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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:09
Q. Bonjour Elise : Il y a des femmes qui, pour dire les choses comme elles sont, sont des dominatrices naturelles et d’une façon ou d’une autre traitent leur partenaire comme vous le décrivez dans votre site. Ce sont des femmes vraiment effrayantes, mais ce sont des créatures rares. Alors comme la plupart des hommes demandent à leur partenaire de les dominer, je ne vois pas comment ce peut être de la vraie domination. N’est ce pas en fait un simple fantasme masculin ?
 
R. Comment puis-je répondre sérieusement à votre question quand vous commencez par dire que les femmes dominantes sont effrayantes ? Vous devez penser qu’elles sont effrayantes pour une raison bien particulière, mais l’homme vraiment soumis voit les femmes dominantes comme étant des Déesses terriennes, digne de respect et d’adoration. En quoi est ce effrayant d’adorer une femme ?
Et pourquoi dites-vous que les femmes dominantes sont rares ? Vous devez donner une définition à la domination pour dire qu’elles sont rares. Est-ce qu’une femme qui réussit sa carrière est dominante ? Est-ce qu’une femme extravertie est une femme dominante ? Est-ce que la femme autoritaire est une femme dominante ? Est-ce que la femme calme, sure d’elle-même qui croit qu’elle est supérieure aux hommes est une femme dominante ?
J’imagine que vous faites référence aux femmes qui s’engagent ouvertement dans la D&s dans la chambre comme étant rare. Ces femmes ne sont pas rares du tout. En fait vous seriez surpris de voir combien de femmes pratique la D&s dans leur intimité. C’est facile de dire que les femmes extraverties, les femmes d’affaire pourraient être ouvertes à la D&s, mais vous seriez aussi surpris d’apprendre que beaucoup de femmes que vous ne soupçonneriez pratiquent la D&s dans le privé de leur ménage. Les femmes avec qui vous travailler, celles que vous rencontrez dans la rue, celles de vos familles. Elles ne vont pas partager ce qu’elles font derrière leurs volets clôt, pas plus que vous partageriez vous avec elle ce que vous faites (ou voudriez faire) dans votre intimité. La plupart des gens pratiquent ce style de vie en privé et dans le secret.
A présent je crois qu’en effet il y a une minorité qui sont à l’initiative de ce style de vie, comme ce sont les hommes qui en parlent d’abord à leur femme. Mais simplement parce que l’homme en parle d’abord à sa femme, ne signifie pas qu’elle ne va pas le pratique et l’aimer et même plus que les hommes. En fait c’est une histoire commune qui est raconté encore et encore par les femmes. L’homme introduit la femme à la D&s et la femme est une novice complète, mais elle en vient à aimer ce style de vie et désire vivre et aller plus loin que l’homme qui les a initié. Chaque mois nous interviewons une femme qui vit la domination et il est si courant de voir qu’une femme initiée par un homme, se sent totalement libérée, comme un oiseau qui sort de sa cage. Je dois aussi préciser que je reçois de plus en plus d’email de femme me demandant comment elles pourraient initier leur mari à la domination féminine. Elles viennent sur mon site et elles désirent vivre ce style de vie mais elles ne sont pas certaines de la façon dont leur mari va réagir quand ils apprennent que leur femme veut les dominer dans la chambre. Les temps changent alors vous feriez bien de vous tenir prêt, car il va y avoir de plus en plus de « femmes effrayantes » tout autour de vous !
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:07
De la part de Carl M. :
 

Chère Mme Sutton, tout d’abord je vous prie d’accepter un modeste mot d’encouragement de ma part, pour tout le temps et les efforts que vous consacrez à votre site Web et vos livres. Votre travail représente une véritable source d’information, d’une grande valeur. J’apprécie particulièrement les témoignages d’histoires vécues, car ils apportent un exemple concret du style de vie que vous prônez. Vos commentaires en réponse sont toujours limpides, utiles et édifiants.

Dans mon cas personnel, vos travaux m’ont permis de mieux comprendre et interpréter un certain nombre d’évènements qui me sont arrivés au cours de ma vie, et ainsi d’en tirer beaucoup plus d’enseignements bénéfiques. En particulier je me souviens d’une situation qui résonne en moi d’une façon toute particulière, et que j’espère vous faire partager. Cette histoire, qui pourrait être un bon exemple de la nécessité d’être compatissant envers autrui (ou au moins de le paraître), est arrivée durant mes années d’écolier au début des années 70, alors que je vivais dans la banlieue d’une grande ville avec ma mère, très impliquée à l’époque dans sa carrière professionnelle.

Quand j’étais enfant, je n’étais pas autorisé à beaucoup regarder la télévision, mais un jour (j’avais dans les douze ans) je tombai par hasard sur un épisode d’une série populaire à l’époque. J’ai oublié les détails de l’intrigue ainsi que le nom du programme, mais cela semblait être une version japonaise de « la mégère apprivoisée ». On apprenait à une jeune femme l’humilité en la forçant à faire le service durant le dîner. En compagnie de la maîtresse de maison vêtue d’un kimono, elle devait préparer et servir le repas aux hommes de la famille, qui dînaient tranquillement pendant que les deux femmes restaient à leurs côtés, attentives à leurs désirs. Une fois que les hommes eurent fini leur repas et furent partis, elles débarrassèrent la table et firent la vaisselle. C’est seulement une fois tous les besoins des hommes totalement satisfaits que les deux femmes s’autorisèrent un peu de repos et purent commencer à manger.

Maman fut scandalisée par cette émission, et écrivit à la chaîne de télé locale, exigeant qu’elle ne soit plus jamais diffusée, car elle montrait un stéréotype négatif de la femme (je ne sais pas si elle reçut jamais une réponse). De plus elle était mécontente de la réaction amusée que j’avais eue devant la situation de la fille. Je ne me rappelle pas précisément de ce que j’avais dit ou ressenti à ce moment en regardant la télé, mais cela avait dû être quelque chose comme : la fille a eu ce qu’elle méritait, ou bien j’aurais aimé vivre au bon vieux temps où l’homme était encore le maître chez lui, avant que les femmes ne s’émancipent. Maman travaillait alors à plein temps, et donc elle comptait sur moi pour effectuer les corvées ménagères de la maison. Aussi elle s’imagina que si je me mettais à croire que tout cela était le rôle de la femme comme l’illustrait cette émission, j’étais susceptible de me rebeller. Elle me prépara donc une petite leçon spéciale d’humilité.

Quand j’étais en sixième, j’avais une conscience très nette de la chance que j’avais de vivre durant les années 1970 et non 1870. Bien que l’école privée où j’étais inscrit était très stricte, les quelques rares coups de règles que j’avais pu récolter sur mon postérieur étaient presque comiques comparés aux sévères corrections infligées un siècle auparavant. L’uniforme que nous devions porter était plutôt confortable et discret, par rapport aux costumes sophistiqués qui avaient été populaires autrefois dans les classes aisées. Aussi maman se dit qu’une bonne façon de me détourner de toute attitude rétrograde à propos des rôles respectifs des hommes et des femmes était de m’apprendre ce qu’était réellement la vie dans l’ancien temps. Après quelques achats dans des magasins de vêtements pour enfants et à l’antenne locale de vente de l’Armée du Salut (Ebay n’existait pas à l’époque et il n’y avait encore de vide greniers), elle était prête.

Les dimanche matin après la messe étaient d’habitude plutôt tranquilles. La récompense pour ma bonne tenue durant l’office consistait en un délicieux petit pain local, que j’adorais déguster après l’avoir tartiné de moutarde, tout en me livrant à un passe-temps quelconque. Maman se plongeait d’ordinaire dans son journal dominical jusqu’à midi, avant de retrouver une amie dans un magasin, visiter un musée ou une galerie. Dimanche après-midi était son moment de détente ; à moins d’avoir une occupation précise de prévue, je devais habituellement rester à la maison pour faire mes devoirs (ou, durant les vacances, lire un ouvrage qu’elle m’avait indiqué) pendant son absence. Elle appelait souvent d’une cabine à l’improviste, pour s’assurer que j’étais bien à la maison.

Mais ce dimanche matin fut différent. Nous rentrâmes de l’église, et j’allais pour me changer et mettre des vêtements plus décontractés pour la maison, quand maman m’arrêta. Elle me demanda si je me souvenais de l’épisode que j’avais vu à la télévision quelques semaines auparavant, et pourquoi je trouvais cela si comique de voir cette fille forcée de servir les hommes. Je ne sus que répondre, à part que je ne me souvenais pas de l’émission, et tentai de nier mon amusement envers la situation subie par cette pauvre fille.

Maman me demanda de retirer ma veste du dimanche, et me demanda si j’avais déjà entendu parler du petit Lord Fauntleroy. Ce nom ne m’était pas inconnu, mais tout ce que je savais était qu’il s’agissait d’un petit garçon snobinard qui aimait s’habiller de façon efféminée. Maman me répondit que j’avais en partie raison. Elle m’expliqua que Cédric, le personnage du roman, était un jeune aristocrate de la fin du 19ème siècle, qui s’habillait de la même façon que les autres, à une époque où les hommes étaient encore des vrais hommes, et que les femmes restaient au foyer, là où elles devaient être comme je semblais le penser. Elle affirma que le costume de Fauntleroy était à l’époque le symbole de son statut social, et que cela me ferait du bien d’en essayer un. Sur ces mots elle se dirigea vers sa penderie et commença à en sortir quelques objets qui allaient contribuer à corriger mon comportement. J’avais une taille moyenne pour mon âge (c’est-à-dire en gros la taille d’une petite femme adulte), aussi trouver un ensemble qui ressemblait de façon réaliste à ce que pouvait porter Fauntleroy à l’époque n’avait pas été trop compliqué.

Maman n’avait pas réussi à retrouver des fixations pour les bas passant par-dessus les épaules, comme les garçons en portaient un siècle plus tôt, aussi en avait-elle bricolées à l’aide de porte-jarretelles et de bretelles de pantalons. J’enfilai avec peine cette espèce de harnachement. Puis je dus mettre une paire de bas blancs.

Maman me tendit une chemise blanche à dentelle, et un nœud papillon. J’enfilai la chemise, mais comme elle se boutonnait à l’arrière, maman le fit pour moi puis attacha le nœud papillon en le plaçant sous mon menton. Ce qu’elle avait trouvé de plus approchant de la culotte en velours de mon modèle fut le bas d’une combinaison de sport en velours gris, qu’elle me donna ensuite (maman m’expliqua que les pantalons de Fauntleroy se boutonnaient à la chemise et n’avaient pas de ceinture, et donc des shorts classiques n’auraient pas été adéquats). Elle tira sur le bas de ma tenue jusqu’à mes genoux, et la fixa solidement à l’aide d’épingles afin de la faire ressembler à une culotte courte.

Puis vinrent une paire de mocassins à talons, et l’une des écharpes de maman servit à imiter une ceinture à l’ancienne. Un veston féminin au col étroit suivit. Ensuite ce fut le tour d’une perruque blonde provenant d’un costume d’Halloween pour fille, et pour couronner le tout une casquette de marin avec une languette passant sous le menton.

Je me sentais totalement ridicule dans cette tenue, mais maman m’assura que je ne devais pas avoir honte, car ce costume était la parfaite imitation de ce qu’un garçon de mon âge aurait porté un siècle plus tôt. Elle m’expliqua que les jeunes garçons aristocrates s’habillaient complètement en filles jusqu’à l’âge de 8-10 ans, et qu’une tenue comme la mienne représentait une transition vers l’âge adulte, et était portée typiquement à l’adolescence, quand les garçons commençaient à pouvoir mettre de vrais pantalons.

Je n’ai pas de mots pour exprimer la tempête d’émotions que je ressentais alors. D’un côté, je savais que ce que j’avais dit et pensé au sujet de la fille à la télé (et des femmes en général) était méchant. Aussi n’étais-je pas révolté par cette punition ; je savais que j’en méritais une, et j’étais d’une certaine manière soulagé qu’elle soit arrivée. Mais j’étais embarrassé et mal à l’aise, et inquiet de ce que maman allait faire de moi dans ce costume, à qui elle allait en parler, et qui allait me voir ainsi.

L’attitude de maman traduisait plus de la détermination que de la colère, aussi n’avais-je pas réellement peur. Je pensais qu’il valait mieux ne pas résister ou pleurnicher. Et ce n’était pas la première fois qu’elle me costumait ainsi, car j’avais déjà joué dans certaines pièces de théâtre à l’école auparavant (j’avais tenu le rôle d’un elfe lors des fêtes de Noël), et je m’étais récemment déguisé en George Washington lors d’une journée à l’école sur le thème « qui aimerais-tu être ? » (ce qui fut profondément embarrassant, car TOUS les autres garçons s’étaient déguisés en champions de sport, alors que c’étaient les filles qui s’étaient déguisées en présidents, astronautes ou autres scientifiques).

Si je devais vraiment choisir un mot pour décrire mes sentiments à cet instant, je dirais que j’étais comme engourdi. Il faut dire qu’à l’époque j’avais commencé à développer une curiosité pour les vêtements féminins, et j’avais déjà passé plus d’un dimanche à fouiller en cachette dans le tiroir de sous-vêtements de maman pour essayer ses collants, ses chemises de nuit ou ses chaussures. Elle n’avait jamais paru le remarquer. Aussi peut-être que le sentiment qui prédominait en moi était la confusion, étant puni de cette manière particulière, à cet instant particulier. J’étais troublé par les émotions contradictoires que je ressentais. La sensualité émanant du nylon et de la soie de ma chemise m’intriguait, mais j’étais incapable d’admettre ouvertement ce sentiment. Je fis semblant d’être en colère, mais seulement parce que je pensais que c’était ce que maman attendait, et j’espérais que si elle voyait ainsi mon irritation, elle penserait que j’avais appris ma leçon, quelle qu’elle soit, et qu’elle mettrait ainsi fin à ma punition en me permettant d’échapper à cette confusion qui m’envahissait. Je me demandais si cette humiliation était la méthode de maman pour me soigner de ce besoin d’aller fouiller dans son tiroir de lingerie en me confrontant à mon désir en sa présence. Mais peut-être était-ce l’inverse. Peut-être pensait-elle que ma curiosité était normale, et qu’elle me donnait ainsi le moyen d’explorer mes désirs dans des limites acceptables pour elle, et sans me mettre dans l’embarras, en admettant qu’elle ait deviné ce que je faisais durant son absence. Ne pas savoir quelle hypothèse était la bonne représentait la réelle punition pour moi, et je préférais ne pas lui demander.

Maman m’amena à la cuisine et remplit une théière avec de l’eau, la mit sur le feu, et me demanda de placer une douzaine de cookies sur un plateau, pendant qu’elle allait se changer pour se mettre à l’aise, en passant un peignoir. Je surveillai l’eau ; quand elle se mit à bouillir je fermai le gaz. Maman revint dans la cuisine et m’ordonna de lui préparer une tasse de thé, puis de le lui apporter au salon sur le plateau, avec les cookies et une serviette. Ce que je fis. Maman était confortement allongée sur le canapé, tenant un livre, et me dit de rester debout à côté d’elle en portant le plateau de façon à ce qu’il soit à portée de main.

Elle ne but que quelques gorgées de son thé et ne toucha presque pas aux cookies, car elle semblait complètement absorbée par son livre. Je lui demandai si je pouvais prendre un gâteau, mais elle me répondit qu’ils étaient pour elle. Je demandai la permission d’aller aux toilettes, mais elle refusa. Je lui dis que j’étais fatigué de porter le plateau à bout de bras. Elle me répondit qu’elle-même était fatiguée de mes plaintes et m’ordonna de rester bien droit, sans remuer ou me retourner pour regarder l’horloge. À partir de cet instant, elle me fit taire dès que je tentais d’ouvrir la bouche. Aussi acceptai-je la situation, et restai debout, immobile.

Après environ une demi-heure, Maman reposa son livre, m’ordonna de débarrasser le plateau, et de revenir ensuite la voir. J’obéis. Elle me demanda si je trouvais toujours amusant que la fille de la télé ait été punie en devant servir le dîner aux hommes, et attendre pendant qu’ils mangeaient. Elle me demanda si les tâches ménagères étaient le travail des femmes. Elle me demanda si cela m’amusait de voir ces japonaises entortillées dans leurs kimonos si serrés qu’elle pouvaient difficilement respirer, et avec leurs pieds si bandés qu’elles ne pouvaient pas marcher correctement. Et enfin elle me demanda si j’appréciais d’être un serviteur, et si je désirais être un majordome ou un valet plus tard. À toutes ces questions je répondis non. Comme je paraissais sincère dans ma contrition, maman me pris dans ses bras comme elle le faisait après chaque punition, et parti s’habiller pour aller retrouver son amie Gwen pour une séance de lèche-vitrines.

Cependant, avant de quitter la maison elle prit un ruban et le passa à travers les boucles de chacune de mes chaussures, puis à travers l’œillet d’un bouton de ma chemise et autour d’un autre bouton, ainsi que le long de la jugulaire de ma casquette de marin, afin de prévenir toute tentative d’enlever mes vêtements sans qu’elle ne le sache. Maman me dit combien elle me trouvait mignon dans mon costume de Fauntleroy, et me demanda de faire le ménage dans cette tenue, et elle voulait être certaine que je ne la retirerai pas durant son absence. Si j’en avais besoin pour aller aux toilettes, je pouvais baisser ma culotte, mais avec la chemise et mes chaussures attachées ainsi sur moi je ne pouvais enlever ni les bas ni les bretelles.

Maman me laissa pour aller retrouver Gwen, puis revint plus tard dans l’après-midi, et m’obligea à garder le costume jusqu’au bain du soir. Halloween n’était plus très loin, et alors que j’allais vers la salle de bains, maman m’avertit que si j’exprimais encore une fois la moindre pensée sexiste, elle me ferait sortir pour Halloween déguisé ainsi. Inutile de dire que je me comportai parfaitement dans la période qui suivit.

Les années passèrent et je découvris votre site Web ainsi que votre livre. Ce qui me frappa le plus était le témoignage de femmes qui décrivaient leur relation avec leur conjoint comme « nous discutons, je décide, il obéit », qui appréciaient les nombreuses « discussions productives » qu’elles pouvaient avoir avec leur mari alors qu’elles étaient en train de le punir attaché sur un cheval d’arçons, et qui transformaient la passion fétichiste « choquante » et secrète de leur époux pour leurs sous-vêtements en un outil de domination. Je fus également convaincu par votre affirmation qu’il n’existe jamais de relation égalitaire. Un des deux partenaires doit être le dominant. Les décisions doivent être prises par quelqu’un, une liste d’actions doit être établie, et pour toutes les raisons convaincantes que vous donnez, c’est la femme la mieux placée pour jouer ce rôle.

Suite à ma propre expérience, et l’observation d’autres, je pense que vous avez raison. Les femmes ont naturellement les dons d’organisation et de communication qui leur donne l’avantage dans notre monde actuel, et elles devraient ouvertement prendre les rôles dominants, en particulier dans la vie familiale. J’admire la franchise avec laquelle vous discutez du pouvoir sensuel que les femmes (peut-être quelquefois à leur insu) possèdent. Développer et utiliser ce pouvoir semble être la clé pour passer ce point crucial où la curiosité masculine envers la soumission et les jeux de rôle deviennent un besoin émotionnel profond. Tous les hommes admirent les femmes puissantes, et il serait vain qu’un homme refuse ou remette en question ce fait avéré. Vous êtes complètement dans le vrai, et pour toutes les raisons que vous indiquez, ce monde devient de plus en plus un monde régi par les femmes.

Dans le cas de mon éducation, maman était affectueuse et attentive dans de nombreux domaines (intellectuel, spirituel, émotionnel), mais elle était également exigeante pour mes résultats scolaires, autoritaire à la maison, et tout à fait implacable quand elle m’infligeait des punitions quelquefois désuètes. Mais comme beaucoup d’hommes, je suppose, une fois que j’eus grandi et que je me fus installé, que j’ai perdu ce sens de la discipline ainsi que le respect pour les femmes.

J’allais avoir un retour brutal aux réalités quand j’emménageai avec Anna dans son appartement. Il ne me fallut que quelques jours de cohabitation pour que réalise avec quelle fermeté Anna avait pris en charge notre relation, et à quelle hauteur elle mettait la barre pour que je la satisfasse. Elle insistait pour que je sois disponible, serviable et obéissant à tout instant et dans toutes conditions. Elle organisa la vie à la maison, pris en main les aspects financiers, et exigea que je maintienne la maison impeccable et en ordre. Anna avait tout simplement pris les commandes de notre vie commune, et n’imaginait pas une seconde que je puisse mettre en question ce fait, ou que je puisse désirer autre chose.

J’étais attiré par la nature dominante d’Anna, mais cela se passait bien longtemps avant qu’Internet puisse apporter toute cette large variété d’information et d’opinions accessibles à partir de son clavier d’ordinateur. Bien qu’Anna était probablement intriguée par sa propre volonté de dominer, elle n’avait jamais réellement exploré cette curiosité, et c’est en fait moi-même qui l’introduisis au concept de la discipline conjugale et l’encourageai à être aussi stricte qu’elle le désirait. Je sus qu’elle avait adopté ce pouvoir nouvellement découvert quand, à ma grande surprise, peu de temps après que nous ayons commencé à vivre ensemble, elle m’entraîna dans la chambre après dîner, me fit me déshabiller et me mettre à quatre pattes sur le lit, et m’infligea une vingtaine de violents coups de canne – pour avoir mangé trop vite, traînassé, pas apprécié ses plats cuisinés, et ignoré sa conversation à table. J’avais mal et étais un peu choqué, mais bien sûr je devins beaucoup plus attentif envers ses besoins après cet épisode.


Votre travail est une source d’inspiration, car à travers vos recherches, en documentant les expériences des autres, et en présentant les courants d’opinions dans les médias grâce à une sélection d’articles et les conseils de soutien, vous donnez la possibilité d’explorer et de légitimer la vaste gamme d’émotions et de désirs associés au mode de vie de domination féminine et de soumission masculine. Ainsi analyser de façon cohérente les différentes expériences de ma vie est devenu plus facile. J’ai pu revoir sous un nouveau jour quelques unes des expériences de mon enfance, comme cette fois où j’ai dû me déguiser en costume de Fauntleroy, que je vois maintenant comme un entraînement pour ma vie future, plus que comme un souvenir à oublier.

 

Réponse d’Elise :

 

Carl, tu as été élevé par une Mère très avisée. Elle t’a enseigné le respect des femmes, et cela n’est pas toujours le cas dans une famille monoparentale tenue par la mère. Elle ne n’a pas voulu que ce soit la télévision qui fasse ton éducation, c’est elle qui t’a élevé en t’inculquant des valeurs féministes. Et maintenant tu es un homme meilleur grâce à cela. Tu as recherché une partenaire qui puisse être le genre de femme qui serait également autoritaire et qui exigerait le respect envers elle. Ainsi tu as réussi à te réaliser dans une relation avec une femme dominante.

Punir un enfant est vraiment l’éduquer. Ta mère a saisi l’occasion de ton attitude sexiste pour t’infliger une leçon valable pour toute ta vie. La plupart des gens sont toujours à la recherche de conseils de la part de psychologues, de prêtres, pour savoir comment punir leurs enfants. Je pense que la bonne réponse vient de la motivation des parents. Punir sous le coup de la colère un fils ou une fille est toujours une mauvaise solution, qu’importe si cela consiste en un châtiment corporel ou une punition psychologique. Mais ta mère a sévi de la bonne manière. Elle a utilisé ta punition comme un moyen de te donner une leçon de vie, une leçon dont tu te souviens encore maintenant, une leçon qui t’a permis de devenir un homme plus réfléchi et respectueux.

Sa méthode de punition a requis également beaucoup d’inventivité et d’efforts de sa part. C’est toujours facile de fesser ou de crier sur un enfant, mais cela demande de grandes qualités parentales de concevoir une punition qui va réellement éduquer un enfant. Et au final, qu’une femme punisse l’enfant qu’elle adore ou bien son mari, l’objet de cette discipline et d’éduquer et d’apprendre. Ta mère l’avait compris et tu as beaucoup de chance, ainsi qu’Anna qui a pu construire sur les fondations que ta mère a établies pour le reste de ta vie.

Bien amicalement.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:07
Q. Bonjour Elise. Je suis une lectrice assidue de votre site. J’en ai parlé à une collègue au travail et je ne m’attendais pas du tout à sa réaction. Elle était très contrariée que je puisse avoir « si piètre opinion d’elle » et que je puisse imaginer « l’envoyer sur un site perverti ! ». J’essaye de l’aider à résoudre un certain nombre de problèmes personnels dans son mariage comme je suis convaincue que la domination féminine résoudrait ses soucis. Son mari semble n’avoir plus d’intérêt dans le sexe. Nous ne parlons presque plus à présent et nos relations au travail sont devenues très formelles.

J’ai appris que j’aurai dû être plus précautionneux sur ce sujet. Certaines personnes voient la domination féminine comme quelque chose d’étrange ou comme une plaisanterie ou comme simplement un petit jeu pour les préliminaires, mais pas pour en faire un style de vie. Je ne sais vraiment pas comment parler de la domination féminine sérieusement à d’autres femmes. Tant de lectrices du site ont une histoire analogue en ayant été initié à ce mode de vie par leurs maris ou compagnons, elles ont essayé à reculons et à présent elles n’imaginent pas vivre autrement que comme cela !

Devons nous faire du prosélytisme sur la domination féminine ou serait-ce par trop en imposer aux gens ? 

 

R. Vous devez toujours garder à l’esprit que chaque personne à ses propres valeurs basées sur son éducation, sa culture religieuse et sa programmation sociale. La lecture de mon site à fait raisonner quelque chose en vous. Vous le trouvez intellectuellement honnête et assez soft comparé à la plupart des sites dédiés à la domination féminine. L’autorité féminine aimant vous excite et c’est tout naturel que vous vouliez partager cela avec une femme qui lutte pour son couple. Seulement votre amie a ses propres idées préconçues et quand elle a vu le contenu de mon site (par exemple un homme agenouillé devant une femme) elle en a été offensée, car le concept de soumission d’un homme aux femmes est étranger à ses propres valeurs.

Vous pourriez montrer mon site à 10 personnes différentes, chacune l’interpréterait différemment en fonction de leurs propres valeurs et leur ouverture d’esprit. Une féministe aimera plus probablement cette approche de l’autorité. Une femme libérée sexuellement réagirait encore différemment qu’une femme plus prude. Une jeune femme aurait sa réaction, une citadine et une campagnarde la leur. C’est pour cela que vous devez user de sagesse quand vous voulez faire la promotion à d’autre femme de ce mode de vie basé sur la domination féminine. En montrant mon site à certaines, vous vous dévoilez à elles et vous devriez auparavant être certaine que votre interlocutrice possède un esprit ouvert sinon vous risquez d’avoir des réactions négatives.

Je pense qu’une approche plus sage est de discuter des principes de l’autorité aimante de la femme, de femme à femme, sans lui montrer un site ou un livre. Vous pouvez imprimer certains articles de mon site, et les utiliser comme point de départ. Pour entamer une discussion sur les bénéfices d’une relation où la femme dirige. Puis si la femme semble être ouverte d’esprit à ce concept et semble curieuse d’en savoir plus, alors peut être vous pouvez l’orienter vers mon site ou lui donner mon livre à lire.

Je ne serai pas trop bouleversée de la réaction de cette femme. Vous avez essayé de l’aider alors votre motivation était pure et honnête. Si elle a réagit négativement, c’est plutôt en raison de la vision étroite des relations hommes/femmes qu’elle a, qu’en raison de vous. Cela ne la rend pas méchante pour autant, mais elle tient à un certain modèle social et elle ne voit pas l’intérêt d’examiner des styles de vie alternatifs qui ne correspondent pas avec ses idées préconçues. Utiliser cette expérience pour que la prochaine fois vous abordiez avec une femme le sujet de manière plus douce. Alors vous pourrez jauger si la personne est plus ou moins ouverte à en apprendre plus. Tout ce que vous avez fait est de planter une graine. Qu’elle en vienne à pousser ou non dépends du style de sol sur lequel elle est plantée.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 06:00
Bonjour à toutes les maîtresses.

J’ai passé beaucoup de temps à lire et à relire les rubriques d’Elise SUTTON.


Je ne suis pas un soumis déprimé…….et pourtant j’aurais de quoi. J’ai 57ans et cela fait quarante ans que je souhaite vivre sous l’autorité d’une femme. Les vraies dominatrices conjugales que j’ai rencontré avaient toutes un ou plusieurs soumis et n’étaient pas de ma région. Comme tout le monde, il faut bien gagner sa vie ; j’étais marin de la nationale ; voyages, affectations tous les deux ou trois ans dans une autre région. J’ai souvent essayé, maladroitement évidemment d’expliquer à des femmes que je sentais très fortes, que je serais très doux, gentil, serviable, obéissant, sans jamais employé le mot obéissant. (j’étais d’une timidité maladive ; et aujourd’hui encore je suis timide et il m’arrive de rougir face à une femme sure d’elle, que je devine autoritaire). Je crois que si un homme est soumis, c’est qu’il est plus sensible et qu’il a compris beaucoup plus de choses qu’un macho stupide qui ne réfléchit jamais.

La femme fait le plus beau métier du monde, elle donne la vie. Aucun homme ne pourra faire cela. Les femmes portent les enfant, . Ce sont toujours les femmes qui ls éduquent même si les hommes, un peu plus maintenant, participent et encore maladroitement. Le biberon, se lever la nuit…….etc……Les femmes savent agir. L’homme demande toujours à la femme ce qu’il faut faire. Le budget ? faire la liste des courses ? C’est toujours la femme qui va expliquer au monsieur ce qu’il faut faire, acheter, quelle marque etc….Je dois avouer que nous les hommes, nous sommes bons pour acheter une voiture…..et encore. Madame va décider de la couleur (heureusement).

Il y a des femmes qui ont en marre de voir des hommes profiter de leur intelligence, savoir faire, abnégation etc..

De toute façon, un mec qui rentre le soir, qui pose son c.. devant la télé, qui boit une bière, explique qu’il a eu une journée harassante, ne pose même pas la question de savoir si son épouse a elle eu aussi, une journée difficile. Les hommes sont E G O I S T E S. leur femme a été chez le coiffeur ? certains ne le remarquent même pas., elle prépare un bon un repas pendant que môssieur lit le journal. môssieur se goinfre sans même penser à dire merci.

Les femmes dominatrices sont là pour remettre les hommes à leur place, Avec une domina les hommes obéissent; ils font le travail qui incombe souvent aux femmes que je vais qualifier de soumises ou qui traditionnellement acceptent cela. Avec une domina, tout change, Le monsieur rentre du travail, s’il ne rentre pas à l’heure déjà , il risque la fessée ou sera puni de toute façon. C’est à lui qu’incombera de mettre le couvert, de faire la cuisine , débarrasser la table, faire la vaisselle, et laver le sol. Madame regardera la télé et le programme qu’elle aura décidé. Il y a un match de foot qui intéresse monsieur, mais madame n’aime pas le foot, alors si monsieur a bien travaillé, a été bien sage et obéissant il regardera la radio. Il est tard monsieur a envie d’aller au lit ; mais madame trouve que son homme ne fait pas assez de sport ; il devra faire un 1500 mètres en courant. Madame surveillera en le suivant au volant de voiture ou en vélo. S’il ne va pas assez vite, il y aura une punition à l’arrivée. Si les femmes avaient tous les pouvoirs sur les hommes., je suis sur que le monde serait plus vivable ; il y aurait certainement beaucoup plus souvent de fesses masculines écarlates, mais au moins les femmes n’enverraient pas le monde à la catastrophe comme maintenant.

Bonne soirée aux dominatrices.
 

Réponse Ms.Dana :
 

Et bien quelle diatribe. Oui, le simple fait que de plus en plus d’hommes prennent conscience que la femme a longtemps et est encore malheureusement totalement seule pour faire face à bien des astreintes, est un premier pas.

La société évolue, mais bien lentement encore.

Ce mode de vie basé sur la domination féminine , dans lequel les hommes et les femmes s’y retrouvent est là pour servir d’exemple d'harmonie. D’où l’importance d’en parler autour de soit aux gens que vous sentez apte à comprendre ou à le découvrir.

C’est ainsi, que petit à petit les choses évolueront.

Et vous toutes et tous qui nous lisez ... vous êtes les acteurs de ce changement.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 21:04
Mesdames si vous voulez commencer dans la domination féminine mais ne savez pas trop comment faire , peut être cet exercice pourra t’il vous aider. Quand je rencontre un nouveau client/patient, je prend au début le rôle de la dominatrice pour exciter la nature soumise et pour ôter ses inhibitions afin qu’il se confie à moi. Je vous recommande de préparer votre analyse mentale en commençant par mettre votre compagnon ou votre mâle soumis dans un état de soumission total.
Habillez vous sexy, et dominante. Faites le mettre totalement nu devant vous. Puis dominer-le pour l’amener dans un état d’esprit de soumission. Si vous ne connaissez pas encore quels sont les leviers qui stimulent sa soumission, alors peut-être devriez vous essayer avec une fessée érotique. S’il répond à l’humiliation verbale, alors humilier le verbalement par tous les moyens quand vous lui administrez la fessée. Vous pouvez l’humilier en lui disant qu’il est un sous-homme, ou qu’il a un pénis tout petit. N’ayez pas peur d’être salope, jouez la salope.
Puis alors que vous l’avez amené dans la place magique de la soumission, changez votre comportement. Devener douce, prener le dans vos bras, embrasser le et aimer le. Trouver un lit confortable et faite le s’allonger sa tête sur vos cuisses alors que vous commencez à lui poser des questions sur son passé. Quand il en vient aux choses intimes, je vous recommande d’utiliser votre sexualité. Permettez lui de lécher votre poitrine et de toucher vos endroits les plus intimes. Permetter à ses désirs les plus profonds de se soumettrent à la femelle, et plus important de se soumettre à vous, et que ses désirs le submergent.
Encourager-le à s’ouvrir à vous plus encore. Vous le comprendrez plus encore que vous n’aviez jamais pensé que ce soit possible. Attention si une chose se produit que vous ne pensez pas pouvoir gérer (comme le fait de découvrir qu’il a été abusé dans son enfance..) encouragez le à aller voir un professionnel psy.
En dessous vous trouverez les questions que j’ai l’habitude de poser pour découvrir la psyché du mâle soumis. C’est important que vous les posiez dans l’ordre exact. N’en rajoutez pas ou n’en enlever pas. Si vous n'êtes pas sa femme alors qu’une question porte sur sa femme, ne la changer pas. Posez la telle quel. Vous n’êtes pas seulement la femme mais représentez le genre féminin à ses yeux. S’il dit quelque chose que vous n’aimez pas, ne le relever pas. Acceptez le. Vous pourrez gérer cela avec lui plus tard. De plus ne vous pressez pas pour poser toutes les questions. Prener votre temps et sondez le, le plus possible.      
 
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SI VOUS ETES UN HOMME QUI VEUT QUE SA FEMME UTILISE LES PROCEDURES SUR LUI, ALORS NE LISEZ PAS PLUS LOIN. CELA RISQUERAIT DE GENER AU PROCESSUS SI VOUS SAVEZ CE QUI VA SE PASSER. IMPRIMEZ CELA ET DONNER LE A VOTRE FEMME OU DOMINATRICE. NE LE LISEZ PAS VOUS MEME.
 
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La psycho-analyse du mâle
 
 
1. Te souviens-tu de la première fois où tu as eu un orgasme ?
(Quand vous posez la question compresser doucement son pénis).
 
1a) . Expliques moi l’expérience en détail.
 
 
2. Quel age avais-tu quand tu as réalisé la première fois que tu voulais être sexuellement dominé par une femme ? (Compresser fortement ses bourses)
 
 
2a) Expliques-moi où tu étais et ce qui a provoqué cette envie ?
 
2b) Pourquoi penses-tu que tu as ces envies ?
 
2c) Peux-tu dires que ce désir d’être dominé par une femme a grandit avec l’age ou au contraire s’est estompé ? 
 
3. Quelle type de relation avais-tu avec ta mère quand tu étais enfant ?
(Donnez lui une gifle et tirez lui les cheveux)
 
3a) Etait-ce elle qui te disciplinait quand tu t’étais mal comporté ?
 
3b) Peux-tu te souvenir d’une expérience intense que tu as eu avec elle quand elle te punissais? Comme le fait qu’elle ait été particulièrement dure ou physique avec toi ?
 
3c) Quelle est ta relation avec ta mère à présent ?
 
3d) Comment te ressens-tu vis à vis de ta mère ?
 
4. As-tu des sœurs plus âgées ?
 (Continuez à lui donner des gifles et à lui tirer les cheveux.)
 
4a) Quel type de relation as-tu eu avec elles pendant l’adolescence?
 
4b) Peux-tu te souvenir d’une expérience où tu as ressentis des sentiments de soumission avec elles que tu classerais dans la domination féminine ?
 
5. Peux-tu te souvenir d’avoir ressentis de la soumission envers toutes les femmes quand tu étais petit?
 
5a) Envers ta grand-mère ?
 
5b) Ta tante ?
 
5c) Un professeur?
 
5d) Une Baby-sitter?
 
5e) Une autre femme représentant l’autorité ?
 
6. Et concernant tes rêves ? Peux-tu te souvenir de rêves où tu t’es sentis dominé par une femme ?
 (Jouez avec ses seins en les pinçant)
 
6a) Parles moi de ces rêves en détail, le mieux que tu puisses t’en souvenir.
 
6b) Quel âge avais-tu quand tu as eu ces rêves ?
 
6c) En as-tu eu de récurrents ?
 
6d) As-tu encore des rêves sur la domination féminine ?
 
7. Et pour les Rencontres ? En as-tu eu beaucoup avant ton mariage ? (Ou avant la relation actuelle ?)
 (Caresser son torse et son estomac)
 
7a) Quel type de fille t’attire? Les agressives ? Les timides ? Certaine couleur de cheveux ou type de corps ? Les filles sages ou celles avec une certaine réputation ?
 
7b) Etais tu sexuellement actif comme adolescent ou jeune adulte?
 
8. Décris en détail la première fois que tu as eu des rapports avec une fille? Quel âge avais-tu ? Etait-ce une expérience plaisante ?
 (Continuer à caresser son corps)
 
8a) Pourrais-tu dire que tu étais celui qui agressait ou était ce elle ?
 
8b) Quel type de sexualité avez vous pratiqués? As-tu fait du sexe oral sur elle ? Elle sur toi ? Les deux ? De la pénétration avec toi par dessus? Avec elle par dessus ? Les deux ?
 
8c) Avec combien de femme as-tu couché avant ta relation actuelle? Beaucoup, moyennement, peu ?
 
8d) Pourquoi penses-tu que tu as dormis avec beaucoup (ou peu) d’entre elles ?
 
9. Es-tu fétichiste ?
 (Mettez un article en cuir prêt de ses lèvres et de son nez et permettez lui de le sentir ou de le lécher alors que vous posez ces questions)
 
9a) Est-ce que voir une femme portant du cuir te tournes la tête ? Et qu’en penses-tu ?
 
9b) Et en ce qui concerne les bottes ? Es-tu excité quand tu vois une femme portant des bottes ? Qu’en penses-tu ?
 
9c) (S’il répond à la question 9a ou 9b). Peux tu te souvenir de la première fois ou tu as été excité par une femme en portant ? As-tu sentis que cela lui donnait plus de pouvoir sur toi ? Te sens-tu faible quand tu la vois en porter ?
 
9d) Aimes-tu mes bottes ou mon cuir ? Aimerais-tu que j’en porte plus ?
 
9e) As-tu un fétichisme concernant le caoutchouc, le PVC, ou tout autre matériel ?
 (Si oui reposez lui les questions 9a et 9b et remplacer le nom de la matière dont il est fétichiste)
 
10. As-tu beaucoup lu de choses sur la domination féminine? Quel livres ou magazines as-tu lu ?
 
10a) Décris une histoire ou deux que tu te souviens avoir lu et qui t’ont réellement excité ?
(Pendant qu’il décrit son histoire, frapper le de temps en temps sur les testicules, sur le pénis et pincer ses seins pour renforcer la dominance féminine)
 
10b) Pourquoi penses-tu que ces histoires t’ont excitées ?
 
11. Regardes-tu beaucoup de films sur la domination féminine ou des vidéos qui concernent ce sujet ou ont des scènes de ce type?
 
11a) Décrit quelques scènes dont tu te rappelles qui t’ont beaucoup excité.
 (Pendant qu’il décrit son histoire, compresser de temps en temps sur les testicule, et son pénis et pincez ses seins pour renforcer la dominance féminine)
 
 11b) Pourquoi penses-tu que ces scènes t’excitent ?
 
12. Qu’est ce qui t’a particulièrement attiré chez ta femme ou ta compagne actuelle ?
 (Faites lui un doux baiser sur son visage ou son cou)
 
12a) La vois-tu comme une femme dominante ?
 
12b) Qui était le plus agressif quand vous avez commencé à vous voir ? Elle ou toi ?
 
12c) Est’ il possible que ce soit son potentiel à te dominer qui t’ai attiré chez elle ?
 
13. Décris ta relation avec elle ce jour ?
 (Continuez à l’embrasser)
 
13a) Qui d’après toi dirige dans votre relation? Toi, elle, aucun ?
 
13b) Ne lui as-tu jamais confessé ton désir d’être dominé par une femme ?
 
13c) Comment crois-tu qu’elle réagirait ?
 
13d) Si elle répond favorablement, lui permettrais-tu de te diriger et voudrais-tu te rendre à elle ?
 
 
13e) Quelle part de toi même voudrais tu lui abandonner ? Ta vie sexuelle ? Ta vie personnelle ? Tes finances ? Tes temps libre ? Tout ?
 
13f) Quelle partie de toi même aurais tu le plus de mal à lui donner ?
 
13g) Et qu’en serait’ il si elle te demandait cette part de toi même ? Lui donnerais-tu ? Est’il possible que tu lui donne cette part de toi ?
 
 
14. Crois tu en dieu ?
 
14a) Si oui, penses-tu que dieu est homme ou femme?
 
14b) Pourquoi crois-tu cela ?
 
15. Que penses-tu de la suprématie féminine ?
 (Compressez fermement son pénis et ses testicules)
 
15a) Considères-tu que les femmes soient supérieures aux hommes, que les hommes sont supérieurs aux femmes ou penses tu que les deux sont égaux ?
 
15b) Pourquoi ? Qu’est ce qui rend ce sexe supérieur à l’autre, ou pourquoi sont’ ils égaux ?
 
15c) Pourquoi aimes-tu être dirigé par les femmes ?
 
15d) Aimerais-tu être dirigé par ta femme ?
 
16. Connaissant l’éducation du mâle et celui de la femelle, je peux te dire que le seul moyen pour une femelle de dominer totalement un mâle est à travers des mesures extrêmes. Voudrais-tu endurer ces mesures dures et extrêmes ?
(S’il répond oui à toutes les questions, compressez ses testicules fermement et dite «  j’aurai beaucoup de plaisir à te faire subir tout ça pour moi ») 
 
 
16a) Supporterais-tu des punitions corporelles, incluant des fessées, du fouet, et d’autres mesures dures? Le désires-tu et si oui pourquoi ?
 
16b) Supporterais-tu d’être humilié par une femme, d’être dévalorisé, d’être dégradé et insulté verbalement ? Le désires-tu et si oui pourquoi ?
 
16c) Supporterais-tu d’être sexuellement frustré pour de longues périodes, et être formé à donner à la femme autant d’orgasme qu’elle en demande ? Désires-tu cela et si oui pourquoi ?
 
16d) Supporterai tu des punitions et de la domination génitale (petites tortures sur ton sexe) ? Le désires tu et si oui pourquoi ?
 
16e) Supporterais-tu le changement de rôle et qu’elle puisse utiliser un god ceinture sur toi pour te remettre à ta vraie place ? Le désires-tu et si oui pourquoi ?
 
16f) Supporterais-tu l’acte humiliant qu’une femme urine sur toi ? Le désires-tu et si oui pourquoi ?
 
16g) Supporterais-tu d’être forcé à regarder ta femme faire l’amour à un autre en ta présence ? Le désires-tu et si oui pourquoi ?
 
16h) Supporterais-tu d’être dominé par ta femme devant d’autres femmes ? Le désires-tu et pourquoi ?
 
16i) Enfin supporterais tu d’être son esclave total, ayant à faire toutes les tâches ménagères qu’elle te donne ? Le désires-tu et pourquoi ?
 
17. Aurais-tu confiance en moi si j’avais tous ces pouvoirs sur toi ?
 
17a) Dis moi le plus profond de tes secrets. Confesses moi quelque chose que tu n’as jamais confessé à quiconque. Une chose que tu as gardée tout au fond de toi. Tu peux me faire confiance. Avoues tout tes secrets cachés, confesses moi tout.
 
*** C’est là où il doit confesser tout. Cela peut être un tremblement de terre ou simplement quelque chose d’insignifiant. Mais ce ne sera pas insignifiant pour lui. Si sa terre tremble, il est important que vous répondiez avec compréhension et amour. Là encore si il y a quelque chose qui vous contrarie, vous le punirez pour ça plus tard. C’est là où il va le plus probablement s’effondrer ; S’il le fait, c’est un signe positif. Il perd le contrôle de sa volonté et vous la remet. Il se rend. Vous devez réaliser l’importance de ce moment.
 
Conforter le. Puis ensuite excitez le en touchant son sexe et en l’embrassant. Puis montez le et permetter lui de vous pénétrer. Restez sur lui et permettez lui de sentir la chaleur et le plaisir que vous lui donner. Dites-lui que vous l’aimez. Puis avant qu’il n’ait trop de plaisir, retirez vous. Compressez fermement son sexe et ses testicules, regardez le dans les yeux et dites lui quelque chose qui ressemble à :
 
« Mon chéri, je sais que tu as cherché toute ta vie ta vraie place, qui est d’être totalement soumis à une femme. Et bien ta recherche est achevée. Je suis là et je vais y rester. Je veux que tu te donnes totalement à moi. Ton esprit, ton corps, tes finances, ton ego de mâle, tout de toi. J’attend que tu sois mon esclave total. Tu auras à endurer beaucoup pour moi et je repousserai toujours tes limites. Cependant, tu peux juste te laisser aller et te soumettre à mon pouvoir féminin.
Je veux que tu réalises que les femmes sont supérieures aux hommes, et que c’est vrai. C’est ta vrai place que d’être mon soumis. Ne luttes pas, laisses toi juste aller et rends toi à moi. Tu m’as cherché toute ta vie et maintenant je suis là et ta recherche est finie. Ne contrôles plus rien et fait tout ce que je t’ordonne. Tu comprends ? ».
 
Apres qu’il ait acquiescé, je suis certaine qu’il le fera, expliquez lui que vous aller prendre le contrôle total de sa sexualité et que ses orgasmes seront rares. Dites lui que les femmes sont là pour recevoir le plaisir et que les hommes sont là pour leur en donner.
Puis permettez lui de se rendre humble et de prendre sa place réelle, entre vos jambes et ordonnez lui de vous faire plaisir oralement, aussi longtemps que vous le voudrez.
 
En faisant cette psycho analyse du mâle soumis, vous devriez vous sentir bien plus proche de lui et vous deux devriez avoir tissés des liens plus profonds et intimes. A présent vous devez construire à partir de cette psycho analyse.
Vous êtes sur le chemin d’une relation bien plus dense et heureuse car vous la femme dominante, vous accomplissez dans votre place naturelle qui est de diriger votre homme soumis.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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