'était un jeune psy, sans expérience, et la situation était très humiliante. Je l'accablais le pauvre. Le diagnostique fut rapide, monsieur était trop stressé, ce qui provoquait ses éjaculations précoces. Alors, ce fut la deuxième phase de castration. Il essayait d'appliquer consciencieusement les méthodes que le psy lui proposait, mais à chaque fois, je cassais tous ses efforts, par une petite caresse, un gémissement, ou une abstinence trop longue. Je me plaignais de plus en plus de mon insatisfaction lors de nos séances avec le psy, abaissant toujours un peu plus mon mari.
Je ne sais pas exactement pourquoi, mais j'ai fini par éprouver du désir pour ce psy. Pour la première fois, de ma vie, j'avais envie de me livrer à un homme. J'étais attiré par son côté dominateur, et le plaisir d'humilier mon mari dans une relation triangulaire.
La troisième phase de castration débuta. Je repris mon jeu d'adolescente avec le psy, mon mari s'en aperçut très vite, et me fit rapidement des crises de jalousie qui se terminaient au lit par une de ses éjaculations précoces.
Jusqu'au jour où je lui mis le marché en main : pour me garder, il allait devoir être compréhensif, ne l'avais-je pas été avec lui ? Résigné, il du accepter. Et c'est devant lui, dans le cabinet du psy, que quelques jours plus tard, je l'ai cocufié sur le divan. L'effet a été brutal, mon mari est passé du jour au lendemain de l'état d'éjaculateur précoce malheureux, à celui d'un soumis heureux !
Depuis les années ont passé, aujourd'hui, on ne paie plus le psy, j'y vais une fois par semaine accompagnée de mon soumis, et je m'offre sous ses yeux, c'est merveilleux. Bien sur les choses ont beaucoup évolué dans notre couple. Nous avons eu deux enfants, et depuis deux ans, je me suis fait poser un stérilet, et notre psy ne met plus de préservatif. Mon mari ne me pénètre plus. Il a une ceinture de chasteté dont la clé est gardée par son psy, mon amant. Dès que son psy a joui en moi, mon mari se précipite, prend la clé dans le tiroir du bureau, retire sa cage, et vient me nettoyer. Il se vide assez rapidement contre le divan, mais peut me lécher très longtemps. J'adore cette situation, où mon mari me nettoie juste après le passage de mon amant. En fait, sa langue me procure un plaisir intense, très différent de celui de mon amant, mais ils ne le seront jamais. Mon amant risquerait d'être jaloux ! On lui remet sa ceinture, et on se fixe un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante.
Il est devenu notre ami, mais je ne baise avec lui que dans son bureau et en présence de mon mari. C'est pour moi et mon mari, indispensable pour protéger notre couple. Il n'y a aucune autre forme de domination entre mon amant et mon mari en dehors de son bureau. En fait, on a tenté malencontreusement au début de notre relation triangulaire, de partir en vacances à trois. J'étais heureuse de partager deux hommes, mais mon mari en souffrait, ce fut terrible pour lui. Un couple a besoin d'intimité, et il faut établir des limites très claires pour ne pas s'y perdre. Cela dit, il nous est déjà arrivé d'enfreindre la règle, et après une nuit passée avec mon amant, mon mari est toujours heureux de nousapporter le café.
Si vous me lisez, j'espère arriver à vous faire comprendre comment cette situation s'est mise ne place, et le plaisir qu'elle nous procure. Trop souvent je lis des témoignages de femmes qui ne parlent pas assez du plaisir libidinal qu'apporte la domination en dehors des facilités domestiques qu'offre un soumis.
Mais depuis quelques mois, je suis un peu perdue. Nous avons avec mon mari, un désir d'enfant. J'aimerai en avoir un troisième. Mais je ne veux pas que mon mari me pénètre, et je ne veux pas me passer de mon amant. En fait, je ne veux pas rompre cet équilibre. On en a discuté avec mon mari, puis avec mon amant.
Mon mari accepte d'élever un enfant de mon amant, et mon amant veut bien me faire un enfant à la condition qu'on ne lui mente pas sur sa paternité. En fait, pour le bien-être de cet enfant, il faut, et j'en suis convaincue, que notre entourage, ma famille, la famille de mon mari sachent que son père est mon amant. Il ne faut rien lui cacher. Pour mes enfants, ce n'est pas un problème, mes deux petits connaissent mon amant, et savent que maman aime leur papa et un autre homme. Mais pour la famille, c'est plus compliqué !
Pourriez-vous me conseiller .
Réponse Ms.Dana :
Et bien l’on peut dire que vous avez l’instinct de dominatrice dans la peau. Vous avez très tôt et intuitivement saisie et maitrisé le « pouvoir féminin » et l’avez testé sur les hommes. Je ne peux vous en vouloir de l’avoir fait sur un adulte, alors que vous ne l’étiez pas. Je crois que c’est lui qui est à blâmer, et qu’il mérite ce qu’il lui est arrivé.
Passons au cœur du sujet. J’admire la maestria avec laquelle vous dominez mentalement vos soumis, en l’ayant « castré » ainsi. Il a du devenir très vite totalement amoureux fou, d’une femme qui se jouait ainsi de lui. C’est un peu le paradoxe, plus on est humiliante, plus on les rabaisse, plus on les dévalorise … plus nos gentils soumis deviennent fou de nous. Après tout alors pourquoi pas ?! Si c’est efficace, c’est une chose à adopter.
A retenir donc dans ce témoignage mesdames la façon dont Elsa a réussit dans ce domaine, et le résultat final. Il est devenu un soumis totalement heureux.
Et Elsa j’avoue que beaucoup de femmes pourraient prendre exemple sur vous.
Car vous assumer ouvertement votre libération sexuelle. Et s’offrir à son psy pour votre propre plaisir tout en soumettant votre mari est une chose que peu oseraient encore faire.
Et le fait de faire porter par votre amant la clé de la cage de chasteté montre que vous maitrisez à la perfection l’art d’humilier votre soumis. C’est fort !
Et pourtant vous avez totalement raison, car voyez vous le résultat est là ? Il vous adore et vous êtes heureuse et de plus vous désirez tout deux un enfants de plus. Vous avez bâtit une relation solide qui sera surement pérenne si vous continuez à vous imposer en femme épanouie. Vous êtes un exemple de femme ayant utilisé le pouvoir sexuel et la domination mentale.
Pour répondre à votre question :
J’avoue que pour votre désir d’enfant par contre, même si je comprends la situation, je reste assez partagée sur le fait que ce soit votre amant et non votre mari qui vous aide à le faire. Pourquoi ? …
Je pense là à l’enfant qui viendra, je pense aussi à ses frères et sœurs.
Alors je me demandais si, pour une chose si importante qu’est la conception d’un enfant, vous ne pourriez vous pas faire une exception à votre Loi que je partage totalement par ailleurs ?
Car la situation à trois n’est jamais totalement pérenne sachez le.
Et que si avoir un ou des amants est une très bonne chose pour l’épanouissement de la maitresse et la soumission approfondie du mâle, il faut savoir que ce ne sont que des hommes « de passage », et que votre compagnon de vie reste votre soumis. D’autant plus si vous avez des enfants ensemble.
Et si vraiment vous vous refusez absolument que votre soumis puisse vous pénétrer même pour cela, alors pourquoi ne pas demander une insémination en parlant avec votre gynéco. En tout cas prenez le temps de bien réfléchir, et avant tout d’y réfléchir pour le bien de vos enfants et de l’enfant à venir.
Car vous êtes maitresse de votre mari soumis et avez bien tous les droits sur lui, mais vous êtes aussi maman et je n’ai pas besoin de vous rappeler que vous avez de ce fait une immense responsabilité.
En tout cas c’est ainsi que moi je ferai dans un tel cas.
Cette vie apporte tant de liberté, mais « il faut savoir raison garder », comme le disait je crois La Fontaine.
J’imagine enfin, en digression, que vos enfants sont petits, et qu’ils ont donc trouvés naturel que maman puisse aimer deux hommes. Sachez que ce n’est pas si courant.
Car petits ils ont l’esprit totalement ouvert à tout, surtout s’il n’y a pas de confusion sur leur papa et qu’il le voit heureux, tout comme leur maman. Un petit peut tout comprendre intuitivement car il ressent les choses, et si les choses sont positives, il sera heureux. Plus grand par contre la situation eut été je pense un peu plus compliquée.
Je viens de découvrir votre site, et c’est la première fois que je me sens aussi en phase avec vos points de vue et analyses sur la domination. Je vis pour ma part une relation de domination le plus souvent possible avec une Maîtresse, je devrais dire une Déesse pour qui je fais le chauffeur et la bonne de ménage, la bonniche comme elle aime à dire. J’arrive chez elle en général vers 13h, car elle se lève tard, elle a souvent à faire à Paris où je la conduit, je la dépose à ses rdv. Je lui ouvre la porte de la voiture, lui porte son sac, et l’attend comme un bon chauffeur, il m’est arrivé de l’attendre plusieurs heures devant une porte . quand nous regagnions son domicile, je change de tenue, m’habille en bonne blouse et tablier rose et je fais le ménage.Les lessives, étend le linge, changer les draps etc.Il m’arrive de ressortir faire quelques courses si Maîtresse à un souhait particulier pour son dîné. Je sers le repas du soir pour ma déesse et sa fille, après avoir rangé la cuisine passer la serpillière, je m’attaque au repassage, et c’est tard souvent autour de minuit que je vais rejoindre Maîtresse dans son bureau ou a genou j’attends ses ordres, ou la permission de retourner chez moi. J’éprouve un immense plaisir à être la bonne de la maison, à faire les travaux ingrats, J’éprouve aussi un grand plaisir à porter blouses et tablier. Pour moi la fonction se doit d’avoir sa tenue. Les tenues se doivent d’être impeccable, pour moi c’est un signe de soumission comme chauffeur, j’ai une blouse bleue et un tablier de même couleur je ne suis pas le chauffeur en veste et casquette mais clairement l’homme a tout faire de la
maison. Je suis étonné comment avec cette tenue qui n’est pas banale je passe inaperçu, peu de gens dans la rue se retourne étonné. S’ils se retournent quand j’accompagne Maîtresse, mais je sais c’est pour elle. J’éprouve de mon côté un immense plaisir à être dehors faire les courses avec mon tablier.
Au retour dans la maison c’est l‘uniforme d’employée de maison.blouse rayée rose et tablier à bavette assorti ; pour le service de table blouse robe noire et tablier blanc. Je pense que ma Maîtresse aime être servi par une personne en tablier, elle est un peu aristocrate, et aime la sensation d’avoir à ses ordres du personnel. Elle ne m’en parle pas beaucoup pour elle l’important c’est que le travail bien fait. Je n’ai pas encore parlé des punitions. Une des plus sévères dont d’ailleurs je suis le responsable.Un jour, j’ai eu la malheureuse idée de planter quelques orties dans le fond du jardin, et depius j’ai souvent droit à une belle fessée à l’ortie, pour finir elle me les met dans la culotte et elles font effet pendant que je travaille, pas très agréable.Les coup de fouet cravache et autres badines sont bien sur les outils souvent utilisés. Ce que j’apprécie chez Déesse c’est que je suis chez elle pour la servir, la conduire, faire le ménage de sa maison, et cela doit être fait très sérieusement.C’est le service et le travail qui est l’essentiel sinon notre relation n’a pas de sens. Nous parlons aussi beaucoup de nos vies personnelles Maîtresse cherche un mari soumis qui n’a rien avoir avec les bonniches comme moi qui viennent la servir,elle cherche un mari soumis qui aussi devraient participer aux travaux de la maison mais aurait un autre statut. Mais depuis 5 ans que nous nous connaissons j’en ai vu défilé et elle n’a pas encore trouvé chaussure à son pied. Si je pouvais l’aider, je crois qu’elle trouve des prétendants qui sont sincèrement amoureux mais qui se force a être soumis, et qui ne le sont pas réellement et qui n’y trouve pas de vrais plaisirs. Se sentir soumis est pour moi un plaisir extrême et le bonheur est de sentir sa Maîtresse satisfaite recevoir des ordres sont des signes d’amour. Voici ce que je vis avec bonheur je souhaitais vous en faire part.
Réponse de Ms.Dana :
Quelle femme n'a pas eut envie au moins une fois d'avoir un serviteur, un simple, un vrai. Et bien en voilà un qui est heureux de l'etre et qui n'attends rien que de servir sa Maitresse. Et figurez vous il n'a même pas d'intimité avec elle. Voyez ce qu'une femme dominante peut trouver ?
Je te félicite "tablier blanc". Ton histoire est fort interessante et pourrait bien donner des idées à des femmes qui croulent sous les contraintes et sous les tâches ménagères. Un valet, un chauffeur, et qui n'est même pas notre compagnon soumis, en attendant de le trouver lui et de le former.
Sinon si vous vivez deja avec lui, et bien vous devriez lui faire lire ce témoigange qui montre combien un homme soumis peut servir sa Maitresse. Les mâles devraient en prendre exemple.
Bravo et félicitation à Jessica sa Maitresse.
Date: Tue, 5 May 2009
From: marieSE
Subject: traite, domination
Bonjour Maîtresse Dana,
Je m'appelle Marie Séverine, et je suis en train de dominer mon mari.
Je voudrais vous remercier pour la page sur la traite, qui m'a permis de bien avancer sur le sujet.
En effet, je suis en train de condamner progressivement mon mari à la chasteté, et pour éviter les risques médicaux tout en le maintenant sans orgasmes, j'avais besoin de maîtriser cette
technique.
J'ai eu d'autres conseils par ailleurs, et je commence à maîtriser. Mon but est de pouvoir le traire exactement comme je le veux, sans son consentement, pour gérer Mon stock de sperme dans Mon
sexe.
Mais votre page a été déterminante, je vous en remercie.
Pour la petite histoire, mon mari était disons excité par le fantasme de la domination féminine, et pour ma part, c'est une sorte de seconde nature chez moi, longtemps refrénée.
J'ai beaucoup de chance, je suis grande avec une très belle poitrine, un ventre plat, et je suis extrêmement organisée.
Du coup mon mari, (et mes futurs amants ou victimes) sont quelque peu sous emprise, et ne voient pas venir le point de non retour, que j'organise lentement, mais très méticuleusement.
Pour mon mari, j'avance en même temps sur le plan de la chasteté, du contrôle financier, et la restriction d'accès à mon corps, du contrôle de l'information (boite aux lettres, internet, etc
...), des ordres simples, et sur d'autres plans encore.
Ma mécanique est implacable, et je me régale de le voir obligé de se livrer progressivement, en regrettant le temps ou ce n'était qu'un fantasme auquel il songeait en se masturbant ...
Avez vous un forum ? Un groupe ? Peut on partager de l'expérience ? Avez vous beaucoup de KH et de maîtresses ?
En général, les groupes sont en fait fréquentés par des dizaines de petits branleurs (excusez moi) qui se la jouent et qui se tripotent. Pour ma part, je ne joue pas, je domine.
A bientôt.
Marie Séverine.
REPONSE DE MS DANA
Bonjour Marie Séverine.
Déjà félicitation pour ce plaisir et cette détermination que je lis dans votre témoignage. Je suis contente que ma page sur la 'traite' ait pu vous être utile.
Je partage totalement vos convictions, et nous avons bien des points communs.
Je pratique aussi le milking, bien que moi aussi j'ai du au départ explorer cette
technique, qui est parfois délicate au début et pas évidente à maîtriser. Mais quel plaisir que de voir le résultat.
Je rajoute au plaisir, le fait de faire se masturber régulièrement mon soumis devant moi, et souvent je cherche à faire monter en lui la pression en le caressant avec mes pieds, car il est fétichiste. Et j'aime à le voir ainsi très excité en adoration devant moi. Bien évidement il a interdiction de jouir et je lui fais cesser son exercice d'un mot. Car au delà du plaisir que j'en tire, et qu'il a, moi aussi je l'amène ainsi à travers ce genre de rituel à le rendre de plus en plus dépendant de moi.
La chasteté pour un soumis est la première des choses à travailler, elle le rend
toujours plus docile et obéissant. Je ne recommanderai jamais assez le port d'une cage permanente. L'effet est fabuleux.
Le contrôle financier est un élément important de la dépendance. Avoir le chéquier, la carte bleue, voir l'accès seule à ses comptes via l'internet fait qu'il n'a plus le contrôle en ce domaine et ne vie que par nos subsides. Il faut y aller progressivement et leur apprendre à avoir de moins en moins, et à demander avant toute dépense. Cela leur apprend que nous seule décidons. Pour ma part je lui laisse a peine plus que ce dont il a besoin pour ses cafés et ses cigarettes. Mais même pour ces dernière je pense lui apprendre à demander, et ainsi à restreindre sa consommation et resserrez mon emprise.
Comme j'ai des amants, il est aisé de restreindre l'accès à mon corps pour mon soumis. J'aime à le voir me dévorant des yeux à la moindre occasion, et bien sur je ne me met jamais nu devant lui, sauf pour le récompenser. Il faut le voir quand il a l'honneur de toucher, il devient fou de reconnaissance et d'amour.
Le contrôle de l'information est une chose importante à développer. Avoir ses mots de passe, lire ses emails, son courrier, lui interdire de téléphoner sans autorisation, limiter les personnes qu'il peut voir, et les choisir, tout cela nous permet de le contrôler totalement, et le rendre dépendant de notre pouvoir et de nos autorisations. Cela lui apprend qu'il ne dépend et ne doit vivre que par nous.
D'ailleurs dans le fond, c'est souvent ce qu'ils demandent, et en sont les premiers heureux. Alors pourquoi se gêner.
Tout est dans l'exploration de son âme et de ses désirs les plus profonds, pour le rendre heureux dans ce chemin de soumission toujours plus grande qu'il a choisit.
Je suis persuadée que beaucoup de soumis sont ainsi, enfin pour ceux qui veulent se donner les moyens de leurs envie, et connaître le bonheur dans l'appartenance.
Pour ceux-la, il faut faire les choses progressivement, toujours plus loin, mais fermement et avec détermination, sans faiblesse.
Pour vous répondre, oui, il y a un forum associé au site. Suprématie féminine dont vous avez le raccourci en haut a droite de ma page d'accueil.
Je suis certaine qu'avec votre approche et votre soumis, vous irez loin et connaîtrez à deux ce bonheur auquel tant aspirent.
Ms Dana
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