Chère Elise, je n’arrive pas à croire que je vous ecris finalement. Je suis un fan de votre site. J’ai eu des désirs de soumission depuis toujours, et je n’avais pas d’expérience assez interessante pour les poster sur votre site. Mais cela a changé.

Je lui ai parlé de la domination féminine il y a quelques années. Elle est très croyante, élevé dans la religion, et ne semblait pas interessée par la domination féminine. Néanmois, nous avons joués à certains jeux D&s dans la chambre, rien de sévère, c’était plutot de la D&s sensuelle. Elle m’a permis de devenir sa servante les We à certaines occasions où je m’occupe de la maison habillée comme telle avec une tenue qu’elle m’a achetée. Mais tout était jeu et pas style de vie.

Il y a quinzes jour, le dimanche, nous étions prêt pour aller à l’église et elle avait mis son collant slip noir et était très sexy. J’ai passé trop de temps dans la salle de bain et elle est devenue impatiente. Quand j’en sortis, elle m’a dit que si nous avions plus de temps, elle me donnerait peut etre une fessée pour m’apprendre qu’on ne doit jamais faire attendre une femme. Cela me souffla car ma femme n’avait jamais exprimée l’intérêt de me fesser. Je lui avais parlé de mon fantasme d’être fessé il y a quelques années et elle avait répondu qu’elle ne le ferai jamais. Quand elle m’a dit ces mots « ..peut être que je te donnerai une fessée… » je suis immédiatement tombé à genoux et lui ai baisé ses jambes. Elle m’a dit de me relever car nous allions être en retard à l’église. A la fin du service religieux, elle me tendis le bulletin paroissial sur lequel elle avait écrit une note disant : « quand nous rentrons à la maison, je te donne ta fessée ».

Je ne peux décrire l’émoi que j’ai ressentis autrement que de dire que j’ai sentis une soumission profonde. Je sais que vous appelez cela le « sous-espace ». J’étais si excite que je n’en avais rien à faire d’être dans une église. Je n’arrivais plus à me concentrer sur quoique ce soit. Je ne pouvais plus penser qu’à ma femme et ce qu’elle m’avait écrit. Le temps m’a paru très long et elle le prolongea volontairement en des discussions sociales avec autant de femmes qu’elle pouvait après le sercice. Un moment elle m’envoya dans la voiture et me dit de l’y attendre. J’ai du attendre encore 20 minutes. L’anticipation me tuait. Nous sommes finalement rentrés et elle enleva sa robe, portant juste son collant slip et son soutient gorge. Elle s’assit sur le coin du lit et m’ordonna de me déshabiller et de s’allonger sur ses cuisses. Je le fis et elle commença à me fesser avec ses mains, puis plus tard avec sa brosse a cheveux. Elle était douce mais ferme, et m’a fait me tordre de douleur plusieurs fois avant d’arrêter. Je pris l’initiative de lui embrasser les pieds, les jambes et les cuisses. Elle hota son collant et me guida la tête vers sa féminité. Elle s’allongeau sur le lit et je lui donnais du plaisir oral jusqu’à sa jouissance. Ce fut un apres midi spécial, pour tout dire.

A présent elle fait une séance hebdomadaire de dressage. Elle aime mon comportement apres la seance, mon attention à ses besoins. Nous avons recommencés cela dimanche dernier et elle a dit que cela deviendrai régulier aussi longtemps que je garderai mon nouveau comportement.

John c’est merveilleux ! Vous avez partagé votre désir avec votre femme, mais vous ne lui avez jamais mis la pression. Votre expérience de la domination féminine est venue naturelement, spontanément et c’est elle qui en fut à l’origine. C’est pour cela que c’est si spécial. Elle a été finalement prête et ce fut son idée et elle en voit à présent le bénéfice. Assurez vous de toujours la traiter comme une Reine et je suis certaine qu’elle va encore progresser et initier spontanéement des moments de domination féminine dans le futur.

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