Articles Récents

Afin de permettre une navigation facile, utilisez les liens directement sur les RUBRIQUES du sommaire.

 

Si vous voulez nous poser des questions, ou nous faire part d'expériences vécues, faites nous un email à : mon_univers_4@hotmail.com

CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 07:23
De ELENA
 
Bonjour Mrs Dana,
 

Il y a maintenant quelque temps que j'ai découvert votre site très complet et très riche. Cela fait un an maintenant que mon compagnon m'a demandé de devenir sa "maîtresse". Même si j'ai été quelque peu "choquée" dès le début, par amour mais aussi pour mon bien-être, j'ai décidé d'accepter ! Les débuts ont été encourageants. Il faut dire que nous étions séparés l'un de l'autre par la distance et que, chaque fois que nous nous retrouvions, nous partagions beaucoup de choses !!! Et il m'était complètement soumis, ce qui me ravissait énormément !!!

Lorsque je suis revenue en région parisienne, le début était excellent !! J'avais vraiment envie (et j'ai toujours envie) de devenir une vraie dominatrice et que lui me soit soumis à chaque instant !! Cela m'a permis d'acquérir beaucoup plus d'assurance et de m'épanouir totalement....

Mais je dois dire que c'est une tache extrêmement difficile de faire que mon soumis me soit totalement soumis !!! Il y a des jours où je baisse vraiment les bras parce-que je sens qu'il n'est peut-être pas totalement prêt ! Je sais qu'il en meurt d'envie mais notre culture nous a tellement abreuvée du principe que l'homme est supérieur que quelquefois je crois que son côté "macho" reprend le dessus !

Alors c'est vrai que moi-même ne suit pas au top parce-que je manque de pratique et aussi parce-que moi aussi j'ai été élevée dans l'image de l'homme tout puissant !! Pourtant je suis éperdument amoureuse de lui et je suis prête à faire le maximum pour devenir une vraie dominatrice !! Et ça il ne le voit peut-être pas ! C'est très difficile pour moi car je ne suis pas quelqu'un de "dominant" mais je crois sincèrement que chacune d'entre nous possède cela au fond d'elle-même !! Et je dois avouer que, les rares fois où je le punis, je suis particulièrement excitée, fière de moi et fière de lui parce qu’il m'a obéit !!!

J'ai du mal à dominer parce qu’il arrive toujours à prendre le dessus et qu'il connait très bien mes faiblesses !! Mais au plus profond de moi-même, j'ai le désir d'être une maîtresse puissante qu'il pourra vénérer chaque jour !!! Et je ressens un grand besoin de le punir, de le dresser comme je veux mais j'attends aussi de lui qu'il m'obéisse au doigt et à l'œil !!!

J'ai décidé de l'emmener chez une dominatrice professionnelle, pour moi et pour lui !!! Cela m'angoisse un peu mais pour commencer, j'ai simplement besoin d'une présence qui me permettra d'évoluer dans le bon sens !!! J'ai sauté ce grand pas par amour et s'il savait combien je l'aime et combien je désire être sa "MAITRESSE"....J'espère qu'il évoluera tout comme j'ai un grand désir d'évoluer et qu'il devienne mon "esclave" pour toujours ! Je suis un peu angoissée par cette séance mais je sais que cela ne fera que renforcer notre amour, nous unir et peut-être cela lui permettra t-il de devenir un bon soumis, bien obéissant et qu'enfin il me vénère comme je le mérite !!!

 
Lena
 
 
Réponse Ms.Dana :
 

Oui, le jeu en vaut la chandelle. C’est merveilleux de voir son soumis progresser et de ressentir le pouvoir croissant que l’on a sur lui. Mais tout n’est pas acquis et de plus cela ne se fait pas sur un simple claquement de doigts.

Développer sa nature dominante prend du temps. Ce développement s’alimente par la soumission de son compagnon. Plus il se soumet plus on devient dominante. Plus on est dominante plus il se soumet. C’est une relation qui se nourrit de deux volontés, de deux être ; c’est un échange permanent.

Développer sa soumission, même s’il en meurt d’envie, n’est pas toujours aisé. Comme vous le dites notre éducation est un frein, ainsi que tout ce la vie quotidienne peut amener comme interférence.

Quand il revient du travail il est rarement en état d’obéissance et d’humilité immédiatement. Quand on va chez des amis ou en vacances … il a tendance à se laisser aller à ses mauvais coté et son machisme ressort parfois.

D’ou l’importance de prendre le temps et de bien communiquer.

Il n’est pas aisé de maintenir en permanence cet état de fait et de le faire évoluer.

Sachez que dans ce mode de vie, c’est comme une respiration. Nous progressons ensemble, puis nous avons besoin d’assimiler, de respirer avant d’aller plus loin. Parfois et même bien souvent, le soumis n’a pas vraiment acquis ce que l’on attends de lui ; il régresse et il faut le remettre sur des rails par des moyens qu’il comprend.

Alors aller voir une domina professionnelle est une excellent idée. Pour 2 raisons : La première est que vous allez apprendre d’elle en terme de technique mais surtout en terme d’attitude. La seconde est que cela va vous permettre de marquer un changement de cap. Une rupture psychologique où vous allez faire comprendre à votre soumis encore trop rebelle que vous avez franchis un cap et qu’il a intérêt à suivre.

Après avoir vue cette professionnelle et s’être imprégnée de son assurance et de sa fermeté :

Profitez en surtout pour marquez un changement psychologique fort. Expliquez lui clairement que de ce jour les choses changent, et qu’il est hors de question qu’il ne se montre pas humble et oublie sa place.

Profitez de cette « rupture » psychologique pour mettre en place un certains nombre de règles.

 

Il est macho… et bien cassons le, et voici quelques conseils pour le faire : Frappons un grand coup au retour de cette séance :

 
  • 1/ La plus importante déjà, est qu’il doit demander votre autorisation pour parler. A la moindre infraction, ordonnez lui de mettre son Plug et dites lui qu’il en sera ainsi tant qu’il n’aura pas appris à vous parler humblement et à garder sa place.
  • 2/ Désormais il lui sera interdit de se déplacer debout en votre présence. Il devra marcher comme un petit chien (hormis pour le service).
  • 3/ Désormais il devra toujours être nu ou en tenu de soumis quand il est en intérieur.
  • 4/ Désormais il aura interdiction de s’asseoir ailleurs que par terre (sauf pour partager un repas avec vous si vous y tenez).
  • 5/ N’oubliez surtout pas de le garder frustré au moins 15 jours minimum, et de lui faire porter une cage de chasteté d’urgence s’il n’en a pas encore une.
  • 6/ Habillez vous sexy et imposer qu’il vienne a vos pieds les lécher dès qu’il rentre chez vous et tous les matins pour vous dire bonjour.
  • 7/ Dresser le en lui imposant chaque jour une vingtaine de coups de cravaches en mettant sa tête entre vos chevilles.
  • 8/ Dites lui qu’il doit apprendre à demander pour tout, et que s’il oublie il aura un jour de plus de frustration par erreur commise.
 

Voilà Elena. En appliquant ces règles vous devriez vous imposer … et n’oubliez pas la soirée de dressage par semaine.

Tenez nous au courant… et voyons si ce monsieur ne perd pas un peu de sa « superbe » en suivant ce régime de dressage.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 06:54

Bonjour madame, dois je dire la reine des maîtresses, je vous envoie ce mail car j'ai découvert votre site il y a peu et je le trouve formidable hormis le fait qu'il y a peu de photos.

Je m'explique, je suis un mâle soumis sans collier et je tiens à vous faire parvenir mon témoignage.

En effet, j'ai découvert la soumission il y a 8 ans maintenant auprès d'une maîtresse que je qualifie de semi - professionnelle. Cette jeune femme est esthéticienne (elle a d'ailleurs un site) et elle avait posé une annonce de femme dominante dans un magazine. Je m'intéressait au sujet car je trouvais la plupart de ces dominatrices beaucoup plus belles que les autres femmes.

J'ai obtenu un rendez - vous, j'étais très nerveux surtout qu'au téléphone elle m'avait posé des questions sur la domination auxquelles je n'avais pas su répondre. Quand, je l'ai rencontrée, elle m'a sur le champ demandé de me déshabiller puis elle a confisqué mes vêtements qu'elle a déposé dans une autre pièce. Elle est partie quelques instants et je devais l'attendre à genoux. Je n'ai pas obéis trouvant cela trop humiliant.

Quand elle est revenue, elle m'a rappelé cet ordre, je me suis alors exécuté puis elle m'a giflé à trois reprises. J'ai adoré ce traitement puis elle m'a ordonné de lui baiser ses mules. J'ai à nouveau obéis et je me suis trouvé très excité par ce qu'elle me faisait subir. C'est ainsi que j'ai découvert ma nature de soumis, auparavant j'étais déjà très intéressé par la beauté des femmes (je ne sais pas résisté à des beaux escarpins, à des bas coutures, je suis un esthète et j'adore les femmes) et lorsque j'ai découvert cette maîtresse, j'ai fondu littéralement et finalement je lui ai obéis instinctivement. J'ai tout apprécié, les gifles, les insultes, les crachats au visage, le nettoyage des semelles...je l'ai revue une bonne dizaine de fois puis j'ai vu qu'elle avait posé une annonce dans laquelle elle expliquait qu'elle recherchait un esclave personnel. je lui ai alors demandé lors d'une séance si je pouvais posé ma candidature. elle m'a répondu que oui mais que je devais d'abord répondre à l'annonce par écrit. C'est ce que je fis, elle m'a convoqué, m'a donné ses conditions que j'ai acceptées (je le devais). Ainsi, je suis devenu un de ses esclaves attitré, elle me convoquait 2 à 3 fois par semaine pour des travaux ménagers à effectuer, ensuite, elle s'amusait (selon son expression) avec son soumis. J'ai fait partie d'un harem d'esclaves. J'adore les femmes avec leur beauté et leur sensualité incroyable et j'ai toujours été en admiration devant un bel escarpin où une belle mule dans lesquelles sont délicatement posés des pieds féminins si beaux.

Pour tout vous dire, je suis tombé amoureux de ma maîtresse et j'ai ainsi glissé dans la soumission la plus totale. Cela a duré 2 ans durant lesquels j'ai appris beaucoup sur ma capacité de soumission et sur la capacité de domination de ma maîtresse et certaines de ses amies.

J'ai adoré ce que j'ai vécu mais elle a mis fin au bail au bout de 2 ans, ne s'estimant plus satisfaite de mes services de larbin. Je ne m'en suis toujours pas remis aujourd'hui.

A l'heure actuelle, je cherche une maîtresse ponctuelle dans l'essone si possible afin de revivre. En tout état de cause, sachez madame que mes pratiques préférées sont la sodomie et le larbinat une fois féminisé, ce sont les meilleures façons que l'esclave a pour se sentir le plus la propriété de sa maîtresse. Lorsque l'on est offert à sa maîtresse et que celle - ci est en vous, c'est vraiment le summum de la soumission. je serais ravi de revivre cela.

En tout état de cause, vous pouvez laisser mon mail à des maîtresses potentielles, je vous en remercie par avance.

je vous baise les pieds;
 
soumis alfred.
 

Réponse M.Dana

Merci Alfred pour ton témoignage qui je crois pourrait bien servir à certains soumis. Je ne doute pas de tes services, de ton abnégation, ni de l’amour/adoration que tu as ressentis pour ta maîtresse. Mais voilà, à te lire on comprend très bien pourquoi elle ne t’as pas gardé vois-tu : Ce n’était pas son intention. Le fait de choisir une maîtresse qui a un harem, une semi proffessionelle, est un élément qui parle de lui-même. Tu étais donc prévenu. Mon intention n’est nullement de critiquer cette Maîtresse, qui a été assez claire et a tout a fait le droit d’avoir plusieurs esclaves, mais tu devais donc t’y attendre. Comme tu devais t’attendre à devenir fou amoureux d’elle.

Servir une maîtresse, devenir son soumis puis son esclave, provoque presque toujours cet état d’amour total chez les soumis. Cela fait partie de la dynamique de la relation au sein d’un couple. Et cela rend souvent ceux-ci extrêmement solide.

Dresser un homme engeandre et développe l'amour qu'il vous porte mesdames. C'est une des conséquence essentielle de la D&s, conséquence fort importante, mais dont vous ne devez pas sous estimer la dimension.

Ainsi, vous vous engagez à le garder tout comme il s'engage à vous servir, car il en viendra à se donner totalement à vous. L'abandonner ensuite peut le mettre en danger. Alors choisissez bien votre soumis, soyez certaine que c'est le bon, celui avec lequel vous voulez passer votre vie. Sinon soyez sure que vous le briserer si vous l'abandonner. Vous aurez tous les droits, y compris celui d'avoir des amants; Vous aurez tout de lui, tout pouvoir, toute liberté. Mais vous n'aurez pas celle d'abandonner votre esclave. Abandonne t'on un enfant ou un chien ? C'est une responsabilité que vous prenez en acceptant un soumis comme compagnon de vie. Telle est mon opinion.

Si la dominante ne veux pas d’un couple, ou n’a pas parmi ses soumis un avec lequel elle vie, il parait assez évident que cela n’est pas une relation amoureuse à deux, mais simplement un échange dominante / dominé où chacun s’y retrouve, mais dans lequel la notion d’affection est plus présente que celle d’amour.

Une semi professionnelle, a fait ce choix de vie. Ses soumis et ses esclaves le savent, et ne doivent pas attendre plus d’elle. C’est comme un contrat tacite.

Si tu désires ne pas connaître de nouveau les affres de l’abandon et de la peine, alors Alfred, consacres-toi à une femme qui te prendra comme son compagnon.

Et oublies tes « pratiques préférés ». Trouves déjà une femme à qui tu plais et qui t’attire, ensuite sert là de tout ton cœur. Le reste viendra tout seul, et surtout elle fera ce qu’elle a envie.

Bonne chance Alfred.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 06:37

Questionnement‏

De : fab R . 18/02/08



Bonsoir

 

Je m appelle Fabrice j ai découvert votre site récemment et je l ai trouvé très bien construit et d un sérieux rare, les conseils de Madame Dana particulièrement intelligents. Je me suis donc décidé à vous écrire pour vous faire part de mes problèmes, chose que je n avait jamais fait. J'espère sincèrement une réponse de votre part. 

Je vis en couple depuis 5 ans avec une jeune femme, nous avons 28ans.

Je ne sais comment commencer car cela me parait si compliqué, je vais donc essayer de vous décrire brièvement la situation tout en restant disponible pour des précisions éventuelles que vous souhaiteriez. 

Cette jeune femme est beaucoup moins sexuelle que moi-même si devant mes demandes pressantes elle fait de nombreux efforts. Particulièrement depuis 2 ou 3 mois j'ai entrepris de l'amener doucement à se soumettre à moi car je connais ces "jeux" et je pensais que c'était la seule manière de lui faire découvrir que le sexe est beaucoup moins routinier que ce qu'elle en espère pour le moment: soit des orgasmes très puissants 2 ou 3 fois dans la semaine d'après ces propres aveux, je dois préciser que je suis un bon amant et bien doté dit on.

Je connais ces jeux car je suis totalement bisexuel bien que je ne peux vivre qu'avec une femme au sein d un couple. Ma compagne le sait et ne dit rien, parfois simplement elle me pénètre avec ces doigts pendant l acte ce que j apprécie assez bien que ce soit rapide et pas très bien fait...Ma bisexualité semble ne pas trop la gêner (si je n en parle pas beaucoup) voir l exciter car elle semble apprécier parfois ma relative passivité lorsque je décide de me laisser faire pour son plaisir...elle aime particulièrement me pratiquer de longue fellation et jouer avec mes testicules car je rase mon sexe entièrement jusqu'a mon anus.

 

J ai rencontré il y a plus de 2 ans maintenant un maitre dominateur de 45ans que je rencontre assez occasionnellement en fait dans un dongeon. Je suis donc son soumis et j exécute donc ces envies généralement fouet bondage doggy plug cire et bien d autres ce que j apprécie somme toute. Je suis aussi sa catin et je suis lors de ces séances tenu de bien le faire jouir lui et son ami maitre dominateur très hard a qui le donjon appartient et que je remercie ainsi.

Mon maitre et moi avons une relation très amicale bien que je conserve la distance n étant pas la 24h sur 24. Celui-ci a déjà manifester plusieurs fois le souhait que je le soumette car dit il (et de plus en plus souvent) j ai un coté très dominateurs. Ce qui me surprends.

La découverte de ma bisexualité fut par étape mais bien avant avoir rencontré mon maitre. J avais déjà eu des expériences ou je m étais mis à disposition de plusieurs males actifs étant seul passif et soumis à leurs envies, ou des expériences sur des aires d autoroute enfin ce que font nombre de personnes en recherche d eux même et de leur sexualité réelle. Je ne vous cache pas que longtemps je fut assez terrifié a l idée de renoncer aux femmes mais mes érections toujours aussi dures lorsque je suis sollicité de façon hétéro ont fini par me convaincre de ma réelle bisexualité...ce qui n est finalement pas plus simple. Si je regarde des images pornographiques je peux passer de l une a l autre sans problème aucun.

 

Donc ce coté dominateur me surprenait et j avoue qu' a posteriori en y repensant c est très possible. J ai donc engagé de faire de ma compagne ma soumise, ces si belles soumises que je vénère. J aimerais lui percer les seins et les lèvres ainsi que la tatouer. Elle semble comprendre et je vous avoue que je loue ces efforts elle est très courageuse au regard de l éducation qu'elle a reçu...mère bigote auvergnate non féminine, père lourdaud non raffiné et frustré.

Je trouvais tout de même que quelque chose clochait et je n aime pas ca... je connais très bien les attitudes que prennent les gens vis à vis de la sexualité alternative. J ai donc entrepris quelques tests:

Je l ai laissé me dominer légèrement une fois et je lui ai montré votre site... les 2 lui ont parlé plus que d autres choses avant... J en ai donc déduit que nous sommes tous deux dominateurs hétérosexuels et la j avoue ne pas savoir quoi faire car elle-même ne se rend pas compte de son état.

 

J ai réellement du mal à me soumettre à elle, et j ai le désir réel de posséder une soumise. Je ne suis pas un homme très facile à dominer même dans le quotidien et par qui que ce soit je peux être très obstiné et cruel.

Je me demande si je dois poursuivre son "dressage" en soumise que je réalise pas a pas sans prendre trop a la fois, je la laisse me réclamer ce qu'elle fait de tant a autre. Pourtant je dois lutter pour pouvoir être certain qu' elle y prenne plaisir et parfois j y arrive... elle a comme une gène à se montrer et a prendre du plaisir. Croyez-vous que son amour suffise à ce qu'elle devienne soumise pour moi?

 

Je précise je ne sais si c est significatif que son rapport aux autres femmes est très conflictuel et sa seule réelle amie est lesbienne. D autre part elle a souvent des connaissances qui se révèle être ou bi ou homosexuelles.

Si d aventure nous devions rester sur un statut quo sexuel je deviendrais invivable rapidement (j ai un besoin très fort de me masturber et depuis l enfance) et je ne pourrai m empêcher d aller voir ailleurs chose que je n ai plus fait depuis 3 ans mis a part la personne qui me domine env 6 fois par an. Je souhaitais la rendre soumise pour pouvoir partager toutes nos pulsions ensemble et même a terme quelques partenaires.

Je ne sais pas si elle aura le courage d aller vers sa sexualité d adulte consciente et dépouillée de honte judéo-chrétienne et je ne sais pas si je pourrai donc rester avec elle. Voila tout. J aurais simplement aimé connaitre votre avis en tant que femme dominante comme elle a l air d être aussi. 

Amicalement.

 

Réponse Ms.Dana :

 

Fabrice. Je te remercie de ta lettre et de tes compliments.

Tu veux connaitre mon avis. Et bien je te le donne, mais je ne suis pas certaine qu'il te plaise loin de là.

Dans la lettre que je lis, je ne vois que des JE , des MOI des POUR MOI.

Je ne lis qu'une sorte de supériorité que tu estimes avoir sur ta compagne, qui "ne se rend pas compte", "semble comprendre", "pas le courage d'aller vers sa sexualité d'adulte" et à l'avenant.
Ce que je lis enfin, c'est que tu ne t'es visiblement pas trouvé, et que tu penses nombriliste que tu es, qu'elle aussi ne sais pas où elle en est et ne sais pas ce qu'elle veut.

Car tout tourne dans ton monde autour de toi et de TA sexualité. Tu décides ce qu'elle aimerait et tu oublies qu'elle existe. C'est assez flagrant. Je ne lis pas ; "elle m'a dit que", "elle veut que", " elle aimerait que". Non rien de tout cela, et visiblement c'est le cadet de tes soucis.
Et que dire que je ne lis pas de ta part un mot d'amour pour elle, alors que tu te vente, entre autre qu'elle t'aime. Vilain personnage.

 

Alors si tu veux être soumis, car tu l'es au fond de toi, nul doute, si tu veux te trouver vraiment, il va falloir commencer par te remettre en cause et t'apercevoir que ta compagne t'aime.

Car c'est son amour pour toi et rien d'autre qui lui a permit de te supporter dans ta quête pour l'instant vaine de la recherche de ta voie. 

Tant de jeunes hommes entre 20 et 30 font ce parcours, que cela ne m'étonne pas que les divorcent fleurissent. Et cela te pend au nez, car va arriver un moment où elle comprendra qu'il y a des hommes 100 fois plus attentionné partout autour d'elle. 

Penses y fortement. Je te souhaite de tout cœur de revoir totalement les choses, et d'aimer comme elle le mérite une compagne qui jusqu'ici s'est laissée je crois aveuglée, mais qui un jour où l'autre te quittera sauf si tu fais vraiment et sincèrement attention à elle. Et elle aurait pas tord dans l'état actuel de ton comportement nombriliste, égocentré, narcissique et égoïste.
 

Mon avis est dur à entendre, mais tu l'as sollicité rappelle toi. Je ne crois pas être loin de la vérité. 

J'espère que cette gifle là, dont je te fais cadeau, t'ouvrira les yeux et vous rendra tous les deux heureux.

Ms.Dana



RETOUR VERS LE SITE
RETOUR VERS LE FORUM

Par LO
Voir les 0 commentaires
Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 06:14
De Thérèse ;
 

Bonjour.

J’ai connu votre site par mon ami, il y a trois semaines, et j’en suis très heureuse

Au début de notre relation il y a 2 ans, il m’avait demandé de le dominer j’étais d’accord, et j’ai tout de suite pris du plaisir nous nous voyons 1 ou 2 fois par semaine car nous ne vivons pas ensemble. Mais peu de temps après, il a commencé à trouver des excuses :

-          je n’ai pas la tête à ça en ce moment,

-          je dois me concentrer dans ma musique, il est bassiste.

-          Il a 2 filles adorables de 11 et 12 ans qu’il voit 1 week-end sur 2, et je reste chez moi, car je comprends qu’il a besoin de cet espace avec elles. Nous avons mit fin à ces pratiques D/s

Grâce à votre site, nous avons redémarrés de bon pied le mois dernier

Hier soir, il m’a téléphoné comme d’habitude, je lui dis de m’apporter des croissants aujourd’hui à 9h,car j’en avais plus et pas de boulangerie à proximité, il m’a répondu oui, il m’appelle vers 7h30 ce matin pour me dire qu’il ne pourra pas car il y a de la circulation. Je lui ai répondu qu’il n’était pas obéissant, qu’il ne respectait rien, là il me dit qu’il n’avait pas le temps en ce moment, qu’il était désolé, je ne peux pas passer avant sa musique. Et pourtant je lui ai tjrs laissé l’espace et pour la musique et pour ses filles ! Je ne sais pas s’il est un vrai soumis ou c’est périodique ou il voulait simplement essayer.

Je voudrai lui proposer un Break car je n’arrive pas à avancer dans mon rôle de domina et je m’y plais énormément, je ne me vois plus vivre une relation autrement. Aider moi SVP.
 

Réponse de Ms.Dana :

Les musiciens... les artistes... sont gens passionnés par leur art. Et souvent ils ont la tête dans les étoiles. Alors je ne suis guère étonnée de la réaction de votre compagnon. Les musiciens sont des gens bien particuliers, ils ont une vie complètement folle, ils sont capables de s'enfermer des jours entiers pour composer, ou encore pour apprendre une mélodie.

A bien vous lire, il demeure qu'il a des désirs de soumission et qu'il les a exprimé à plusieurs reprises. Cependant, il n'arrive pas à se soumettre c'est à dire à penser à vous avant toute chose.

Il ne désire que de la soumission sexuelle à la carte.

Vous ne pouvez lui interdire de s'occuper de ses enfants, même si parfois il utilisera l'occasion et le prétexte de leur présence pour encore faire de la musique. Mais il faut lui laisser le droit d'être père.

Vous ne pouvez non plus à l'étape où Vous en êtes contrôler son temps dédié à son art.

Alors je vous recommanderai deux choses:

Je vous conseille de vous investir un peu plus dans la musique, de devenir sa muse, d'être son imagination, pour lui inspirer ses plus grandes mélodies. Vous avez les atouts du charme féminin dans votre jeu. Utilisez les sans limite. C'est ainsi que vous pourrez le soumettre, car il faut que la soumission soit aussi sa source d'inspiration, car tout son univers fonctionne que par la musique.
Et puis, pourquoi ne pas le mettre devant le fait accomplit. Profitez là encore des moments d'intimité et d 'excitation pour en le masturbant le mettre devant le fait accomplit. Parler lui alors et dites-lui clairement que s'il veut pouvoir un jour se soumettre à vous de nouveau, vous voulez une preuve de son désir de vous obéir et que vous exiger qu'il porte une cage de chasteté (la CB 2000). Sinon vous ne lui donnerez ni sexe ni domination. Car pour vous ce n'est pas un jeu, et que vous n'êtes plus à son service désormais à être dominante à la demande. Vous voulez une vraie soumission et celle ci passe déjà par le port de la cage. (Vous trouverez des articles et aide en de domaine sur le site).
Cette épreuve sera très significative pour la solidité de votre relation, et vous ne devez en aucun cas vous soumettre à son bon vouloir, car un soumis ne se soumet pas quand il a envie, mais quand sa maitresse l'exige. En sentant votre réel autorité, il aura des pulsions très forte de soumission. Vous méritez visiblement de vivre en étant traité comme une Reine, adorée et servie.

Ms.Dana
Par LO - Publié dans : La compréhension
Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:41

Le point de non retour après six ans de soumission.

Ma femme et moi aimions surfer sur Internet, ensemble ou séparément, et notre curiosité nous a vite conduit sur des sites d’adultes pour partager nos goûts et nos phantasmes qui, je peux le dire aujourd’hui étaient très complémentaires. Ma femme s’est très vite rendu compte que j’étais attiré par les sites qui parlaient de femmes dominant les hommes et que lorsque tous les deux nous parcourions ces pages cela me mettait dans un état d’excitation évident et ensuite arrivé au lit, j’étais très attentionné. Avec le recul, je pense que cela devait plaire à ma femme de me voir ainsi, amoureux et complaisant lors de nos ébats et que cela lui donnait des idées pour la suite.

Je le compris bien plus tard, alors qu'elle avait commencé mon dressage, tout en douceur, sans le faire remarquer. Elle me préparait déjà psychologiquement et j’y prenais un intense plaisir. Elle avait su écouter mes envies, accepter de  me guider tendrement mais sûrement sur ce chemin. Tous les jours nos ébats se transformaient et je sentais la progression s’opérer, mais j’étais aux anges, tout ce que je souhaitais au fond de moi se réalisait. J’acceptais les corvées et les punitions quand le ménage, la vaisselle, la lessive ou autres services n’étaient pas au goût de ma femme. Je comptais à voix haute les coups de cravache qu’elle m’administrait ou, pendant toute la nuit, je devais porter la culotte à ma femme, des bas, porte-jarretelles et soutien-gorge et être la petite amie de ma femme avec en plus cette inscription au feutre sur mon front :
« Salope ». Je vivais des moments extraordinaires. J’en redemandais chaque jour et suppliais ma femme pour avoir de nouvelles séances de plus en plus dures. Comme elle ne demandait que cela, une nouvelle phase de dressage commença. Elle se renseigna sur toutes les règles essentielles, elle consulta des livres, des sites pour en savoir toujours plus. J’appris à boire mon urine, la sienne, avoir des lavements, me faire le supplice de la masturbation avec des orties. Je dus subir toutes les idées d’une maîtresse qui se forgeait elle-même et n'avait qu’un but : obtenir absolument tout de son mari pour en faire un homme soumis. Je devais aussi tenir un journal de punitions sur l’ordinateur dans lequel étaient notées mes tâches, mes punitions, mes états d’âme, tout ceci évidemment vérifié par ma femme qui en avait les codes. Je découvrais chaque jour le sort qui m’attendait, je devais suivre scrupuleusement ses instructions sous peine d'être puni, ou je devais évaluer seul ma punition, mais il y avait souvent une prime par rapport à mon évaluation. Comme récompense pour services rendus, elle me fit épiler régulièrement le sexe et les fesses et tatouer sur le bas des reins :
« J’appartiens à Odile ma Maîtresse pour toujours ». Je suis devenu un homme soumis et un fidèle mari à la grande satisfaction de ma femme qui tous les jours s’enhardissait, elle me répétait souvent :
« Un jour tu seras ma petite pute et tu travailleras pour moi ! »
J’avais l’impression que ma femme voulait toujours essayer quelque chose de nouveau, aller toujours plus loin dans mon éducation pour m’humilier au maximum et voir jusqu’où elle pouvait vérifier l’amour et l’abandon que je ressens pour elle. Je lui appartiens totalement. J’ai signé (ma première fatale erreur) ce contrat d’esclave qu’elle m’a fait rédiger moi-même, un jour, dans un hôtel de Province où elle m’avait amené pour passer un week-end coquin et tranquille. Un contrat comme nous en avions trouver sur les sites, qui stipulait que je devais obéir à ma Maîtresse sans aucune limite, que je me donnais complètement à elle et qu’en retour elle me protégerait et m’éduquerait. Pour me récompenser d’avoir accepté et signé, elle m’attacha solidement en croix sur le lit avec des bas qu’elle avait apporté. J’étais exposé ainsi, le sexe en évidence. Elle ouvrait sans arrêt la porte, appelait dans le couloir pour me faire croire qu’elle allait me livrer à la première ou au premier venu. J’étais angoissé et timide comme un gamin en faute. Elle se délectait de me voir ainsi. Elle me mis une capote avec sa bouche puis me masturba doucement jusqu’au moment fatal où l’orgasme me fit crier et je gesticulai, impuissant. "Profites-en, me dit-elle, c’est le meilleur moment." Elle me retira la capote avec précautions pour ne pas en perdre une goutte, elle mit tout le contenu dans sa bouche et m’embrassa de façon a ce que j’avale tout mon sperme. Elle bavait et crachait dans ma bouche pour que rien ne se perde. Au début j’ai résisté puis je me suis laissé aller, j’ai tout avalé et j’ai entendu : « C’est toujours difficile. Les hommes n’aiment pas trop avaler leur propre sperme mais il faudra bien que tu t’y fasses. » Et, inlassablement en faisant de brèves poses elle m’a fait jouir trois fois de suite. Je devais sucer ses doigts mais après il n’y avait plus rien ou très peu. Elle avait décidé d’aller jusqu'à épuisement total, et elle s’amusait à me voir ainsi vidé, sans force, malgré ses dernières tentatives pour obtenir encore plus de moi. Elle avait lu cela et affirmait que l’on pouvait s’en servir comme supplice. Elle n’avait que trop raison. Cela devenait douloureux, insoutenable. Elle avait mis un mouchoir dans ma bouche pour ne plus entendre mes gémissements, mes plaintes et j’attendais avec impatience la fin de ses manipulations. Mais cela devait la contenter de me voir la supplier et pleurer comme un enfant car elle insista encore, bien trop longuement pour moi. Elle s’arrêta enfin et enleva mon bâillon, et de suite pour m’interdire de parler elle se mit à califourchon sur ma bouche. Je compris que cela l’avait excité intensément car son slip qu’elle écartait pour me présenter sa chatte était trempé et comme enivrée elle me restituait toute la cyprine qu’elle venait de secréter en me voyant sous la torture qu’elle venait de m’infliger. Mon sexe fut douloureux pendant trois jours.
A partir de ce moment, je crois qu’elle a cessé d’être ma femme pour devenir ma Maîtresse. Elle en a pris conscience et a voulu définitivement sceller notre style de vie. Elle a encore gravi un échelon dans son rôle de femme dominante. C’est ainsi qu’elle est devenue une véritable DOMINA. Elle sait que je suis très sensible à l’image que je donne et que j’ai toujours peur que les autres découvrent mais faiblesses et mes attirances pour la soumission. Elle m’a conduit dans une boutique spécialisée et m’a présenté sans aucune retenue comme son soumis aux vendeurs pour qu’il n’y ait aucune confusion possible, puis elle a acheté des vêtements fétichistes de Domina, un fouet, des paddles, des vibromasseurs et surtout un gode ceinture qui a été particulièrement choisi avec les explications et les utilisations possibles, j’étais pétrifié , je croyais qu’elle allait m’offrir pour la démonstration et je sentais tous les yeux des clients présents se poser sur moi, et les sourires complices qu’ils m’adressaient. Moi qui ai toujours peur que quelqu’un découvre ma condition « d’homme-femelle ». Elle triomphait, elle souriait et me toisait. Elle aime que les événements me rendent nerveux et elle les utilise pour me dominer. Elle me dit souvent qu’elle parlera de mes sous-vêtements aux autres et leurs fera voir mes jouets si je ne suis pas obéissant. Elle me fait prendre toujours plus de risques comme de porter des dessous féminins sous mes costumes de travail. Elle me fait porter des plugs sous mes vêtements, pour aller aux commissions et même parfois en famille. J’ai toujours si peur que les gens s’en aperçoivent quand je porte le plug car je dois avoir une dôle de démarche. Elle adore me voir ainsi, et elle recherche toujours de nouveaux moyens pour m’humilier et prouver son contrôle sur moi. A présent, elle est devenue exigeante sans cesse. Je dois adorer son corps et la faire jouir seulement en la léchant à chaque fois qu’elle en a envie et c’est de plus en plus souvent, on dirait que cela l’excite de me voir ainsi à ses pieds. Par contre ma vie sexuelle n’a jamais été si grandiose et j’adore quand elle me domine dans le lit. Ma plus grande difficulté, c'est qu’elle refuse la pénétration, et les orgasmes se font de plus en plus rares. Bien sûr la jouissance solitaire est interdite mais je ne me prive pas pour me masturber. Après il faut cacher la faute commise. Puis connaissant ses goûts, des amies lui ont conseillé le livre et le site d’ELISE SUTTON. Ce fut une véritable révélation pour elle. Cela devint sa référence sur les femmes libérées comme elle dit. En revanche, ce fut pour moi une véritable catastrophe dont je subis encore les conséquences et, tel que c'est parti, je crois que cela ne finira jamais. C’est ainsi qu’elle a commandé une cage de chasteté dernier modèle qui est devenue opérationnelle. Sous contrôle total, j’avais découvert la dure réalité: cela n’était plus un jeu. Et, encore une fois, par faiblesse envers elle, je m’étais laissé cadenasser, espérant que j'obtiendrais parfois des faveurs. Mais le doute s’installait.
J’aime notre vie sexuelle et je suis fasciné par son évolution mais je ne me doutais pas que pour moi commençait une nouvelle étape et que cela allait devenir un grand dilemme pour moi. La soumission, j’en rêvais mais à ce point… Je me suis posé la question d’abandonner cette vie ou plus encore de quitter ma femme et briser notre ménage. Cette façon de vivre est franchement incompatible avec notre époque, il ne faut pas avoir une profession qui nous met en contact avec les autres. Avec toutes ces contraintes, je ne peux plus avoir d'activités sportives ou autres. Alors que devais-je faire ? Je lui ai fait part de mes craintes et des incompatibilités avec ma façon de vivre. La réponse a été rapide et expéditive. Elle me dit qu'elle n'éprouvait plus le même amour pour moi, qu'elle m’aimait comme une femme qui avait pris toutes les responsabilités, qu'elle me protégeait, me gérait, m’orientait et me guidait progressivement en fonction de ses choix, et que, en contre partie, je lui devais une obéissance aveugle car tout cela était pour mon bien, et que je l’avais fortement souhaité. Je ne dois donc pas me plaindre puisqu'elle ne fait que mettre en pratique tous les projets que nous avions élaborés ensemble, que j’étais à l’époque  parfaitement d’accord, que c’était moi qui lui avais proposé de vivre ainsi et de me dresser. J’ai eu du mal à entendre la sentence mais je dois reconnaître que j’ai moi-même demandé et écrit de quelle façon je voulais être traité dans le carnet que nous tenons. Les femmes se souviennent et exécutent leur rôle quoi qu’il arrive.
D’ailleurs, après cette remise en question, elle a durci encore les conditions. Je dois faire encore plus de tâches ménagères et elle m’a interdit les soirées avec les copains. De toute façon, harnaché comme je le suis maintenant, je ne me sens rassuré uniquement à notre domicile. Elle a verrouillé aussi la télévision pour que cela devienne une récompense. Cela ne me dérange pas d’être dominé ainsi à la maison, mais c’est surtout lorsque je suis à l’extérieur que cela me rend nerveux. Je ne suis pas tranquille lorsque nous allons dans les magasins ou en ville, là ou nous sommes connus, et elle aime ces sensations car elle m’observe afin de me voir humilié en public. J’ai toujours peur qu’un de mes clients me reconnaisse. J’ai aussi honte de porter sous mes pantalons ou mes shorts les nouveaux slips qu’elle m’a achetés qui me laissent les fesses nues et qui cachent à peine cette satanée  CB3000. Cela doit se voir sous mes pantalons car j’ai le sentiment que les gens me regardent différemment, comme si ils me déshabillaient du regard. Surtout les hommes. Que je sois seul ou avec ma femme, je n’arrête pas de me m’angoisser : Que se passerait-il s’il m’arrivait un accident à l'extérieur et que l’on doive m’amener à l’hôpital ou aux urgences ?
Ce genre de chose se saurait très vite et pourrait porter préjudice à notre commerce et aussi intriguerait le voisinage. On découvrira mon string, mon sexe rasé et le tatouage et ensuite les commentaires iraient bon train.
Ainsi je lutte contre toutes ces émotions contradictoires. Pourtant  j’aime notre vie sexuelle, ma Maîtresse, et je suis fasciné par son évolution. Mais j’ai l’impression que notre amour a changé et que je ne peux pas faire machine arrière, d’autant que je ne décide plus rien, que je dois juste me consacrer aux tâches qu’elle me demande d’exécuter.
Maintenant j’ai un peu peur de ma femme, de ce pouvoir qui l’épanouit et confirme sa domination. Elle n’en a jamais assez. Elle invite par exemple des amis ou des femmes libérées à la maison et, s'ils le demandent ou que Maîtresse en a envie, je dois être l’instrument de leurs caprices sans rechigner sous peine de punition qui peut m'être infligée devant eux. Je dois également supporter : « Il est très doué pour faire l'amour. D'ailleurs sens ma chatte. Elle est encore pleine de son sperme. » Je dois approcher mon visage, sentir les odeurs inconnues de sperme mélangé à sa cyprine, nettoyer, avaler afin de faire place nette après leur ébats. En priorité ma Maîtresse, puis ensuite sur l’homme du moment. C’est ma seule façon de participer. De plus elle me fait admirer et parfois essayer des beaux spécimens et me faisant remarquer que je suis devenu une petite pute au service de tous ses amis et amies. Comme si elle voulait voir jusqu’où elle peut pousser les limites. Une autre fois, un soir très tard, elle rentra tout excitée de chez une amie. Elle me dit qu’elle avait pris un rendez-vous pour nous vers minuit. Elle me lança un sac dans lequel se trouvait un short blanc très échancré qu’elle venait d’acheter car il y avait encore les étiquettes. Elle m’ordonna de l’enfiler sur mon string, avec simplement un tee-shirt. J’étais sur mes gardes car un rendez vous à minuit habillé de la sorte… Je montai à la place du passager. Elle avait passé une jupe plissée blanche et un tee-shirt. Elle n’avait pas mis de culotte. Nous prîmes l’autoroute tous deux de blanc vêtus, puis des petites routes qui nous amenèrent non loin des plages. Après plusieurs kilomètres, notre promenade prit fin sur un parking où l’on devinait une voiture dans le noir de la nuit. A ma grande surprise deux hommes attendaient. Elle avait cet air étrange sur son visage, celui qu’elle a lorsqu’elle me punit. Elle me dit de ne pas bouger. Elle alla vers ces hommes. Après discussion, ils échangèrent quelque chose qui de loin me sembla être des billets. Elle revint vers moi et me commanda de la suivre. Je n’étais pas très rassuré par la présence de ces deux hommes. Elle s’en rendit compte, me sourit et me toisa avec cette assurance qui m’impressionne toujours. Arrivée devant une table de pique-nique, elle s’installa afin de nous voir tous les trois et me demanda d’approcher de la table. D’un signe elle autorisa les hommes à s’approcher  de moi : « Elle est à vous mais je vous surveille. Pas de violence, vous faites seulement ce que l’on a convenu. » Ils commencèrent à vérifier mon short et son contenu et je compris à cet instant l’utilité de son achat. Les hommes étaient intrigués par ce slip qui laissait mes fesses nues et vulnérables et par devant cachait une dureté inconnue pour eux. Ils découvrirent ma cage et inspectèrent celle-ci avec grande curiosité, me faisant remarquer que je ne pourrais pas leur faire grand mal. Je me retrouvai vite couché à plat ventre sur la table. L’un deux attrapa mon short tout neuf à deux mains et avec force l’ouvrit entre mes cuisse et le releva sur mes reins en découvrant mon tatouage. Mon cul était à la vue de tous. Ils baissèrent leurs pantalons, un devant, un derrière. Toujours sous le regard de Maîtresse qui ne perdait rien du spectacle, le premier me prit la tête et me força  à le sucer. L’autre, après avoir craché plusieurs fois sur mon orifice, me préparait avec ses doigts pour mieux me pénétrer. Assez vite mon anus fut dilaté et l'intromission se fit sans difficulté. Alors, très vite il faut le dire, je subis avec plaisir ces coups de reins. Il cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Je ne savais plus  où j’étais. Un mélange de peur et de soumission m’envahissait et je m’abandonnais à eux. Puis les rôles s’inversèrent et pendant le temps de l’échange, je n’avais plus rien en moi c’était comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû dans cette posture. Je devais avoir la rondelle béante car je sentais l’air froid dans mon anus et le deuxième profitant de cette évidente ouverture se rua en moi avec une cadence de métronome, il s’appliquait à sortir totalement de moi et attendait quelques secondes puis replongeait en moi, je ne pus résister bien longtemps à cette précision diabolique. Je jouis à chaque fois qu’il sortait de moi et il me faisait frissonner de bonheur lorsque je le sentais me forcer et pénétrer lentement au plus profond. Après avoir longtemps profité de ses allées et venues, soudain, à ses contractions plus rapides, je compris qu'il allait se déverser en moi. Je me sentis pressé sur la table et mon anus accueillit un flot de sperme brûlant. Je jouis alors avec une grande satisfaction et libération. L’autre, n’y tenant plus, se vida dans ma bouche, puis sur mon visage. J’en avais des nausées. Cela me faisait suffoquer car il s’enfonçait jusqu’au fond de ma gorge. J’étais dans un autre monde, comme drogué. Le sous-espace peut-être ? Je ne me suis même pas rendu compte de leur départ.
C’est Maîtresse qui m’a ramené à la réalité en me caressant le visage et les cheveux, puis en me rhabillant tant bien que mal. J’étais abasourdi mais surtout heureux et honteux de ce que je venais de subir. Maîtresse était rayonnante et ravie car elle m’avait vu jouir comme jamais, elle qui me connaissait par cœur. Elle n’était pas dupe de ce que j’avais ressenti. Avec son sourire de dominante et reprenant le dessus elle me gratifia d’un « Je tai bien observé et entendu. Tu es devenu une véritable petite pute. Dorénavant je ne veux t’entendre parler qu’au féminin. Il faudra bien t’y habituer. Viens à genoux faire la femelle. Je suis dans un tel état que je ne peux par rentrer de suite, allez fais-moi jouir ! ». Les cuisses ouvertes, son string dans la main gauche et ma tête dans la main droite, elle dirigea ma tête et je me délectai de ce nectar. Ce fut l'inondation du désir, le déluge, la douche salvatrice du bonheur. Par longues saccades d'abord, puis d'une manière ininterrompue, Maîtresse se vida dans ma bouche et sur mon visage. Jamais elle n'avait joui aussi puissamment, aussi divinement qu'en cet instant suprême, comme si de m’avoir fait vivre ce moment de la vie dans ce qu'il a de plus miraculeux et de plus étrange, s'échappait d'elle comme une source sacrée. Pour me récompenser j'eus le droit de conduire sa voiture. A la maison, elle me fit mettre nu, à genoux devant elle : « Tu vois cela sera dorénavant ta seule façon de jouir car à partir de ce soir ton sexe est devenu inutile. Tu es devenue ma salope et je ne t’autoriserai à jouir que de la façon que tu as découverte ce soir. De plus je ne parlerai de toi qu’au féminin. Tu oublieras que tu as été un homme, vu le plaisir que nous avons ressenti mutuellement ce soir, je ne crois pas que tu puisses te plaindre »

Après une bonne nuit de récupération, la vie de soumise a repris son cours. Je dois écrire au féminin désormais et que je dois me comporter comme une femme. Je dois uriner assise face à la chasse d’eau et quand je suis à l’extérieur, en campagne, debout, jambes bien écartées, en pressant chacun de mes tétons avec les doigts sans en renverser sur mes vêtements. Je suis toujours dans la crainte que ma femme me fasse connaître d’autres expériences dont elle a le secret. C'est dur à décrire mais de sa part ca ressemblerait à : « Oui je te le fais faire et tu ne peux m’en empêcher car tu adores ça et tu m’aimes».
Sa mentalité dominante libérée l’excite sans limite et j’ai peur de l’avenir car je ne suis plus maître de ma vie et de mon corps. Surtout depuis que je ne peux plus avoir de rapports homme femme avec elle comme au début.
Je dois confesser que je la trouve plus désirable et plus excitante que jamais mais m’aime-t-elle autant qu’auparavant ? Je fonds devant son autorité et je réalise que peu d’hommes ont la chance d’avoir une femme qui explore ce style de vie aussi loin mais j’ai perdu tout contrôle. J’ai un peu peur de savoir où cela va nous mener lorsque nous allons vieillir. J’ai une chance incroyable certes, mais notre vie passée me manque par certains côtés. Elle était plus traditionnelle, mais aussi plus sûre et prévisible. Notre nouvelle vie est plus excitante pour ma femme et le sexe est fantastique pour elle. Il a pris une place importante dans ses désirs. Je le ressens désormais différemment. Voilà pas loin de trois mois que mon sexe est sous haute surveillance et que je dois l’effacer de ma mémoire pour penser et réagir en femme. Je suis assez étonné car je m’en suis assez bien accommodée. J’ai trouvé certaines compensations qui, peut-être, sommeillaient en moi et ce sont éveillées sur le tard. Mais autant je veux bien me donner aux hommes et travailler pour Maîtresse, autant  je ne voudrais pour rien au monde être dressé par un mâle comme ceux qui l’accompagnent régulièrement. Quelquefois, pour m’effrayer, elle me fait croire que je suis vendu à l’un d’eux, c’est déjà très difficile pour moi lorsqu’elle me prête ou m’échange pour la journée. Ce qui me tourmente le plus, c’est notre affaire, dont j'ai perdu également les commandes, et j’ai peur pour mes ambitions et pour les projets que j’avais faits. J’ai souvent envie de revenir en arrière, mais en même temps j’appréhende mon avenir. J’ai longtemps souhaité et supplié de devenir l’être soumis que je suis actuellement mais toutes ces expériences, je dois le reconnaître, m’ont brisé le caractère et la volonté. J’ai atteint le point de non retour. Je suis contraint de poursuivre en restant cloitré et je vois ma femme libérée et ouverte. Elle est fière de pouvoir m’exhiber et me montrer en exemple devant les adeptes d’Elise SUTTON

Je dois mettre en garde tous ces hommes qui, comme moi, à un certain moment de leur vie, ont eu cette envie d’appartenir à une femme. Fantasmez, rêvez, jouez avec ces femmes qui nous dominent mais soyez vigilants car elles en veulent toujours plus et ne poussez pas trop loin votre expérience car LE POINT DE NON RETOUR arrive très vite et c’est trop tard. Il vous faut tout détruire pour vous en sortir et comme on le dit nous n’avons qu’une vie et qu’un grand amour.
Je lui ai fait part de mon souhait  de revivre comme avant.
Elle a été catégorique : « Je suis maintenant libérée de toutes contraintes, je ne vois pas ce qui me pousserait à changer ma nouvelle façon de vivre, moi je ne me pose plus de questions, je vis pleinement mes envies et j’aime par-dessus tout m’occuper de toi et faire travailler ma petite pute » Puis elle m’a fait comprendre que sans elle je n’existerais plus et que, de toute manière, je me complaisais dans ce rôle.
De plus je n’aurais pas la force de la quitter car je risquerais de trouver pire. D'après elle en effet, dans tous les cas,  je me retrouverais sous les ordres d’une autre Maîtresse. Sa conclusion fut : « Tu seras toujours dépendant et sous le coupe d’une femme car tu les aimes et tu es un faible et un passif. » Ecrit par PATOUNE avec l'autorisation de sa Maîtresse.

Réponse de Mtrs.Dana :

Patrick. Merci pour ce long récit, si bien conté. Vous avez vécu et vivez une histoire formidable et vous devez vous féliciter d’avoir en Odile une Maîtresse très douée et qui vous a prouvé, si besoin était, une chose que tous les hommes soumis devraient comprendre : ce sont bien souvent les hommes qui initient leur compagne à ce style de vie mais, quand celle-ci à ouvert la bouteille et que le génie en est sorti, il est impossible de le remettre dedans. Il réalise bien souvent vos souhaits les plus grands, et la femme qui découvre tout ce que la domination lui apporte quand elle est vécue au quotidien n’a non seulement plus envie de revenir en arrière, mais va parfois bien plus loin que l’avait rêvé son compagnon. Peu de gens ont la chance de vivre une relation si extrême, et votre Maîtresse a trouvé le bonheur grâce à vous, tout comme elle a réalisé vos rêves.

Vous savez ce que je pense de l’adultère, qu’il est réservé qu’à une petite minorité de couples, car il doit être fait pour de bonnes raisons, de la bonne façon, au bon moment et selon un accord mutuel. Visiblement, Odile est très intelligente et a compris tout cela, car elle vous fait partager tout ce qu’elle vit, même avec d’autres. Je pense qu’elle en a compris les pièges et grâce à cela vous fait vivre des moments très intenses. Elle a bien appris à comprendre la soumission de l'homme, et ces phrases d'elle que vous citez le prouvent clairement. Je doute que beaucoup de soumis puissent dire qu'elle se trompe.

Alors oui certes, vous avez franchis un point de non retour, et vous pouvez avoir l’impression que son amour pour vous est différent. Mais sachez que je crois qu’elle vous aime tout autant, et qu’elle prend soin de vous, avec sa touche à elle. Félicitations à tous les deux.


RETOUR

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés