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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 05:41

De la part de Don B :

 

Chère Mme Sutton, voici un témoignage de ma première confrontation avec la réalité de la supériorité féminine, et comment cela m’a convaincu qu’aucun homme n’était capable d’y résister.

 

Il y a quelques années j’ai dû aller à l’hôpital pour un problème mineur de santé. L’opération elle-même fut parfaitement réussie, mais par contre je supportai mal l’anesthésie, et je dus garder la chambre quelques jours de plus que prévu. Pendant cette période j’eus tout le temps d’observer le service où je me trouvais ainsi que son organisation. Je remarquai notamment qu’une des infirmières semblait diriger tout ce petit monde. Bien qu’elle n’ait rien de remarquable en apparence, et qu’elle s’exprime d’une voix plutôt douce, c’était clairement elle qui était aux commandes, et non pas un des médecins plus âgés. Tout cela se faisait d’une manière subtile, et quand elle suggérait quelque chose (elle ne donnait jamais réellement d’ordre), c’était exécuté immédiatement. Même les médecins semblaient suivre ses indications et je remarquai qu’ils ne cherchaient pas à gérer les autres infirmières quand elle était là, c’était elle qui s’en chargeait.

Les suites de l’anesthésie m’avaient fait baisser ma pression sanguine, à tel point que je me sentais trop faible pour quitter le lit. On devait même me porter pour aller aux toilettes, mais mes intestins étaient devenus tellement paresseux que cela fut sans résultat. Au troisième jour, l’infirmière dont je parlais entra dans ma chambre et m’annonça qu’elle devait me faire un lavement.

J’étais un peu interloqué, et je commençai à refuser. Mais elle semblait habituée à ce genre de résistance, car elle souleva ma couverture sans la moindre hésitation et me demanda de me tourner sur le côté. Elle enfila ensuite un gant chirurgical, appliqua du lubrifiant sur son index en me conseillant de me calmer. J’étais trop stupéfait pour réagir, et je sentis son doigt s’introduire sans résistance dans mon intimité.

Ce fut quand elle retira son doigt qu’elle s’aperçut de l’effet que cela avait eu sur moi… « Petit garnement !  » dit-elle sans la moindre trace de gêne, et m’enfonça l’embout de l’appareil dans l’anus. Cela entraîna une réaction encore plus forte de ma part… Elle me laissa ensuite sans faire plus de commentaire, et durant le reste de la journée, à chaque fois que je croisais son regard je rougissais comme un écolier.

Elle revint dans la soirée. Elle ferma la porte derrière elle, s’approcha de moi et souleva ma couverture, comme pour vérifier l’état de mon ventre. Mais sa main ne resta que quelques instants à cet endroit, et descendit vite pour commencer à caresser mon sexe ! Cette fois j’étais réellement choqué et je serrai les jambes. « Reste tranquille, » dit-elle d’un ton sévère tout en agrippant mes testicules, et, croyez-le ou non, j’obéis en écartant à nouveau mes jambes.

Elle lâcha alors mes testicules et commença à caresser mon membre qui se mit à réagir immédiatement, et quand elle parut satisfaite de sa rigidité elle tira un gant chirurgical de sa poche et enfila sur mon sexe l’emplacement prévu pour le pouce, tel un préservatif ! Totalement abasourdi, j’étais incapable de prononcer le moindre mot quand elle se mit à cheval sur moi et guida mon membre viril en elle. J’étais en train de vivre une situation qui faisait probablement l’objet de phantasmes pour la plupart des hommes, mais qui à moi me semblait totalement absurde : une femme que je ne trouvais même pas attirante m’avait mis le pénis dans un gant afin qu’elle puisse en profiter à sa guise, le tout avec une totale autorité sur moi. C’était extrêmement déplaisant. Le préservatif improvisé tirait douloureusement sur mes poils pubiens, je ne savais pas combien de temps cela allait encore durer, et je sentis soudain monter dans mon ventre une envie pressante d’aller aux selles. Je me concentrai sur mon érection, pendant qu’elle continuait à onduler sur moi, à son rythme. Mais mes craintes de ne pas retenir mon envie de déféquer se révélèrent prématurées, car dans la minute qui suivit ses hanches commencèrent à s’agiter frénétiquement, puis elle s’arrêta et frémit au-dessus de moi.

Cela ne lui prit que quelques instants pour retrouver tout son calme. Elle se releva en m’enjambant, remit en place sa jupe et retira le gant (qui finalement n’avait pas été nécessaire) de mon pénis devenu flasque. Reprenant son rôle d’infirmière, elle remit la couverture en place et me souhaita bonne nuit. Elle me laissa ainsi dans un abîme de perplexité.

 

Comment cette infirmière a-t-elle pu avoir un tel pouvoir sur moi ? Qu’est-ce qui a fait que j’ai accepté de faire un acte aussi étrange, sans pouvoir résister ?

Le lendemain elle ne montra aucun signe pouvant rappeler ce qui venait de se passer, et le jour suivant je sortis de l’hôpital, car j’étais complètement rétabli. Je ne la revis jamais.

 

Aujourd’hui encore je suis stupéfait du pouvoir que cette infirmière a eu sur moi et je me demande si je comprendrai jamais comment tout cela a pu se passer. Le traitement spécial que cette infirmière m’a fait subir a laissé sur moi des traces indélébiles : même si je ne suis pas du tout attiré par ce genre de choses, à chaque fois que je vois une infirmière enfiler des gants, cela me fait immédiatement de l’effet.

 

Réponse d’Elise :

 

L’univers hospitalier est notoirement connu depuis longtemps pour fournir le cadre d’incidents sexuels comme celui que tu as vécu, en particulier lorsqu’un homme nu et vulnérable est confronté à l’attention et à l’autorité féminine. Cependant, ce type d’incidents est extrêmement rare de nos jours, car notre système de soins est soumis à un nombre incroyable de surveillances et de vérifications. Je ne mets pas en doute ceux comme toi qui témoignent de ce genre d’expériences, mais je demande parfois si ces évènements se sont réellement produits, ou bien si le patient n’a pas plutôt vécu une sorte de rêve phantasmatique sous l’influence des médicaments, ce qui pourrait être ton cas avec les suites de l’anesthésie.

Les infirmières sont souvent associées à l’idée de domination féminine, car ce sont des femmes représentant une autorité. Dans le cadre de l’hôpital, le patient se retrouve soumis à l’infirmière. Aussi masculin, macho et sûr de lui qu’il puisse être, le patient est souvent impuissant, vulnérable et sous l’autorité de l’infirmière. Des désirs et des fantasmes de femmes dominatrices peuvent naître et s’exacerber dans le psychisme masculin quand une infirmière utilise des aiguilles sur le patient, lui administre des lavements, exécute toute une variété de procédures douloureuses et inconfortables, et interagit avec lui alors qu’il est dans un état d’infériorité (nu sous un peignoir, contraint d’utiliser un pot de chambre, etc.)

 

Bien sûr, avec l’évolution de notre société nous voyons de plus en plus de femmes docteurs, et de plus en plus d’infirmiers, mais les infirmières représentent toujours une figure traditionnelle de l’autorité féminine auprès des hommes. Les infirmières font leur travail, tout simplement, mais la nature soumise de l’homme peut se réveiller et s’amplifier quand il se retrouve sans défense, à la merci d’une figure de l’autorité féminine. L’infirmière peut infliger de la douleur à son patient (même si c’est pour son bien) et une telle expérience est susceptible déclencher des désirs de soumission, qui ramènent au besoin primaire de l’homme d’être éduqué et puni par la femme. L’infirmière représente l’autorité féminine idéalisée, car elle apporte tout à la fois de la douleur et des soins.

 

Qu’importe si cette expérience sexuelle t’est vraiment arrivée ou bien est le produit de ta nature soumise exprimée sous l’influence de l’anesthésie, il n’en reste pas moins que tu as rencontré cette femme dominante, et que son pouvoir sur toi a eu un effet durable. Ce n’est pas la peine d’être perplexe face à cela, car le désir masculin d’une autorité féminine est classique et tout à fait naturel. Cette infirmière particulière a incarné pour toi à cet instant l’autorité féminine, et au fond de toi-même tu as toujours ce désir d’être soumis à une femme.

 
Bien amicalement.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Vendredi 17 mars 5 17 /03 /Mars 07:49
Marie et Simon
 

Marie est mon Amoureuse depuis 8 ans. Nous avons toujours pratiqué  plus ou moins le SM dans notre sexualité, mais en dilettante. Le SM  est mon désir, j'en ai besoin dans ma sexualité. Marie aime bien,  parfois, mais Elle n'en éprouve pas le besoin.
Depuis l'été passé, sans doute par amour et par renforcement de notre  confiance mutuelle, Marie a accepté d'installer le SM plus  régulièrement dans notre vie. D'ailleurs, je porte une CB3000 presque  tout le temps. Je suis fin excité, fou de désir, plein de  tendresse... Elle apprécie, mais ses désirs sexuels sont moins forts  qu'avant... Je ne parle même pas de pénétration, mais simplement de  caresses, de massages, de servitudes ...et de punitions (qui sont  très rares).

Ces temps ci, Marie a décidé de m'apprendre la frustration et la  patience, jouant avec mes désirs pour mieux les frustrer et me  tourner vers Son service.

Il y a deux semaines, samedi matin, Elle m'a mis la cage avec le  cadenas en acier, sans que je m'y attende. Elle m'a laissé penser  qu'elle me la retirerait peut être le dimanche soir... Mais  finalement non, je n'ai même pas été autorisé à toucher le corps de  ma Maîtresse. "Tu pars après demain en province, je crois. Tu pourras  me toucher demain soir. Et après, peut être que je te mettrai un  cadenas en plastique pour ton voyage."

Lundi soir, lorsqu'Elle est rentrée du travail, j'ai accompli notre  rituel imposé  : j'ai baissé mon pantalon et je me suis mis à genoux  devant Elle pour lui présenter la cage. Elle en a vérifié la  fermeture, puis Elle a relevé sa jupe et m'a présenté son sexe pour  que je l'embrasse. Après quelques baisers, sentant monter mon désir  de la lécher, Elle m'a repoussé d'un geste : "Doucement, ça suffit.  Tu continueras tout à l'heure. On fera l'amour. J'en ai envie. Va  préparer à dîner !"

Je me suis exécuté. Quand nous nous sommes couchés, Marie a ouvert le  cadenas et retiré la cage. Je suis venu me blottir contre son corps  de rêve, embrassant les rondeurs naissantes de sa grossesse (Elle est  enceinte de 5 mois, superbe et magnifique).  Je n'avais que deux  jours de cage derrière moi, mais j'étais fin excité. Mon sexe était  très dur.
"Ça suffit les baisers. Éteins la lumière et couches toi ! J'ai envie  de toucher ton sexe..."
Elle m'avait promis de faire l'amour... Je me suis couché, Elle a  pris mon sexe dans sa main, jouant à l'exciter dès qu'il  faiblissait... Elle s'est endormie, gardant de petites pressions sur  mon sexe en dépit de son sommeil. J'ai mis du temps à trouver le  sommeil. Vers 4h00 du matin, Elle m'a réveillé en caressant mon sexe  à nouveau.
J'ai espéré que nous ferions l'amour ou qu'elle me demanderait de  l'embrasser, de la lécher... Mais rien. Elle voulait juste jouer avec  son doudou dans la main, pour le maintenir en état d'érection. Elle  aime que je bande pour Elle et je comprends que son but est de me  maintenir en état d'excitation sans me procurer aucune autre  satisfaction, pas même une punition, ni même se soucier de mes  attentes SM... Elle n'a pas lâché mon sexe avant 6h00, heure à  laquelle le réveil a sonné.
Je suis allé me de doucher. Elle m'a demandé de revenir avec la cage  sur mon sexe et les piquants de taille n°1.
Après ma douche, Marie a verrouillé la cage avec le cadenas n°219092.


"Ça me plaît de savoir que resteras excité toute la semaine en étant  fou de désir pour moi. Je n'aurai que plus de plaisir à me branler...  Habilles toi vite, maintenant, sinon tu vas manquer ton avion."

Après m'avoir fait miroiter pendant deux jours que je pourrais la  lécher et lui faire l'amour, après avoir passé la nuit à m'exciter,  Marie m'enferme à nouveau sans m'avoir donné la possibilité de  prendre du plaisir. Et je sais que quand Elle me met un cadenas en  plastique, c'est souvent pour longtemps.

L'effet a été immédiat. J'ai été très excité toute la semaine, mon  sexe se faisant douloureusement mordre et mettre au pas par les  points d'intrigue. La première nuit, j'ai eu beaucoup de fantasmes...  Et depuis, j'en ai en de plus en plus, qui sont résolument frustrés.

Petit à petit, je découvre le sens du dressage souhaité par Marie. En  effet, quand Elle me met la cage, Elle réduit considérablement mes  accès à Son corps. Elle me fait bien comprendre que si je réclame de  l'embrasser ou d'être puni, Elle n'en fera rien. Et de fait, Elle ne  fait rien. Je dois apprendre à me soumettre totalement, en acceptant  de porter longtemps la cage sans qu'Elle n'ait à me dominer d'aucune  autre façon, ni qu'elle m'utilise autrement. Apprendre un état de  disponibilité longue et frustrée... Y parviendrai-je ?

Je reste seul avec mes désirs inassouvis, sans la permission de  m'exciter à cause des points d'intrigues. Un désir si frustré qu'il  prend une grande intensité totalement tournée vers la personne de Marie.

Je suis rentré vendredi, mais samedi nous avons travaillé. Dimanche,  j'ai eu l'honneur de la masser à plusieurs reprises et de lui donner  du plaisir avec ma bouche. C'était une récompense. Puis Elle est  passée à autre chose. Nous avons fait du rangement, bien qu'elle me  savait en attente de moments SM plus intenses, mais Elle m'en a  délibérément frustré. "Je n'ai pas envie de faire du SM en ce moment,  j'ai juste envie de te savoir dans la cage, frustré en permanence,  fou de désir pour moi... Et peut être que ça durera longtemps, parce  que ça me plaît."

Je me prépare à une longue période, privé de tout, avec très peu de  moments où je pourrai toucher ma Maîtresse, en état d'attente  disponible permanente, sans pouvoir m'exciter. L'apprentissage de la  sagesse et d'une très forte soumission, sans jeux SM...

Finalement, hier soir, Marie a décidé de nous créer un pseudo sur un  Tchat SM. Elle se propose de me louer à H, F ou Couple, pour quelques  heures ou pour une journée. Je serai loué pour faire le ménage et  parfaire mes prédispositions à la servitude. Bien sûr, je serai loué  avec la cage. Les personnes qui me prendront auront pour tache de  m'éduquer et de me dresser sévèrement, pourront abuser de moi selon  des règles fixées à l'avance par Marie et inconnues de moi.

À présent je suis fortement en cage, sans doute pour un certain  temps, voire longtemps. C'est comme si Marie me disait : "Je souhaite  que tu restes en cage, longtemps. Parce que ça me plaît et parce que  tu aimes cela. Donc tu resteras dans la cage, durement frustré. Je  sais, quand tu es cage, tu es plus excité et tu as plus envie de  moments très SM forts. Mais sur moi, la cage a l'effet inverse. J'ai  juste envie que tu portes la cage, rien de plus. Je n'ai pas envie de  moments SM, durant lesquels je te dominerais, je te punirais ou je  t'humilierais. Et comme c'est moi qui domine, qu'il s'agit de mon  désir, je ne ferai pas autrement. Si tu es trop excité pour le  supporter, on fera autrement. Mais si tu parviens à t'adapter, saches  qu'il me plaît que tu demeures excité en permanence pour moi et que  tes attentes ne soient pas assouvies, afin de renforcer toujours plus  ton désir pour moi. Et comme je t'aime, je vais te prêter à des  personnes qui voudront envie de te dominer. Ils te donneront le  dressage dont tu as tant besoin... Mais tu ne jouiras point, afin que  je profite encore plus de ton désir pour moi ! Tu seras en cage, sans  que je n'ai à te dominer, ou seulement parfois, lorsque l'envie m'en  prendra. Peut être jamais... Peut être souvent... Qui sait ? C'est  moi qui dispose de toi selon mes envies et mes seules envies. Je ne  sortirai ton sexe de sa cage que pour les moments où peut être  j'aurai envie de m'en servir, sinon il restera enfermé. Tu ne pourras  ni le toucher, ni te donner du plaisir. Juste concentrer ton désir  sur ma personne. Peut être aussi que parfois j'en viendrais même à  oublier que tu es en cage. Ce sera à toi de gérer le manque et la  frustration, sans te plaindre. Mais si ça ne te convient pas, on peut  faire autrement."

Et moi je me pose la question : "si ça ne te convient pas, on peut  faire autrement", que cela signifie t il ? Retirer la cage totalement  et renoncer à ce jeu pour le moment ? Ou bien passer aux "points  d'intrigue" n°2, voire n°3 ? Combien de temps tout cela ? A qui vais  je être prêté ? Qui voudra ? Quelles seront les conditions que Marie  négociera ?
Serai je prêt à assumer mon excitation permanente, alors que Marie  témoignera parfois d'une longue indifférence à ma soumission ?  Soumis, sans SM ! Des fois, je me sens un peu seul et abandonné. J'en  viens à me demander si le port de cette cage a encore du sens... Des  grands moments de doute m'envahissent lorsque Marie est durablement  hors du jeu... Et j'essaie de me maîtriser dans mes demandes et  attentes, car je sais que si je lui mets la pression, je prend le  risque de provoquer encore plus indifférence, voire du rejet pour le SM.
N'empêche, parfois, dans mes quelques moments de doute, j'ai  l'impression qu'Elle me met la cage pour me faire plaisir mais  qu'elle n'a pas vraiment envie de SM. Ce sont ces moments là que je  trouve les plus difficile à surmonter... Où je finis par trouver mes  fantasmes et désirs très ridicules.
Et pourtant, j'aime porter cette cage et vivre selon les désirs de  Marie.

 

REPONSE DE MS.DANA

 

Et bien alors. Vous voulez être soumis ou pas ? Votre Reine a été claire, elle vous a dit ce qu’elle attendait de vous. De la soumission à son service. Pas la soumission à laquelle vous aspirez, mais sachez que se soumettre c’est obéir aux désirs de sa Maîtresse et à la façon dont elle compte vous dominer.

Votre Maîtresse est enceinte, c’est une chose merveilleuse. Alors cessez de pensez à vous et tournez vous entièrement vers elle. C’est ainsi que vous apprendrez le sens de la soumission. Et en la rendant ainsi heureuse, vous verrez qu’avec la patience et le temps, elle reprendra les rennes de la domination de façon plus active. Aimez là, partagez avec elle ce moment de vie si important, servez là en tout. Elle vous permettra ainsi de lui confier vos désirs les plus profonds, et elle viendra à un dressage plus dur, car elle comprendra comment fonctionnent les hommes. Tout est une question de temps et de patience.
Cela me fait penser à ces soumis qui désirent ardemment à ce que leur Maîtresse prennent un amant. Ils sont pressés, impatient, et pourtant il faut du temps pour cela, mais cela se fait un jour bien souvent.

Simon, vous avez une femme merveilleuse, qui déjà a touchée au pouvoir. Montrez lui que vous avez compris ses désirs, et là peut être elle comprendra et accèdera aux vôtres. Montrez lui les avantages de la domination, et cessez de penser à votre petit sexe, pour penser à elle en la servant en tout. Naturellement elle deviendra plus autoritaire, et les choses suivront leur chemin. Elle a simplement dit ; « je n’ai pas envie de SM en ce moment ».  

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 17:05

J’apprécie beaucoup votre site et je souhaite lui apporter mon témoignage. Je m’appelle Armelle, j’ai 30 ans et j’ai découvert mes pulsions de dominatrice dès le début de ma relation avec Daniel, mon petit ami. J’ai pris plaisir à définir un certain nombre de règles et, grâce à internet, j’ai découvert les différents aspects de l’univers de la domination. Au début, je me suis tenu à de petits jeux très soft : lui attacher les mains, le chevaucher durant nos rapports, lui imposer de longs cunnilingus, ce dont je raffole…

Il m’a avoué prendre du plaisir à ces séances pourtant il a eu du mal à s’accepter en temps que soumis. Quand je lui dis que j’aimerai qu’il fasse le ménage nu devant moi et qu’il aurait droit à la fessée si cela n’était pas fait correctement, il s’est rebellé, le ton a monté et il a claqué la porte. J’ai eu peur d’avoir été trop loin car je tiens sincèrement à lui.

Pourtant quand il a sonné 3 heures plus tard, j’ai préféré caché ma joie de le voir de retour. Je l’ai fais rentrer dans le salon d’un air glacial, il m’a demandé pardon en affirmant être prêt à accepter mes demandes. Je lui ai répondu que c’était un peu tard et que je ne tenais pas à rester avec un homme capricieux et lâche. Il s’est alors mis à pleurer, je me sentais prête à craquer et à lui ouvrir mes bras. Je me suis retenu, au fond de moi j’ai senti que c’était le moment ou jamais d’établir définitivement nos rapports.

J’ai promené mon regard à travers la pièce à la recherche d’une idée, mes yeux se sont posé sur un de ses verres à bière et je me suis souvenu d’un site qui parlait des jeux uro, à l’époque, j’avais été trouvé cela plutôt extrême, mais là cela a provoqué un moi un déclic. J’ai pris le verre, je me suis installé devant Daniel, descendu mon jean et ma culotte et, sans un mot, j’ai …rempli le verre en le regardant droit dans les yeux. Puis je le lui ai tendu : » si tu veux vraiment accepter mes désirs et continuer à vivre avec moi, je pense que tu as compris comment me le prouver. » Le pauvre, il tremblait ! Pourtant il a saisi le verre et la portée à sa bouche. Je me suis mise à l’encourager ; «ne vas pas trop vite, prends de petites gorgées, elles seront plus faciles à avaler, oui comme ç, c’est bien, mon chéri.. » Au bout de cinq minutes, il avait ingurgité la moitié du verre, j’ai estimé que pour une première fois, il pouvait s’arrêter là et que la leçon était donné. Je l’ai prise par la main et l’ai conduit vers la chambre. J’étais si excité que j’ai eu un orgasme très rapidement. A ma surprise, lui aussi n’a pas tardé à jouir.

 

La fièvre de l’émotion retombé, nous nous sommes câlinés tout doucement, tendrement, j’ai tenu à lui précisé que je n’entendais pas le dominer et l’humilier en permanence, que je le respectais et l’aimais et que je prenais l’acte qu’il avait eu le courage d’accomplir pour une formidable preuve d’amour de sa part.

C’est ainsi que les moments de domination font maintenant partie intégrante de notre vie de couple. Nos jeux n’ont rien d’extrême, je n’ai aucune envie par exemple de le faire souffrir physiquement. Par contre, j’ai développé les jeux qui tournent autour de mon pipi. Je limite ses dégustations de ma liqueur dorée à un fois tous les quinze jours mais j’essaye d’en faire un moment intense pour lui comme pour moi. Il y a quinze jours, j’ai eu une idée un peu folle. Stéphanie, une très bonne amie à nous deux, étais à la maison et Daniel a proposé de prendre l’apéro, Stéphanie a demandé un kir pêche. Pour une fois, je me suis proposé pour aller à la cuisine, j’en suis revenue avec pour Stéphanie et moi deux kirs pêches et pour Daniel, vous l’avez deviné ? un verre de champagne, cuvée maison. Il a évidemment deviné de quoi il s’agissait mais j’ai attiré l’attention de Stéphanie en lançant une plaisanterie sur un sujet quelconque, le temps qu’il arrive à se trouver une contenance. Nous avons ensuite siroté, chacun notre verre. Stéphanie étant à mille lieues d’imaginer ce qui se passait. J’étais sidéré par ma propre audace mais quelle excitation !

Voilà, je ne sais pas les réactions que cette lettre suscitera. Là où d’autres dominatrices manieront le fouet et les chaînes pour soumettre leur compagnon, je suis curieuse de savoir si d’autres femmes centrent la domination de leur homme autour des jeux uro.( sans que cela devienne une exclusivité, bien entendu)

                                                                                                                        ARMELLE

 
 
Réponse Ms. Dana :
 

Faire preuve de fermeté est la meilleure des solutions. Que ce soit comme vous lors de cette confrontation important où vous avez su montrer que vous étiez intransigeante sur la volonté de vous imposer, ou lors de tout autre moment de crise ou de désobéissance de votre compagnon.

Montrer de la faiblesse est la dernière des solutions. Vous risqueriez de perdre bien des progrès et du respect profond de votre soumis.

Vous avez agis avec la plus grande intelligence, car après l’avoir amené à déposé les armes, vous avez fait preuve de tendresse et d’amour. Car il ne faut pas oublier que ces sentiments sont la base de la construction d’une relation entre dominante et soumis. Récompenser son soumis après des épreuves difficiles, ou parce qu’il montre qu’il fait des efforts pour être un homme meilleur est important. Bravo Armelle.

Pour ce qui est de l’uro, c’est une pratique très intime, qui rapproche beaucoup le soumis de sa maitresse. Cela a souvent un impact très fort sur son désir de soumission, et sur l’amour qu’il vous porte. Tout comme le queening ou l’utilisation du god ceinture. Ce sont des gestes intimes, des moments intenses qui donnent lieu à des échanges d’énergie très puissants entre la maitresse et son compagnon. Bien des hommes sont de plus extrêmement sensibles à ces pratiques.

Je n’ai que peu de témoignages sur ce sujet qui reste parfois encore un peu tabou, mais je suis persuadée que nous sommes très nombreuses à pratiquer cela, que ce soit dans le cadre d’une éducation de nos soumis ou pour des couples classiques qui ont envie de varier leurs plaisirs.

Pour une dominatrice c’est un outil de plus, fort agréable et fort puissant. Votre idée de l’inviter à boire votre champagne en présence de votre amie est excellente ; d’ailleurs parfois je me demande si un soumis mérite de boire du champagne autre que le nôtre lors des grandes occasions. Je ne suis pas loin de penser qu’ils préfèreraient souvent le notre. Pensez y mesdames, car nous sommes aussi ici pour échanger nos idées.

Merci encore Armelle de ce témoignage qui nous apporte à toutes.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 23:36
Chère Dana.


Vraiment, j'adore ce site ! Mais puis-je dire quelque chose en toute sincérité ? J'ai 20 ans et j'aime l'amour. Je précise : j'aime le sexe. Je vis depuis plusieurs mois avec Chris. Je me suis toujours sentie dominatrice, et j'avais déjà commencé à le « dresser », à le faire m'obéir. Le chef, c'est moi ! Ces derniers temps, votre site m'y a aidée. Vous m'avez bien conseillée et j'ai maintenant une cravache pour enseigner à Chris la discipline. J'aime ça, j'aime lui imposer la nudité, j'aime le punir pour qu'il sache où est sa place.

Mais il y a quelque chose qui me tracasse dans le site, ce sont toutes ces femmes qui imposent la chasteté à leur mari. Bon, peut-être qu'elles sont âgées, mais moi je ne peux pas. J'adore faire l'amour, et je suis désolée : j'adore que Chris me baise ! Le sentir en moi, sentir ses va-et-vient, mmmm! Je sais que je vais choquer de nombreuses femmes dominantes, mais j'aime aussi le sucer (après, il est encore meilleur en moi !). Alors je vous pose franchement la question : dois-je arrêter, dois-je me priver de ça ? Chris n'est pas moins obéissant parce que je lui accorde du plaisir. Je dirais même au contraire ! Avant de le cravacher, je le punissais souvent en le privant de fellation, et là il m'obéissait mieux. Alors voilà, la chasteté obligatoire, tout ça, ce n'est pas pour les jeunes à mon avis. Moi, je me sens Maîtresse mais j'aime l'amour.
Mademoiselle Emily

 
Réponse de Ms.LIZA 

Difficile question toujours renouvelée....

Je reprends un extrait (en rouge, pour bien différencier, de ce message) :
 

"Chris n'est pas moins obéissant parce que je lui accorde du plaisir. Je dirais même au contraire ! Avant de le cravacher, je le punissais souvent en le privant de fellation, et là il m'obéissait mieux"
.
La réponse est dans votre courrier  : "Avant de le cravacher, je le punissais souvent EN LE PRIVANT DE FELLATION, ET LA IL M'OBEISSAIT MIEUX !!!"

Syllogisme, erreur de langage, contrefaçon entre refus de privation (pour la dom) et nécessité d'obtenir l'obéissance, le débat est éternel et sera lancé par plus d'une d'entre Nous.

Une domina "naturelle" est Maîtresse de ses actes, de ses pensées, de ses méthodes. Une domina "naturelle" qui aime prendre le pouvoir, à la ville, ou dans la sphère privée, ou dans la chambre a certes besoin de conseils mais Elle a aussi son libre arbitre. En tant que Femme supérieure, Elle SAIT ce qu'Elle doit faire ou ne pas faire. Tout ne doit pas être NOIR ou BLANC. L'intelligence est de montrer que toutes les variantes de GRIS sont admissibles... Ses décisions ont force de LOI. Elle ORDONNE et il OBEIT. Si Elle parvient à obtenir ce qu'Elle VEUT de son homme et que cela ne passe pas par la frustration sexuelle alors qu'Elle poursuive dans cette voie. Le jour où son homme/amant/soumis sera plus réticent à lui obéir aveuglément : alors il sera toujours temps pour Elle, de se pencher vers les méthodes PLUS STRICTES, qui ont fait leur preuve.

Nous ne sommes pas les juges d'une secte intransigeante. Ses décisions seront respectées par l'ensemble des autres domina. Pourquoi demanderait on à une domina de se SOUMETTRE à des Lois. Qui sommes nous pour imposer un MODE DE VIE spécial aux dominas qui ont envie de vivre différemment...

Bien sur, ce que vous dites sur les "vieilles dominas" qui n'ont plus de besoins sexuels est un peu vexatoire et vexant voire humiliant, mais que diable, nous sommes fortes et pouvons surmonter cela sans préjugés... !!! Que savez vous d'ailleurs de la "qualité" de notre libido ???

Vous dire de prendre un amant pour être salutaire à votre relation serait une erreur puisque vous avez déjà un amant, qui vous plait et qui est votre soumis et semble t’il, l'homme de votre vie.

Vous aimez le SEXE, alors ne vous en privez pas et prenez des pieds GEANTS autant que cela vous est possible. Vous aimez donner du plaisir votre homme avec la bouche, car le faisant, Vous vous donnez du plaisir à Vous-même en l'accomplissant, alors VIVE LES FELLATIONS.

Nous sommes dominas parce que nous sommes amoureuses avant tout de notre LIBERTE (de pensée, d'action) alors ne vous privez pas et n'arrêtez pas : au diable la chasteté obligatoire, si votre soumis est docile sans.

Mais nous ne connaissons pas non plus l'opinion dudit chris sur son statut (soumis sexuel, obéissance consensuelle, esclave ???) autant de points d'interrogation qui sont en suspens.

Ms.Liza

Ps : Merci à Ms.Liza d’avoir répondu à Emily. Sachez que je partage son opinion, et que même si je prône la chasteté qui est une arme efficace pour développer la soumission, je suis d’avis qu’on peut très bien utiliser son soumis sans le faire jouir. L’essentiel pour la dominatrice étant toujours de se faire plaisir.

Et puis à 20 ans, on ne connaît pas encore tout de l’égoïsme masculin, et d’ailleurs les jeunes hommes ne le sont pas encore vraiment. Alors Emily profites-en, fait ce qui te plait, du moment qu’il est à tes pieds et que tu le dresses à t’obéir, tout en t’épanouissant.

Ms.Dana
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 07:49


  1. Comment devenir une dominante permanente ?
  2. DOMINATION A DISTANCE
  3. Domination d'un continent à l'autre
  4. Le tout début de la domination permanente (mars 2012) 


Q. J’ai une question, qui est plus un commentaire, mais j’aimerai avoir votre avis. Mon mari et moi vivons un mariage sous domination féminine 24h/7j depuis bientôt deux ans. Comme bien des témoignages que j’ai lu sur le site, notre style de vie commença avec des jeux dans la chambre. Nous avons vécu la domination féminine de-ci delà pendant 11 ans. Puis il y a 2 ans mon mari m’a demandé si nous ne pouvions pas la vivre en permanence. La pensée m’avait traversée l’esprit, et j’aimais les moments où je dominais. Alors j’ai accepté de passer à un mariage où je domine en 24h sur 24h.

J’ai fais un contrat inspiré de divers contrats D&s que j’avais trouvé sur l’internet. En plus j’ai acheté vos procédures et j’ai utilisé certaines règles du contrat de mariage que vous proposez dedans. Quand le contrat fut prêt, je me suis arrangée pour préparer une cérémonie de remise du collier avec deux témoins présents. Ces deux témoins sont un couple que nous avons rencontrés via l’email que vous nous avez routé quand nous vous demandions si vous ne connaissiez pas un couple intéressé par la domination féminine et vivant pas loin de nous.

Nous avons fait une cérémonie, mon mari a signé le contrat et depuis nous avons commencés notre nouvelle relation basée sur ma domination permanente. Je n’ai jamais changé de cap depuis 2 ans et j’ai traité mon soumis très strictement concernant chaque point du contrat..

Je suis très fière de ces 2 années et cela a donné des résultats au delà de mon espérance. Pour lui ce fut une autre histoire.

 

Il a aimé notre arrangement pendant ces 2 ans, mais il a du faire face à une lutte interne. Il a eut des hauts et des bas, et en quelques occasions, il a demandé si nous ne pouvions pas revenir en arrière vers un régime de domination temporaire.

Je lui ai dis que je ne souhaitais pas revenir en arrière, mais que j’étais ouverte pour faire quelques amendements au contrat, afin de remédier à ses difficultés principales.

Je lui ai fait écrire ce qu’il désirait, et j’ai pris quelques une de ses requêtes en considération. Pour d’autres je ne les pas prise en compte, car je ne voulais pas modifier notre relation de dominante à soumis. Nous avons eut quelques discussions sur ce que j’ai pensé modifier et j’ai finis par trouver une solution qui fonctionne pour nous, je vous la fais partager car il me semble que cela pourrait aider d’autres personnes.

 

Mon mari a un job stressant. Je crois que cela fait parti des choses qui explique pourquoi il aime la domination féminine, car il est exempt de toutes décisions.

Quand nous sommes passé au régime de domination permanente, j’ai ordonné qu’il fasse toutes les tâches ménagères et la plupart des repas. C’est une des clauses du contrat. Entre son travail et ses devoirs domestiques, il n’a plus eut que très peu de temps libre. En fait il n’en avait pratiquement plus. Au départ j’ai pensé que ce serait positif car je le voulais totalement travaillant pour moi. J’ai pensé que le temps libre était mauvais pour un homme. Avant il passait bien trop de temps au golf et à l’ordinateur. J’ai particulièrement limité l’ordinateur, la télévision et le golf.

 

Ce que j’ai depuis découvert, c’est que même dans un régime de domination permanente, un soumis doit se voir accorder du temps pour recharger ses batteries mentales. Mon mari avait du mal en raison du stress de son travail. Il rentrait à la maison et une liste de tache à faire l’attendait et je ne lui accordait que très rarement du répits.

J’aimais les moments où il suppliait pour avoir une pause, car je les prenais pour des défis, et je l’obligeais à se soumettre plus. Cela le dressait mentalement. Les tâches ménagères ne sont pas mentalement fatigantes et je pensais que ce serait bon pour lui de faire des efforts physiques après une journée passé au travail le cul sur sa chaise. Ca roulait et pliait, mais des fois il avait vraiment besoin de repos pour se ressourcer physiquement et mentalement.

 

Ce que j’ai fait c’est de modifier le contrat pour qu’a présent il puisse disposer de deux jours de la semaine où il peut faire ce qu’il veut. C’est encore du 24/7 et il doit me demander la permission pour tout même ces jours là (et j’ajoute que je ne me prive pas pour lui dire non), mais je suspend ses tâches ménagères deux jours par semaine. De plus ces deux jours sont flexibles. Cela fonctionne bien, car s’il a eut une journée stressante, il peut revenir à la maison et il a bien sa liste de tâche qui l’attend, mais il peut me dire qu’il a besoin d’utiliser un de ces deux jours libre pour ce reposer ce soir là. J’ai appris à être un peu plus souple et les tâches ménagères attendent jusqu’au lendemain.

Se relaxer signifie pour lui de faire du golf, lire un roman, ou même regarder la TV. Je dois donner mon autorisation pour toutes ses activités, mais je suis compatissante. Cet arrangement a fait merveille sur lui, et son implication à me servir s’est régénérée. Nous sommes satisfait du résultat;

En résumé, je recommande vraiment un domination permanente 24/7, et je ne me vois pas revenir en arrière la dessus où il ne serait question de domination que dans le lit. J’ai appris de cette expérience qu’un soumis a aussi besoin de se ressourcer. Mon mari était plein d’enthousiasme quand nous avons commencés la domination permanente et il a fallu plusieurs mois pour qu’il ressente la difficulté. Mais j’ai su gérer cela. Je crois que les dominatrices doivent savoir qu’il est bon de donner un peu de temps libre à leurs soumis. Nous avons tous besoin d’amusement dans la vie pour recharger nos batteries, et un homme soumis n’est pas différent.

 
 
Réponse Elise Sutton :
 

Je suis à 100% d’accord. De nombreux couples en viennent à la domination féminine pour recharger leurs batteries d’une vie stressante. La domination féminine est une excellente façon d’évacuer le stress en plus d’être amusante, et cela peut faire des merveilles pour la santé mentales des gens. Le danger c’est quand la domination est mal gérée et permanente.

Je crois que certaines personnes se trompent quand à l’approche du terme 24/7. Je suis d’accord avec vous quand vous dites que cela revient à dominer en permanence y comprit en dehors de la chambre, et pour tous les pants de la vie. Mais cela ne signifie pas que la domination doivent se faire chaque heure de chaque jour. Je le déconseille même. 24/7 signifie que la femme dirige en permanence, mais pas nécessairement qu’elle ait un contrôle actif et intense permanent. L’autorité aimante est une façon de vivre et l’autorité féminine se comprends comme s’exerçant tout le temps, mais s’adapte aux humeurs et circonstances.

L’autorité de la femme peut exister quand un soumis fait les taches ménagères, ou quand il va au golf. Votre relation le démontres très bien.

Votre mari doit demander votre permission et avoir votre approbation, mais vous êtes intelligente et le gouverner pour son propre bien. Vous avez comprit qu’il a besoin de jouer au golf et qu’il a besoin de poses et vous lui avez permis tant qu’il n’abuse pas de ses temps libres et aussi longtemps que son niveau de servitude à votre égard ne baisse pas.

Le 24h/24, 7j/7 est plus une attitude qu’une activité. Dans une relation saine de domination féminine, on accorde au mâle des privilèges aussi longtemps qu’il les gagne à travers son obéissance et l’excellence de son service.

Comme pour tout dans la vie, il doit y avoir un équilibre. La domination féminine doit apporter et épanouir la maitresse ET son soumis. Cela doit enlever du stress, pas en apporter. Cela signifie enflammer les passions, pas les étouffer sous la charge de travail.

C’est pour cela que la communication est obligatoire. Si l’un des deux lutte avec certains aspects de ce mode de vie, une discussion ouverte s’impose et un ajustement doit être trouvé. Dans l’autorité aimante la femme prend les décisions et le mâle se soumet à ses décisions, mais la femme doit être consciente de la façon dont ses décisions affectent l’homme qu’elle aime. Etre parfois souple, n’enlève rien à l’autorité mais plutôt la met en valeur.

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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