A. Il n’y a pas de règle unique dans les relations fondées sur la domination de la femme. Chaque couple doit trouver sa voie. Cependant, mon opinion est que si une femme désire que son mari lui soit plus obéissant et ait plus envie de la servir, alors elle a besoin de limiter ses orgasmes. Cela dépend des décisions de la femme et du comportement de son homme. Le déni d’orgasme signifie différentes choses pour différents couples. Un homme libre a autant de jouissances qu’il le souhaite chaque jour. Ce n’est pas une bonne idée si une femme désire qu’il soit attentif à ses besoins..
Alors si un homme veut avoir un orgasme chaque nuit mais que sa femme le dénie et ne lui permet qu’une fois la semaine, alors c’est bien un interdit d’orgasme.
Si un homme veut avoir un orgasme chaque nuit mais que sa femme ne lui en permet un qu’une fois par semaine, alors c’est bien un interdit d’orgasme. Il y a des femmes qui frustrent leur mari longtemps et limitent son plaisir à une fois tous les dix jours ou deux semaines. Il y a des femmes qui, comme moi pensent qu’un ou deux orgasmes par mois, c’est suffisant pour un homme afin de ne pas avoir de soucis de santé tout en conservant le désir de servir au maximum. Il y a même des couples dans lesquels la femme demande une chasteté permanente et utilise à la place le milking.
A l’autre coté, certaines femmes vont dans la direction inverse et utilisent l’épuisement comme une façon d’entraîner leur mari. L’épuisement consiste à forcer le homme à avoir plein d’orgasmes de façon à ce qu’il n’en ait plus envie. C’est utilisé comme une forme d’humiliation et ne fonctionne que si l’homme est plus sensible quand il est humilié. Le but de l’épuisement est de rendre l’homme faible à travers de nombreux orgasmes, et permettre à la femme d’utiliser sa faiblesse physique pour mieux le contrôler. Personnellement je crois que trop d’orgasme rendent l’homme faignant et je ne veux pas que mon serviteur soit faignant. Mais tous les couples sont différents. Le pire consiste à satisfaire l’homme avec les jouissances qu’il désire. Il vaut mieux l’épuisement que la suffisance mais je pense qu’un homme frustré est plus facilement excité, contrôlé et éduqué par sa femme. Le chemin le plus rapide vers le cœur de l’homme est peut être son estomac, mais le chemin le plus rapide vers la volonté de l’homme est son pénis. Une femme a besoin de contrôler cela d’une manière ou d’une autre si elle veut le contrôler.
Q. Est ce que la latence que l’homme ressent après l’orgasme est biologique ou mentale ? Pourquoi pensez-vous que les hommes soient moins enclins à obéir après l’orgasme ?
A. La réponse est double. L’orgasme masculin cause la libération sexuelle et la relaxation du corps et de l’esprit. Le corps veut se reposer et même dormir après un orgasme et la dernière chose qu’il souhaite est d’avoir à faire des efforts physiques. C’est pourquoi l’homme perd le désir de plaire à la femme après la jouissance et c’est pour cela que tant de femmes sont sexuellement insatisfaites. Cela est particulièrement vrai si l’homme a eu plus d’un orgasme. Quand une femme décide qu’elle va permettre une jouissance à son époux, elle serait sage qu’elle ait jouit. Cela prend plus de temps aux femmes mais le résultat vaut la peine. Garder un homme excité et frustré est la meilleure chose qu’une femme puisse faire pour son propre épanouissement sexuel. L’énergie sexuelle sous le contrôle de la femme peut être canalisé pour son propre plaisir. Quand elle est satisfaite, elle peut permettre à l’homme une jouissance. Si elle est particulièrement intelligente elle lui interdira. Il sera alors bien plus attentif à ses besoins la nuit en cours et le jour suivant. Les hommes sont moins enclins à obéir après un orgasme car il sont relaxés et deviennent faignants. Ils ne sont plus aussi facilement excités et leurs désirs sexuels ne sont pas bien élevés. C’est particulièrement vrai quand l’homme prend de l’âge. Le degré de testostérone mettra plus de temps à remonter. Mais l’homme frustré est facilement excité et plus facile à contrôler par une femme.
Q. Bonjour Maîtresse Elise. Ma femme utilise le contrôle d’orgasme comme partie de mon éducation. Elle a pour habitude de me frustrer un ou deux mois. Pendant ce temps nous avons des relations sexuelles avec pénétration, mais je n’ai pas le droit de jouir. Je suis capable de me contrôler tandis qu’elle me chevauche, mais plus le temps passe depuis mon dernier orgasme plus j’ai du mal à tenir et je suis obligé de la prévenir que je vais jouir. Alors elle stoppe et me laisse récupérer.
Récemment, après deux mois sans éjaculation, ma femme me chevauchait et elle a eu un orgasme explosif. C’est le moment le plus dur pour moi. Puis elle continua à me chevaucher. Elle était proche de son second orgasme. A ce moment-là je n’étais pas loin du point de rupture et la prévins que j’allais jouir. Elle s’arrêta et me dit «Tu n’oseras pas ». Elle l’avait à peine dit que j’ai explosé. Elle était contrariée. Elle continua, elle eut son second orgasme et, pour punition, elle monta sur mon torse et me fit le nettoyer avec la bouche. Elle me dit que je serais interdit d’orgasme pendant 3 mois. Connaissez-vous des techniques que je pourrais utiliser pour éviter que je jouisse ? Je me sens coupable car j’ai failli.
A. A partir d’un certain point, les contraintes biologiques entrent en jeu. Si elle veut que vous teniez deux ou trois mois sans orgasme, je lui conseillerais de ne pas vous chevaucher ainsi après une si longue période d’abstinence. Peut-être veut-elle tester vos limites pour tester votre self contrôle. Je crois qu’elle fait un superbe travail en vous éduquant ainsi. Vous semblez tellement coupable de lui avoir désobéi. Elle vous a puni et vous l’avez mérité. Que ce soit facile ou non, vous aviez un ordre et vous n’avez pas obéi. Elle a probablement du plaisir à vous punir et c’est peut-être pour cela qu’elle vous amène à vos limites. Vous devez faire tout votre possible pour la satisfaire. Le self contrôle est une discipline mentale. Vous devez y travailler. Pensez à autre chose quand elle vous chevauche. Ne pensez pas aux sensations merveilleuses que vous avez et combien elle est belle ou dominante. Si vous pensez à cela, vous êtes trop excité. C’est pour cela que vous avez échoué.
Concentrez-vous au contraire sur la façon de lui plaire en gardant votre self contrôle. Vous devez bloquer les pensées de plaisir alors qu’elle prend le sien. Ce qu’elle vous demande de faire n’est pas facile mais je la soupçonne d’avoir plaisir à vous éprouver ainsi. Cela lui donne plus de plaisir et rend ses orgasmes plus intenses.
Elle veut que cela soit difficile. Elle veut que vous développiez votre self contrôle. Elle veut que vous lui prouviez votre soumission en vous abstenant pendant les plaisirs. Cela la stimule mentalement et lui donne de plus grands orgasmes. Essayez de faire mieux la prochaine fois. Et puisque cela va durer trois mois, vous devriez prendre des douches froides ou lui demander d’investir dans une vraie cage de chasteté. Bonne chance.
Q. Chère Elise. Je visite votre site fréquemment. Je pratique l’interdit d’orgasme comme un moyen d’obliger mon mari à plus de tâches ménagères. Je lui permets cela une fois la semaine, tard le dimanche soir. La plupart du travail ménager est réalisé le week-end, nous travaillons tous deux. Il est plus réceptif pour les tâches ménagères quand il est frustré depuis plusieurs jours, généralement 5 ou 6. Il me supplie parfois le samedi ou le dimanche matin de le laisser se libérer, mais je reste ferme et vérifie que la salle de bain est nickel et que le linge a été fait. Le dimanche après midi je le récompense en lui donnant du plaisir avec mes mains. Je le mets debout et nu devant moi et je m’assieds au coin du lit. C’est un homme grand et je demande généralement qu’il se baisse un peu de façon à ce que mes bras ne fatiguent pas. Il le fait très volontiers.
J’ai un problème de plus en plus fréquent. Certains matins de la semaine, il sort de la douche avec une érection. Il me dit qu’il ne peut faire autrement, et il me demande de lui donner du plaisir. Je me sens obligée de le faire, car il ne peut aller travailler comme cela. Mais quand le week-end arrive il est bien moins réceptif à mes demandes. Comment gèreriez-vous ce problème ? Y a-t-il un moyen de mettre fin à ces érections sans lui accorder un orgasme ?
A. Oh le pauvre bébé ! Il a une érection après avoir pris sa douche et il a besoin de jouir ? Quelle triste excuse. Son érection va cesser quand il pensera au travail. Vous devriez être flattée qu’il ne puisse s’empêcher de penser à vous toute la journée et que cela lui fasse de l’effet. Cela prouverait que sa frustration marche très bien. Vous le dominez, lui et ses pensées, même s’il est loin de vous.
La prochaine fois qu’il vient à vous avec une érection et une telle demande de soulagement, pourquoi ne pas l’aider à la faire cesser ? Faites-le retourner sous sa douche et laissez-le là quelques minutes sous l’eau glacée. Cela corrigera le problème.
Que pensez-vous de lui administrer une fessée très dure avec une ceinture ou un paddle ? Si vous le frappez assez fort il n’aura plus d’érection. Si vous voulez vraiment lui donner une leçon, la prochaine fois qu’il vous priera de le soulager avant le délai que vous lui avez accordé, dites-lui « parfait chéri, mais tu as besoin d’être lubrifié ». Prenez de l’eau de toilette alcoolisée et donnez-lui son plaisir avec ça. Cela le calmera immédiatement en raison de la chaleur et de la douleur et je parie qu’il ne viendra plus jamais vous demander « un coup de main ».
S’il persiste à vouloir un orgasme, mettez-lui une cage de chasteté ou une cage de Kali. La cage de Kali a des petites dents pointues qui rentrent dans la peau du pénis si celui-ci est en érection. Cela résoudra son petit problème, ne pensez-vous pas ?
Vous faites un super travail avec votre mari. Comme tant d’autres femmes, vous avez découvert qu’un compagnon frustré est obéissant et motivé mais que trop d’orgasmes le mène à la fainéantise et la désobéissance. Lui permettre un orgasme par semaine est énorme. Il devrait réaliser la chance qu’il a d’avoir épousé une femme si gentille. Je connais tellement de femmes qui les lui interdiraient un mois ou plus. Dites-lui simplement qu’aussi longtemps qu’il pourra démontrer qu’il peut faire du bon travail dans ses tâches ménagères, il aura sa récompense hebdomadaire. Mais si sa servitude se relâche, étendez la durée de son déni. Continuez ce bon travail.
Q. Depuis que ma compagne me domine, elle me donne mes orgasmes uniquement avec ses mains. Le plus étonnant c’est que ce sont les meilleurs orgasmes que j’aie jamais eus ! Ma compagne m’excite en me disant que je n’ai plus pénétré son sexe depuis un mois et que je ne le connaîtrai plus. Elle a commencé à ne plus m’accorder mon plaisir que via ses mains, car elle pense que c’est une façon de m’humilier, et cela m’humilie. Mais parfois le plaisir est si grand que j’en oublie l’humiliation. Y a-t-il une autre façon plus humiliante de me faire jouir ? Et pourquoi des femmes regardent-elles leur mec se faire plaisir eux-mêmes alors qu’elles pensent que ce n’est pas bien quand elles les surprennent à se donner du plaisir dans leur bain ?
A. Pour répondre à votre seconde question, quand un homme se masturbe il perd le contrôle et se fait plaisir à lui-même. Quand votre compagne vous accorde le privilège d’un orgasme sous son contrôle, elle est là avec vous, contrôlant vos pensées. Quand vous vous masturbez, vous pensez à ce que vous voulez ou à qui vous voulez, mais quand elle est là, vous regardant peut-être dans les yeux, elle se place en avant dans votre esprit alors qu’elle éduque votre corps.
Les hommes ont tendance à se masturber. Cela les rend fainéants et de peu d’utilité pour la femme, sexuellement, pour les tâches domestique et socialement parlant. Un homme m’a demandé récemment pourquoi sa femme pouvait se masturber mais pas lui. Je lui ai répondu que l’orgasme féminin était différent et que la plupart des femmes ne devenaient pas accros de la masturbation. Il se masturbait douze fois par semaine au moins avant que sa femme lui mette une cage de chasteté.
Pour répondre à votre première question, évidemment il y a maintes façons pour une femme d’administrer un orgasme humiliant à son soumis. Lisez les activités des femmes dominantes dans la section questions et réponses du site, et vous y trouverez une liste de méthodes que j’utilise.
Q. Mon mari et moi parlions de la façon dont nous pourrions éviter d’avoir de nouveau des enfants. Il me disait qu’il voulait que je prenne mes pilules, mais je lui rétorquais que je préférais qu’il ait une vasectomie. Il est devenu tout pâle quand je lui ai dit cela. Il m’a dit ne pas vouloir le faire car il pense que son plaisir sexuel serait grandement diminué. J’ai ensuite pris son pénis gentiment mais fermement dans ma main, lui rappelant que moi, et non lui, possédais son pénis et j’ajoutai que, ne voulant plus prendre de pilule, il serait « coupé », qu’il n’avait pas le choix. Je renforçai ma prise sur son sexe et il répondit immédiatement « Oui maîtresse, si vous l’ordonnez je le ferai ». Je le relâchai doucement. J’adore voir le visage torturé de mon chéri quand il a tant de mal à reconnaître mon autorité sur lui, et je me sens vraiment bien à la pensée d’obliger mon compagnon à jouir sur ordre devant moi. Avez-vous déjà entendu parler d’une femme qui réagit comme moi ? Une vasectomie diminuerait-elle son plaisir comme il le craint ? La femme aimante en moi ne veut pas que son plaisir soit diminué de façon permanente, mais la maîtresse en moi adore la pensée d’abaisser son ego, lui faire sentir qu’il est bien plus qu’un simple eunuque. Une vasectomie provoquerait-elle en lui l’équivalent d’un interdit d’orgasme le rendant bien plus soumis ?
Bien que je ne lui aie pas dit, il est possible que ce soit moi qui me fasse opérer, mais simplement parce que j’aimerais expérimenter le fait d’avoir un amant, que je me sentirais mieux en sachant que je ne peux pas tomber enceinte alors que je serais pénétrée dans le feu de la passion avec mon partenaire. Comme vous pouvez le dire, j’ai beaucoup d’émotions et aimerais avoir votre ressenti.
A. Mon époux et moi n’avons pu avoir d’enfants alors je ne suis pas spécialiste en vasectomies. Je pense que cela ne devrait pas avoir de conséquence sur la capacité de votre mari à avoir des orgasmes ou à être utile sexuellement. Cela n’a pas d’effet sur les capacités d’un homme, sur sa capacité à avoir une érection, à éjaculer ou avoir une pénétration. Le corps de l’homme continue à produire du sperme mais une vasectomie empêche le sperme de quitter le corps de manière classique.
Je n’ai jamais entendu parler d’une femme qui voulait faire comme vous, mais je connais beaucoup de femmes qui dominent leur mari et les obligent à contrôler leur orgasme. J’imagine que c’est l’interdit d’orgasme qui vous excite et vous pouvez l’obtenir avec ou sans vasectomie. Une ceinture de chasteté fera de votre compagnon bien mieux qu’un eunuque. Il serait sexuellement excité mais comme un homme frustré il sera bien plus facile à contrôler.
La vasectomie pourrait le rendre plus soumis mais pas en raison des conséquences physiques d’une telle procédure. Cela pourrait le rendre plus soumis parce qu’il prendrait conscience que vous êtes capable de le soumettre à une telle condition permanente. La puissance de votre contrôle sur lui peut vous donner un levier pour l’exciter et l’humilier et donc toucher ainsi et développer sa nature soumise.
Je crois que la vasectomie peut se pratiquer au sein du mariage. Pourquoi serait-ce à la femme de se sacrifier ? L’homme est supposé faire les sacrifices pour sa Reine. Une telle opération serait un moyen de vous servir.
Il y a d’autres formes de contrôle des naissances si vous voulez continuer à avoir des amants. Vous devez faire très attention. Prendre un amant n’est pas une raison pour vous faire couper les trompes. Cette décision dépend totalement de vous. Vous devez décider entre la vasectomie de votre soumis ou vous faire opérer. J’espère que ma réponse vous aidera.
Q. Je ne suis réellement impliqué dans ce style de vie que depuis un an, mais en lisant des sites tels que le vôtre je ne comprends pas les hommes qui proclament leur soumission et je me demande si je suis unique. Je me suis senti soumis depuis le lycée et quand je me suis marié je me suis offert à ma femme. J’ai fait la cuisine, travaillé pendant qu’elle restait à la maison, j’ai fait le ménage, le repassage et lui ai donné du plaisir oral à sa demande. C’est une partie de mes devoirs. Elle me permet de faire tout cela mais ne se considère pas comme dominante. En retour j’ai l’autorisation de me masturber librement et je peux la pénétrer une fois tous les quelques mois. Même avec mes orgasmes le plaisir de la satisfaire est primordial. A aucun moment je n’ai été à l’origine de tout contact sexuel depuis notre mariage. A présent je suis sous la conduite de ma magnifique maîtresse. En plus de tout ce que je dois faire dans le mariage, je dois lui donner chaque jour oralement du plaisir au levé. Elle aime la pénétration mais ne me permet pas l’orgasme. Elle pratique l’interdit d’orgasme sur le court terme, me gardant frustré quelques jours. Elle me permet aussi la masturbation pour jouir devant elle plusieurs fois par semaine. Si un homme est vraiment soumis, peu importe le nombre de fois dont on lui permet de jouir puisqu’il place sa maîtresse et son service comme la chose la plus importante de sa vie, non ? Je ne peux la servir plus que je ne le fais déjà. Si je ne le faisais pas parce que j’avais eu un orgasme je ne serais pas digne d’elle. Pourquoi les dominantes désirent-elles des soumis frustrés ?
R. Vous avez absolument raison, un homme devrait se servir sa maîtresse dans tous les cas. Cependant, la chair est faible. Certains hommes servent leur femme tirent bonheur de leur servitude. Vous-même semblez être un exemple pour vos congénères. Néanmoins, la plupart des hommes sont menés par leur propres instincts et non par leur esprit. Leur motivation provient de la sexualité et non de l’intellect. C’est ainsi que les hommes fonctionnent et les femmes sont sages d’utiliser leur pouvoir sexuel afin de les contrôler.
Je connais des hommes qui portent la CB2000 en permanence sans problème de santé. 
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