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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:41

Le point de non retour après six ans de soumission.

Ma femme et moi aimions surfer sur Internet, ensemble ou séparément, et notre curiosité nous a vite conduit sur des sites d’adultes pour partager nos goûts et nos phantasmes qui, je peux le dire aujourd’hui étaient très complémentaires. Ma femme s’est très vite rendu compte que j’étais attiré par les sites qui parlaient de femmes dominant les hommes et que lorsque tous les deux nous parcourions ces pages cela me mettait dans un état d’excitation évident et ensuite arrivé au lit, j’étais très attentionné. Avec le recul, je pense que cela devait plaire à ma femme de me voir ainsi, amoureux et complaisant lors de nos ébats et que cela lui donnait des idées pour la suite.

Je le compris bien plus tard, alors qu'elle avait commencé mon dressage, tout en douceur, sans le faire remarquer. Elle me préparait déjà psychologiquement et j’y prenais un intense plaisir. Elle avait su écouter mes envies, accepter de  me guider tendrement mais sûrement sur ce chemin. Tous les jours nos ébats se transformaient et je sentais la progression s’opérer, mais j’étais aux anges, tout ce que je souhaitais au fond de moi se réalisait. J’acceptais les corvées et les punitions quand le ménage, la vaisselle, la lessive ou autres services n’étaient pas au goût de ma femme. Je comptais à voix haute les coups de cravache qu’elle m’administrait ou, pendant toute la nuit, je devais porter la culotte à ma femme, des bas, porte-jarretelles et soutien-gorge et être la petite amie de ma femme avec en plus cette inscription au feutre sur mon front :
« Salope ». Je vivais des moments extraordinaires. J’en redemandais chaque jour et suppliais ma femme pour avoir de nouvelles séances de plus en plus dures. Comme elle ne demandait que cela, une nouvelle phase de dressage commença. Elle se renseigna sur toutes les règles essentielles, elle consulta des livres, des sites pour en savoir toujours plus. J’appris à boire mon urine, la sienne, avoir des lavements, me faire le supplice de la masturbation avec des orties. Je dus subir toutes les idées d’une maîtresse qui se forgeait elle-même et n'avait qu’un but : obtenir absolument tout de son mari pour en faire un homme soumis. Je devais aussi tenir un journal de punitions sur l’ordinateur dans lequel étaient notées mes tâches, mes punitions, mes états d’âme, tout ceci évidemment vérifié par ma femme qui en avait les codes. Je découvrais chaque jour le sort qui m’attendait, je devais suivre scrupuleusement ses instructions sous peine d'être puni, ou je devais évaluer seul ma punition, mais il y avait souvent une prime par rapport à mon évaluation. Comme récompense pour services rendus, elle me fit épiler régulièrement le sexe et les fesses et tatouer sur le bas des reins :
« J’appartiens à Odile ma Maîtresse pour toujours ». Je suis devenu un homme soumis et un fidèle mari à la grande satisfaction de ma femme qui tous les jours s’enhardissait, elle me répétait souvent :
« Un jour tu seras ma petite pute et tu travailleras pour moi ! »
J’avais l’impression que ma femme voulait toujours essayer quelque chose de nouveau, aller toujours plus loin dans mon éducation pour m’humilier au maximum et voir jusqu’où elle pouvait vérifier l’amour et l’abandon que je ressens pour elle. Je lui appartiens totalement. J’ai signé (ma première fatale erreur) ce contrat d’esclave qu’elle m’a fait rédiger moi-même, un jour, dans un hôtel de Province où elle m’avait amené pour passer un week-end coquin et tranquille. Un contrat comme nous en avions trouver sur les sites, qui stipulait que je devais obéir à ma Maîtresse sans aucune limite, que je me donnais complètement à elle et qu’en retour elle me protégerait et m’éduquerait. Pour me récompenser d’avoir accepté et signé, elle m’attacha solidement en croix sur le lit avec des bas qu’elle avait apporté. J’étais exposé ainsi, le sexe en évidence. Elle ouvrait sans arrêt la porte, appelait dans le couloir pour me faire croire qu’elle allait me livrer à la première ou au premier venu. J’étais angoissé et timide comme un gamin en faute. Elle se délectait de me voir ainsi. Elle me mis une capote avec sa bouche puis me masturba doucement jusqu’au moment fatal où l’orgasme me fit crier et je gesticulai, impuissant. "Profites-en, me dit-elle, c’est le meilleur moment." Elle me retira la capote avec précautions pour ne pas en perdre une goutte, elle mit tout le contenu dans sa bouche et m’embrassa de façon a ce que j’avale tout mon sperme. Elle bavait et crachait dans ma bouche pour que rien ne se perde. Au début j’ai résisté puis je me suis laissé aller, j’ai tout avalé et j’ai entendu : « C’est toujours difficile. Les hommes n’aiment pas trop avaler leur propre sperme mais il faudra bien que tu t’y fasses. » Et, inlassablement en faisant de brèves poses elle m’a fait jouir trois fois de suite. Je devais sucer ses doigts mais après il n’y avait plus rien ou très peu. Elle avait décidé d’aller jusqu'à épuisement total, et elle s’amusait à me voir ainsi vidé, sans force, malgré ses dernières tentatives pour obtenir encore plus de moi. Elle avait lu cela et affirmait que l’on pouvait s’en servir comme supplice. Elle n’avait que trop raison. Cela devenait douloureux, insoutenable. Elle avait mis un mouchoir dans ma bouche pour ne plus entendre mes gémissements, mes plaintes et j’attendais avec impatience la fin de ses manipulations. Mais cela devait la contenter de me voir la supplier et pleurer comme un enfant car elle insista encore, bien trop longuement pour moi. Elle s’arrêta enfin et enleva mon bâillon, et de suite pour m’interdire de parler elle se mit à califourchon sur ma bouche. Je compris que cela l’avait excité intensément car son slip qu’elle écartait pour me présenter sa chatte était trempé et comme enivrée elle me restituait toute la cyprine qu’elle venait de secréter en me voyant sous la torture qu’elle venait de m’infliger. Mon sexe fut douloureux pendant trois jours.
A partir de ce moment, je crois qu’elle a cessé d’être ma femme pour devenir ma Maîtresse. Elle en a pris conscience et a voulu définitivement sceller notre style de vie. Elle a encore gravi un échelon dans son rôle de femme dominante. C’est ainsi qu’elle est devenue une véritable DOMINA. Elle sait que je suis très sensible à l’image que je donne et que j’ai toujours peur que les autres découvrent mais faiblesses et mes attirances pour la soumission. Elle m’a conduit dans une boutique spécialisée et m’a présenté sans aucune retenue comme son soumis aux vendeurs pour qu’il n’y ait aucune confusion possible, puis elle a acheté des vêtements fétichistes de Domina, un fouet, des paddles, des vibromasseurs et surtout un gode ceinture qui a été particulièrement choisi avec les explications et les utilisations possibles, j’étais pétrifié , je croyais qu’elle allait m’offrir pour la démonstration et je sentais tous les yeux des clients présents se poser sur moi, et les sourires complices qu’ils m’adressaient. Moi qui ai toujours peur que quelqu’un découvre ma condition « d’homme-femelle ». Elle triomphait, elle souriait et me toisait. Elle aime que les événements me rendent nerveux et elle les utilise pour me dominer. Elle me dit souvent qu’elle parlera de mes sous-vêtements aux autres et leurs fera voir mes jouets si je ne suis pas obéissant. Elle me fait prendre toujours plus de risques comme de porter des dessous féminins sous mes costumes de travail. Elle me fait porter des plugs sous mes vêtements, pour aller aux commissions et même parfois en famille. J’ai toujours si peur que les gens s’en aperçoivent quand je porte le plug car je dois avoir une dôle de démarche. Elle adore me voir ainsi, et elle recherche toujours de nouveaux moyens pour m’humilier et prouver son contrôle sur moi. A présent, elle est devenue exigeante sans cesse. Je dois adorer son corps et la faire jouir seulement en la léchant à chaque fois qu’elle en a envie et c’est de plus en plus souvent, on dirait que cela l’excite de me voir ainsi à ses pieds. Par contre ma vie sexuelle n’a jamais été si grandiose et j’adore quand elle me domine dans le lit. Ma plus grande difficulté, c'est qu’elle refuse la pénétration, et les orgasmes se font de plus en plus rares. Bien sûr la jouissance solitaire est interdite mais je ne me prive pas pour me masturber. Après il faut cacher la faute commise. Puis connaissant ses goûts, des amies lui ont conseillé le livre et le site d’ELISE SUTTON. Ce fut une véritable révélation pour elle. Cela devint sa référence sur les femmes libérées comme elle dit. En revanche, ce fut pour moi une véritable catastrophe dont je subis encore les conséquences et, tel que c'est parti, je crois que cela ne finira jamais. C’est ainsi qu’elle a commandé une cage de chasteté dernier modèle qui est devenue opérationnelle. Sous contrôle total, j’avais découvert la dure réalité: cela n’était plus un jeu. Et, encore une fois, par faiblesse envers elle, je m’étais laissé cadenasser, espérant que j'obtiendrais parfois des faveurs. Mais le doute s’installait.
J’aime notre vie sexuelle et je suis fasciné par son évolution mais je ne me doutais pas que pour moi commençait une nouvelle étape et que cela allait devenir un grand dilemme pour moi. La soumission, j’en rêvais mais à ce point… Je me suis posé la question d’abandonner cette vie ou plus encore de quitter ma femme et briser notre ménage. Cette façon de vivre est franchement incompatible avec notre époque, il ne faut pas avoir une profession qui nous met en contact avec les autres. Avec toutes ces contraintes, je ne peux plus avoir d'activités sportives ou autres. Alors que devais-je faire ? Je lui ai fait part de mes craintes et des incompatibilités avec ma façon de vivre. La réponse a été rapide et expéditive. Elle me dit qu'elle n'éprouvait plus le même amour pour moi, qu'elle m’aimait comme une femme qui avait pris toutes les responsabilités, qu'elle me protégeait, me gérait, m’orientait et me guidait progressivement en fonction de ses choix, et que, en contre partie, je lui devais une obéissance aveugle car tout cela était pour mon bien, et que je l’avais fortement souhaité. Je ne dois donc pas me plaindre puisqu'elle ne fait que mettre en pratique tous les projets que nous avions élaborés ensemble, que j’étais à l’époque  parfaitement d’accord, que c’était moi qui lui avais proposé de vivre ainsi et de me dresser. J’ai eu du mal à entendre la sentence mais je dois reconnaître que j’ai moi-même demandé et écrit de quelle façon je voulais être traité dans le carnet que nous tenons. Les femmes se souviennent et exécutent leur rôle quoi qu’il arrive.
D’ailleurs, après cette remise en question, elle a durci encore les conditions. Je dois faire encore plus de tâches ménagères et elle m’a interdit les soirées avec les copains. De toute façon, harnaché comme je le suis maintenant, je ne me sens rassuré uniquement à notre domicile. Elle a verrouillé aussi la télévision pour que cela devienne une récompense. Cela ne me dérange pas d’être dominé ainsi à la maison, mais c’est surtout lorsque je suis à l’extérieur que cela me rend nerveux. Je ne suis pas tranquille lorsque nous allons dans les magasins ou en ville, là ou nous sommes connus, et elle aime ces sensations car elle m’observe afin de me voir humilié en public. J’ai toujours peur qu’un de mes clients me reconnaisse. J’ai aussi honte de porter sous mes pantalons ou mes shorts les nouveaux slips qu’elle m’a achetés qui me laissent les fesses nues et qui cachent à peine cette satanée  CB3000. Cela doit se voir sous mes pantalons car j’ai le sentiment que les gens me regardent différemment, comme si ils me déshabillaient du regard. Surtout les hommes. Que je sois seul ou avec ma femme, je n’arrête pas de me m’angoisser : Que se passerait-il s’il m’arrivait un accident à l'extérieur et que l’on doive m’amener à l’hôpital ou aux urgences ?
Ce genre de chose se saurait très vite et pourrait porter préjudice à notre commerce et aussi intriguerait le voisinage. On découvrira mon string, mon sexe rasé et le tatouage et ensuite les commentaires iraient bon train.
Ainsi je lutte contre toutes ces émotions contradictoires. Pourtant  j’aime notre vie sexuelle, ma Maîtresse, et je suis fasciné par son évolution. Mais j’ai l’impression que notre amour a changé et que je ne peux pas faire machine arrière, d’autant que je ne décide plus rien, que je dois juste me consacrer aux tâches qu’elle me demande d’exécuter.
Maintenant j’ai un peu peur de ma femme, de ce pouvoir qui l’épanouit et confirme sa domination. Elle n’en a jamais assez. Elle invite par exemple des amis ou des femmes libérées à la maison et, s'ils le demandent ou que Maîtresse en a envie, je dois être l’instrument de leurs caprices sans rechigner sous peine de punition qui peut m'être infligée devant eux. Je dois également supporter : « Il est très doué pour faire l'amour. D'ailleurs sens ma chatte. Elle est encore pleine de son sperme. » Je dois approcher mon visage, sentir les odeurs inconnues de sperme mélangé à sa cyprine, nettoyer, avaler afin de faire place nette après leur ébats. En priorité ma Maîtresse, puis ensuite sur l’homme du moment. C’est ma seule façon de participer. De plus elle me fait admirer et parfois essayer des beaux spécimens et me faisant remarquer que je suis devenu une petite pute au service de tous ses amis et amies. Comme si elle voulait voir jusqu’où elle peut pousser les limites. Une autre fois, un soir très tard, elle rentra tout excitée de chez une amie. Elle me dit qu’elle avait pris un rendez-vous pour nous vers minuit. Elle me lança un sac dans lequel se trouvait un short blanc très échancré qu’elle venait d’acheter car il y avait encore les étiquettes. Elle m’ordonna de l’enfiler sur mon string, avec simplement un tee-shirt. J’étais sur mes gardes car un rendez vous à minuit habillé de la sorte… Je montai à la place du passager. Elle avait passé une jupe plissée blanche et un tee-shirt. Elle n’avait pas mis de culotte. Nous prîmes l’autoroute tous deux de blanc vêtus, puis des petites routes qui nous amenèrent non loin des plages. Après plusieurs kilomètres, notre promenade prit fin sur un parking où l’on devinait une voiture dans le noir de la nuit. A ma grande surprise deux hommes attendaient. Elle avait cet air étrange sur son visage, celui qu’elle a lorsqu’elle me punit. Elle me dit de ne pas bouger. Elle alla vers ces hommes. Après discussion, ils échangèrent quelque chose qui de loin me sembla être des billets. Elle revint vers moi et me commanda de la suivre. Je n’étais pas très rassuré par la présence de ces deux hommes. Elle s’en rendit compte, me sourit et me toisa avec cette assurance qui m’impressionne toujours. Arrivée devant une table de pique-nique, elle s’installa afin de nous voir tous les trois et me demanda d’approcher de la table. D’un signe elle autorisa les hommes à s’approcher  de moi : « Elle est à vous mais je vous surveille. Pas de violence, vous faites seulement ce que l’on a convenu. » Ils commencèrent à vérifier mon short et son contenu et je compris à cet instant l’utilité de son achat. Les hommes étaient intrigués par ce slip qui laissait mes fesses nues et vulnérables et par devant cachait une dureté inconnue pour eux. Ils découvrirent ma cage et inspectèrent celle-ci avec grande curiosité, me faisant remarquer que je ne pourrais pas leur faire grand mal. Je me retrouvai vite couché à plat ventre sur la table. L’un deux attrapa mon short tout neuf à deux mains et avec force l’ouvrit entre mes cuisse et le releva sur mes reins en découvrant mon tatouage. Mon cul était à la vue de tous. Ils baissèrent leurs pantalons, un devant, un derrière. Toujours sous le regard de Maîtresse qui ne perdait rien du spectacle, le premier me prit la tête et me força  à le sucer. L’autre, après avoir craché plusieurs fois sur mon orifice, me préparait avec ses doigts pour mieux me pénétrer. Assez vite mon anus fut dilaté et l'intromission se fit sans difficulté. Alors, très vite il faut le dire, je subis avec plaisir ces coups de reins. Il cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Je ne savais plus  où j’étais. Un mélange de peur et de soumission m’envahissait et je m’abandonnais à eux. Puis les rôles s’inversèrent et pendant le temps de l’échange, je n’avais plus rien en moi c’était comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû dans cette posture. Je devais avoir la rondelle béante car je sentais l’air froid dans mon anus et le deuxième profitant de cette évidente ouverture se rua en moi avec une cadence de métronome, il s’appliquait à sortir totalement de moi et attendait quelques secondes puis replongeait en moi, je ne pus résister bien longtemps à cette précision diabolique. Je jouis à chaque fois qu’il sortait de moi et il me faisait frissonner de bonheur lorsque je le sentais me forcer et pénétrer lentement au plus profond. Après avoir longtemps profité de ses allées et venues, soudain, à ses contractions plus rapides, je compris qu'il allait se déverser en moi. Je me sentis pressé sur la table et mon anus accueillit un flot de sperme brûlant. Je jouis alors avec une grande satisfaction et libération. L’autre, n’y tenant plus, se vida dans ma bouche, puis sur mon visage. J’en avais des nausées. Cela me faisait suffoquer car il s’enfonçait jusqu’au fond de ma gorge. J’étais dans un autre monde, comme drogué. Le sous-espace peut-être ? Je ne me suis même pas rendu compte de leur départ.
C’est Maîtresse qui m’a ramené à la réalité en me caressant le visage et les cheveux, puis en me rhabillant tant bien que mal. J’étais abasourdi mais surtout heureux et honteux de ce que je venais de subir. Maîtresse était rayonnante et ravie car elle m’avait vu jouir comme jamais, elle qui me connaissait par cœur. Elle n’était pas dupe de ce que j’avais ressenti. Avec son sourire de dominante et reprenant le dessus elle me gratifia d’un « Je tai bien observé et entendu. Tu es devenu une véritable petite pute. Dorénavant je ne veux t’entendre parler qu’au féminin. Il faudra bien t’y habituer. Viens à genoux faire la femelle. Je suis dans un tel état que je ne peux par rentrer de suite, allez fais-moi jouir ! ». Les cuisses ouvertes, son string dans la main gauche et ma tête dans la main droite, elle dirigea ma tête et je me délectai de ce nectar. Ce fut l'inondation du désir, le déluge, la douche salvatrice du bonheur. Par longues saccades d'abord, puis d'une manière ininterrompue, Maîtresse se vida dans ma bouche et sur mon visage. Jamais elle n'avait joui aussi puissamment, aussi divinement qu'en cet instant suprême, comme si de m’avoir fait vivre ce moment de la vie dans ce qu'il a de plus miraculeux et de plus étrange, s'échappait d'elle comme une source sacrée. Pour me récompenser j'eus le droit de conduire sa voiture. A la maison, elle me fit mettre nu, à genoux devant elle : « Tu vois cela sera dorénavant ta seule façon de jouir car à partir de ce soir ton sexe est devenu inutile. Tu es devenue ma salope et je ne t’autoriserai à jouir que de la façon que tu as découverte ce soir. De plus je ne parlerai de toi qu’au féminin. Tu oublieras que tu as été un homme, vu le plaisir que nous avons ressenti mutuellement ce soir, je ne crois pas que tu puisses te plaindre »

Après une bonne nuit de récupération, la vie de soumise a repris son cours. Je dois écrire au féminin désormais et que je dois me comporter comme une femme. Je dois uriner assise face à la chasse d’eau et quand je suis à l’extérieur, en campagne, debout, jambes bien écartées, en pressant chacun de mes tétons avec les doigts sans en renverser sur mes vêtements. Je suis toujours dans la crainte que ma femme me fasse connaître d’autres expériences dont elle a le secret. C'est dur à décrire mais de sa part ca ressemblerait à : « Oui je te le fais faire et tu ne peux m’en empêcher car tu adores ça et tu m’aimes».
Sa mentalité dominante libérée l’excite sans limite et j’ai peur de l’avenir car je ne suis plus maître de ma vie et de mon corps. Surtout depuis que je ne peux plus avoir de rapports homme femme avec elle comme au début.
Je dois confesser que je la trouve plus désirable et plus excitante que jamais mais m’aime-t-elle autant qu’auparavant ? Je fonds devant son autorité et je réalise que peu d’hommes ont la chance d’avoir une femme qui explore ce style de vie aussi loin mais j’ai perdu tout contrôle. J’ai un peu peur de savoir où cela va nous mener lorsque nous allons vieillir. J’ai une chance incroyable certes, mais notre vie passée me manque par certains côtés. Elle était plus traditionnelle, mais aussi plus sûre et prévisible. Notre nouvelle vie est plus excitante pour ma femme et le sexe est fantastique pour elle. Il a pris une place importante dans ses désirs. Je le ressens désormais différemment. Voilà pas loin de trois mois que mon sexe est sous haute surveillance et que je dois l’effacer de ma mémoire pour penser et réagir en femme. Je suis assez étonné car je m’en suis assez bien accommodée. J’ai trouvé certaines compensations qui, peut-être, sommeillaient en moi et ce sont éveillées sur le tard. Mais autant je veux bien me donner aux hommes et travailler pour Maîtresse, autant  je ne voudrais pour rien au monde être dressé par un mâle comme ceux qui l’accompagnent régulièrement. Quelquefois, pour m’effrayer, elle me fait croire que je suis vendu à l’un d’eux, c’est déjà très difficile pour moi lorsqu’elle me prête ou m’échange pour la journée. Ce qui me tourmente le plus, c’est notre affaire, dont j'ai perdu également les commandes, et j’ai peur pour mes ambitions et pour les projets que j’avais faits. J’ai souvent envie de revenir en arrière, mais en même temps j’appréhende mon avenir. J’ai longtemps souhaité et supplié de devenir l’être soumis que je suis actuellement mais toutes ces expériences, je dois le reconnaître, m’ont brisé le caractère et la volonté. J’ai atteint le point de non retour. Je suis contraint de poursuivre en restant cloitré et je vois ma femme libérée et ouverte. Elle est fière de pouvoir m’exhiber et me montrer en exemple devant les adeptes d’Elise SUTTON

Je dois mettre en garde tous ces hommes qui, comme moi, à un certain moment de leur vie, ont eu cette envie d’appartenir à une femme. Fantasmez, rêvez, jouez avec ces femmes qui nous dominent mais soyez vigilants car elles en veulent toujours plus et ne poussez pas trop loin votre expérience car LE POINT DE NON RETOUR arrive très vite et c’est trop tard. Il vous faut tout détruire pour vous en sortir et comme on le dit nous n’avons qu’une vie et qu’un grand amour.
Je lui ai fait part de mon souhait  de revivre comme avant.
Elle a été catégorique : « Je suis maintenant libérée de toutes contraintes, je ne vois pas ce qui me pousserait à changer ma nouvelle façon de vivre, moi je ne me pose plus de questions, je vis pleinement mes envies et j’aime par-dessus tout m’occuper de toi et faire travailler ma petite pute » Puis elle m’a fait comprendre que sans elle je n’existerais plus et que, de toute manière, je me complaisais dans ce rôle.
De plus je n’aurais pas la force de la quitter car je risquerais de trouver pire. D'après elle en effet, dans tous les cas,  je me retrouverais sous les ordres d’une autre Maîtresse. Sa conclusion fut : « Tu seras toujours dépendant et sous le coupe d’une femme car tu les aimes et tu es un faible et un passif. » Ecrit par PATOUNE avec l'autorisation de sa Maîtresse.

Réponse de Mtrs.Dana :

Patrick. Merci pour ce long récit, si bien conté. Vous avez vécu et vivez une histoire formidable et vous devez vous féliciter d’avoir en Odile une Maîtresse très douée et qui vous a prouvé, si besoin était, une chose que tous les hommes soumis devraient comprendre : ce sont bien souvent les hommes qui initient leur compagne à ce style de vie mais, quand celle-ci à ouvert la bouteille et que le génie en est sorti, il est impossible de le remettre dedans. Il réalise bien souvent vos souhaits les plus grands, et la femme qui découvre tout ce que la domination lui apporte quand elle est vécue au quotidien n’a non seulement plus envie de revenir en arrière, mais va parfois bien plus loin que l’avait rêvé son compagnon. Peu de gens ont la chance de vivre une relation si extrême, et votre Maîtresse a trouvé le bonheur grâce à vous, tout comme elle a réalisé vos rêves.

Vous savez ce que je pense de l’adultère, qu’il est réservé qu’à une petite minorité de couples, car il doit être fait pour de bonnes raisons, de la bonne façon, au bon moment et selon un accord mutuel. Visiblement, Odile est très intelligente et a compris tout cela, car elle vous fait partager tout ce qu’elle vit, même avec d’autres. Je pense qu’elle en a compris les pièges et grâce à cela vous fait vivre des moments très intenses. Elle a bien appris à comprendre la soumission de l'homme, et ces phrases d'elle que vous citez le prouvent clairement. Je doute que beaucoup de soumis puissent dire qu'elle se trompe.

Alors oui certes, vous avez franchis un point de non retour, et vous pouvez avoir l’impression que son amour pour vous est différent. Mais sachez que je crois qu’elle vous aime tout autant, et qu’elle prend soin de vous, avec sa touche à elle. Félicitations à tous les deux.


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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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