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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 06:20

 
Bonjour,
 

J'ai toujours pris un malin plaisir à dominer les mâles. En effet, j'ai toujours aimé frustrer les hommes. Très tôt, adolescente, j'adorais allumer les hommes.

Je me souviens, en particulier, d'un professeur de mathématiques, qui n'arrivait plus à se concentrer, et qui évitait de me regarder lorsqu'il faisait l'appel. C'était, l'un de mes premiers cobayes adultes, sur lequel je testais mon nouveau pourvoir, que je croyais être à l'époque, un pouvoir de séduction. Un jour, où il parlait du jeu d'échec, le lapsus fut terrible, un simple croisement de jambe lui fit dire "gland" au lieu de "blanc".

 

Je n'étais pas une fille facile, bien au contraire, j'étais impossible, mes petits copains de l'époque avaient à peine le droit de frôler mes seins. J'adorais flatter leur entrejambe, sans jamais me livrer à eux. J'étais leur déesse, ils étaient aux petits soins pour moi. De merveilleux souvenirs...

 

Mais j'ai surtout aimé mater des hommes plus mûrs. C'est eux, qui m'ont appris
l'humiliation. Le premier, s'appelait, Eric. J'avais 16 ans, il était marié, c'était le père d'une de mes amies. Il me ramenait chez moi, je devais passer le week-end avec eux, mais je m'étais disputée avec sa fille. J'avais posé un pied sur le tableau de bord, et l'autre à côté du levier de vitesse. À chaque changement de vitesse, sa main droite cognait contre mon genou. Son excitation était palpable. Mais, il était trop coincé. Alors, je l'ai aidé à se piéger. "Regardez", j'adore les vouvoyer, "mon collant est filé, ma mère va me tuer...". Il m'a emmenée dans un magasin de lingerie. Il était à la fois excité et mort de honte. Encore aujourd'hui, il m'arrive de me masturber en y repensant.

C'est de retour dans sa voiture, qu'il s'est jeté à l'eau, et m'a demandé s'il pouvait caresser mes pieds. Ce fut le premier homme qui s'est branlé en se frottant sur mes pieds. J'ai beaucoup expérimenté avec cet homme. Je l'ai fait tourné en bourrique jusqu'à mes 18 ans. Il a alors quitté sa femme pour vivre avec moi. Je ne l'aimais pas, et il le savait. Je suis resté trois mois avec lui, à l'issue desquelles j'étais encore vierge.

 

À 28 ans je me suis marié. J'avais envie de fonder un foyer. J'étais très amoureuse. Mais, je n'avais aucune envie de sexe. Je ne vous cacherai pas que je m'étais refusé à lui jusqu'à notre première soirée de noces. Deux ans qu'il attendait. Jamais un homme ne m'avait pénétrée. Il fut doux, et tendre, mais il ne put se retenir. Il était très gêné, et moi j'étais en train de découvrir une nouvelle forme de domination...

Je ne l'avais jamais vraiment dominé jusque-là. Je me refusais juste à lui. Mais, cette première nuit de noces fut le début de sa castration. Les six premiers mois furent terribles pour lui. Je ne me refusais plus à ses assauts, mais je l'humiliais à chaque fois. J'avais beaucoup de plaisir, mais je ne le montrais pas. Je le gardais exclusivement pour moi.

 

Je le castrais progressivement. Dès que je sentais qu'il allait jouir, qu'il était au bord de l'extase, soit je me retirais en lui disant qu'il venait de me faire mal (le pied !), sois je lui demandais d'accélérer la cadence car je commençais tout juste à sentir mon plaisir monter ce qui provoquait invariablement son éjaculation.

Après six mois de castration, je l'ai forcé à prendre rendez-vous chez un psy pour qu'il lui parle de nos problèmes sexuels. C'était un jeune psy, sans expérience, et la situation était très humiliante. Je l'accablais le pauvre. Le diagnostique fut rapide, monsieur était trop stressé, ce qui provoquait ses éjaculations précoces. Alors, ce fut la deuxième phase de castration. Il essayait d'appliquer consciencieusement les méthodes que le psy lui proposait, mais à chaque fois, je cassais tous ses efforts, par une petite caresse, un  gémissement, ou une abstinence trop longue. Je me plaignais de plus en plus de mon insatisfaction lors de nos séances avec le psy, abaissant toujours un peu plus mon mari.

Je ne sais pas exactement pourquoi, mais j'ai fini par éprouver du désir pour ce psy. Pour la première fois, de ma vie, j'avais envie de me livrer à un homme. J'étais attiré par son côté dominateur, et le plaisir d'humilier mon mari dans une relation triangulaire.

La troisième phase de castration débuta. Je repris mon jeu d'adolescente avec le psy, mon mari s'en aperçut très vite, et me fit rapidement des crises de jalousie qui se terminaient au lit par une de ses éjaculations précoces.

Jusqu'au jour où je lui mis le marché en main : pour me garder, il allait devoir être compréhensif, ne l'avais-je pas été avec lui ? Résigné, il du accepter. Et c'est devant lui, dans le cabinet du psy, que quelques jours plus tard, je l'ai cocufié sur le divan. L'effet a été brutal, mon mari est passé du jour au lendemain de l'état d'éjaculateur précoce malheureux, à celui d'un soumis heureux !

 

Depuis les années ont passé, aujourd'hui, on ne paie plus le psy, j'y vais une fois par semaine accompagnée de mon soumis, et je m'offre sous ses yeux, c'est merveilleux. Bien sur les choses ont beaucoup évolué dans notre couple. Nous avons eu deux enfants, et depuis deux ans, je me suis fait poser un stérilet, et notre psy ne met plus de préservatif. Mon mari ne me pénètre plus. Il a une ceinture de chasteté dont la clé est gardée par son psy, mon amant. Dès que son psy a joui en moi, mon mari se précipite, prend la clé dans le tiroir du bureau, retire sa cage, et vient me nettoyer. Il se vide assez rapidement contre le divan, mais peut me lécher très longtemps. J'adore cette situation, où mon mari me nettoie juste après le passage de mon amant. En fait, sa langue me procure un plaisir intense, très différent de celui de mon amant, mais ils ne le seront jamais. Mon amant risquerait d'être jaloux ! On lui remet sa ceinture, et on se fixe un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante.

Il est devenu notre ami, mais je ne baise avec lui que dans son bureau et en présence de mon mari. C'est pour moi et mon mari, indispensable pour protéger notre couple. Il n'y a aucune autre forme de domination entre mon amant et mon mari en dehors de son bureau. En fait, on a tenté malencontreusement au début de notre relation triangulaire, de partir en vacances à trois. J'étais heureuse de partager deux hommes, mais mon mari en souffrait, ce fut terrible pour lui. Un couple a besoin d'intimité, et il faut établir des limites très claires pour ne pas s'y perdre. Cela dit, il nous est déjà arrivé d'enfreindre la règle, et après une nuit passée avec mon amant, mon mari est toujours heureux de nousapporter le café.

Si vous me lisez, j'espère arriver à vous faire comprendre comment cette situation s'est mise ne place, et le plaisir qu'elle nous procure. Trop souvent je lis des témoignages de femmes qui ne parlent pas assez du plaisir libidinal qu'apporte la domination en dehors des facilités domestiques qu'offre un soumis.

 

Mais depuis quelques mois, je suis un peu perdue. Nous avons avec mon mari, un désir d'enfant. J'aimerai en avoir un troisième. Mais je ne veux pas que mon mari me pénètre, et je ne veux pas me passer de mon amant. En fait, je ne veux pas rompre cet équilibre. On en a discuté avec mon mari, puis avec mon amant.

Mon mari accepte d'élever un enfant de mon amant, et mon amant veut bien me faire un enfant à la condition qu'on ne lui mente pas sur sa paternité. En fait, pour le bien-être de cet enfant, il faut, et j'en suis convaincue, que notre entourage, ma famille, la famille de mon mari sachent que son père est mon amant. Il ne faut rien lui cacher. Pour mes enfants, ce n'est pas un problème, mes deux petits connaissent mon amant, et savent que maman aime leur papa et un autre homme. Mais pour la famille, c'est plus compliqué !

Pourriez-vous me conseiller .

 
Bien à vous.
 
 

Réponse Ms.Dana :

 

Et bien l’on peut dire que vous avez l’instinct de dominatrice dans la peau. Vous avez très tôt et intuitivement saisie et maitrisé le « pouvoir féminin » et l’avez testé sur les hommes. Je ne peux vous en vouloir de l’avoir fait sur un adulte, alors que vous ne l’étiez pas. Je crois que c’est lui qui est à blâmer, et qu’il mérite ce qu’il lui est arrivé.

 

Passons au cœur du sujet. J’admire la maestria avec laquelle vous dominez mentalement vos soumis, en l’ayant « castré » ainsi. Il a du devenir très vite totalement amoureux fou, d’une femme qui se jouait ainsi de lui. C’est un peu le paradoxe, plus on est humiliante, plus on les rabaisse, plus on les dévalorise … plus nos gentils soumis deviennent fou de nous. Après tout alors pourquoi pas ?! Si c’est efficace, c’est une chose à adopter.

A retenir donc dans ce témoignage mesdames la façon dont Elsa a réussit dans ce domaine, et le résultat final. Il est devenu un soumis totalement heureux.

Et Elsa j’avoue que beaucoup de femmes pourraient prendre exemple sur vous. Car vous assumer ouvertement votre libération sexuelle. Et s’offrir à son psy pour votre propre plaisir tout en soumettant votre mari est une chose que peu oseraient encore faire.

Et le fait de faire porter par votre amant la clé de la cage de chasteté montre que vous maitrisez à la perfection l’art d’humilier votre soumis. C’est fort !

Et pourtant vous avez totalement raison, car voyez vous le résultat est là ? Il vous adore et vous êtes heureuse et de plus vous désirez tout deux un enfants de plus. Vous avez bâtit une relation solide qui sera surement pérenne si vous continuez à vous imposer en femme épanouie. Vous êtes un exemple de femme ayant utilisé le pouvoir sexuel et la domination mentale.

 

Pour répondre à votre question :

 

J’avoue que pour votre désir d’enfant par contre, même si je comprends la situation, je reste assez partagée sur le fait que ce soit votre amant et non votre mari qui vous aide à le faire. Pourquoi ? …

Je pense là à l’enfant qui viendra, je pense aussi à ses frères et sœurs.

Alors je me demandais si, pour une chose si importante qu’est la conception d’un enfant, vous ne pourriez vous pas faire une exception à votre Loi que je partage totalement par ailleurs ?

Je crois que cela serait plus simple et plus sain pour le futur.

Car la situation à trois n’est jamais totalement pérenne sachez le.

Et que si avoir un ou des amants est une très bonne chose pour l’épanouissement de la maitresse et la soumission approfondie du mâle, il faut savoir que ce ne sont que des hommes « de passage », et que votre compagnon de vie reste votre soumis. D’autant plus si vous avez des enfants ensemble.

Et si vraiment vous vous refusez absolument que votre soumis puisse vous pénétrer même pour cela, alors pourquoi ne pas demander une insémination en parlant avec votre gynéco. En tout cas prenez le temps de bien réfléchir, et avant tout d’y réfléchir pour le bien de vos enfants et de l’enfant à venir.

Car vous êtes maitresse de votre mari soumis et avez bien tous les droits sur lui, mais vous êtes aussi maman et je n’ai pas besoin de vous rappeler que vous avez de ce fait une immense responsabilité.

En tout cas c’est ainsi que moi je ferai dans un tel cas.

Cette vie apporte tant de liberté, mais « il faut savoir raison garder », comme le disait je crois La Fontaine.

 

J’imagine enfin, en digression, que vos enfants sont petits, et qu’ils ont donc trouvés naturel que maman puisse aimer deux hommes. Sachez que ce n’est pas si courant.

Car petits ils ont l’esprit totalement ouvert à tout, surtout s’il n’y a pas de confusion sur leur papa et qu’il le voit heureux, tout comme leur maman. Un petit peut tout comprendre intuitivement car il ressent les choses, et si les choses sont positives, il sera heureux. Plus grand par contre la situation eut été je pense un peu plus compliquée.

 
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 05:37

Je viens de découvrir votre site, et c’est la première fois que je me sens aussi en phase avec vos points de vue et analyses sur la domination. Je vis pour ma part une relation de domination le plus souvent possible avec une Maîtresse, je devrais dire une Déesse pour qui je fais le chauffeur et la bonne de ménage, la bonniche comme elle aime à dire. J’arrive chez elle en général vers 13h, car elle se lève tard, elle a souvent à faire à Paris où je la conduit, je la dépose à ses rdv. Je lui ouvre la porte de la voiture, lui porte son sac, et l’attend comme un bon chauffeur, il m’est arrivé de l’attendre plusieurs heures devant une porte . quand nous regagnions son domicile, je change de tenue, m’habille en bonne blouse et tablier rose et je fais le ménage.Les lessives, étend le linge, changer les draps etc.Il m’arrive de ressortir faire quelques courses si Maîtresse à un souhait particulier pour son dîné. Je sers le repas du soir pour ma déesse et sa fille, après avoir rangé la cuisine passer la serpillière, je m’attaque au repassage, et c’est tard souvent autour de minuit que je vais rejoindre Maîtresse dans son bureau ou a genou j’attends ses ordres, ou la permission de retourner chez moi. J’éprouve un immense plaisir à être la bonne de la maison, à faire les travaux ingrats, J’éprouve aussi un grand plaisir à porter blouses et tablier. Pour moi la fonction se doit d’avoir sa tenue. Les tenues se doivent d’être impeccable, pour moi c’est un signe de soumission comme chauffeur, j’ai une blouse bleue et un tablier de même couleur je ne suis pas le chauffeur en veste et casquette mais clairement l’homme a tout faire de la maison. Je suis étonné comment avec cette tenue qui n’est pas banale je passe inaperçu, peu de gens dans la rue se retourne étonné. S’ils se retournent quand j’accompagne Maîtresse, mais je sais c’est pour elle. J’éprouve de mon côté un immense plaisir à être dehors faire les courses avec mon tablier.

Au retour dans la maison c’est l‘uniforme d’employée de maison.blouse rayée rose et tablier à bavette assorti ; pour le service de table blouse robe noire et tablier blanc. Je pense que ma Maîtresse aime être servi par une personne en tablier, elle est un peu aristocrate, et aime la sensation d’avoir à ses ordres du personnel. Elle ne m’en parle pas beaucoup pour elle l’important c’est que le travail bien fait. Je n’ai pas encore parlé des punitions. Une des plus sévères dont d’ailleurs je suis le responsable.Un jour, j’ai eu la malheureuse idée de planter quelques orties dans le fond du jardin, et depius j’ai souvent droit à une belle fessée à l’ortie, pour finir elle me les met dans la culotte et elles font effet pendant que je travaille, pas très agréable.Les coup de fouet cravache et autres badines sont bien sur les outils souvent utilisés. Ce que j’apprécie chez Déesse c’est que je suis chez elle pour la servir, la conduire, faire le ménage de sa maison, et cela doit être fait très sérieusement.C’est le service et le travail qui est l’essentiel sinon notre relation n’a pas de sens. Nous parlons aussi beaucoup de nos vies personnelles Maîtresse cherche un mari soumis qui n’a rien avoir avec les bonniches comme moi qui viennent la servir,elle cherche un mari soumis qui aussi devraient participer aux travaux de la maison mais aurait un autre statut. Mais depuis 5 ans que nous nous connaissons j’en ai vu défilé et elle n’a pas encore trouvé chaussure à son pied. Si je pouvais l’aider, je crois qu’elle trouve des prétendants qui sont sincèrement amoureux mais qui se force a être soumis, et qui ne le sont pas réellement et qui n’y trouve pas de vrais plaisirs. Se sentir soumis est pour moi un plaisir extrême et le bonheur est de sentir sa Maîtresse satisfaite recevoir des ordres sont des signes d’amour. Voici ce que je vis avec bonheur je souhaitais vous en faire part.

Mon nom Tablier blanc.


Réponse de Ms.Dana :

Quelle femme n'a pas eut envie au moins une fois d'avoir un serviteur, un simple, un vrai. Et bien en voilà un qui est heureux de l'etre et qui n'attends rien que de servir sa Maitresse. Et figurez vous il n'a même pas d'intimité avec elle. Voyez ce qu'une femme dominante peut trouver ?
Je te félicite "tablier blanc". Ton histoire est fort interessante et pourrait bien donner des idées à des femmes qui croulent sous les contraintes et sous les tâches ménagères. Un valet, un chauffeur, et qui n'est même pas notre compagnon soumis, en attendant de le trouver lui et de le former.
Sinon si vous vivez deja avec lui, et bien vous devriez lui faire lire ce témoigange qui montre combien un homme soumis peut servir sa Maitresse. Les mâles devraient en prendre exemple.
Bravo et félicitation à Jessica sa Maitresse.


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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 05:08
 
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De Delores F: 
 
 
Elise, je désire parler en détail du sujet suivant : Je ne me considère pas absolument comme une femme prônant la suprématie féminine et, sauf le fait que j’adore fesser mon partenaire mâle, je ne suis pas une femme active dans la domination ou le BDSM. Cependant, j’en suis venue à la conclusion à travers mon expérience personnelle que les jeunes hommes devraient avoir une initiation et un endoctrinement sexuel avec une femme plus âgée et expérimentée. De plus, je pense que cette expérience devrait arriver quand le mâle a entre 16 ans et 18 ou 19 ans, en fonction de sa maturité. Je crois cela pour de nombreuses raisons. Déjà, une telle rencontre sexuelle apprendrait aux garçons à respecter les femmes et à les éduquer à donner du plaisir aux femmes. J’ai le sentiment que la plupart des garçons ont subi un lavage de cerveau et ont une mauvaise opinion de la sexualité féminine. Je pense là à toutes les déviances du style viol, femmes mises enceinte contre leur gré, avortement, maladies sexuelles, abus sur les femmes, irresponsabilité des hommes, etc. Vous dites vous-même combien les femmes ont de pouvoir sur les hommes et combien les garçons désirent se soumettre aux femmes, et combien les femmes ont les capacités d’atténuer la nature agressive des garçons. Vous en avez parlé avec éloquence sur votre site. Je sais que notre société donne la majorité à 18 ans et vous soulignez que nous devons respecter les règles de celle-ci. Mais la société peut se tromper parfois et les règles sont faites pour être modifiées ou changées. Les femmes n’avaient pas le droit de vote, mais à présent elles détiennent des places politiques importantes. La société évolue. Nous pourrions faire de même sur ce sujet. Quelle est la meilleure expérience pour un jeune homme de 16 ans ? Une première expérience sexuelle avec une fille sur le siège arrière d’une voiture ou avec une femme expérimenté dans le lieu plus sécurisant qu’est une maison ? Et que reste-t-il au final de cette initiation sexuelle ? Verra-t-il la fille comme une conquête ou verra-t-il le genre féminin avec admiration et respect ? Deviendra-t-il agressif envers les femmes ou deviendra-t-il soumis ? Agira-t-il de façon responsable ou de manière irresponsable sexuellement parlant après cette initiation ? J’ai lu votre chapitre sur la régression de l’âge et sur l’autorité féminine et j’ai eu une illumination sur la façon dont les garçons fantasment sur le fait d’avoir des relations avec une femme plus âgée. Vous soulignez le nombre de livres et de films écrits par les hommes, comme «Le diplômé », qui retracent l’histoire d’une femme séduisant un jeune homme. C’est un fantasme commun du genre masculin. Les garçons désirent cela car ils en ont besoin. Ils veulent qu’une femme plus mûre leur enseigne les choses de la vie. C’est naturel, mais prohibé par la société à moins que le mâle ait 18 ans. Dans « le diplômé » le mâle était adulte. Je suppose que l’auteur aurait aimé qu’il soit mineur, mais il devait respecter les standards légaux. Certains des autres livres que vous citez franchissent le pas, avec un garçon mineur. Un film que vous ne citez pas est «American Pie ». Je crois que le jeune homme avait 17 ans quand il fut séduit et eut des relations sexuelles avec une amie de sa mère. Il se sentait mal à l’aise et maladroit avec les filles, mais cette femme lui donna sa masculinité. Dans American Weddind (la suite), ils se rencontrent de nouveau et ils prennent un bain ensemble. J’ai remarqué qu’elle le force à lui donner du plaisir oralement dans le bain (caché par l’eau). Son âge fait d’elle la dominante, et la servitude orale envers la femme est ce qu’ils souhaitaient tout deux, car elle l’entraîne dans ce sens. Je crois vraiment que les jeunes mâles devraient avoir leur initiation sexuelle faite par une femme plus âgée. Je parle d’expérience en tant que mère de deux fils. J’ai 41 ans, mon aîné en a 21 et le plus jeune bientôt 18. J’ai divorcé quand ils avaient 10 et 7 ans. Il m’empêcha d’avoir une carrière et ce fut la raison de notre séparation. Mes fils choisirent de vivre avec leur père, à ma grande inquiétude. Nous sommes devenus peu à peu étrangers les uns pour les autres au fil des années comme s’ils avaient subi un lavage de cerveau pour me voir négativement. Il leur remplit la tête avec des non sens et cela me coûta ma relation avec mes fils. Heureusement ils sont à présent plus proches de moi qu’il ne le furent de leur père. C’est particulièrement vrai pour le plus jeune. Malheureusement mon aîné suivi les conseils de son père et bascula une fille à l’âge de 19 ans puis se maria avec elle l’an passé. Ils ont à présent fait 2 enfants, et il a abandonné ses études et travaille dans le bâtiment pour subvenir aux besoin de sa famille. Je suis fière qu’il prenne à présent ses responsabilités depuis un an. Je sais qu’avant il couchait avec plein de filles et je crois que finalement j’ai réussi à lui faire comprendre comment traiter les femmes. Mon plus jeune est totalement différent. Il vint me rendre visite à l’âge de 15 ans. Lui et son frère ont peur de leur père et n’osent rien lui dire. Ils savent qu’ils vont subir des sermons et des reproches. Avec moi ils ont une oreille attentive et compréhensive. Je peux être aussi dure que leur père (qui est le plus dur), mais j’ai l’esprit ouvert et je ne les juge pas ou ne les condamne pas. Ils apprécient cela de moi et se sentent à l’aise pour se confier. C’est particulièrement vrai pour le plus jeune. Quand il eut 15 ans, il resta avec moi une semaine quand son père partit pêcher avec ses copains. Je l’ai surpris dans ma chambre alors qu’il était allongé sur mon lit un jour, sentant mes culottes de soie qu’il avait sorti du placard. Je quittai la pièce comme il sautait du lit et remontait son pantalon. Je ne lui ai pas dit un mot mais il savait que je l’avais vu. Il essaya de m’éviter le reste de la journée et je n’ai pas évoqué ce que j’avais surpris. Le jour suivant, il vint à moi et s’excusa pour ce qu’il faisait sur le lit. Je fut très fière de lui pour avoir eu ce courage. Je le pris dans mes bras et lui dis que je l’aimais et que je comprenais totalement la puberté et les désirs sexuels d’une jeune adolescent masculin. Je lui dis que je savais qu’il était curieux et que cela resterait notre secret. Nous oubliâmes cette semaine et mon fils sut qu’il pouvait me faire confiance. A 16 ans il me dit qu’il avait à me parler de sexe. Il avait eu un rendez vous avec une fille qui lui avait permis de sentir sa poitrine mais il n’avait pas su quoi faire. Alors qu’ils s’embrassaient et qu’elle se collait à lui, il avait joui dans son pantalon et s’était senti embarrassé. Il m’avoua cela et nous avons parlé longuement. Pendant cette discussion il m’apprit qu’il avait lu des histoires sur Internet et dans des magazines sur des femmes plus mûres ayant des relations avec des hommes plus jeunes. Je dirige un salon avec beaucoup de clients féminins alors mon fils me demanda si je connaissais une femme mûre qui pourrait l’initier sexuellement. J’étais ébahi de sa demande et de sa maturité. Je n’en revenais pas qu’il soit aussi honnête sur sa sexualité et dans la confiance qu’il mettait en moi sa mère. Evidement, je lui dis que je ne connaissais pas de femme voulant avoir des relations sexuelles avec un mineur. Je lui fis le discours traditionnel sur le fait qu’il devait attendre jusqu’à ce qu’il trouve la bonne fille et le besoin de ne pas se presser pour avoir des relations sexuelles. C’est à la même époque que son frère mit enceinte sa compagne. Je reconsidérai mes conseils à mon plus jeune fils. De plus, à cette période, j’avais des rendez-vous avec un homme qui m’initiait à la domination féminine. Il était très « fessée », et j’adorais en donner avant d’avoir des rapports. Nous avons rejoint un groupe qui pratiquait les fessées et rencontré certains couples qui vivaient ce style de vie. Je dois signaler que je n’avais jamais fessé mes enfants quand ils étaient petits. Leur père dirigeait tout le côté discipline. Je réalise que j’avais tort et j’aurais aimé être celle qui discipline quand il étaient petits. Nous avons rencontré un couple dans ce club. Elle était dans le milieu de la quarantaine et lui dans le milieu de la vingtaine. Elle le fessait (je souligne cela car il y a aussi des hommes qui fessent les femmes dans ce groupe switch). Nous avons lié amitié avec ce couple et avons décidé d’échanger nos partenaires. Elle fesserait mon compagnon et moi le sien. Rien de sexuel ne s’est passé entre nous hormis les fessées. Un jour alors qu’elle me rendait visite au salon, elle a rencontré mon jeune fils. Il arriva de façon impromptue et je les présentai. Quand il fut parti, elle me félicita sur la beauté de mon fils. Elle me dit qu’elle avait eu du mal à le quitter des yeux. Elle était visiblement attirée par les jeunes hommes. Cela me surprit et je lui dis en plaisantant à moitié ce que mon fils m’avait demandé, si je connaissais une femme qui pourrait l’entraîner à la sexualité. Peut-être que je lui ai dit cela sous l’émotion que je ressentais encore de savoir que mon aîné avait mis sa compagne enceinte. Cynthia me regarda et me dit que si c’était sérieux, elle serait volontaire. Elle pensait que c’était une grande idée. Elle me dit aussi qu’elle était membre d’un groupe de femmes dominatrices et qu’elle et certaines femmes de son groupe avaient échangé sur le fait que les femmes mures devraient éduquer les jeunes mâles sexuellement.
Nous avons discutés de cela dans le détail et plus tard dans la semaine, elle me ramena de la lecture sur ce sujet. Il ne s’agissait pas de textes sur la domination féminine mais de documents féministes. Mon fils allait avoir 17 ans deux mois plus tard. Je lui ai demandé s’il était encore vierge et s’il voulait toujours être initié par une femme mûre. Il me dit oui. Je lui dis qu’il devait promettre de ne jamais rien dire de cela ou il pourrait avoir de gros problèmes. Il comprit et je peux dire combien il était excité. Nous avons rencontré Cynthia lors d’un dîner la semaine suivante. Cynthia me dit qu’avant qu’elle ait des rapports avec mon fils, elle voulait le fesser. Je lui dis que je ne pensais pas que ce soit une bonne idée, mais il me pria de lui faire confiance. Elle me dit qu’elle voulait lui instiller le respect des femmes et lui implanter une nature soumise. Je fus d’accord. Le samedi soir, elle avait rendez-vous avec mon fils chez elle. Plus tard, Cynthia me donna les détails. Elle lui avait permis de boire un verre de champagne pour calmer ses nerfs et elle lui avait demandé un massage de ses pieds et de son coup. Elle lui apprit comment masser les pieds d’une femme, ses épaules et son coup. Elle se mit ensuite en lingerie sexy et lui donna une fessée sensuelle avec une brosse à cheveux et ses mains nues. Elle lui a aussi donné quelques grands coups fermes. Elle disait que c’était très érotique et qu’il était en érection permanente. Après la fessée, elle lui fit vénérer son corps. Elle l’a guidé pour qu’il apprenne à donner du plaisir oral à une femme. Finalement elle prit sa virginité en l’allongeant sur le dos et guidant son pénis en elle alors que mon fils était ébloui par ses seins. Cynthia a dit que c’était magnifique et que tous les hommes devraient avoir une telle initiation sexuelle. Mon fils était au paradis les quinze jours qui suivirent et avait l’air totalement épanoui et en paix. Il était devenu un homme, avec une totale déférence envers les femmes. Il a eu deux autres rencontres avec Cynthia les mois suivant. Elle ne lui permit plus de pénétration, mais il fut fessé et il dut la servir oralement à chaque fois. Elle mit fin à la relation en lui expliquant qu’elle avait un jeune amant. Mon fils comprit et fut empli de gratitude pour cette expérience. Il est à présent au collège et rencontre une fille qui en dernière année. Cette fille est extrêmement intelligente et décrochera son diplôme avec les honneurs. Je suis fière que mon fils ait choisit une telle femme. Il a une belle attitude envers les femmes et les traite avec respect.
J’étais très hésitante pour Cynthia mais je suis heureuse que cela se soit passé. C’était une belle expérience pour mon fils et cela lui a donné confiance et une bonne vision des femmes.
Elise je suis une femme intelligente qui a réussi. J’aime profondément mes fils et la plupart des gens qui me connaissent me considèrent comme une femme d’éthique et de moral. Je suis devenue une partisane de cette démarche et si j’avais eu un autre fils, je l’aurais refait. Je réalise que vous devez faire attention à votre réponse sur un forum publique car vous risquez d’être critiquée par la société si vous partagez mon opinion. Je sens que vous l’êtes, même si vous ne pouvez l’écrire. Même si nous ne sommes pas d’accord sur l’âge, nous sommes d’accord sur la philosophie. Merci pour votre site, vos idées et votre philosophie. Je vous admire.
 
Réponse d’Elise : 
 Nous avons tous la chance de pouvoir discuter librement de ces sujets tout en étant protégés par la liberté d’expression que la constitution nous garantit. Votre sujet est assez controversé mais fait partie sans l’ombre d’un doute du monde de la domination féminine. Ce que vous racontez arrive dans le monde de la domination féminine et ce sujet a été discuté sur bon nombre de forum de femmes dominantes, autant que dans les cercles féministes. Je suis basiquement d’accord avec votre philosophie à l’exception de l’âge. Dans un monde parfait, tous les jeunes hommes devraient rester chastes et innocents jusqu’à leur majorité, moment où ils seraient éduqués et entrainés par une femme d’expérience. Je suis certaine que les deux sexes seraient contents de cette démarche et je suis d’accord avec vous sur le fait qu’émotionnellement, le mâle serait mieux adapté et plus contenu sexuellement. Le genre masculin désire tant se faire dominer par une femme, et la plupart des jeunes mâles désirent tant une relation avec une femme plus âgée qu’eux, plus expérimentée. C’est pour cela que les jeux d’âge sont si populaires chez les hommes soumis. Ils ont ce fantasme, même beaucoup plus tard, quand ils veulent régresser. Le mâle mûr aime les jeux de rôles où il devient un ado séduit par une femme plus âgée. C’est un fantasme très courant et les fantasmes sont souvent fondés sur des émotions sexuelle humaines et un vrai besoin. Cependant, nous ne sommes pas dans un monde parfait, et des standards et des frontières doivent être posés pour protéger les innocents. Vous avez une auto discipline et un self contrôle et Cynthia aussi, mais si ces barrières posées par la société étaient levées, beaucoup abuseraient des innocents. Tout le monde n’a pas ce contrôle et cette discipline sur soit même. Votre approche est fondée sur la maturité de votre fils et vous avez des valeurs morales et de l’éthique. Vous êtes à l’aise avec ce qui s’est passé entre votre fils et Cynthia car vous avez confiance en eux et vous les connaissez. C’est une très bonne chose pour la vie de votre fils. Il était visiblement suffisamment mur pour cette rencontre car il était tout proche d’avoir des relations sexuelles avec des femmes immatures. Cependant tous les garçons de 16 ans ne sont pas aussi mûrs que votre fils et toutes les femmes de quarante ans ne méritent pas la confiance. La société doit poser des standards. Nous pourrions discuter pour savoir si 16 ans est le bon âge, ou si c’est 18 ans et peut-être qu’un jour ces standards seront ajustés, mais le fait demeure que la société a décidé pour le moment de ceux-ci. Un enfant devient un adulte à 18 ans. Nous devons vivre avec ces standards. Notre philosophie est fondée sur la science et je suis d’accord avec le fait que la société serait meilleure si la majorité des mâles avaient leur initiation sexuelle via une rencontre avec une femme mûre et attentive. Il me semble que dix-huit ou dix-neuf ans serait un âge acceptable.
Il est mieux de permettre aux enfants de découvrir leur sexualité à leur moment et par eux-mêmes. Il est mieux pour les parents de ne pas s’en mêler. Dans la société patriarcale les pères arrangeaient les mariages pour des raisons économiques et politiques. Cce que vous avez fait pour votre fils n’est donc pas vraiment nouveau et montre l’amour et l’attention que vous lui portez. Vos motivations sont plus pures que le système patriarcal où la fille était mariée à un homme qu’elle n’aimait pas. La question n’est pas de savoir s’il était mieux pour votre fils d’avoir ses premiers rapports avec une femme mûre ou sur le siège arrière d’une voiture. Votre fils à pensé à son expérience et s’est rapproché de vous pour cela. J’ai parlé avec des femmes qui ont provoqué de telles expériences pour leur fils.
Si le fils a l’âge légal d’un adulte, alors c’est une chose, mais malheureusement ce n’est pas toujours le cas. Alors même si la philosophie est intéressante, je suis fermement contre le fait que les mineurs aient des relations sexuelles avec une femme mûre. Je vous donnerais la même réponse, que ce soit en forum privé ou public. La société fixe ces frontières pour protéger les mineurs. La frontière étant fixée à 18 ans, une femme doit considérer le garçon jusqu’à cet âge comme un mineur et les parents doivent lui permettre de découvrir et développer sa sexualité à son moment et à sa façon. En votre qualité de mère, vous devez être là pour discuter de leur sexualité avec vos enfants et je vous applaudis pour avoir eu un esprit si ouvert que votre fils s’est senti en confiance et s’est ouvert à vous.
La façon dont vous avez géré l’épisode de sa masturbation est une preuve de votre nature compréhensive et de votre amour pour lui. Mais si vous m’aviez contactée pour que je vous donne des conseils avant la rencontre avec Cynthia, je vous aurait recommandé de ne surtout pas poursuivre sur cette voie. Cela s’est fait, et ce fut une expérience positive pour lui. En psychologue, je comprends la dynamique et je conclus qu’une telle expérience pourrait être émotionnellement positive pour le garçon qui va devenir un homme.
Cependant nous devons respecter les règles sociales, et c’est pourquoi j’aurais conseillé que Cynthia n’ait aucun contact avec lui jusqu’à sa majorité, et même là je vous aurais conseillé de ne pas vous impliquer dans la situation.
Si Cynthia avait voulu le contacter une fois à sa majorité, cela aurait concerné deux adultes majeurs et consentants. Je me répète, il est mieux pour les parents de rester totalement en dehors de cela. Oui soyez là pour répondre à ses questions et pour le guider avec votre sagesse, soyez là pour l’aimer, qu’il ait besoin de conseils ou pas. C’est le rôle des parents. Une femme a le droit de mettre en relation son fils de 18 ans avec une femme mûre mais, en ce qui concerne l’intimité sexuelle, cela doit se faire entre adultes consentants. Il serait tout a fait admissible pour une mère d’organiser pour son fils adulte une rencontre avec une femme adulte lors d’un dîner mais elle doit s’arrêter là.
Il faut leur permettre d’évoluer à leur façon et à leur moment. Guidez et encouragez, mais ne vous mêlez pas de cela une fois votre fils adulte. C’est difficile parfois pour les parents de laisser à leur enfants une telle responsabilité mais c’est ainsi que la nature forge la maturité. Merci d’avoir eu le courage d’envoyer votre histoire. Vous avez un cœur pur et vous avez fait les observations correctes sur le fait que cette expérience ait été positive pour votre fils. Dans un monde parfait, votre modèle aurait été idéal, mais n’oubliez jamais que nous ne sommes pas dans un monde parfait et que nous devons avoir des lois pour protéger les innocents et les mineurs contre certains adultes.
Le modèle parfait serait que les jeunes mâles restent vierges jusqu'à leur mariage. Je suis d’accord sur le fait que les jeunes hommes aient leur premier rapport avec une femme plus âgée, plus mature, le jeune mâle devant être majeur.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 23:01

Bonjour,
je m'appelle Blandine 35 ans, je suis mariée depuis 4 ans et je pratique la domination sur mon mari 37 ans depuis 8 mois.
Notre couple s'est beaucoup épanoui depuis et nous nous découvrons tous les 2 avec  beaucoup plus de sincérité.
J'ai lu votre site en détail et j'essaie de respecter votre philosophie.
Je suis assez dure avec mon mari en lui infligeant des punitions au moindre faux pas concernant les taches de la maison, ou de par son mauvais comportement. Je le fais parfois rester debout nu pendant que je prends mon repas, lui demande d'être à mon service 24h/24dès que nous sommes dans notre maison. Bien sûr, je ne me prive pas de lui demander du plaisir oral à tout moment.
De plus, j'ai établi un temps de discipline 1 fois par semaine. Je le fesse avec une raquette de pingpong. Je le fouette avec un martinet sur tout le corps y compris les parties génitales. Tous les 3 à 4 coups, je masse le frein de sa verge pour lui faire monter le plaisir avant de reprendre les coups. Mon mari aime beaucoup ces moments et c'est là que je m'aperçois qu'un homme a vraiment beaucoup de vice pour aimer être corrigé. Cela me donne encore plus d'énergie pour le dresser ! Je lui interdis de jouir sans mon accord, seulement 1 fois par mois. Le reste du temps, je le fais très souvent venir au bord de la jouissance, en attendant que s'échappe sa pré-semence. A ce moment là, je lui frappe le sexe ou lui pose de la glace dessus pour le faire débander. Ensuite, je recommence. Cela peut durer 2h comme ca. Et je peux vous dire qu'il est après d'une obéissance exemplaire.
Pour aller plus loin, je recherche des expériences et des conseils, des techniques de dressages, de séances de disciplines. Existe-t-il des magazines, des sites ou je peux trouver ces renseignements.
En vous remerciant.
Blandine.

 
Réponse de Dana :

Blandine vous faites un merveilleux travail et je suis persuadée que vous le rendez heureux pour votre bien commun.

Votre email apporte un petit témoignage de façons de faire dont peuvent s’inspirer d’autres femmes dominantes cherchant des idées.

Publier les témoignages de chacune et chacun est une façon d’échanger et de s’enrichir du vécu des autres.

C’est un peu cela la réponse à vos questions, car en France il n’existe malheureusement pas de site donnant des techniques explicites de manière assez complète pour être encore satisfaisante. Il existe certes certains recueil, mais dont la publication est restée confidentielle, mais que nous prévoyons de publier ici dans les mois qui viennent.

Nous invitons d’ailleurs nos lectrices et lecteurs à nous envoyer ce qu’il possèdent de leur coté afin que nous puissions en faire profiter le plus grand nombre. Il en va de même des sites ou blog qu’ils auraient pu découvrir et qui s’inscriraient dans notre philosophie tout en étant agréable et non pornographique.

Enfin et nous fondons aussi de l’espoir sur cette démarche, puisqu’elle porte ses premiers fruits, la création de « Cercle de Dominatrice » permet de la façon la plus conviviale possible d’échanger des pratiques et des idées entre femme, tout en développant une complicité et une amitié.

Mais cette démarche nécessite de prendre son temps et que les femmes aient une réelle volonté de trouver non loin de chez elles des amies vivant le même mode de vie.

Nous vous souhaitons d’aller de découverte en découverte, car cet univers est une perpétuelle découverte de soit même et de son soumis.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 00:23

 



Q. Chère Elise, votre site est vraiment un des meilleurs que j’ai vu sur la domination féminine. Votre douceur, votre attention votre attitude sincère vous mettent à part. Mon mari et moi nous expérimentons la domination féminine et j’ai une question sur le fait de punir un homme. Cela a commencé avec mon mari qui voulait partager les taches ménagères et s’il ne le faisait pas ou pas correctement il voulait être punit. Je n’ai pas de problème là dessus, mais récemment il m’a suggéré de faire des punitions peu courantes. Une des punitions qu’il m’a suggérées est de casser sa collection de voiture miniature. Nous sommes mariés depuis 13 ans et je ne suis pas très à l’aise pour faire cela. Cela me semble trop cruel et je me demande pourquoi il a même proposé que je détruise quelque chose qu’il aime. Est ce que c’est normal ? Est ce une attitude de dominatrice que de faire ainsi ?

Réponse : Certains hommes veulent être punis par la femme qu’ils aiment et ils veulent que la punition soit dure. Si vous avez lu mon site, vous avez une bonne idée du pourquoi ils désirent être disciplinés et punis. Je vous suggère de lire le chapitre sur « les questions sur la discipline, la fessée et les punitions corporelles ». 

Certains hommes repensent inconsciemment à leurs expériences d’enfance où ils étaient punis par un gardien féminin (mère, tante, professeur, baby-sitter…) quand ils ne faisaient pas ce qu’on leur demandait ou qu’ils avaient échoué à bien le faire. Cela vient de là.  Ils sont rassurés par le fait qu’une femme les surveille et leur demande des comptes. Bien des hommes recherchent aussi cela dans leur mariage en mettant leur femme en position d’autorité.

Il y a une corrélation entre la punition et l’amour, car seule une femme qui aime un homme prendrai la peine de le punir. La femme cruelle n’est pas celle qui punit, mais plutôt celle qui laisse aller son homme à la fainéantise. En punissant un homme, une femme montre qu’elle attend l’excellence de lui. Elle lui montre qu’elle a de grandes attentes pour lui et qu’elle ne va pas le laisser aller dans une vie de paresse et de satisfaction. Il est dit que l’oisiveté est l’atelier du diable, alors une femme qui assigne à son compagnon des taches ménagère et qui le punis au besoin pour ne pas les faire ou bien les faire, est une femme qui lui veut du bien, car le veut meilleur. 

Je n’ai aucune idée de ce qui motive votre mari, mais il est possible qu’il se sente coupable de tout le temps qu’il a passé à son loisir (comme sa collection de voiture), alors sa façon de se rendre à vous est de vous suggérer de le punir en la détruisant, afin de lui enlever ce sentiment de culpabilité qui provient de tout ce temps perdu à ne pas vous servir. (C’est son évaluation, pas la mienne).

Je ne vous recommande pas de le faire cependant, car je crois qu’une femme doit être créatrice, doit soigner, pas détruire. Votre instinct est bon qu’il ne faille pas agir ainsi, c’est une démonstration de votre nature féminine. Vous ne voulez pas détruire ce qui a nécessité à votre mari tant d’heure à construire. Ces voitures représentent son temps et son talent, et votre instinct féminin est de protéger ses talents, pas les détruire.

Je vous suggère de vous appesantir plus profondément sur la façon de le punir et de le récompenser, afin que cela corresponde mieux à votre nature. Il a besoin déjà d’être discipliné et d’être protégé. Cela peut venir du fait que quand vous le punissez vous êtes trop douce et qu’il désire une vraie punition, authentique. Il veut ressentir votre colère quand il échoue à plaire, et il a besoin de sentir votre amour quand il réussit à vous plaire. C’est dans la nature masculine et cela peut venir d’expériences enfantines qu’il a eut avec une des femmes responsables de lui et il recherche ce sentiment, quand une femme était sa motivation et qu’il lui devait des comptes. 

Il y a de nombreuses façons dont une femme peut punir un homme. Il y a bien sur les punitions physiques comme les fessées, les punitions corporelles, les lavements punitifs, la chasteté forcée, etc… Il y a aussi des techniques, comme des mises au coin ou la disparition de privilèges. La communication et l’expérimentation vous aideront à trouver ce qui marche le mieux sur votre mari. Il peut même ne pas savoir ce dont il a besoin, mais ce qui est important est que vous gardiez toujours l’équilibre entre les punitions, et l’amour et la protection. Il est peut être un grand homme dans un corps d’adulte, mais il est encore le petit garçon qui recherche à être guidé par une femme et être sous son autorité. Certains hommes n’en ressentent jamais le besoin, mais la plupart des hommes deviennent paresseux quand ils sont laissés à eux même. Ce qui est bien avec la domination féminine est qu’elle est une arme où la femme peut motiver l’homme parfois de manière sexuelle et amusante sans avoir besoin de le harceler. Bien trop de femmes harcèlent leur mari pour qu’il fasse les taches ménagères alors qu’elles pourraient utiliser les techniques éprouvées des dominatrices.

Alors la prochaine fois que votre mari fait une suggestion exotique, souriez simplement et dites lui simplement que vous êtes une femme et donc une créatrice, pas une destructrice. La seule chose que vous voulez vraiment casser et détruire est son ego de mâle et vous le faite, afin de le reconstruire lui comme un homme meilleur. 


De Alison W:

Bonjour Elise. Déjà puis je vous remercier pour votre site et vos conseils, vous êtes largement responsable d’avoir renforcé notre mariage, et probablement de l’avoir sauvé d’une lente fin, et je veux vous en remercier. Je vous en prie continuer votre ministère, mon mari et moi attendons chaque mois vos mis à jour avec impatience. Vos messages vont jusqu’en Ecosse où je vie avec mon mari, mon fils (qui est partit à l’université) et ma fille (qui a 15 ans).

Je suis mariée à Brian depuis 26 ans et en octobre l’an passé, quand nos enfants étaient au loin et après avoir vu votre site, il a finalement eut le courage de m’avouer sa passion de se soumettre à moi. Comme il n’avait pas lu tous vos conseils, il s’y prit mal. Il me demanda de le fesser et quand je lui demandais « avec quoi ? », il me choqua encore plus en sortant soudainement du placard 3 courroies de cuir qu’il avait fait en secret pour moi, dont deux faites avec du cuir Ecossais utilisé depuis si longtemps pour maintenir la discipline dans les écoles et les maisons en Ecosse.

Une fois le choc initial passé, je l’ai penché sur une chaise et lui ai frappé les fesses avec une des courroies, puis nous avons parlés, comme nous n’avons jamais parlés avant, tard dans la nuit. Il m’a découvert son âme, de choses qu’il n’a jamais dit à d’autres avant, et les jours suivant je pense que nous sommes retombés amoureux. La semaine qui suivit, il me montra votre site. Au départ je me suis laissé faire, mais je luttais pour savoir ce qu’on attendait de moi. J’étais inquiète de pouvoir faire quelque chose qui n’était pas exactement ce qu’il voulait ou avait besoin. Puis avec le temps, j’ai réalisé que les attentes de Brian n’étaient pas vraiment importantes, si nous embrassions ce style de vie, j’avais à être bien moi même et c’est ce que je fis.

J’ai commencée à être relax et à faire ce que je voulais. J’ai commencée à expérimenter. Même avec cela j’ai traversée des périodes de doutes en me demandant ce que je faisais. Nous avons toujours été très ouvert avec nos enfants, et cela sonnait faux de poursuivre ce qui était essentiellement un style de vie parallèle, comme si nous les trompions. Cependant j’ai persévérée et ce sentiment de culpabilité a disparu quand je me suis senti plus confortable dans la domination de Brian. Nous avons pour la première fois de l’intimité et une réelle passion dans notre mariage, une vie sexuelle formidable et c’est ce que j’ai obtenu.

J’aime à présent ce style de vie tellement que je pense qu’il ne pourra pas y avoir de retour arrière (même si Brian voulait, ce qu’il ne souhaite pas bien sur). Je voudrais faire écho à toutes les femmes qui commencent et se sentent incertaines, accrochez vous, les avantages en valent la peine. Accordez à votre mari tous les fantasmes par tous les moyens de temps en temps, mais déjà et avant tout concentrez vous sur ce que vous aimez. Ne vous mettez pas la pression pour faire ce avec quoi vous ne vous sentez pas encore à l’aise et ne le laissez pas prendre le dessus, comme Brian le faisait au début de nos premières étapes.

Ayant été éduqués à l’ancienne nous avons subis lui et moi notre part de punition corporelles. J’ai presque quotidiennement reçu la courroie sur les mains devant les autres de la classe d’une professeur particulièrement sadique à la moindre offense. Brian a vécu la même chose, bien que moins souvent (toutes les punitions corporelles sont à présent bien sur bannies en Ecosse). Je hais ce traitement et je pense que j’ai été blessée émotionnellement en même temps. Brian à l’inverse a été fasciné et excité par cela, quoique effrayé d’être punis. Il a aussi été captivé par des figure féminines autoritaires dans sa vie quand il a grandit. Les Ecossais sont plutôt macho, et il a gardé son coté soumis bien caché par peur du ridicule, ne les utilisant que comme une source de fantasme quand il se masturbait, ce qu’il faisait bien trop souvent jusqu’à l’année dernière (ce que j’ai récemment découvert), au lieu de répondre à mes besoins.

Bien que nous fassions attention de ne pas en parler aux enfants, je suis devenue bien plus dominatrice avec lui, et il commence à me servir et à m’aider plus pour la maison et est présent pour mes besoins sexuels. Brian est très honteux du manque d’attention qu’il m’a porté depuis tant d’années, alors que nos enfants grandissaient, il a été pris par sa carrière et ses activités sportives, et ne me fût d’aucune aide pour la maison.

Il se comportait comme si il était infidèle vis à vis de moi tout en vivant secrètement ses pensées de soumission lors de ses masturbations, et il devint distant de moi. Il fût très malheureux pendant cette période de notre vie et je l’ai déjà punis de cela une fois ou deux. Il peut s’attendre à encore quelques bonnes corrections de ma part avant que je considère qu’il ait payé sa dette pour cette attitude irréfléchie.

Votre site est une mine d’or de connaissance, expliquant de façon direct les choses, vous me donnez la confiance pour essayer de nouvelles pratiques quand je prépare la rééducation de Brian.

Juste après qu’il se soit confessé à moi, nous avons été faire un tour dans les boutiques.xxxx J’ai renouvelée ma garde robe avec des vêtements élégants et sexy, des chaussures, Brian marchant derrière moi et portant les sacs. Ce que je préfère dans ce style de vie c’est l’habillage.

Nous n’avons pas eut de sexe où il m’a pénétré depuis un an et je refuse de mettre à présent son pénis dans ma bouche, je trouve cela dégoûtant.

 

 

 

 

 

Bien que nous devions limiter les activités aux moments où les enfants sont sortis, je contrôle à présent tous ses orgasmes, non pas avec une cage de chasteté, mais simplement sur la confiance. Il doit avoir ma permission pour se masturber et, si il triche, il a promis de m’en parler et d’accepter n’importe quelle punition que je trouverai appropriée. Je lui ai dis clairement que je n’accepterai pas la malhonnêteté. Il doit aussi tenir un cahier et y noter toutes ses bêtises. Je les punis avec une cane ou une règle sur les doigts (ou avec une brosse à cheveux) quand il en accumule trop, et de toute façon pour chacune, il garde une trace bien rouge sur ses fesses. Quand je lui permets de se masturber, il doit le faire pour mon amusement. Parfois je le fait me nettoyer avec sa langue après avoir été uriner. J’adore le soumettre à des inspections, le faire mettre nu, inspecter son sexe et son cul, pour être certaine qu’il est propre et qu’il sent bon. Sinon il est puni sévèrement. Il trouve cela très humiliant.

Si nous sommes seuls à la maison et qu’il fait une erreur, il en paye parfois les conséquences immédiatement avec ma règle sur ses doigts. Il trouve cela très douloureux et cela diminue son ego à celui d’un vilain petit garçon alors qu’il se met a genoux avant de me regarder, ses main tendues devant lui, les paumes vers le haut, attendant le prochain coup.. Cela lui fait rapidement comprendre le message que son attitude est inacceptable.

Je n’ai pas lu dans vos témoignages de personnes utilisant le « strap » (courroie en cuir pour taper sur les mains), de cette façon, mais c’est de cette façon dont elle était utilisée en Ecosse pendant notre scolarité. Six coups de courroie sur les mains était considérés comme une punition sévère. Je vous la recommande car vous êtes face à face et vous pouvez le gronder tout en le punissant, mais vous devez faire attention qu’il laisse ses paumes bien à plat afin de ne pas blesser ses doigts et de ne pas frapper ses poignets.

Quand nos enfants sont sortis, je lui fais me servir quand je prends mon bain, me sécher et m’habiller pour le soir. J’attends une obéissance absolue, de la diligence, et toute maladresse est payée en coups. Puis je reprends ma courroie pour lui apprendre l’attention.

Je me suis fait plaisir avec 4 vibromasseurs différents en un an. Brian doit les nettoyer et recharger leur batterie. Il doit aussi me faire plaisir avec quand je lui ordonne. C’est tellement mieux qu’un pénis ne l’a jamais été.

Elise je viens d’acheter un god ceinture, mais je n’ai pas encore eut l’occasion de l’utiliser. Brian est un peu inquiet sur cette nouveauté, mais comme je dirige, il accepte à présent mon jugement sur tout. Notre moment préféré c’est le WE, le samedi et le dimanche matin ; Nous nous réveillons tôt, avant nos enfants, je lis des article que j’ai demandé à Brian d’éditer, et il est entre mes jambes, léchant gentiment ma chatte et mon cul sur mon ordre (le bonheur absolu !!!).

Merci encore Elise, ce n’est peut être pas l’histoire la plus excitante que vous avez reçu et j’ai encore tant à apprendre, mais vous nous avez aider à changer notre vie en mieux. J’aime être la dominante dans notre relation, j’ai finalement l’attention que j’attendais de Brian, et plus d’aide pour la maison (même si je sais qu’il peut encore mieux faire, avec plus d’entraînement). Je suis de plus très excitée quand je le punis, et suis inondée du sentiment de pouvoir en le voyant se mettre à 4 pattes devant moi pour me présenter ses fesses déjà rouge de la punition précédente.

Brian est plus calme, et je crois plus en paix avec le monde. Il dit être le type le plus heureux d’Ecosse d’être marié à moi. Nous nous aimons beaucoup, nous parlons de tout sans limite. Je vous tiendrai informée des progrès de son éducation.

Réponse d’Elise.  Alison, je ne peux vous dire combien j’ai le cœur léger d’entendre des histoires comme la votre. Vous êtes une belle femme et vous faites un travail merveilleux en éduquant votre mari. C’est un homme chanceux et je suis certaine qu’il est en paix avec le monde à présent qu’il vie sous l’autorité d’une femme. C’est intéressant de voir comment tous les deux vous avez vécu les mêmes punitions scolaires de manière différentes. Vous haïssez cela, mais il trouve le fait d’être punis par une autorité féminine très excitant. C’est la nature soumise de l’homme en action. Les hommes sont faits différemment et ils ont besoin de discipline régulièrement. Cela affecte leur psychique de manière totalement différente des filles, surtout si la personne qui dresse est une femme. A présent vous êtes son éducatrice et sa tortionnaire, et c’est un mâle comblé et productif. Continuer ainsi et tenez moi au courant.

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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