J'ai toujours pris un malin plaisir à dominer les mâles. En effet, j'ai toujours aimé frustrer les hommes. Très tôt, adolescente, j'adorais allumer les hommes.
Je me souviens, en particulier, d'un professeur de mathématiques, qui n'arrivait plus à se concentrer, et qui évitait de me regarder lorsqu'il faisait l'appel. C'était, l'un de mes premiers cobayes adultes, sur lequel je testais mon nouveau pourvoir, que je croyais être à l'époque, un pouvoir de séduction. Un jour, où il parlait du jeu d'échec, le lapsus fut terrible, un simple croisement de jambe lui fit dire "gland" au lieu de "blanc".
Je n'étais pas une fille facile, bien au contraire, j'étais impossible, mes petits copains de l'époque avaient à peine le droit de frôler mes seins. J'adorais flatter leur entrejambe, sans jamais me livrer à eux. J'étais leur déesse, ils étaient aux petits soins pour moi. De merveilleux souvenirs...
Mais j'ai surtout aimé mater des hommes plus mûrs. C'est eux, qui m'ont appris
l'humiliation. Le premier, s'appelait, Eric. J'avais 16 ans, il était marié, c'était le père d'une de mes amies. Il me ramenait chez moi, je devais passer le week-end avec eux, mais je m'étais disputée avec sa fille. J'avais posé un pied sur le tableau de bord, et l'autre à côté du levier de vitesse. À chaque changement de vitesse, sa main droite cognait contre mon genou. Son excitation était palpable. Mais, il était trop coincé. Alors, je l'ai aidé à se piéger. "Regardez", j'adore les vouvoyer, "mon collant est filé, ma mère va me tuer...". Il m'a emmenée dans un magasin de lingerie. Il était à la fois excité et mort de honte. Encore aujourd'hui, il m'arrive de me masturber en y repensant.
C'est de retour dans sa voiture, qu'il s'est jeté à l'eau, et m'a demandé s'il pouvait caresser mes pieds. Ce fut le premier homme qui s'est branlé en se frottant sur mes pieds. J'ai beaucoup expérimenté avec cet homme. Je l'ai fait tourné en bourrique jusqu'à mes 18 ans. Il a alors quitté sa femme pour vivre avec moi. Je ne l'aimais pas, et il le savait. Je suis resté trois mois avec lui, à l'issue desquelles j'étais encore vierge.
À 28 ans je me suis marié. J'avais envie de fonder un foyer. J'étais très amoureuse. Mais, je n'avais aucune envie de sexe. Je ne vous cacherai pas que je m'étais refusé à lui jusqu'à notre première soirée de noces. Deux ans qu'il attendait. Jamais un homme ne m'avait pénétrée. Il fut doux, et tendre, mais il ne put se retenir. Il était très gêné, et moi j'étais en train de découvrir une nouvelle forme de domination...
Je ne l'avais jamais vraiment dominé jusque-là. Je me refusais juste à lui. Mais, cette première nuit de noces fut le début de sa castration. Les six premiers mois furent terribles pour lui. Je ne me refusais plus à ses assauts, mais je l'humiliais à chaque fois. J'avais beaucoup de plaisir, mais je ne le montrais pas. Je le gardais exclusivement pour moi.
Je le castrais progressivement. Dès que je sentais qu'il allait jouir, qu'il était au bord de l'extase, soit je me retirais en lui disant qu'il venait de me faire mal (le pied !), sois je lui demandais d'accélérer la cadence car je commençais tout juste à sentir mon plaisir monter ce qui provoquait invariablement son éjaculation.
Après six mois de castration, je l'ai forcé à prendre rendez-vous chez un psy pour qu'il lui parle de nos problèmes sexuels. C'était un jeune psy, sans expérience, et la situation était très humiliante. Je l'accablais le pauvre. Le diagnostique fut rapide, monsieur était trop stressé, ce qui provoquait ses éjaculations précoces. Alors, ce fut la deuxième phase de castration. Il essayait d'appliquer consciencieusement les méthodes que le psy lui proposait, mais à chaque fois, je cassais tous ses efforts, par une petite caresse, un gémissement, ou une abstinence trop longue. Je me plaignais de plus en plus de mon insatisfaction lors de nos séances avec le psy, abaissant toujours un peu plus mon mari.
Je ne sais pas exactement pourquoi, mais j'ai fini par éprouver du désir pour ce psy. Pour la première fois, de ma vie, j'avais envie de me livrer à un homme. J'étais attiré par son côté dominateur, et le plaisir d'humilier mon mari dans une relation triangulaire.
La troisième phase de castration débuta. Je repris mon jeu d'adolescente avec le psy, mon mari s'en aperçut très vite, et me fit rapidement des crises de jalousie qui se terminaient au lit par une de ses éjaculations précoces.
Jusqu'au jour où je lui mis le marché en main : pour me garder, il allait devoir être compréhensif, ne l'avais-je pas été avec lui ? Résigné, il du accepter. Et c'est devant lui, dans le cabinet du psy, que quelques jours plus tard, je l'ai cocufié sur le divan. L'effet a été brutal, mon mari est passé du jour au lendemain de l'état d'éjaculateur précoce malheureux, à celui d'un soumis heureux !
Depuis les années ont passé, aujourd'hui, on ne paie plus le psy, j'y vais une fois par semaine accompagnée de mon soumis, et je m'offre sous ses yeux, c'est merveilleux. Bien sur les choses ont beaucoup évolué dans notre couple. Nous avons eu deux enfants, et depuis deux ans, je me suis fait poser un stérilet, et notre psy ne met plus de préservatif. Mon mari ne me pénètre plus. Il a une ceinture de chasteté dont la clé est gardée par son psy, mon amant. Dès que son psy a joui en moi, mon mari se précipite, prend la clé dans le tiroir du bureau, retire sa cage, et vient me nettoyer. Il se vide assez rapidement contre le divan, mais peut me lécher très longtemps. J'adore cette situation, où mon mari me nettoie juste après le passage de mon amant. En fait, sa langue me procure un plaisir intense, très différent de celui de mon amant, mais ils ne le seront jamais. Mon amant risquerait d'être jaloux ! On lui remet sa ceinture, et on se fixe un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante.
Il est devenu notre ami, mais je ne baise avec lui que dans son bureau et en présence de mon mari. C'est pour moi et mon mari, indispensable pour protéger notre couple. Il n'y a aucune autre forme de domination entre mon amant et mon mari en dehors de son bureau. En fait, on a tenté malencontreusement au début de notre relation triangulaire, de partir en vacances à trois. J'étais heureuse de partager deux hommes, mais mon mari en souffrait, ce fut terrible pour lui. Un couple a besoin d'intimité, et il faut établir des limites très claires pour ne pas s'y perdre. Cela dit, il nous est déjà arrivé d'enfreindre la règle, et après une nuit passée avec mon amant, mon mari est toujours heureux de nousapporter le café.
Si vous me lisez, j'espère arriver à vous faire comprendre comment cette situation s'est mise ne place, et le plaisir qu'elle nous procure. Trop souvent je lis des témoignages de femmes qui ne parlent pas assez du plaisir libidinal qu'apporte la domination en dehors des facilités domestiques qu'offre un soumis.
Mais depuis quelques mois, je suis un peu perdue. Nous avons avec mon mari, un désir d'enfant. J'aimerai en avoir un troisième. Mais je ne veux pas que mon mari me pénètre, et je ne veux pas me passer de mon amant. En fait, je ne veux pas rompre cet équilibre. On en a discuté avec mon mari, puis avec mon amant.
Mon mari accepte d'élever un enfant de mon amant, et mon amant veut bien me faire un enfant à la condition qu'on ne lui mente pas sur sa paternité. En fait, pour le bien-être de cet enfant, il faut, et j'en suis convaincue, que notre entourage, ma famille, la famille de mon mari sachent que son père est mon amant. Il ne faut rien lui cacher. Pour mes enfants, ce n'est pas un problème, mes deux petits connaissent mon amant, et savent que maman aime leur papa et un autre homme. Mais pour la famille, c'est plus compliqué !
Pourriez-vous me conseiller .
Réponse Ms.Dana :
Et bien l’on peut dire que vous avez l’instinct de dominatrice dans la peau. Vous avez très tôt et intuitivement saisie et maitrisé le « pouvoir féminin » et l’avez testé sur les hommes. Je ne peux vous en vouloir de l’avoir fait sur un adulte, alors que vous ne l’étiez pas. Je crois que c’est lui qui est à blâmer, et qu’il mérite ce qu’il lui est arrivé.
Passons au cœur du sujet. J’admire la maestria avec laquelle vous dominez mentalement vos soumis, en l’ayant « castré » ainsi. Il a du devenir très vite totalement amoureux fou, d’une femme qui se jouait ainsi de lui. C’est un peu le paradoxe, plus on est humiliante, plus on les rabaisse, plus on les dévalorise … plus nos gentils soumis deviennent fou de nous. Après tout alors pourquoi pas ?! Si c’est efficace, c’est une chose à adopter.
A retenir donc dans ce témoignage mesdames la façon dont Elsa a réussit dans ce domaine, et le résultat final. Il est devenu un soumis totalement heureux.
Et Elsa j’avoue que beaucoup de femmes pourraient prendre exemple sur vous. Car vous assumer ouvertement votre libération sexuelle. Et s’offrir à son psy pour votre propre plaisir tout en soumettant votre mari est une chose que peu oseraient encore faire.
Et le fait de faire porter par votre amant la clé de la cage de chasteté montre que vous maitrisez à la perfection l’art d’humilier votre soumis. C’est fort !
Et pourtant vous avez totalement raison, car voyez vous le résultat est là ? Il vous adore et vous êtes heureuse et de plus vous désirez tout deux un enfants de plus. Vous avez bâtit une relation solide qui sera surement pérenne si vous continuez à vous imposer en femme épanouie. Vous êtes un exemple de femme ayant utilisé le pouvoir sexuel et la domination mentale.
Pour répondre à votre question :
J’avoue que pour votre désir d’enfant par contre, même si je comprends la situation, je reste assez partagée sur le fait que ce soit votre amant et non votre mari qui vous aide à le faire. Pourquoi ? …
Je pense là à l’enfant qui viendra, je pense aussi à ses frères et sœurs.
Alors je me demandais si, pour une chose si importante qu’est la conception d’un enfant, vous ne pourriez vous pas faire une exception à votre Loi que je partage totalement par ailleurs ?
Car la situation à trois n’est jamais totalement pérenne sachez le.
Et que si avoir un ou des amants est une très bonne chose pour l’épanouissement de la maitresse et la soumission approfondie du mâle, il faut savoir que ce ne sont que des hommes « de passage », et que votre compagnon de vie reste votre soumis. D’autant plus si vous avez des enfants ensemble.
Et si vraiment vous vous refusez absolument que votre soumis puisse vous pénétrer même pour cela, alors pourquoi ne pas demander une insémination en parlant avec votre gynéco. En tout cas prenez le temps de bien réfléchir, et avant tout d’y réfléchir pour le bien de vos enfants et de l’enfant à venir.
Car vous êtes maitresse de votre mari soumis et avez bien tous les droits sur lui, mais vous êtes aussi maman et je n’ai pas besoin de vous rappeler que vous avez de ce fait une immense responsabilité.
En tout cas c’est ainsi que moi je ferai dans un tel cas.
Cette vie apporte tant de liberté, mais « il faut savoir raison garder », comme le disait je crois La Fontaine.
J’imagine enfin, en digression, que vos enfants sont petits, et qu’ils ont donc trouvés naturel que maman puisse aimer deux hommes. Sachez que ce n’est pas si courant.
Car petits ils ont l’esprit totalement ouvert à tout, surtout s’il n’y a pas de confusion sur leur papa et qu’il le voit heureux, tout comme leur maman. Un petit peut tout comprendre intuitivement car il ressent les choses, et si les choses sont positives, il sera heureux. Plus grand par contre la situation eut été je pense un peu plus compliquée.
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