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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 17:00
De Curt L:
 
Chère Ms Sutton : Mon couple basé sur la domination de ma femme a été comme des Montagnes russes psychologiques. Je n’ai pas senti sa domination. C’est très dur d’être un homme qui s’est mis à nu et attend une validation, ne pas avoir la sensation d’être dominé alors qu’on sert du mieux chaque jour. Ajouter à cette anxiété avec ce qui semble bénéfique pour elle et le désir de la servir, et c’est le meilleur cocktail pour se tourmenter. J’y ai beaucoup pensé, mais je savais que si j’en avais trop parlé je l’en aurais dégouté. Je ne l’ai certainement pas plus influencé pour qu’elle me domine dans le lit, mais je voulais qu’elle comprenne la meilleure façon de me prendre (être très ferme, stricte et dure).
Puis un jour je lui ai dis que je voulais que tout redevienne comme avant (je n’en pouvais plus). Elle répondit immédiatement que cela n’arriverait pas et me posa des questions comme « ne le faisons nous pas là maintenant ? ». Sa réaction était claire et prouvait qu’elle aimait les bénéfices de ce mode de vie (les taches ménagères faites, plus d’attention à ses besoins, etc…)
Je lui ai dis que j’avais besoin qu’elle ait une attitude dominante pour me sentir épanouis et la faire passer toujours en premier. Je lui demandais d’être plus ferme, dure et de dresser et punir au besoin.
Les choses s’améliorèrent un peu, mais pas beaucoup. Je continuais à la servir pendant quelques semaines, puis je lui demandais encore si elle ne voulait pas que nous en revenions à notre ancienne vie. Cette fois elle fut très mécontente et me dit définitivement non, et que je ne devais plus jamais reposer la question. Cela me fit penser qu’elle avait fait des progrès, mais j’étais toujours tourmenté par le fait que je ne ressentais pas sa domination sur moi.
Pendant tout ce temps (4 ou 5 mois), j’ai toujours gardé à l’esprit vos conseils pour avoir un cœur de serviteur et séduire sa nature dominante doucement (sans lui mettre la pression). Ce conseil me permit de tenir la route et m’aida à me concentrer sur ses besoins, pas sur les miens. C’est facile à dire, mais la réalité est plus dure. La difficulté étant de ne pas l’influencer pour être dominante.
Puis un jour elle me demanda ce qui n’allait pas. Elle avait du sentir mon attitude changer, car elle m’informa que nous allions avoir une séance de dressage par semaine, et cela immédiatement.
Je sais qu’elle lisait votre livre et je suspecte que cela lui a donné quelques idées, mais depuis les choses changèrent dans notre maison. En plus des dressages, elle est devenue très autoritaire. Il y a eut un vrai changement d’attitude chez elle. Elle dit des choses comme « je veux que la pelouse soit tondue dès que tu rentres à la maison ». Elle me contrôle sans arrêt et me tient avec une laisse très courte (au propre comme au figuré). Je pourrai continuer mais il y a eut une vraie prise de pouvoir et elle le ressent et moi aussi. Je sens maintenant que cela ne va pas être long avant qu’elle devienne plus dominante que je ne le souhaitais.
J’ai déjà perdu quelques privilèges et j’ai reçu l’ordre de faire des choses avec lesquelles je n’étais pas d’accord ou que je n’avais pas envie de faire (mais je lui ai toujours obéis). Mais j’accepte toutes ses décisions. Elle devient aussi plus expérimenté lors des sessions de dressage. L’autre soir elle me demanda si je voulais une pipe. Je lui dis oui bien sur (surtout que j’avais été frustré depuis un certain temps), et je pensais en avoir (la dernière remontait à 4 ou 5 mois). Ce que je reçus fut une bouche remplit par un god-ceinture avec l’ordre de le prendre en entier dans la bouche, etc. Elle dit « tu l’as demandé et tu l’as, et il n’y aura pas de retour arrière" .
Avant ma proposition d’avoir une relation basée sur la domination féminine au sein de notre couple, notre mariage battait de l’aile. Je ne dirai pas que nous allions vers le divorce, mais nous n’étions pas heureux. Le résultat de notre nouveau mode de vie est que jamais je ne me suis senti plus proche d’Elle ou de quiconque dans ma vie. De plus je ne savais pas que j’étais capable de faire autant attention à quelqu’un comme je le fais à présent. Récemment elle a dit à peu près la même chose sur moi. Mon sentiment est que nous sommes sur la bonne voie.  J’apprends à la servir et elle apprend comment me contrôler et me dominer. Je me sens plus calme et profite du voyage et il y en aura plus encore à l’avenir. Je voulais aussi vous remercier pour votre travail, car sans lui, je suis certain que nous n’en serions pas là, en terme d’amour et d’implication de l’un envers l’autre et dans notre style de vie qui nous aide à nous accomplir.
Depuis le début je suis vos conseils du mieux que je peux. Je dois admettre que je n’étais pas d’accord avec tout ce que vous avez écrit, mais en vivant cette expérience cela m’a prouvé que vous aviez raison depuis le début. J’espère que vous êtes fière d’aider ainsi les gens à changer positivement leur vie.
 
Réponse d’Elise
 
J’apprécie vos gentils mots, mais vous devez remercier votre femme pour avoir eut le courage d’embrasser sa nature dominante et ce style de vie.
Vous avez planté la graine en lui montrant les bénéfices en la servant, et cela a porté ses fruits. Mais la clé est votre patience. Vous avez eu à lutter, et ce peut-être difficile pour un mâle soumis de mettre ses désirs sexuels de D&s de coté, pour se recentrer sur les taches domestiques du mariage où la femme domine. Mais la patience est un must. Comme le fermier qui plante ses graines, il doit être patient alors qu’il arrose et cultive le sol. Des semaines et même des mois peuvent passer sans signe évident de changement que ces graines poussent. Mais soudain, elles apparaissent.
Souvent une femme est en prise avec des luttes internes en ce qui concerne ses besoins sexuels. Faire le transfert des taches domestiques vers la sexualité n’est pas toujours facile. Il un a un processus d’éducation et de maturation qui doit avoir lieu pour le vivre avec bonheur.
Le mâle est prêt à y aller et il sait ce qu’il veut. Mais la femme peut ne pas en être aussi certaine. Elle sait qu’elle aime ces aspects dominant en elle et elle sent que l’autorité féminine est une bonne chose, mais en fonction de son éducation et de ses attentes sociales, elle peut avoir besoin de temps (et parfois de beaucoup de temps) pour embrasser pleinement la domination même dans la chambre. C’est là où votre patience rentre en jeu. C’est là où vous devez arroser ces graines avec votre servitude domestique et votre attitude d’adoration.
Votre histoire est un vrai témoignage que séduire la nature dominante d’une femme à travers une servitude réelle et des sacrifices fonctionne vraiment, si l’homme reste décidé malgré les aléas. La femme pourra faire trois pas en avant et deux pas en arrière, mais il est important que le mâle n’oubli jamais l’objectif. C’est quand la femme est incertaine que l’homme doit être plus que compréhensif et même vouloir encore plus placer la femme au-dessus de lui et de ses besoins. Et cela peut signifier mettre entre parenthèses les activités de la chambre pour mettre en avant les taches domestiques et les aspects sociaux de la domination féminine.
Je suis certaine que vous pourrez témoigner que la récompense en valait la peine. Une fois que la vie sexuelle est adoptée en ce mode de vie, elle dépasse les attentes de la plupart des gens. 
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 07:05

Carl M:

Dans le journal du soumis de Mtrs Ashley (magazine Prédominant de Mars/avril) on évoque la Chambre de privation sensorielle. Cela me parle car j’ai faillis en construire un tel endroit de mise dans le sous-espace pour mon ex femme Anna. Malheureusement nous vivions dans un lieu qui ne le permettait pas, mais nous avons parlé de faire un « donjon » et qu’il nous faudrait donc acheter une maison.

Anna adorait le terme « hors jeu », un moment contemplatif que je gagnais en admirant une femme attirante et en oubliant de porter mon attention sur Elle. Ainsi je gagnais un moment contemplatif, quand je discutais en fleuretant avec une voisine, ou regardais une passante bien faite dans un centre commercial. Une autre façon de gagner un tel moment était ma conduite au restaurant que nous fréquentions. Pendant un événement sportif, elle aurait demandé un siège pour être bien en face de la TV (un objet nommé « le pacificateur de mâle ». Je gagnais un moment de contemplation, si mes yeux quittaient la table pour regarder la TV (ou une serveuse). Cette idée était une extrapolation « d’histoire d’O », évoquant la scène du diner où les soumis étaient punis pour regarder au-dessus de la table.

Inversement, si je faisais le moindre commentaire pendant qu’elle regardait les compétitions de danse à la maison, elle me mettait mon bâillon. Mon travail était juste de garder son verre de vin rempli, et de me taire.    

Le moment « hors jeu » pour elle se matérialisait par le fait de me mettre à genoux (ce qui n’était pas si confortable car il y avait de la moquette, elle n’a jamais pensé à me le faire passer sur le carrelage de l’entrée où elle aurait pu mettre du riz par terre ou bien un paillasson), attaché dans le dos avec mes menottes, en face d’un mur tout en contemplant une photo d’Elle. Elle avait une tenue très sexy qui lui allait a merveille ; Elle avait mis une photo que j’adorai. Pour être libéré, je devais rester ainsi au moins 10 minutes, puis la convaincre que j’avais eu une pénitence suffisante. Elle me demandait par exemple pourquoi j’avais trouvé un match à la Tv plus intéressant qu’Elle, ou me faisait répéter « Tu es la femme la plus belle du monde » jusqu’à ce que le ton de ma voix exprime suffisamment d’émotions. Parfois elle me donnait plusieurs grands verres d’eau pour que ma pénitence dure jusqu’à ce que  je n’en tienne plus et la supplie d’aller aux toilettes. Si le "humbler" avait été disponible je suis certain qu’elle l’aurait utilisée lors de « hors jeu », car il aurait été idéal pour ces moments là. 

Bien sur aucune relation n’est parfaite. Parfois j’avais des périodes de « hors jeu » que je trouvais totalement injustifiées, ou d’autres où je n’étais pas dans l’état d’esprit d’un soumis et je vivais mal car je les tolérais mais ne les voulais pas. Mais la plupart du temps le « hors jeu » était une bonne façon de déstresser. Il me donnait une aide pour basculer vers le monde où seule Anna comptait. Je tirais du réconfort de la difficulté que ces périodes m’imposaient. Cela me donnait un objectif clair, et définissait le comportement que je devais avoir pour atteindre cet objectif. Cela cassait mes barrières émotionnelles et me donnait la force d’avancer dans ma soumission. Parfois je fondais en larme à ces moments durs de contrition. Au départ cela gênait Anna, mais nous en avons discutés et elle s’est habituée à cela car elle comprenait le mécanisme qui cassait véritablement mon égo de mâle. Quand j’étais libéré j’étais totalement prêt pour être battu ou pris avec le god ceinture (que j’accueillais presque avec le sourire). Cette phase transitionnelle de « hors jeu » me donnait le moyen de me recentrer sur Anna et d’expier une partie de mes mauvais comportements dans notre relation.

Merci encore pour nous offrir le moyen de partager nos expériences.

 

Réponse d’Elise :

Carl, merci d’avoir partagé avec nous cette expérience sur vos « hors jeu », La chambre de privation sensorielle d’Ashley est une pièce pour « hors jeu ». Elle peut aussi être utilisée comme un mini donjon, mais quand elle enferme son mari dedans, que ce soit pour une courte ou une longue période, c’est un endroit où il est forcé de se recentrer sur sa femme et sur sa soumission. C’est un endroit où les autres préoccupations ou les autres centres d’intérêts ne sont pas autorisés à entrer. Mais comme vous le soulignez à raison, on n’a pas besoin d’avoir une pièce spécifique pour cela. Les périodes « au coin » peuvent être très efficaces, tout comme les périodes à genoux ou tout autre forme de bondage. Cette pièce aide beaucoup le soumis car il n’a pas le choix quand il y est enfermé. Mais les moments « au coin » ou « hors jeu » (que je considère comme identiques)  requièrent plus de discipline mentale de la part du soumis et lui demande encore plus de sacrifice.

Ce qui compte finalement le plus, c’est le comportement du mâle quand il est libéré de la chambre, du coin ou du hors jeu. S’il se rend et se laisse aller à la punition il rentrera dans le « sous espace » en ne pensant plus qu’à sa maitresse et il sera dans un état d’esprit de totale soumission une fois libéré. Alors il pourra servir sa maitresse avec un esprit clair et un engagement renouvelé.

Tout ces « hors jeux » sont fait pour modifier l’attitude du soumis et le faire progresser. Son esprit est comme une TV et il peut être programmé sur un certain nombre de chaine. La volonté humaine est ce qui va déterminer la chaine programmée. L’esprit du mâle qui est préoccupé par le foot ou les jeux ou sur une attitude négative a juste besoin de « changer de chaine » et d’être mis sur la chaine de la beauté et de l’autorité de sa Déesse. Un « hors jeu » permet à l’esprit de changer de chaine, afin que de nouvelles pensées et de nouvelles images mentales puissent dominer son esprit. Cela lui permet la quiétude, la méditation sur la femme, et il permet à l’esprit du soumis de « changer de chaine » pour se mettre au diapason de ce qui est vraiment important dans sa vie.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 10 septembre 6 10 /09 /Sep 07:48

De Mark B:

 

Chère Maîtresse Sutton, j’aimerais vous conter ma récente expérience. Ma femme et moi avons vécu un mariage raisonnable pendant plus de 10 ans. La plupart du temps ce fut merveilleux, parfois moyen et parfois très nul. Une description classique j’imagine. Cependant je suis tombé sur votre site il y a deux mois et une lumière s’alluma dans mon esprit qui fit que tout me parut plus clair. Voici les traits de notre mariage jusqu’ici :

- Elle a toujours décidé qui conduit la voiture.

- Elle a toujours décidé du début des moments intimes.

- Je fais généralement la vaisselle

- Je fais toujours les repas le week-end

- Je me lève d’abord et lui fais son petit déjeuner et lui apporte au lit, tout comme je fais celui des enfants. Cela lui donne le temps de prendre sa douche et de se préparer pour la journée.

Comme vous pouvez le constater, notre mariage donne déjà quelques indications du partenaire dominant. En lisant votre site, cependant, j’ai eu la sensation désagréable que tout n’était pas aussi bien que cela pourrait être et que nous ne sommes pas épanouis en raison du fait que nous pourrions faire bien plus dans notre relation.

Ce qui est étonnant c’est que tout cela s’est passé alors que j'avais mis notre couple dans une situation financière délicate et, le pire, sans que ma femme soit au courant ! Lorsque je le fis, elle ne se mit pas en colère. Elle admit qu’elle savait qu’il y avait de sérieux problèmes. Nous avons longtemps discuté, et elle décida de prendre le contrôle des finances. Au départ elle désirait simplement s’informer. A présent, elle possède un contrôle total et je dois lui rendre compte de tout centime dépensé. Ma carte de crédit ne sera pas renouvelée, et mon salaire sera bientôt versé sur son compte, duquel elle me versera une petite allocation. Pour tout le reste je dois lui demander et elle décide si c’est une dépense utile.

Le moment où elle a choisi de prendre le dessus était significatif. J’étais en train de lire dans la chambre, elle entra se pencha vers moi et dit “Tu sais, tu peux à partir de maintenant t’occuper du linge, et je m’occuperai de l’argent. Ok ?”. A ma surprise, je fus incroyablement excité par cette nouvelle situation.

Le fait est que le soulagement est incroyable. J’éprouve un vif plaisir dans le fait qu’elle contrôle cet aspect de notre vie ! Notre situation financière s’est déjà améliorée et je voulais vous remercier pour votre site, pour l’inspiration qu’il m’a donné, pour encourager plus encore la dominance de ma femme et le fait qu’à présent je vis à la place où je me sens vraiment moi-même.

 

Réponse d’Elise : 

Et bien Marc, on dirait que vous viviez dans une relation de Femme Dominante avant même de découvrir mon site. Cela n’incluait pas de D&s mais vous serviez votre femme et vous vous soumettiez à son autorité. C’est pour cela que vous avez eu un mariage heureux. Quand un homme préfère sa femme et dédie sa vie à son bonheur, alors la paix et l’harmonie et l’amour règnent à la maison.

Naturellement vous avez eu des hauts et des bas, mais toutes les relations en ont. Même le couple le plus dédié à la domination féminine et vivant 24h sur 24h ce mode de vie aura des défis. Vous avez trouvé mon site, vous avez réalisé que vous pourriez être un bien meilleur époux, votre mariage est devenu plus fort. Un grand mariage demande du travail et un homme ne devrait jamais arrêter de vouloir devenir un meilleur mari.

Les finances sont en général l’aspect le plus difficile à abandonner pour un homme, car elles représentent la liberté et le pouvoir. La femme contrôle les finances de la maison dans la plupart des mariages, quelle soit dominante ou pas, car elle se débrouille en général mieux avec le budget. Mais ce n’est pas toujours le cas et l’homme peut être plus talentueux pour cela dans certains mariages. Mais même dans ces mariages, il est toujours mieux que la femme ait le dernier mot, même si l’homme gère les comptes et fait les investissements.

Ce qui m’étonne c'est de rencontrer des couples qui ont des soucis financiers car le mari se débrouille très mal mais il refuse de donner à la femme le contrôle des finances à cause de sa fierté de mâle. L'homme doit être fort pour admettre que le couple fonctionnerait mieux si la femme contrôlait l’argent. Vous avez fait cela, vous êtes plus heureux à présent, et votre situation financière s’est améliorée.

Vous avez fait un don spécial à votre femme en lui faisant confiance dans le contrôle financier. Il n’est pas facile d’abandonner votre liberté dans ce domaine mais vous avez donné plus de pouvoir encore à votre maîtresse. Cela va rendre votre vie de soumission plus profonde encore. Elle va se sentir plus à l’aise dans son rôle dominant et je pense qu’elle deviendra encore plus dominante.

Continuez ainsi et pensez à toujours à vous battre pour rendre votre femme heureuse.


Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Vendredi 9 septembre 5 09 /09 /Sep 06:47

Je le sentais depuis longtemps. Depuis l'age de 6 ans, l'adoration de la femme est ancrée en moi. Mais je ne me suis révélé a moi même que très récemment.Depuis 1 an, depuis que j'ai rencontre "Celle Qui Est", "Ma Déesse". Celle qui peux m'imposer sa volonté. Ses désirs sont La Loi. Ses désirs ? Je fais mon mieux pour les devancer. Et peut m'importe le jugement des autres. Personne ne peut s'immiscer dans la vie intime d'un couple ou même juger l'équilibre qui s'établit. Elle, Elle est resplendissante. Quand je la regarde, c'est sur mon coeur comme sentir le soleil sur ma peau. Je ne peux pas vivre sans elle.Je l’ai toujours attendue. Pourtant, cette relation de type D/s me semble bien différent de beaucoup de témoignage que je lis sur les sites parlant de suprématie féminine. Dans les taches de la vie courante, comme celles de la maison, je fais plus qu’elle, mais on partage beaucoup de chose. Le ratio est a 60% pour moi et 40% pour elle. Et si je fais un peu plus c’est parce que je le veux et que je l’empêche de tout faire. Si je lui laissais 100%, elle ferait 100%. Pourtant se serai la un plaisir et non de la soumission de tout assurer a sa place pendant qu’elle se repose. Dans nos relations sociales notre couple a l’image d’un couple classique. Même si tout le monde voit son caractère dominant et mon admiration pour elle. Sexuellement elle aime être dominée et se donner a moi. Mais je ne lui impose jamais rien. Ma vocation est son bonheur.Et par amour elle m’accorde beaucoup de chose comparé a d’autres couples pratiquant la D /s. Tout ne semble être qu’une question de caractère fort et faible, et malgré tout on forme un couple équilibré et traditionnel.Mais je suis bien soumis au sein de mon couple. Elle Domine « Nous ». Je vais expliquer pourquoi  

Alors voici comment s’articule notre relation. Dominante, elle l’est naturellement. C’est sa nature. Mais.

Elle aime, se sentir femme, être protégée, être fragile, être aimée, être la seule et l’unique, être le premier amour de ma vie, être possédée, « prise », se sentir a moi pendant l’acte d’amour. Et pourtant, ce n’est pas une femme-enfant, un bébé qui a besoin d’un autre papa. Elle est plus  « homme » que tous ceux que je connais. Elle est la personne forte de notre couple. Mais elle me demande d’être encore plus fort pour lui prouver que je suis l’homme qui la mérite.Alors, je dois être fort, puissant, combatif, agressif pour défendre notre famille, ramener l’argent a la maison, assurer la stabilité, être un male dominant dans la vie, et lui faire sentir qu’elle est a moi. Je dois être son épaule, ses jambes, son bouclier, son épée. Frapper avant qu’elle ne l’envisage.Et pourtant je dois avouer être d’une nature passive et rêveuse, ne pas aimer la confrontation ou la violence. Etre le chef de meute ne m’intéresse pas. Mais si je failli, si je ne suis plus l’homme qu’elle veut que je sois, je la perds.Je vis avec la peur de la perdre. Car des le début elle m’a annoncé que si jamais je n’étais pas a la hauteur elle me quitterait même si nous nous sommes engages. Elle m’a dit qu’elle pourrait vivre sans moi que je ne suis qu’un « plus » dans sa vie. Libre a moi d’etre le « bon » plus. Cette crainte, je veux vivre avec car elle me rend meilleur pour elle et pour moi aussi. Elle prend toutes les décisions. Sauf quand je dois les prendre avant elle. D’un regard, d’un mot, d’un geste, elle me brise. Physiquement, je suis un homme puissant, les coups, les blessures ne m’ont jamais effrayé.

Mais par le seul pouvoir de sa volonté sur la mienne, je sens que mes os pourraient se briser dans ses mains. Ce que j’exprime ici avec des mots, c’est pour moi une réalité physique, elle pourrait me casser en deux. Je suis une feuille de papier entre ses mains. Je pense que ma soumission peut se lire et se comprendre ici. Ma nature de soumis pourrait me pousser a accepter les « humiliations-violences-privations » les plus extrêmes si ELLE le désirait (Tout pour ELLE). Même si je ne comprends pas comment on peut accepter/aimer le masochisme, la prostitution, l’adultère en tant que tel, parce qu’on aime ça. Je l’accepterai pour elle, même si c’est un viol pour moi. Elle pourrait m’emmener la, si c’est sa nature. ET seulement si je sens qu’elle m’Aime en premier, qu’elle m’Aime toujours et que je suis le seul dans son cœur. Pourquoi je pourrais autant me soumettre a sa volonté, son contrôle et atteindre ces extrêmes ?

Pour la plus vertueuse des raisons, pour le plus pur des sentiments, simplement par amour. Par passion pour elle. Pourquoi ? Parce que ma nature de soumis « a besoin » de sentir que je lui appartient plus encore, que je lui donne tout, que je lui offre toutes les possibilités de possession de mon âme et de mon corps. Je lui ai dit combien je l’aime, que ma vie est entre ses mains, que je ferai tout pour elle. En déclaration d’amour  sans penser D/s, je lui ai dit qu’elle pourrait me vendre, me violer, me tromper, si la était son plaisir. Je le lui ai dit pour qu’elle sache jusqu’où mon amour peut aller pour elle et parce que je lui appartiens. Pas pour assouvir quelconque fantasme de viol/cocufiage/masochisme.  Si en général je suppose qu’une relation de D/s se construit avant tout sur une base fantasmagorique du male ou de la femelle. Alors au travers de mon amour, mon fantasme c’est de lui appartenir corps et âme. Le paradoxe est que lui donner le contrôle, c’est accepter l’inacceptable par sa volonté et parce qu’elle m’aime. Car aucune des situations extrêmes dans lequel un soumis peut se trouver ne me font ou ne m’ont fait fantasmer. Aujourd’hui je ne peux pas être plus soumis, que je ne le suis déjà. C’est une frustration qu’elle ne me possède pas plus qu’elle ne m’utilise pas plus. C’est une frustration cette liberté qu’elle me laisse. Peut être évoluera t’elle. Personnellement je m’en fou. Mon intérêt est avant tout son intérêt. Mais si c’est le cas je la suivrai, pour son bonheur. Me forcer a respecter sa vie, son choix, son équilibre, C’est la ma soumission. Son Bonheur a tout prix c’est ma soumission.  Certains pourront se dire : « mais oui mon gars mais tu baise quand tu veux et tu viens parler de soumission !». Oui je peux demander de faire l’amour autant de fois que je veux. Mais je sais qu’elle n’acceptera que si elle a envie. Et si son plaisir c’est de faire l’amour 5 fois par jour. Alors on le fera 5 fois. Si elle ne veut pas faire l’amour pendant 1 mois qu’elle que soit la raison, je respecte son choix. Mais comme, quand nous nous somme mis ensemble, elle m’a dit : « A partir de maintenant ta bite est a moi. » Alors pendant un mois je ne me touche pas. Aujourd’hui ça fait 4 mois qu’elle est en déplacement pour raison professionnelle à l’autre bout de la planète. Alors Ca fait 4 mois que je n’ai pas d’orgasmes. Et je ne sais pas si elle s’en accorde. Elle aurait tord de ne pas le faire. 

Mon Amour, ma Déesse, ma loi !

Réponse :  

C’est une ode à l’amour, c’est aussi une preuve que le pouvoir féminin existe par l’attirance que l’homme ressent vers la femme à travers tous les pores de sa peau et de son âme. C’est aussi une image des premiers moments, ainsi que de l’inclinaison que l’homme à dans sa soumission envers la femme. C’est enfin un peu l’image de l’éducation de notre société qui veut que les hommes soient « fort » à leurs propres yeux et aux yeux de leur dame parfois. Etre fort n’est pas incompatible avec être  amoureux et soumis à tous les désirs de sa Reine. Votre intimité le prouve, puisqu’elle permet à votre dame de vivre ce qu’elle aime. C’est cela la soumission. 

Roland, je n’ai pas à vous inciter à l’aimer et la servir. Je crois que vous le faites déjà. Votre lettre est belle et je suis certaine que bien des femmes aimeraient être la muse d’une telle prose. Et je vous souhaite le meilleur.

Mtrs Dana et Lo

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 17:07

Q. Bonjour Mtrs Sutton : Vos réponses intelligentes et recherchées font que je me tourne vers vous pour avoir de l’aide. Je suis un mâle soumis de 42 ans et vis une relation 24/7, mais j’ai des soucis.  

Mon attention à ses besoins n’est pas aussi grande qu’elle le fut. Nous essayons vraiment de trouver notre voie dans cette vie que nous nous sommes choisie. Nous sommes ensemble depuis 2 ans et la D &s à toujours été notre façon d’être. Nous vivons cela de manière permanente depuis un mois à présent. Nous aimons aussi le BDSM et avons une grande collection de jouets. Maîtresse C m’a donné une belle vie. Son niveau de confort est lié à ce qu’elle pense que je suis capable de pouvoir faire. C’est une personne très intelligente et je suis si amoureux d’elle. Alors je vous demande, comme à moi même pourquoi je n’ai pas les capacités pour être un meilleur soumis. D’où vient ma distraction qui m’empêche d’être dans mon histoire ?

De plus, depuis le début de notre aventure dans la D &s, j’ai toujours eu ce désir permanent d’être cassé par elle. Pour moi c’est un fait que je ferai tout sans hésitation pour elle, particulièrement pour ses fantasmes les plus sombres. C’est un point important pour moi. D’où cela provient-il et qu’est-ce que cela signifie ? 

Enfin et surtout, nous avons découvert que je la manipulais. Comment puis-je changer cela ? A présent je n’ai plus confiance dans ce que je veux partager avec elle. Je recommence à vouloir diriger. Est-ce « une chose » que je veux partager avec elle ou bien est-ce bien une action de soumission motivée ? Cela me rend incertain et peu sûr de moi. Je veux tellement faire pour le mieux, car ses punitions sont si légères aux regards de mes regrets quand je vois mon manque d’attention et de performance. La CB 3000, le port forcé du plug pendant mes tâches ménagères et en ville et ses autres méthodes d’éducation sont toutes très efficaces. Il est évident que je pourrais juste attendre et faire uniquement ce qu’elle m’ordonne, mais ne dois-je pas aller au delà pour essayer de la satisfaire ? Une des choses qu’elle aime en moi est ma créativité et mon imagination. Cela semble pourtant une bonne chose. 

Merci de votre implication et des cadeaux que vous nous faites de votre temps. Je suis ce que je suis devenu grâce à vous et je réalise que j’ai tant à donner. Si vous pensez que cette lettre peut aider les autres, utilisez-la à votre convenance.  

R. Vos mots révèlent que vous avez l’attitude appropriée et c’est la chose la plus importante : le désir de plaire à votre Maîtresse. Tout le reste viendra de lui-même tant qu’il y aura de l’amour, du dialogue et de l’engagement. 

Dans les recherches que je fais pour mon nouveau livre j’ai rencontré des couples merveilleux. J’ai partagé certaines expériences qui choqueront et étonneront et j’ai eu le privilège d’observer comment certains couples incorporent la domination féminine dans leur relation. Ce qui transparait, c’est que les couples qui vivent le mieux ce style de vie ont ceux qui ont le meilleur équilibre. La D&s peut être très intense et la dynamique de la domination féminine est réelle et puissante. Cependant, peu importe votre volonté de devenir plus soumis et peu importe le niveau de domination qu’une femme veut atteindre, vous devez être vous-même. Vous êtes un individu avec une personnalité unique qui possède de nombreux talents et dons. Personne n’est parfait et nous avons tous nos défauts.

Dans mon prochain livre, j’approfondis ce qui fait un soumis réussi et ce qui fait qu’une femme réussisse en sa dominance. Ce que je peux vous dire, c'est qu'il faut être relax, être vous-même et avoir du plaisir en ce mode de vie. Ne vous mettez pas la pression et ne vous fustigez pas. Le fait que vous vouliez être parfait pour votre maîtresse est une belle attitude et vous devez chercher à être un homme d’excellence pour elle. Cependant, vous ne serez jamais parfait et vous ferez des erreurs. Alors vous devez intégrer cela.

La distraction que vous évoquez vient de votre vie. Vous voulez être attentif à votre maîtresse en permanence et vous voulez anticiper ses besoins. Cela doit être votre but et vous devez chercher à l’atteindre. Mais la vie vous distrait. Votre travail, les membres de votre famille, vos possessions matérielles, tout cela interfère. 

La réalité du monde est inévitable et vous devez parfois gérer ces interférences. Ce serait si merveilleux si vous pouviez dédier tout votre temps et votre attention à votre Maîtresse et passer tout vos instants à satisfaire ses besoins. Mais vous devez aller travailler, vous devez assurer la vie quotidienne, amener la voiture au garage, payer les factures, vous occuper des enfants ou des parents, amener le chien au toilettage, faire les tâches quotidiennes, faire les courses, gérer la famille et les événements sociaux, alors comment vivre une relation 24h sur 24 et 7 jours sur 7 ? 

La réponse est dans votre attitude. Quand vous allez au travail, vous devez vous dire que vous travaillez pour votre Maîtresse. Quand vous faites les courses, vous les faites pour votre Maîtresse. Quand vous faites les tâches ménagères vous devez vous dire que vous travailler pour votre Maîtresse. Quand vous payer les factures vous la servez. Elle est votre motivation et vous sacrifiez votre vie pour elle. 

Les interférences que vous pouvez éviter le plus facilement sont celles qui ont trait à votre égoïsme, qui sont le fruit de votre volonté d’indépendance. Il n’y a rien de mal dans le fait d'être indépendant. Votre challenge est de déposer votre indépendance aux pieds de votre Maîtresse. D’une façon saine et réaliste pour équilibrer votre vie. Vous devez travailler avec l’objectif de devenir un meilleur serviteur. Quand vous échouez, vous devez demander pardon et réessayer. 

Les débuts, dans une relation fondée sur la domination féminine, peuvent être merveilleux et vous emporter au delà de toutes vos attentes mais, à un certain moment, votre Maîtresse va vous demander des choses qui vont tester votre niveau de soumission. Ce peut être un engagement domestique si vous ne voulez pas faire trop de tâches ménagères. Ce peut être un engagement financier, alors que vous ne voulez pas perdre votre indépendance financière. Ce peut être un engagement social, alors que vous voulez l’attention et l’affection totale de votre Maîtresse et que vous n’aimez pas qu’elle expérimente sa propre indépendance personnelle. Ce peut être un engagement sexuel, alors que vous ne voulez pas perdre le contrôle total de votre sexualité et lui donner un tel pouvoir sur vous. 

Peu importe ce que c’est et peu importe la force de la nature soumise du mâle, il va y avoir un moment où vous allez devoir vous engager dans quelque chose que vous ne désirez pas. Et c’est à ce moment qu’un homme a l’opportunité de vivre une immense évolution et un épanouissement. Il faut pour cela qu'il parvienne à déposer le cadeau le plus précieux aux pieds de sa Déesse.

Les luttes internes sont naturelles et inévitables. Les femmes développent leur dominance en luttant contre les attentes sociales et les traditions paternalistes. Pour certaines femmes, c’est une sacrée victoire que de réussir à assumer la direction et la position d’autorité dans la relation femme/homme. Embrasser ce mode de vie D&s et ses aspects nécessite du courage et de la force pour beaucoup de femmes, car ces pratiques vont à l’encontre de ce qu’on leur a appris. 

Les combats ne concernent pas que les hommes. Mais si un homme combat sa nature et ses désirs (et finalement les règles édictées par sa Maîtresse), il va rendre sa lutte à elle bien plus difficile et l’expérience peut devenir négative. Aussi, quand de tels combats surgissent, l’homme doit être honnête et ouvert avec sa Déesse. Il doit lui confesser ses luttes internes, lui demander de l’aider à les surmonter, pour qu'il puisse se rendre à elle et avancer vers le prochain niveau dans son évolution. 

C’est peut être à ce moment là que des activités plus avancées de la D &s sont utiles, pour faire avancer la relation vers l’étape suivante. Le dialogue est la clef de voûte de la relation, afin qu’au final le mâle abandonne toute indépendance et toute fierté masculine. Il doit avoir une confiance totale en sa Déesse pour lui donner ce pouvoir sur toute sa vie et elle doit lui prouver qu’il peut lui faire confiance et qu’il peut avoir foi en son autorité absolue. Il faut ainsi abandonner toute volonté. Ce n’est pas toujours facile, mais quand c’est fait, cela amène à un niveau plus profond de paix et de tranquillité. La nature soumise des hommes désire cela.  

Par dessus tout, soyez relax et amusez-vous avec votre Maîtresse. Soyez heureux d’avoir quelqu’un qui désire explorer avec vous cette part intime de votre nature. Vous ne pouvez contrôler son attitude, mais vous pouvez contrôler la vôtre.

Avec le temps, vous apprendrez à mieux la satisfaire et vous deviendrez capable d’anticiper ses besoins. Et quand vous aurez besoin d’aide, n’hésitez pas à la lui demander. Vous construisez une relation qui a pour fondations la confiance et le respect. Je vous souhaite le meilleur.


 
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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