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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 07:05

Carl M:

Dans le journal du soumis de Mtrs Ashley (magazine Prédominant de Mars/avril) on évoque la Chambre de privation sensorielle. Cela me parle car j’ai faillis en construire un tel endroit de mise dans le sous-espace pour mon ex femme Anna. Malheureusement nous vivions dans un lieu qui ne le permettait pas, mais nous avons parlé de faire un « donjon » et qu’il nous faudrait donc acheter une maison.

Anna adorait le terme « hors jeu », un moment contemplatif que je gagnais en admirant une femme attirante et en oubliant de porter mon attention sur Elle. Ainsi je gagnais un moment contemplatif, quand je discutais en fleuretant avec une voisine, ou regardais une passante bien faite dans un centre commercial. Une autre façon de gagner un tel moment était ma conduite au restaurant que nous fréquentions. Pendant un événement sportif, elle aurait demandé un siège pour être bien en face de la TV (un objet nommé « le pacificateur de mâle ». Je gagnais un moment de contemplation, si mes yeux quittaient la table pour regarder la TV (ou une serveuse). Cette idée était une extrapolation « d’histoire d’O », évoquant la scène du diner où les soumis étaient punis pour regarder au-dessus de la table.

Inversement, si je faisais le moindre commentaire pendant qu’elle regardait les compétitions de danse à la maison, elle me mettait mon bâillon. Mon travail était juste de garder son verre de vin rempli, et de me taire.    

Le moment « hors jeu » pour elle se matérialisait par le fait de me mettre à genoux (ce qui n’était pas si confortable car il y avait de la moquette, elle n’a jamais pensé à me le faire passer sur le carrelage de l’entrée où elle aurait pu mettre du riz par terre ou bien un paillasson), attaché dans le dos avec mes menottes, en face d’un mur tout en contemplant une photo d’Elle. Elle avait une tenue très sexy qui lui allait a merveille ; Elle avait mis une photo que j’adorai. Pour être libéré, je devais rester ainsi au moins 10 minutes, puis la convaincre que j’avais eu une pénitence suffisante. Elle me demandait par exemple pourquoi j’avais trouvé un match à la Tv plus intéressant qu’Elle, ou me faisait répéter « Tu es la femme la plus belle du monde » jusqu’à ce que le ton de ma voix exprime suffisamment d’émotions. Parfois elle me donnait plusieurs grands verres d’eau pour que ma pénitence dure jusqu’à ce que  je n’en tienne plus et la supplie d’aller aux toilettes. Si le "humbler" avait été disponible je suis certain qu’elle l’aurait utilisée lors de « hors jeu », car il aurait été idéal pour ces moments là. 

Bien sur aucune relation n’est parfaite. Parfois j’avais des périodes de « hors jeu » que je trouvais totalement injustifiées, ou d’autres où je n’étais pas dans l’état d’esprit d’un soumis et je vivais mal car je les tolérais mais ne les voulais pas. Mais la plupart du temps le « hors jeu » était une bonne façon de déstresser. Il me donnait une aide pour basculer vers le monde où seule Anna comptait. Je tirais du réconfort de la difficulté que ces périodes m’imposaient. Cela me donnait un objectif clair, et définissait le comportement que je devais avoir pour atteindre cet objectif. Cela cassait mes barrières émotionnelles et me donnait la force d’avancer dans ma soumission. Parfois je fondais en larme à ces moments durs de contrition. Au départ cela gênait Anna, mais nous en avons discutés et elle s’est habituée à cela car elle comprenait le mécanisme qui cassait véritablement mon égo de mâle. Quand j’étais libéré j’étais totalement prêt pour être battu ou pris avec le god ceinture (que j’accueillais presque avec le sourire). Cette phase transitionnelle de « hors jeu » me donnait le moyen de me recentrer sur Anna et d’expier une partie de mes mauvais comportements dans notre relation.

Merci encore pour nous offrir le moyen de partager nos expériences.

 

Réponse d’Elise :

Carl, merci d’avoir partagé avec nous cette expérience sur vos « hors jeu », La chambre de privation sensorielle d’Ashley est une pièce pour « hors jeu ». Elle peut aussi être utilisée comme un mini donjon, mais quand elle enferme son mari dedans, que ce soit pour une courte ou une longue période, c’est un endroit où il est forcé de se recentrer sur sa femme et sur sa soumission. C’est un endroit où les autres préoccupations ou les autres centres d’intérêts ne sont pas autorisés à entrer. Mais comme vous le soulignez à raison, on n’a pas besoin d’avoir une pièce spécifique pour cela. Les périodes « au coin » peuvent être très efficaces, tout comme les périodes à genoux ou tout autre forme de bondage. Cette pièce aide beaucoup le soumis car il n’a pas le choix quand il y est enfermé. Mais les moments « au coin » ou « hors jeu » (que je considère comme identiques)  requièrent plus de discipline mentale de la part du soumis et lui demande encore plus de sacrifice.

Ce qui compte finalement le plus, c’est le comportement du mâle quand il est libéré de la chambre, du coin ou du hors jeu. S’il se rend et se laisse aller à la punition il rentrera dans le « sous espace » en ne pensant plus qu’à sa maitresse et il sera dans un état d’esprit de totale soumission une fois libéré. Alors il pourra servir sa maitresse avec un esprit clair et un engagement renouvelé.

Tout ces « hors jeux » sont fait pour modifier l’attitude du soumis et le faire progresser. Son esprit est comme une TV et il peut être programmé sur un certain nombre de chaine. La volonté humaine est ce qui va déterminer la chaine programmée. L’esprit du mâle qui est préoccupé par le foot ou les jeux ou sur une attitude négative a juste besoin de « changer de chaine » et d’être mis sur la chaine de la beauté et de l’autorité de sa Déesse. Un « hors jeu » permet à l’esprit de changer de chaine, afin que de nouvelles pensées et de nouvelles images mentales puissent dominer son esprit. Cela lui permet la quiétude, la méditation sur la femme, et il permet à l’esprit du soumis de « changer de chaine » pour se mettre au diapason de ce qui est vraiment important dans sa vie.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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