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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 07:38

Les Mariages, il y a peut encore, étaient des transactions financières. Un père donnait la main de sa fille pour, une parole, une paire de bœuf ou une vache. Souvent l’époux était bien plus vieux et ne ressemblait pas à Tom Cruse. Une bague était placée à sa main, le monde pouvait ainsi comprendre qu’elle appartenait à son mari. Elle était au même titre que son bœuf, son bien.

Merci aux différentes féministes qui ont permis que des progrès soient faits dans le dernier siècle. Les femmes choisissent maintenant seule leur époux, mais aussi si elles veulent se marier ou non. Les femmes ne jurent plus obéissance à leurs époux. Nombreuse choisissent de ne même pas porter son nom.

Les mariages actuels dans les pays occidentaux sont des vestiges de ces jours anciens. La robe blanche par exemple, représentant la virginité et la pureté, et la bague en diamant, qui grosse brillante et chère reste un des symboles de l’appartenance.

Nous avons clairement un long chemin à parcourir. Dans les paragraphes ci dessous, nous allons examiner là où le voyage finalement nous mènera.


POLYGAMIE

Les Mormons ont formellement approuvés la pratique de polygamie en 1844, afin d’accroître la population. Les prêtres pensaient que plus de femmes feraient plus de Mormons. Ce fut le cas, surtout en Uta depuis.

Voilà comment cela marchait souvent : Le mari allait de femmes en femmes, de maisons en maisons comme un bourdon passe de fleurs en fleurs. Les femmes passaient la plupart de leur temps seules dans une pauvreté financière et sexuelle, élevant les enfants, faisant le ménage comme des esclaves. Le mari avec du sexe chaque jour vivait comme un dieu.

C’est comme cela que ce devrait être, mais avec une différence majeure. C’est la Femme et non l’homme qui devrait avoir de multiples partenaires. Trois au minimum, optionnellement 5. Pourquoi ? Parce que le sexe devrait être à la base pour le plaisir, pas pour la procréation, et un seul homme est souvent incapable de satisfaire une Femme. Les hommes peuvent avoir environ 10 orgasmes par semaine. Calculez le nombre d’orgasme qu’une Femme peut avoir chaque semaine et vous comprendrez.

Pensez à la possibilité suivante :

Si le mari n°1 éjacule prématurément c’est pas cool. Le mari numéro 2 est appelé, prêt à se libérer. Elle se penche juste pour profiter du fruit de leur travail. De multiples maris, pour Elle, implique de multiples orgasmes. Les maris tous en recherche de l’affection de la Femme adorée (et du droit de jouir), essaieraient de se surpasser les uns les autres en lui achetant des présents, préparant des repas exotiques, composant des sonnets et des sérénades. Les revenus de la maison seraient répartis en fonction des souhaits de la Femme, et lui permettrait de vivre dans le luxe. Les punitions et les humiliations seraient facile avec d’autres hommes présents. Et combien belle serait une Femme tirée dans une calèche par ses 5 maris.


L’ADULTERE

L’infidélité est un must pour garder les maris sur de bons rails, particulièrement si les circonstances empêchent une Femme de prendre plusieurs conjoints. Les règles sont simples : On encourage et permet à la Femme d’avoir des liens hétérosexuels en dehors du mariage alors que le mari doit rester fidèle et exclusif à sa Femme.

La Femme ne devrait pas garder secrètes ces rencontres extra maritales. Au contraire elle devrait décrire chaque chose en détail. S’il se plaint ou est jaloux, elle lui expliquera que seuls ses performances à lui dans le lit la concernent.


 

LA DISPARITÉ DE L’AGE.

Cela se fait si souvent et existe depuis si longtemps qu’il est parfaitement acceptable par nos sociétés. Un homme de prêt de 50 ans se marie avec une femme sortant de ses études. Ils sont de bons époux tant qu’elle aime dépenser son argent et qu’il en a trop pour lui seul. Tout le monde sait qu’il ne s’est pas marié avec elle pour son intelligence et qu’elle ne l’a pas épousé pour son look, mais aucune loi n’a été enfreinte, personne n’a rien objecté. Mais ça ressemble à de la prostitution, sauf que les prostituées peuvent s’en aller après leur passe.

Ce n’est pas pour critiquer cette femme du tout. A ce que l’on sait, elle profite des "stocks options", le domine et urine dans sa bouche. Mais l’inverse est bien plus rare. Regarder les célébrités. Et pas seulement elles. Plus souvent que cela ne devrait l’époux est plus vieux que sa femme de 6, dix ou 15 ans. C’est si commun qu’on ne le remarque plus. L’idée vient je-crois de l’axiome que la femme vieillit plus vite que l’homme. Mais la femme atteint sa maturité sexuelle vers 35 ans, alors que l’homme l’a à l’école.

Idéalement la femme devrait avoir 7 à 10 ans de plus que le plus vieux de ses 5 époux.

TENIR LES CORDONS DE LA BOURSE

Idéalement L’argent fait tourner le monde. Si on a l’argent, on a le pouvoir de faire ce que l’on veut. Si on est financièrement dépendant, on est l’esclave de cette personne, quelle que soit l’intelligence de la personne. 

La première chose qui fait des femmes des citoyens de seconde zone depuis longtemps est leur manque d’argent. Une femme dans les années 50 ne pouvait pas quitter son mari sans vivre dans la pauvreté. De nos jours les femmes sont capables de ramener la pitance, et elles le devraient.

Il est essentiel que toute décision financière, même triviale, soit faite par la femme. Elle a un droit de veto sur sa vie et celle des ses époux, qui sont complètement dépendant de sa générosité.

Tous les maris devraient avoir leurs finances arrangées comme ça :

  1. Tout ce qu’il possède et son salaire devrait directement être mis sur le compte de la femme, le mari n’y ayant pas accès.
  2. Toutes les économies d’avant l’union doivent aussi être transférées sur le compte de la femme.
  3.  L’homme se voit accordé une carte de crédit avec 250 € de limite, qui doit être utilisée uniquement en cas d’urgence. Ils n’ont pas à avoir de carte de crédit.
  4. La femme est responsable du paiement des factures, de la nourriture et des vêtements de son mari. Elle garde son carnet de chèque sous clés.
  5. L’époux se voit attribué chaque semaine disons 70€ pour ses dépenses, repas, etc.… et pour ses plaisirs comme les livres ou les CD. Toute pornographie qui humilie les femmes est strictement interdite.
LE POUVOIR DU HARNAIS

Le god ceinture est l’instrument ESSENTIEL d’un mariage Gynarchique. Le god en lui-même devrait être plus grand et plus large que son membre en érection. Qu’est ce que son petit appendice à coté d’un appareil plus grand qui ne débande jamais ?

L’intrusion anale avec le god ceinture est la fonction évidente de cet objet. Le sexe de cette façon va au début l’humilier et le forcer, mais avec le temps, il en viendra à aimer la pénétration. Ce qui commence comme une punition finira comme une récompense.

Encore mieux, faites porter le god ceinture à votre mari. Son sexe doit être attaché entre ses jambes avec une ceinture de chasteté pour empêcher l’érection. L’utilisation du god ceinture doit être instinctive pour l’homme, qui n’a plus à se soucier d’éjaculation précoce ou d’impotence, et peut travailler des heures pour le plaisir de sa femme. Ainsi après s’être habitué à un phallus plus grand, s’il essaye encore d’avoir des rapports de pénétration avec son propre pénis, il se sentira tout petit.

L’AIDE DE LA CHASTETE

Plus longtemps un homme est interdit d’orgasme, plus il va le désirer. En d’autres termes, un homme excité fera tout ce que veux sa femme. Inversement, une fois qu’un homme a joui, il ne pensera plus au sexe, et les besoins de sa femme seront ignorés. Donc l’orgasme doit être réglé. Le dénie d’orgasme est une punition, l’orgasme une récompense. Il y a plusieurs méthodes pour ce faire, certaines plus extrêmes que d’autres, mais il y a des règles inviolables :

  1. L’époux ne doit se masturber dans aucune circonstance, sauf si sa femme lui ordonne.
  2. Il ne doit jamais avoir le droit de jouir à moins que la femme n’ait déjà eut son plaisir.
  3. La femme ne devrait jamais faire plaisir oralement a son époux. Si son mari désire une fellation, elle doit être faite en trouvant un homme pour satisfaire ce désir bas.
  4. Les rapports sexuels de pénétration impliquent par nature la complémentarité. Comme le mari ne devrait jamais se sentir l’égal de la femme, la pénétration doit être évitée et remplacée par le cunnilingus et le god ceinture. Si la femme désire quand même une pénétration, le mari ne devrait jamais avoir le droit de jouir.
  5. Dans les rares occasions où le mari est autorisé à jouir, il devrait le faire de manière humiliante comme : 1/ Se frotter sur une surface rugueuse, comme un lit. 2/ Se masturber lui-même. 3/ A travers des actes non voulu d’homosexualité.
  6. La jouissance du mari doit être utilisée comme une récompense, mais aussi considérée comme une offense à punir.
  7. La semence devrait être utilisée de façon à humilier le mari (ex ; nettoyage oral).
  8. La femme ne devrait pas toucher le mari en dessous de la ceinture si possible.

Il y a de nombreuses méthodes pour tenir le mari. La plus extrême est de lui faire porter des objets obligeant à sa chasteté, comme une ceinture de chasteté, des piercing, etc. Cybèle conseille l’utilisation d’une ceinture de chasteté et le rationnement des orgasmes. Au début une fois la semaine, idéalement une fois toutes les deux ou trois semaines, avec éventuellement des prolongations pour punir des mauvais comportements.

 
LES RITES DE PROPRIETES

 Cela correspond au fait de contrôler votre mari d’une façon indélébile. Ces rites peuvent être extrêmes (scarification, branding, etc…). Ils peuvent être aussi simple.

Voici quelques rites de Cybèle :
  • Un tatouage discret, un cœur avec un nom de femme porté sous le pectoral gauche
  • Le piercing des seins, du pénis, du scrotum
  • Raser les parties génitales
  • Le polissage des ongles
  • Le mari prenant le nom de la femme
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 17:49

 



Q. Chère Maîtresse, il y a deux mois, ma femme et moi avons tenté de vivre une relation fondée sur la domination féminine pendant quelques semaines. Elle est naturellement dominante et j’ai des tendances soumises. Il y avait tant de paix et d’harmonie dans notre maison. Malheureusement, nous avons rencontré des obstacles majeurs :
1) Ce mode relationnel nous a apporté une énergie sexuelle nouvelle et ma femme se plaint que je sois trop intéressé par le sexe, que toute ma vie tourne autour du sexe, et que je sois incapable de penser à autre chose. Oui c’est vrai. 
2) Je n’ai pas été capable de maintenir une érection convenable afin de lui donner satisfaction. Je suis en bonne santé, j’ai 29 ans et je n’ai aucun problème, mais quand je suis devenu extrêmement soumis je n’arrive plus a bander et, si tel est le cas, j’ai une éjaculation précoce. Ma femme est devenue très frustrée par mon incapacité à lui plaire ainsi. 
3) J’ai noté que beaucoup de site (mais pas tous) abordant les mariage sous l’égide de la domination féminine parlent de l’adultère. Quand j’ai découvert mon incapacité à satisfaire ma femme et son désappointement, j’ai commencé à comprendre pourquoi. Je sais que c’est une limite que je ne veux pas franchir et j’ai peur que si nos rapports et mon incapacité à bander perdurent, je sois excité par l’idée et lui en parle.
4) J’ai commencé à perdre la conduite de ma vie et ma capacité à penser par moi-même. J’ai tant de bonheur à dire « oui chérie » à tout ce qu’elle dit, que j’ai l’impression de ne plus penser seul. Mon niveau de contrôle à aussi diminué.
J’ai discuté de tout cela avec ma femme et nous avons conclu que bien que nous aimions énormément la dynamique de l’autorité féminine dans le couple que c’était un prix trop élevé à payer. Alors nous avons décidé de ne pas continuer.
Je cherche toujours comment faire fonctionner cela, mais nous sommes tous les deux préoccupés par ce que je viens d’évoquer. Avez vous déjà rencontré ces problèmes et savez-vous comment les résoudre ?
 
R. Je vais évoquer le pouvoir de l’esprit un peu plus en détail après, mais je vois dans votre situation quelques contradictions. Déjà laissez moi vous dire que je suis heureuse que cette expérience brève avec la domination féminine vous ait amené paix et harmonie. Ce qui m’amène à la question : pourquoi avez vous arrêté ?
Comme dans toute relation, il y a des hauts et des bas et des challenges, mais si ce style de vie vous amène à tous deux la paix et l’harmonie, je ne peux comprendre pourquoi vous avez décidé d’arrêter seulement après quelques semaines ? Voyons un peu quelles sont vos préoccupations.
Vous dites avoir 29 ans et être attiré par le concept de la domination féminine, qui vous excite sexuellement au point que votre femme voudrait que vous le soyez un peu moins. De plus vous avez des soucis pour bander ? Plus précisément, vous n’avez pas de souci pour le faire dans le cadre d’une relation plus vanille, mais quand elle vous domine, même si vous êtes excité par sa domination. Cela semble être contradictoire. Je ne doute pas de ce que vous dites mais j’essaye de comprendre. Je peux seulement avancer la conclusion que ce doit être une barrière mentale concernant la façon dont vous percevez son attitude. Pas nécessairement son attitude, mais la façon dont vous la percevez.
Quand vous êtes en érection, vous avez des éjaculations précoces. Logique car vous êtes sexuellement excité par la situation que vous n’avez jamais connue, et vous l’êtes tellement que vous ne pouvez contenir votre concentration. Vous êtes submergé par l’excitation sexuelle, d’où l’éjaculation précoce.
Votre seconde préoccupation est aussi logique et courante et la solution pour votre femme est de faire en sorte de canaliser votre excitation sexuelle non pas vers vous mais vers elle, et uniquement pour son plaisir et sa stimulation à elle. Si vous avez lu mon site, vous connaissez les activités dont je parle, comment prendre soin d’elle, la servir oralement, et peut-être utiliser un jouet comme un vibro ou un god sur elle, ce genre de jouet vous amenant à vous concentrer sur elle uniquement. Cela peut ajouter à votre excitation, ce qui est bien, et elle peut utiliser celle-ci pour la servir aussi en dehors de la chambre. Il lui suffit donc de changer un peu ses plans et faire quelques menus ajustements.
Pour en revenir à vos propres difficultés, concernant votre mal à avoir une érection quand elle vous domine, ce peut être un blocage mental. Peut-être avez-vous des difficultés pour la voir dans le rôle dominant (en raison de votre éducation ou de votre rôle social), ou peut-être n’est-elle pas enthousiaste avec la D &s dans la chambre, peut-être percevez-vous qu’elle n’est pas autant « dedans » que vous, ce qui pourrait affecter votre excitation. Si elle se plaint que vous pensez trop au sexe, peut-être pense-t-elle que la domination féminine est tout pour vous. Comment changer cela ? En faisant tout pour elle. Laissez-la diriger et décider quand la D &s ou les activités sexuelles ont lieu, et en quoi vont consister ces activités.
Votre troisième préoccupation, l’adultère, ne s’applique pas vraiment à vous, car je doute que votre femme soit intéressée par cela. Vous semblez l’être, mais il me semble que vous devriez déjà travailler sur les fondamentaux de la servitude. Tout le reste se décidera en temps voulu.
Je ne néglige pas votre observation sur le fait que des couples évoluent avec le temps vers une vie ou l’adultère à sa place, tandis que la femme prend plus de pouvoir et que l’homme devient plus soumis, mais vous n’en êtes pas là.  Quelques semaines sont bien trop courtes pour « essayer » ce style de vie. Cela nécessite de l’implication et un engagement, puis une poursuite de cet engagement à travers de nombreuses explorations et dialogues afin de voir l’expérience grandir. Vous devez tous les deux vous donner plus de temps.
Et cela nous amène au 4ieme point. Il pourrait y avoir de nombreuses raisons qui vous font ressentir le fait que votre contrôle diminue. Vous dites que la façon dont vous avez de vous rendre consiste à lui dire « oui chérie » mentalement. Qu’évoquez-vous ? Vos performance ou votre carrière ? Il semble que vous mettiez la charrue avant les bœufs. Si votre femme vous disait « je  veux que tu excelles dans ton travail », vous diriez « oui chérie ! » et lui obéiriez ?
N’aviez-vous pas fondé vos espoirs sur le fait que votre femme embrasserait ce style de vie sans poser de questions ? Or, elle pose des questions, elle émet des critiques à propos de certains aspects de votre soumission. N’avez-vous pas été déçu ? Ou avez-vous du mal à la voir dans le rôle dominant, d’où l’émergence d’une lutte interne en vous ?
Si vous m’aviez dit qu’elle vous avait dominé au delà de vos attentes, ou si vous m’aviez dit qu’elle était devenue tellement dominante, que vous aviez du mal à suivre, ou bien que vous aimiez tellement  être dans le sous espace que vous aviez du mal à gérer votre vie extérieure, j’aurais pu penser que votre perte de contrôle était en rapport avec votre implication dans ce style de vie.
Mais vous n’avez fait cela que quelques semaines et il ne semble pas que votre femme vous ait obligé à des pratiques que vous ne vouliez pas. N’est-ce pas plutôt que cette courte expérience n’a concerné que vous ? Qu’elle n’y a consenti que pour vous plaire ? Il est étonnant qu’elle ait voulu mettre si facilement fin à une expérience de domination si elle y prenait plaisir.
Ce style de vie devrait vous motiver en dehors de la maison si vous voulez faire plaisir en tout domaine à votre femme. Ce qui se passe dans la chambre devrait vous motiver au dehors. C’est dehors que se forge la discipline. Une session de discipline par semaine peut faire des merveilles. Elle y évalue vos performances de la semaine passée et vous motive pour la semaine qui vient.
Mon conseil serait est que tous deux tentiez un nouvel essai, mais que vous vous relaxiez pour y prendre plus de plaisir. Le plaisir est la clé. Concentrez-vous sur votre femme. Vous allez être excité, et elle a besoin de votre excitation pour la canaliser à son service. Travaillez sur la façon dont vous la percevez. Vous pourriez avoir du mal à vous soumettre à elle pour certaines choses ou certaines situations. Communiquez ensemble et n’allez pas trop loin trop vite. Vous pensez déjà à l’adultère alors que vous n’avez pratiqué que quelques semaines. Impliquez-vous et engagez-vous dans ce style de vie. Alors l’échange de pouvoir pourra s’opérer.
Vous avez testé la paix et l’harmonie que ce style de vie peut apporter. A présent relaxez-vous et laissez faire la nature. Vivre sous la domination de la femme commencera à devenir une réalité. Votre femme ne peut être le vecteur d’accomplissement de vos fantasmes, car ce serait un manque d’amour. Mais elle peut devenir le point focal de votre vie, alors que vous vous battez pour apprendre à la servir. Refaites une tentative et, cette fois, dans le bon ordre. Faites de ce style de vie, une vie au service de votre femme et vous verrez qu’elle vous donnera la motivation dont vous avez besoin.

 
Sylvie et moi nous sommes des amis depuis très longtemps et depuis quelques mois nous nous intéressons  à la domination Féminine.
Tout les sites que nous avons visité nous décevaient, et un soir nous sommes tomber sur le Votre. Plus  le temps passait, plus je voyais se dessiner un merveilleux sourire sur le visage de Sylvie (Elle est très expressive) et moi je réalisais la supériorité de la Femme.
Un soir, alors que nous lisions les textes, Sylvie m'a demandé mon opinion et je lui ai répondu que j'étais d'accord avec tout ça. Elle s’est placée debout devant moi et m'a ordonné d'enlever tous mes vêtements, de me mettre à genoux, jambe écartées, mains dans le dos, et de déclarer la Supériorité de la Femme. J'ai obéi timidement. 
Elle m'a giflé en m'ordonnant de le dire à haute voix. J'ai donc déclaré tout haut que la Femme était supérieure à l'homme et que j'acceptais de me soumettre à ses pieds. 
Ensuite, elle m'a fait placer à quatre pattes sur la table du salon et elle est allée chercher une courroie de cuir. J'ai compté chaque coup et admis la supériorité de la Femme. Ensuite Elle m'a fait mettre à genoux, le nez collé au mur pour réfléchir à tout ça. Après une demi-heure, elle est revenue et m'a demandé si j'avais bien compris. J'ai dit « oui » et je lui ai baisé les pieds et depuis nous cheminons ensemble.
Elle a su instiller en moi une grande crainte de la correction. Pour nous c'est devenu un mode de vie.
Je lui suis soumis et j'accepte d'être humilié, corrigé et dressé.
Maintenant je suis heureux d'être aux pieds d'une Femme et je la remercie tous les jours.
Nous apprécions beaucoup Votre site et Vos conseils. En toute soumission
Robert 
 
Réponse de Mtrs Dana 
Robert. Je suis heureuse que le site vous ait permis, à ta Maîtresse et à toi, de vivre cet instant béni qui est un tournant dans une vie de couple. Tu as une chance merveilleuse d’avoir une Maîtresse qui veuille explorer cet univers avec toi. Surtout, laisse-lui la liberté d’aller à son rythme, sans la pousser ni chercher à l’influencer, ce serait une erreur parfois rédhibitoire. 
Avec le site, elle va pouvoir découvrir tous les avantages et les plaisirs que lui offre cette vie de dominante, toute la liberté et l’épanouissement que lui ouvre ce monde. C’est une chose que je souhaite à toutes les femmes, même si peu encore ont cette chance de le vivre. 
Mais si ce site existe c’est bien pour cela. Pour ouvrir des portes vers nos mondes intérieurs et notre nature profonde. 
Pour toi, Robert, ta tâche est simple : abandonne-toi à elle. Ne pense qu’à son plaisir, qu’à son bonheur. Sers-la chaque jour avec amour et application, sois attentif et docile. Reste humble et obéis à tout ce qu’elle décidera pour vous. 
Tu verras que rapidement, elle va prendre de l’assurance, qu’elle va devenir plus belle encore, qu’elle va être souriante souvent, épanouie, et tu ressentiras son bonheur et son pouvoir. 
Car elle va vouloir le tester sur toi, et plus le temps passera, plus elle deviendra dominante et exigeante, plus elle voudra ta soumission, pour son propre bonheur et pour le tien, puisque tu es ainsi, comme tant d’hommes. 
Mais je te félicite, car tu as eu le courage de reconnaître cela en toi, et seuls les hommes qui ont le courage d’oublier leur coté macho et de s’abandonner à une femme, connaissent le vrai bonheur physique et mental que procure la soumission…. Celui de l’abandon dans l’amour. 
Je vous souhaite beaucoup de choses, et n’hésitez pas à nous raconter la suite de vos découvertes. 
 
 
De Henri M:
 
Bonjour Maîtresse Elise. Déjà je dois vous remercier pour votre site merveilleux et toute la sagesse et l’expérience que vous partagez avec nous tous. Ce doit être très agréable de savoir que vous avez contribué à améliorer la vie de tant de gens. Je gère une agence pour former les gens à l’élocution et au discours. On peut imaginer quelle influence et quel impact vous auriez sur notre audience. Je suis certain qu’ils en apprendraient bien plus qu’ils ne s’y attendent. Ma merveilleuse femme et moi sommes marié avec bonheur depuis des années et avons une merveilleuse relation. Depuis mon adolescence j’ai toujours rêvé de femmes dominatrices. Comme tant d’homme ici j’ai mis longtemps pour partager mes vrais sentiments sur la soumission et comme tant de femmes ici, elle a été un peu choquée et effrayée. Mais, heureusement, elle a été merveilleuse et nous avons expérimenté cela depuis 6 à 12 mois. Elle a accepté mon  être et sa domination se développe gentiment. J’ai suivi vos conseils de ne pas la pousser pour aller trop vite et de la laisser se développer  à son rythme.  J’ai fait ce vous suggérez en la traitant comme une Reine, en prenant en charge bien des tâches ménagères, et en faisant passer ses besoins avant les miens. Je lui sers son petit déjeuner,  son dîner, et lui apporte son apéritif.
Un dimanche matin, comme j’étais resté tard à l’extérieur à boire avec des amis le samedi soir, je me suis réveillé en retard. Je m’étais endormi avec une légère gueule de bois. Ma femme aimante était allongée à mes cotés, me réveillant doucement, toute espiègle et douce. Quand je m’assis sur le lit, elle plaça ses pieds froids sur mon dos puis les monta jusqu'à mes épaules puis, m’entourant le cou, elle me fit basculer sur le coté brusquement. Elle me retenait prisonnier, mon corps tordu et mon cou entre ses jambes, allongée sur le dos, ne portant que son joli slip en soie bleu noir. Tandis qu’elle faisait pression sur mon cou, elle saisit mon sexe déjà dressé, puis avec l’autre main elle m’empoigna les cheveux et, les tirant durement, dit  fortement « tu te donnes ? » Je répondis oui, et elle demanda « Qui est le Maitre ? » Tu es mon amour fut ma réponse.
Elle me libéra puis glissa sur moi, collant mes épaules au lit, s’assit sur mon visage mais juste un court moment, juste le temps pour moi d’embrasser sa mignonne petite chatte, puis elle se  leva sur le lit, elle plaça ses pieds à différents endroits sur moi, me les fit embrasser, puis baissa ses yeux sur moi et me dit « Ne rentre plus jamais si tard ! »
Elle quitta la chambre, me laissant à ma réflexion et au souvenir de la superbe façon dont avait commencée la journée. Je la persuadai d’aller à la piscine où je pourrais lui servir son petit déjeuner. 
Je préparai le petit déjeuner alors qu’elle se faisait bronzer sur une serviette de bain. Je le lui servis et lui demandai si elle était satisfaite.  Elle répondit « Tu es là, mais il en faut plus ». Nous prenons toujours une douche ensemble car c’est une des meilleures façon de commencer la journée, et nous avons certains petits  rituels sous la douche qui incluent le fait que je la savonne ou, quand elle se rase sous les bras, que je reste derrière elle et caresse ses fesses tandis qu’elle pose ses talons sur mes pieds, m’emprisonnant dans cette position.  Je lui demandai à l’oreille si elle me permettait d’embrasser et lécher sa chatte, le réveil m’en ayant donné envie. Elle répondit oui.  Je m’assis donc sur le carrelage, mes jambes autour d’elle, elle leva une jambe sur mon épaule pour me donner accès à son intimité, et après un moment de délice elle plaça son pied sur mon pénis et me dit « c’était bien ». Je restai là, assis, levant la tète vers elle, l’eau cascadant sur ses épaules. Elle me dit qu’il était temps qu’elle se rince les cheveux. Elle pencha sa tête en arrière et passa ses mains dans ses cheveux en gardant tout le temps fermement son pied sur ma cuisse, c’était une vue paradisiaque. 
Quand elle ouvrit les yeux et regarda en bas, elle me donna un petit coup sur les bourses et sortit de la douche. Je restais assis là un petit moment pour goûter encore ce que je venais de vivre. Je sortis et cherchai ma Dame. Elle s’habilla très sexy. Elle se saisit de chaussures rouges, me les jeta et me dit « met-les moi ! ». Une bouffée de soumission m’envahit, et je glissai doucement ses chaussures embrassant les orteils de chaque pied. Elle parcouru mon corps avec ses talons, puis continua à se maquiller. Je me pinçai, vérifiai que ce n'était pas mon anniversaire. Elle grimpa sur le lit et, m’écartant les jambes s’assit sur mon ventre, moi sur mes coudes, elle pencha son visage vers moi, ses cheveux encore mouillés, puis elle commença doucement à monter et descendre le long de mon membre. Soudain elle cessa et s’assit sur le lit, un pied de chaque coté de moi, elle enleva une chaussure, la posa sur mon torse, puis recommença à me monter sauvagement.. Je pensais que je vivais simplement le meilleurs dimanche de ma vie. Et je le dois à une seule personne, ma si belle femme.
J’espère que vous avez partagé  mon plaisir, celui que l’on peut avoir avec une femme que l’on aime et que l’on traite comme une Lady. La chevalerie ne devrait jamais cessé. Dans le futur, je serai même encore plus courageux et lui montrerai votre site et vos procédures. Comme tant d’hommes ici j’aimerais plus encore. J’aimerai expérimenter le god ceinture, mais c’est peu probable venant d’elle. Quoi que…
 
Réponse d’Elise: 
Henri, merci de nous avoir fait partager les détails du plus beau jour de votre vie. J’aime entendre comment la domination féminine est vécue chaque jour. Cela n’a pas besoin d’être extrême ou sauvage. Votre histoire est très romantique et l’on peut sentir derrière vos phrases comme vous aimez votre femme. Il est aussi très visible qu’elle commence à découvrir sa nature dominante. Elle aime vous contrôler. Continuez à faire ce que vous faites car vous développez sa dominance avec votre sincère servitude amoureuse. Des activités plus avancées pourraient venir dans le futur, mais que cela vienne ou pas, aucune session D&S ne sera jamais plus excitante que votre merveilleux dimanche avec elle. L’attitude est une chose plus importante que les jouets ou les outils. Vous avez une attitude soumise envers elle et elle a une attitude dominante envers vous et cela amène à une journée romantique et sexuelle ensemble. C’est la magie de la domination féminine.    

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 11:22
De Evelyne

Je vous envoie ces quelques lignes pour vous décrire ma vie de dominante (dans un petit village du nord des alpes de haute Provence). Ma conception de la domination féminine

La première fois que ma sœur a évoqué la domination féminine comme style de vie pour sauver mon mariage, j’ai cru à  une plaisanterie comme elle en fait souvent.  

Tout d’abord une présentation rapide.

J’ai 50 ans, je suis prof de math, mon mari a le même âge, il est retraité de l’armée depuis 5 ans, nous avons trois enfants tous mariés. Je ne vais pas vous dire en détail pourquoi ni comment j’en suis arrivé à  dominer mon mari. En résumé : la vie de couple devenait pénible et ma sœur voyant cela a fini par me révéler son mode de vie, j’ai cru à  une blague  tout d’abord  mais Dominique, ma sœur m’a convaincue et  j’ai adopté son merveilleux mode de vie

Ensuite une mise au point.

Ma domination est uniquement un moyen de rendre la vie du couple plus merveilleuse tant sur le plan sexuel que sur le plan de la vie de tous les jours .j’aime mon mari  et mon style de domination  est assez particulier, en fait je n’utilise jamais d’humiliations verbales, ni d’humiliations en public.

Pour bien comprendre mon style de domination, je vais vous raconter  quelques journées de notre vie conjugale.

Une journée  de travail

Ce matin  7h je me suis éveillée agréablement  grâce à  Jo qui me léchait tendrement les pieds  comme il le fait à  chaque fois que je vais travailler. Au bout d’un quart d'heure de léchage, je lui ai dit de me masser les fesses et le dos tout en me retournant. Il sait que je ne veux pas de caresses sur les seins ou sur mon sexe car il me devient alors pénible de quitter le lit. A 7h 30 il est parti préparer mon petit déjeuné sur mon ordre et je me suis levée.   Je  suis allé dans la salle de bain et  un quart d’heure quand  j’en suis ressortie, mon petit déjeuné était prêt très exactement comme je l’aime. Puis je suis partie travailler avec mon 4x4 nettoyé à  fond la veille par mon mari.

Après mon départ Jo a fait la vaisselle, le ménage et une machine  de linge .puis il vit sa vie : occupations à  la ferme, ski, randonnées, commissions etc.

 

J’arrive vers 19h30 après une journée de travail prolongée par un conseil de classe, je suis vannée. La maison est impeccable. Jo sait qu’il doit éviter d’être dans mes pattes quand je rentre. Il a l’ordre de se faire discret dès qu’il entend le 4x4 et d’attendre que je l’appelle. J’ai instauré cette loi parce qu’il était trop empressé trop fou d’amour après avoir été loin de moi toute la journée  et il était quelque peu envahissant et pressant à  mon retour.

Je rentre, je vais prendre une douche et je vais me relaxer devant la télé bien au chaud devant la cheminée et son insert panoramique. J’appelle Jo pour lui dire de me servir le repas. Il vient me faire un bisou et part préparer les plateaux repas : au menu  salade de choux,  cote de porc haricots verts et bol de soupe, verre de vin.  C’est propre, bien préparé et bon. Il y a cinq ans, il était tout juste capable de jeter une boite de conserve dans une casserole sale et de faire à  peine réchauffer le tout. Après le repas il va faire la vaisselle et il range un peu tout ce que j’ai laissé traîner derrière moi dans la chambre le salon et la salle de bain. Il vient me rejoindre devant la télé. J’ai sommeil  je lui dit que je vais au lit.  Il sait qu’il doit me laisser au moins une demi heure seule tranquille au lit avant de venir s’agenouiller nu à  côté de moi. Quand je l’entends s’agenouiller je lui donne mes ordres : cela peut être de monter dans le lit pour dormir ou de rester à  genoux pour me masser mes pieds ou mes fesses ou tout autre ordre selon mon humeur et mon désir. Il doit obéir sans discuter et se taire. Ce soir j’ai envie d’un massage de jambes au bout d’un quart d’heure j’ai envie  d’un massage de fesses. Un peu plus tard un massage de dos. De ma main, à  tâtons je cherche son sexe pour le caresser un peu, il bande dès que ma main l’effleure, je le caresse  gentiment un petit peu, ce sera malheureusement pour lui la seule satisfaction qu’il aura ce soir car j’ai envie de dormir et je lui dit de monter sur le lit,

En ce moment il est presque irréprochable et les punitions sont rares  mais tôt ou tard il va parler sans autorisation, me griffer avec un ongle mal coupé ou me servir une soupe trop chaude. Je ne me gênerai pas pour le cravacher dur et lui zébrer les fesses. J’utilise aussi la cravache plus sensuellement en le cravachant moins fort pendant qu’il me fait un cunnilingus par exemple. Il y a une cravache dans la douche que j’utilise quand il est sous moi à  boire mon urine. Je peux aussi un peu l’enfermer (pas longtemps rarement plus d’une demi heure, sauf s’il a fait une grosse faute). Que se soit dans le placard, dans un grand coffre d’osier  ou coincé entre les vitres et les volets de la porte fenêtre, il est toujours fou d’amour et en pleine érection quand je le libère.

Ce mode de vie est merveilleux, il a des conséquences inattendues : autrefois, les visites trop fréquentes de ma mère l’excédait et les relations entre elle et Jo étaient difficiles, un vrai combat à  fleurets mouchés.   Maintenant plus de problème , Jo est impeccable , nous sert le café et vague à  ses taches ménagères , fait le repas quand ma mère reste , voire lui prépare son lit et lui met un bouquet de fleur dans sa chambre. Parfois même je lui fait faire des soins pédicures à  ma mère : bain de pieds, râpage des cornes ; soins des ongles, vernis, massage.

Maman ne sait pas que Jo est mon esclave ni la nature de nos relations mais elle est émerveillée par son changement incroyable d’attitude.

Alors ? Ce n’est pas merveilleux ?

En vrac quelques remarques :

Les  pénétrations, je le chevauche. Il ne doit pas jouir et ça a été assez facile  à  obtenir dans cette position. Après ma jouissance, mais pas systématiquement, il se peut que je le laisse éjaculer par masturbation avec mes pieds. J’affectionne aussi quand je suis dessous mais alors il ne doit pas m’écraser, seul son pénis me pénètre, il est en position de pompes et de ma cravache sur ses fesses, je rythme les pénétrations. Ainsi, malgré une position peu recommandée pour une dominante, je le domine quand même  tout en me fatiguant moins que en le chevauchant, de plus mes orgasmes sont plus forts.  Un seul inconvénient : un long apprentissage et dressage est nécessaire pour arriver à  l’orgasme sans qu’il éjacule. L’érotisme du cravachage excite beaucoup mon mari  soumis et comme ses muscles sont tendus il a eu beaucoup de mal à  se contrôler.

Le problème d’érection de Matt mon beau-frère

Ma sœur domine son mari depuis plus de dix ans. Il y a trois ans Matt a connu un sévère problème d’érection qui s’avère définitif.

Ce problème aurait pu entraîner un arrêt du sexe dans un couple conventionnel avec une ambiance pouvant se dégrader.  Avec la domination féminine aucun problème : Matt ne peut bander, ça n’empêche pas  Do de jouir par massages, cunnilingus, emploi d’un dildo manié avec amour par son mari. De plus celui-ci conserve un but sexuel : faire jouir sa femme. Et Do abuse de son eunuque tous les soirs.

Je pense que la domination féminine peut se décliner de différentes façons. En réalité je n’ai que ma propre expérience et celle de Do comme références sures. Je pense aussi que l’on peut faire confiance  au site d’Elise Sutton et surtout à  ses conseils.

Conclusion

Il y a 5 ans j’étais prêt du divorce, tout allait mal et le sexe était plus qu’épisodique.

Aujourd’hui,  je jouis presque tous les jours, mon mari me masse quotidiennement des heures entières parfois. Je ne fais plus aucune tache ménagère. Il n’y a plus aucun conflit dans notre couple. Ma mère peut venir quand elle veut, elle est reçue comme une reine. Ma sœur et moi sommes de plus en plus complices. La maison est impeccablement tenue. La vie est douce et agréable et je suis pressée de rentrer chez moi après le travail.

Réponse Ms.Dana

Que dire que vous avez tout compris Evelyne. Tout de la façon de gérer un soumis, et de tout l’intérêt que cela représente pour la vie de couple. Votre conclusion résume à elle seule le bonheur que ce mode de vie peut apporter dans une relation.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 09:34

Q. Mme Sutton, cela fait maintenant presque un an que j'ai converti mon épouse à la notion de mariage dominé par la femme, et nos relations se sont considérablement améliorées depuis. Bien sûr, tout n'est pas parfait, car j'ai encore quelquefois la tentation de revendiquer mes désirs de soumis, mais je pense que nous sommes sur le bon chemin. Merci.

Il y a cependant un résultat secondaire lié à ce type de relation que j'ai pu constater sur moi : je suis devenu tellement amoureux de ma femme que je souhaiterais passer tout mon temps avec elle, à la servir. Quand elle s'amuse à m'exciter puis se refuse à moi, cela me rend fou. Toutes mes pensées sont tournées vers elle, si elle n'est pas là je pense au moment où je vais la retrouver, la revoir, et lui consacrer du temps. Je suis tellement obsédé par elle que je déteste toute forme d'interférence qui pourrait m'empêcher de passer un moment avec elle.  

Elle consacre énormément de temps à l'éducation de nos enfants, notre famille, son travail, l'église, nos relations en société, etc. Avec son implication dans tant de domaines différents et méritoires, je dois vraiment me battre pour obtenir un peu de son temps et de son attention. Cela a déjà posé quelques problèmes, car je suis devenu jaloux de tout ce temps que l'on pourrait passer ensemble, mais qu'elle doit consacrer à d'autres. Je sais qu'elle en ressent de la culpabilité, car elle souhaiterait satisfaire chacun et faire "tout pour tout le monde". 

Avez-vous déjà rencontré ce problème auparavant ? Quand une femme a pris un tel ascendant sur son époux qu'elle en devient l'unique objet de ses pensées et qu'il se surprend à être jaloux du temps qu'elle ne passe pas avec lui ? Je n'aime pas cette idée d'ajouter ce stress et ce sentiment de culpabilité à la vie de ma femme, tout cela parce que je ne partage pas autant de temps que je le voudrais avec elle. Quelles suggestions pourriez-vous faire à un mari qui est tellement épris de sa femme qu'il en devient presque possessif ? Quel conseil pourriez-vous donner à une femme qui doit vivre avec un mari devenu tellement obsédé par son "pouvoir féminin" qu'il souhaite être auprès d'elle à tout instant de la journée ? Comment les couples confrontés à cet apparent "effet secondaire" d'un mariage dominé par la femme peuvent-ils gérer un tel problème ?

Réponse Elise Sutton :

Quel contraste avec la plupart des plaintes classiques que l'on entend au sein des mariages "vanille" ! D'habitude les femmes trouvent que leur mari les ignore, et qu'il les considère comme un bien acquis, qu'il s'intéresse plus aux sports et à leur golf qu'à leur épouse... Alors que toi, tu es totalement dévoué à ta femme, et tellement épris d'elle que tu désires plus que tout qu'elle te consacre de son temps et de son attention ! C'est bien là le résultat de la puissance et de la connivence résultant d'un mariage dirigé par la femme.

Ce que tu ressens n'est qu'une conséquence naturelle d'une relation FemDom. Tu dois désirer ta femme par-dessus tout. Toutes tes pensées doivent lui être consacrées. Maintenant, tu dois apprendre à canaliser ta passion pour elle afin de renforcer   ton implication à la servir.

Il n'est jamais sain, ni très pratique, de rechercher une relation où les deux partenaires se coupent du monde. Vous avez tous deux des responsabilités, une famille et des devoirs qui nécessitent et même méritent votre temps et votre attention. Mais la beauté du mode de vie que vous avez choisi tous les deux est que tu peux utiliser tout l'amour que tu portes à ta femme pour puiser plus de forces à appliquer dans les autres domaines. En d'autres termes, ton obsession et ta passion pour ton épouse peuvent très bien se transformer en une force qui te motivera de façon productive dans tous les autres aspects de ta vie.

Même quand ta femme n'est pas là, tu peux la servir en faisant des choses qui lui feront plaisir. C'est ainsi que tu pourras utiliser ta passion pour elle dans les autres domaines de ta vie. Tu peux faire les tâches ménagères pour elle, faire les courses pour elle, réussir dans ta carrière professionnelle pour elle, penser aux choses plaisantes et romantiques que tu pourrais faire pour elle, comme lui écrire un poème ou lui acheter (ou même mieux, lui fabriquer) un petit cadeau. Applique ta passion pour elle à d'autres actions productives. En retour cela la motivera pour faire des choses pour toi (SM au lit..) qui te permettront de garder ta passion pour elle au cœur de tes pensées.

 

Il y beaucoup de femmes mariées qui rêveraient d'avoir un mari tel que toi. Ceci traduit toute la puissance des relations FemDom et la raison pour laquelle tant d'hommes souhaitent convertir leur compagne à ce mode de vie, avec tous les avantages que cela peut comporter. Ta dévotion envers ta femme est le meilleur témoignage de la puissance et de la connivence liées aux relations dominées par la femme.

Le conseil que j'adresserai à ta femme est très simple : "continuez comme avant." Vous deux avez visiblement trouvé cette espèce d'alchimie qui dans un couple FemDom te place en son pouvoir (i.e. sous l'autorité et la puissance de sa féminité). Elle doit juste s'assurer qu'elle te donne assez de travail à faire (tâches ménagères, etc.) en dehors des jeux conjugaux, ce qui te permettra d'utiliser toute ta passion pour elle pour mieux la servir.

Bien amicalement. 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:59

De Albert

Chère Mtres Sutton, mon nom est Albert et j’ai 45 ans, ma femme Diane est une Maitresse merveilleuse de 44 ans. Nous sommes mariés depuis 22 ans et nous vivons une relation D&S heureuse 24/24h 7j/7 depuis 2 ans.

Elle me permet de partager notre expérience avec vous. Le style de vie D&S a sauvé notre marige et nous a rendu heureux. Nous pensons que notre expérience peut aider certaines femmes à entamer la D&S et certains hommes à assumer fierement leur soumission à leur femme. Nous sommes anglais et j’essayerai d’être le plus clair possible.

Quand j’ai rencontré ma future femme, je suis tout de suite tombé amoureux, pas seulement du au fait qu’elle soir belle, sensuelle intelligente et amusante, mais par dessus tout en raison de sa force mentale. Je sentais inconsciement que j’avais besoin d’une femme forte. Nous nous sommes mariés quelques mois plus tard. Elle prit immédiatement les rennes. Je pourrais dire que nous étions déjà légèrement dans un mode de vie D&S mais soft. Nous avions du sexe traditionnel, et aucune forme explicite de D&S. Mais ma femme était dominante et j’étais déjà sous sa coupe. Nous partagions les taches de la maison, mais inéquitablement : 75% pour moi, 25% pour elle. Elle me demandais régulièrement mon opinion sur les sujets quotidiens (vacances, amis…) mais elle prenait finalement la plupart des décisions et pas toujours celles que j’aurai souhaité.

Sexuelement, elle était presque toujours au dessus. Nous étions tous les deux éduqués mais elle était bien plus mure, comme le sont les femmes la plupart du temps. Je n’étais pas un mauvais garçon, mais parfois je ne réalisais pas ses attentes. Quand elle désaprouvait mon attitude, sa voix impressionante suffisait à me remettre dans le droit chemin. Parfois elle y rajouter quelques giffles bien singlantes pour me signifier que j’avais à changer rapidement ma façon de penser. Nous étions totalement heureux. Cela dura 10 ans. Elle était une femme parfaite et je la remercie pour ses attentions, c’était presque une femme parfaite.

Les 10 années suivantes furent un cauchemar. Nous avons eut un bébé. Les soins du bébé, le travail, les nuits courtes changèrent notre vie. Ma femme du adapter ses priorités. Elle avait moins de temps à passer avec moi et était régulièrement fatiguée. Puis elle fit une grosse faute. Elle arrêta de diriger ma vie. J’étais plus libre que jamais. Je me sentais si mal à l’aise. Je devins nerveux et agresssif. Ayant besoin d’être controlé d’une façon ou d’une autre, j’ai été voir une domina professionnelle. Puis de nombreuses autres. Quand j’ai eu internet, j’ai passé des centaines d’heures à voir des sites pornos et fétichistes. Là j’ai découvert un autre jeu de pouvoir : la lutte érotique. J’ai eu plusieurs amantes et j’ai aussi découvert en rencontrant des hommes que j’étais bi. Finalement j’ai rencontré des escort boy. A la maison, même si j’étais présent, j’étais absent. Je devins faignant et n’arraitais d’aider ma femme. Elle a du tout faire : travailler dur, prendre soin de notre enfant, l’élever, et faire les taches ménagère. Je dépensais notre argent entre les domina et les rencontres, ne faisant rien, étant un mauvais mari.

Assez etrangement ma femme ne reagit pas. Elle avait perdu toute son aggresivité et sa confiance. Elle me dit plus tard qu’elle etait malheureuse, mais qu’elle n’avait pas le temps et l’énergie pour reprendre le dessus.

Je sentais que j’étais un mauvais mari, et en avais honte. Je me dégoutais, et me sentais seul. J’étais encore amoureux, mais incapable de changer et de m’améliorer tout seul. J’étais drogué du sexe. Je savais que j’avais besoin d’une femme dominante afin de me changer. Je savais que sa vraie nature était ainsi. Elle avait juste oubliée comment diriger.

Le temps du changement était venu.

J’ai décidé non pas de parler, mais d’écrire et je fis un email. Je lui confessais tout, ma honte, mes activités coquines, mon désir de m’améliorer, ma faiblesse et mon incapacité à changer seul. Je la suppliais de commencer une vie totalement basée sur la D&S. Ce fut un choc, mais elle reagit positivement. Elle me dit qu’elle se sentait trahie. Elle me dit que j’avais perdu son estime et sa confiance en quelques minutes. Mais elle me dit qu’elle m’aimait encore et ne divorcerai pas.

Elle me donnait vraiment une seconde chance. Nous avons beaucoup parlés pendant les quelques semaines suivantes, ouvertement, essayant de comprendre nos esprits, nos besoins. Elle decida d’embrasser ce style de vie mais me demanda un peu de temps pour commencer les choses de la bonne façon. Déjà elle me demanda de lister toutes les pratiques qui composent la vie de D&S et de Sm, qu’elles soient sexuelles ou non, et me dit de lui dire ce que j’accepterai ou non.

J’avais trouvé un contrat de D&S et une liste sur l’internet et j’écrivis un très long document détaillant tout ce qu’une femme dominante peut faire dans tous les domaines. Ensuite elle me demanda d’acheter un livre sur la D&S. Elle avait besoin de comprendre mieux et d’avoir un point de vu différent du mien. Comme elle etait scpetique sur ma capacité de supporter une perte de liberté totale et permanente sans contrepartis, elle me demanda quel type de fantasme ou de fetichisme j’avais besoin pour être comblé en echange de ma soumission totale.

Elle voulait comprendre mes attentes. J’ai listé 7 besoins et fantasmes qui etaient important pour moi. Elle fut d’accord pour deux, en modifia deux autres, et en refusa les autres. Elle fut d’accord pour accomplir mon amour pour la mode, de prendre soin d’elle, d’être apprêté la plupart du temps, sexy et salope dès qu’elle le pouvait, de porter de la lingerie fine, des bas et des jaretières.

Puis elle me demanda d’écrire toutes les fois où j’en ressentais le besoin, mon sentiment sur notre nouvelle vie, par email exclusivement, d’être sincère et de parler ouvertement.

Elle me dit qu’elle devait apprendre, qu’elle ferait probablement des erreurs. Elle voulait avoir mes sentiments mais toujours ecrit de manière poli et courtoise.

Finalement elle ecrivit un premier contrat de D&S qui etait assez court et peu détaillé et nous entamâmes notre vie de D&S.

La première étape dura un an et fut assez etrange. Je pensais que ma femme aurait immédiatement achetée un fouet pour me discipliner, mais elle ne le fit pas. A la place elle fit trois choses importantes :

1/ Elle retrouva sa confiance en faisant ce qui lui plaisait de faire.

2/ Elle m’obligea à arrêter mes mauvaises habitudes. Elle installa un logiciele qui pistait tout ce que je faisais sur le micro. Elle m’enleva tous mes vidéo pornos et les enferma dans un placard. Je reçu l’ordre de rester à la maison tout le temps, sauf pour aller travailler, et je du justifier toutes mes dépenses.

3/ Elle me fit apprendre que la D&S n’est pas nécessairement porno, et ne dépend pas du nombre d’objet en cuir que la domina porte, mais signifait aussi de la frustration, du service, des restrictions et des controles.

Sa confiance et son aggressivité réapparurent vite. En ce qui me concerne, je realisais que la D&S était LE style de vie dont j’avais besoin et que j’étais prêt pour aller plus loin.

 

Un an plus tard elle me dit que les choses allaient évoluer. Elle m’expliqua que cette première année avait été une sorte de gallop d’essai. Elle avait observée mon comportement. En même temps elle comprenait mieux psychologie, ce qui etait ce dont elle avait besoin et ce qu’elle pensait de moi. Elle etait certaine que j’etais amoureux plus que jamais.

Elle avait réalisée que mon désir de me soumettre était un présent. J’avais regagné une partie de son estime, mais pas sa confiance. Elle m’aimait profondement mais sa perception de moi n’était plus la même qu’avant. Elle ne me voyait plus comme l’homme parfait comme dans les premieres années de notre mariage. Et à coté de pas mal de qualités elle souligna quelques aspect pénibles de ma personnalité. J’étais incapable de vivre un mariage basé sur l’égalité. Elle disait, « si je suis faible, tu es aggressif, si je suis forte tu rampes. Je préfères te voir ramper.».

En ce qui la concernait elle me dit avoir changée. Elle voulait plus de pouvoir et de contrôle car elle aimait beaucoup cela. Elle se sentait encore trahit et ne pouvait pas enlever ce sentiment.

Elle voulait que je paye le prix fort. Ella avait à présent des fantasmes.

Elle se sentait libérée, et devenait coquine. Elle voulait essayer ses fantasmes, mais pas tous les miens.

Elle fit un second contrat beaucoup plus dur. En ce qui me concerne, elle y lista tous les limites, les devoir et les frustrations, comment je devais me comporter en public et en privé. Quels etaient mes derniers privilèges et comment je devais les utiliser. Pour elle, elle lista tous ses droits, l’accroissement de ses libertés, et son engagement à faire de moi un soumis heureux. A coté de ma signature, elle me demanda aussi une confession detaillant toutes mes affaires. Ce n’est pas un contrat temporaire. Il était définitif.

Ma femme utilise les punitions et les recompenses pour me rendre toujours plus soumis et prend tout ce qu’elle peut de la D&S.

Les punitions peuvent être physiques ou psychologiques. Elles peuvent être très déplaisantes en fonction des erreurs, mais elle ne punis jamais sans raison. Comme je me soumet volontairement, elle n’a pas à utiliser ces armes régulièrement. A l’opposé, les récompenses sont des vraies récompenses, des choses que j’aime vraiment faire. Bien sur je dois travailler dur pour en mériter.

Nous sommes tous deux heureux. Pas besoin de dire que ma femme adore chaque aspect de sa vie de maîtresse. Elle aime se relaxer pendant que je m’occupe de la maison. Elle aime prendre un bain de soleil tout en me regardant faire le jardin à moitié nu. Elle aime aller faire du shopping avec quelques une de ses amie et revenir alors qu’un repas que j’ai fait l’attend. Je suis exposé comme une servante parfaite. Elle aime dépenser pas seulement son argent, mais aussi le mien.

Elle aime rencontrer qui elle veut quand elle veut, elle aime avoir plusieurs orgasmes dès que nous avons des relations sexuelles, elle aime être romantique, amusante, dure, salope, en fonction de son humeur, elle aime humilier, infliger de la douleur, elle adore le pouvoir et le contrôle.

Cette vie a plein d’avantages ; je suis à présent un bon mari, un bon ami, un bon amant. Je suis honête avec elle. Je la sert. Je lui prouvre mon amour en comblant tous ses besoins. Les actions sont mieux que les mots même si les mots sont encore importants.

Je n’ai pas à prendre une seule décision. J’ai juste à obéir et suivre ma Maîtresse. Je ne suis plus stressé.

Pendant les 10 premières années j’étais heureux, mais j’essayais parfois de resister. Je ressentais le besoin de la tester. Et je perdais presque tout le temps. J’étais irrité et honteux. En même temps j’étais terriblement heureux d’avoir une femme si forte.

A présent je n’essaye pas de jouer aucun role. Je suis ce que je suis et ma femme accepte ma nature comme elle est juste l’opposé. J’ai toujours ete un bon amant mais toujours anxieux de mes performances avant, soulagé juste après, et de nouveau anxieux très tot me demandant si je pourrai de nouveau être bon la fois suivante. A présent ma femme fait ce qu’elle veut. Elle se fou pas mal que j’ai ou non des érections. Le « face sitting » est toujours pour elle un moyen fiable pour avoir un plaisir intense. Je suis si relax que j’ai des erections bien plus forte qu’avant. J’ai du plaisir seulement quand j’y suis autorisé, mais je suis toujours prêt. Et quand je suis autorisé à jouir j’ai des orgasmes géniaux. Je suis totalement épuisé.

Je suis à présent celui que j’ai toujours été voulu être inconsciement : Celui qui sert, celui qui obéit, celui qui suit, celui qui dépend de la femme pour son plaisir, celui qui est pénétré, celui qui est en dessous la femme pendant la pénétration, celui qui est exhibé comme un objet sexuel, et quand ma femme est d’humeur, celui qui porte des vetements féminins et de hauts talons pour son plaisir.

Nous avons échangés les roles au regard des couples tradtitionnels.

Par le passé j’avais très souvent rêvé d’avoir une femme forte, libérée, coquine. J’ai plus que je n’avais jamais pensé possible. Ma femme m’aime. Cela signifie qu’elle veut passer le reste de sa vie avec moi en me laissant à ma place. Et passer la plupart du temps avec moi. Mais elle se sent libre de séduire ou d’être attirée par d’autres hommes. Sexuelement elle est capable seule d’avoir du plaisir, avec moi, ou avec des amants. Cette indépendance permet un haut niveau de D&S et est très émulant et stimulant pour moi. L’adultère n’était pas un de mes fantasmes passés, mais je peux vous assurer que cela augmente considérablement le niveau de D&S des deux cotés. D’ailleurs ma femme a appris a avoir des fantasmes et elle m’a dit recemment qu’il y en a au moins neuf (un correspondant à presque chaque type de pratique) qu’elle va essayer un jour ou l’autre. Je ne participerai pas à tous, mais probablement à la plupart. Ma femme est géniale.

Chaque jour j’ai la femme parfaite, et j’ai chaque jour le sentiment de le rencontrer pour la première fois. J’ai la tete qui tourne, je l’admire. Elle aime cela, elle aime avoir un mari excité qui la regarde. Elle aime voir les autres mâles lui dire qu’elle est belle. Elle aime séduire. Je suis fier de servir une Maîtresse aussi sexy. Ma femme est bien plus sage que moi, elle prend les bonnes décisions, elle administre nos biens bien mieux que je ne le ferai. Elle est capable d’avoir sa propre vie privée et d’être en même temps le pillier d’une famille.

Elle est independante. Elle guide notre famille de maniere positive. La D&S est un long processus et ma femme m’a dit que mon futur est lumineux … comme soumis. Elle ne reviendra jamais en arrière, elle ne refera plus jamais la même erreur. Mais ce que nous vivons ce jour est si intense que je n’aimerai pas revenir en arrière. De toute façon je ne peux lutter contre elle.

 

Réponse d’Elise : Albert vous êtes un homme béni. Votre femme est vraiment superbe et vous auriez eu intérêt à la servir avec zèle et vous dédier à elle tous les jours de votre vie. Vous lui avez fait courir un danger à elle et votre famille avec votre comportement insouciant. Mais vous avez été sage de tout lui avouer ainsi. De nombreuses femmes vous auraient quittées, mais votre femme a prouvée sa supériorité et son amour pour vous en vous donnant une seconde chance. C’est une femme incroyable. Elle a vu votre nature soumise et elle a décidée de comprendre pourquoi vous désiriez la domination féminine. C’est une femme intelligente. A présent elle peut utiliser votre nature soumise et vos désirs à son avantage. C’est tout à fait cela ce style de vie. Heureusement toujours plus de femmes suivront l’exemple de la votre. Elle aurait pu divorcer et recommencer mais avec aucune garantie sur la fidélité de son suivant. Elle a été intelligente de realiser qu’elle a investit une vie sur vous et de décider de vous entrainer pour devenir un mari obéissant. Elle a vu votre faiblesse comme un avantage pour elle, mais le plus important elle a comprit que ses rêves pouvaient devenir réalité en vous donnant ce dont vous aviez besoin, la domination. J’aime comment elle a procédée pour prendre le contrôle de votre vie, et comment cela vous a rendu une personne meilleure. Vous avez une dette envers elle que vous ne pourrez jamais lui rembourser. Faite en sorte de toujours progresser pour elle. Je suis heureuses pour vous deux.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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