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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 06:28
Bonjour à toutes.

Nous sommes un couple Lyonnais de 47 (moi) et 49 (lui/elle) ans. Je domine mon compagnon depuis plusieurs années; ceci tout en gardant pour l'extérieur l'apparence d'un couple "normal", travail, enfant etc... Et il est évident que la domination ne doit pas diminuer ou entacher son rôle de père.
Pour le détail, je le féminise dessous la plupart du temps et dessus dès que c'est possible. Il a un surnom féminin et dès que possible doit parler d'elle au féminin et se comporter de manière plus délicate. Elle n'a plus aucun sous-vêtement masculin à part un seul slip pour aller chez le médecin ou à la visite médicale du travail.
Je l'ai aussi amenée à se trouver bien en vêtements et dessous  féminins, à choisir ses vêtements, dessous, et chemises de nuit, etc sur ses critères personnels... Elle ne dort qu'avec un soutien-gorge et des faux seins, assez volumineux, qu'elle porte également quand elle est totalement féminisée.
Elle n'a plus droit a aucun rapport sexuel "normal", ni orgasme réel., et n'est vidée que périodiquement, et ceci sans érection.
Lorsqu'elle est autorisée à avoir une érection, c'est toujours en vue d'un supplice ou d'un acte humiliant et dégradant.
Je l'ai aussi rendue éjaculateur précoce dans certaines conditions.
Elle subit bien sûr nombre d'humiliations, punitions, martinet, sodomie etc...
Pour la punir et l'humilier, j'utilise beaucoup les couche-culotte, l'obligeant à s'en servir, l'enfermant dans des grenouillères ou barboteuses.

D'autres femmes ici utilisent elles les couches pour dominer et punir leur soumis?

Je serais contente d'échanger correspondance par mail et des idées  avec d'autres femmes  aimant dominer, humilier et ridiculiser  leur  soumis (e).
Et peut être nous rencontrer un de ces jours

Comment vous faites pour « créer des dysfonctionnements » comme l'incontinence ou l'éjaculation précoce ou des éjaculations forcées" ? Parlez-moi un peu de vos techniques, afin que je puisse éventuellement en faire partager mes amies. ?

Eh bien, je vais essayer de vous dire ça en gros, et si vous désirez des détails, demandez-moi.

Pour rendre Georgette éjaculateur précoce, ça a été assez long, en fait une affaire d’entrainement. Tout d’abord je pratique bien sûr le contrôle et la privation d’orgasme. Ensuite Georgette est stimulée et excitée quotidiennement, de diverses façons. Je ne la vide que toutes les deux semaines maximum, jamais moins, mais il lui arrive d’attendre jusqu’à huit semaines.

J’ai commencé, guidée par une amie Maîtresse Américaine. J'ai régulé ces séances à des dates précises (2 semaines donc), le soir. Elle savait qu’elle allait être vidée. Je faisais (et fais toujours) ça de manière humiliante, embarrassante ou douloureuse.

Ensuite, j’ai commencé à la chronométrer. Au début je lui accordais 5 minutes pour gicler, si elle n’y arrivait pas, c’était repoussé d’une semaine. Puis de 5 minutes, petit à petit j’ai réduit à 3 minutes, puis à 2.

Toujours de manière humiliante, embarrassante ou douloureuse.                                               

Puis je me suis mise à le faire en utilisant de plus en plus souvent un vibromasseur puissant, alors que son « clito » était enfermé et compressé dans une culotte serrée, une gaine ou sa ceinture de féminisation, sur les conseils de mon amie Maîtresse. Le fait que le clito soit serré, procure un peu les mêmes sensations qu’une érection. Elle s’habitue donc à gicler comme ça, alors quelle n'a pas de réelle érection.                                                                                                                                 

Elle a fini par être conditionnée à tout ça, et ne peut plus résister à de fortes stimulations et humiliations, elle gicle en moins d’une minute souvent.

Pour l’humilier davantage, je lui ai offert un jour une poupée gonflable masculine, et récemment j'ai même acheté une cochonne gonflable ! Elle est trop drôle quand elle grimpe dessus !!LOL

Même là dedans elle gicle en quelques secondes !!! LOL                                                     

Pour l’embarrasser et gâcher encore plus ses « giclettes » je me suis mise à lui causer ça dans des endroits publics (supermarché par exemple) en lui faisant porter des œufs vibrants dans sa culotte, serrés contre son « clito ». Lorsque je les mets en route, elle éjacule très vite dans sa culotte!! C’est toujours très drôle de causer des éjaculations incontrôlées en public.

Une autre manière est de lui faire porter une culotte en plastique lubrifiée à l’intérieur, devant. Tant que son clito reste bien plié en arrière entre ses cuisses, ça se passe bien. Mais dès qu’elle se laisse exciter, et qu’elle craque, son petit clito remonte vers la partie lubrifiée, et là elle ne peut plus rien, ç la frotte en marchant, en bougeant, et elle finit par éjaculer en marchant, n’importe où et devant n’importe qui…C’est toujours très drôle de l’emmener au rayon lingerie choisir des dessous comme ça ! ;-) Elle se met soudain à marcher comme un canard, et rougit brusquement !! LOL

C’était quelques exemples… 

Pour l’incontinence forcée, c’est beaucoup plus simple. A partir du moment où le soumis est fermé dans une couche, il suffit de le faire boire beaucoup, et pour causer des incontinences plus « lourdes » un régime alimentaire et des laxatif bien dosés font l’affaire. Georgette obéit lorsque j’ordonne de porter une couche. Elle sait que si elle ne le fait pas, elle risque de recevoir une bonne dose de laxatif dans sa nourriture à un moment imprévu, et comme je l’ai déjà fait, elle ne prend plus ce risque. Rendre un soumis dépendant de sa couche le rend très vulnérable et le rabaisse énormément. Ca peut être au cinéma, lors de démarches administratives longues, où on l’envoie bien langé et après avoir ingéré une bonne quantité d’eau bien froide (suivi d’un café, c’est imparable !!LOL), une grande tisane diurétique, etc….Georgette possède aussi quelques barboteuses et grenouillères fermées dans le dos et qu’elle ne peut quitter seule. Donc tant qu'elle est fermée, elle doit utiliser sa couche.

Voila, tout ça est très résumé, mais si vous désirez des détails, n’hésitez pas à me contacter. Si vous avez d’autres idées également… A propos de l’utilisation des couches, voici un lien intéressant si vous parlez l’anglais. Sinon Georgette pourra peut être vous le traduire pour votre site. http://www.tampafetishparty.com/writings/diaper_domination.htm

En attendant votre réponse.. Amities, Christine.

Réponse Ms.Dana :

Et bien Christine, vous allez faire plaisir à certains et certaines en décrivant un peu quelques idées des «jeux » que vous pratiquez. Félicitation pour votre imagination. J’imagine que ces « supplices » vous amusent, alors faites-vous plaisir.

Pour les dominatrices voulant échanger avec Christine, contactez-nous, nous lui transmettrons votre email, afin que vous puissiez faire connaissance et échanger des idées avec elle.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 06:22

Bonjour à toutes;


Nous sommes un couple Lyonnais de 47 (moi) et 49 (lui/elle) ans. Je domine mon compagnon depuis plusieurs années; ceci tout en gardant pour l'extérieur l'apparence d'un couple "normal", travail, enfant etc... Et il est évident que la domination ne doit pas diminuer ou entacher son rôle de père.
  Pour le détail, je le féminise dessous la plupart du temps et dessus dès que c'est possible. Il a un surnom féminin et dès que possible doit parler d'elle au féminin et se comporter de manière plus délicate. Elle n'a plus aucun sous-vêtement masculin à part un seul slip pour aller chez le médecin ou à la visite médicale du travail.
Je l'ai aussi amenée à se trouver bien en vêtements et dessous  féminins, à choisir ses vêtements, dessous, et chemises de nuit, etc sur ses critères personnels... Elle ne dort qu'avec un soutien-gorge et des faux seins, assez volumineux, qu'elle porte également quand elle est totalement féminisée.
Elle n'a plus droit a aucun rapport sexuel "normal", ni orgasme réel., et n'est vidée que périodiquement, et ceci sans érection.
Lorsqu'elle est autorisée à avoir une érection, c'est toujours en vue d'un supplice ou d'un acte humiliant et dégradant.
Je l'ai aussi rendue éjaculateur précoce dans certaines conditions.
Elle subit bien sûr nombre d'humiliations, punitions, martinet, sodomie etc...
Pour la punir et l'humilier, j'utilise beaucoup les couches-culottes, l'obligeant à s'en servir, l'enfermant dans des grenouillères ou barboteuses.

D'autres femmes ici utilisent elles les couches pour dominer et punir leur soumis?

Je serais contente d'échanger correspondance par mail et des idées  avec d'autres femmes  aimant dominer, humilier et ridiculiser  leur  soumis (e).
Et peut être nous rencontrer un de ces jours

Amitiés à toutes,
Christine.

 
Réponse de MS.Dana

Félicitation pour avoir pris les choses en main. Chacune à ses façons de pratiquer, l’essentiel est que vous vous épanouissiez dans votre nouvelle vie de dominante, et qu’il apprenne à vous rendre heureuse.

Pour vous répondre, oui il y a sûrement d’autres dominantes qui ont cette pratique. Plus le temps passe, plus je m’aperçois que nous sommes des milliers en France à vivre ainsi, encore est-ce sûrement simplement le haut de l’iceberg et que bien plus encore vive cela dans le secret de leur foyer. Donc oui très certainement des dominatrices utilisent des couches pour humilier et punir leur soumis. Je trouve l’idée excellente, car elle doit avoir un impact sur le mental du soumis, qui doit psychologiquement non seulement se sentir très humilié, mais inconsciemment y associer des situations vécues dans sa petite enfance. Et ce lien là est puissant et le rend dépendant de votre bon vouloir.
Oui je connais une dominatrice prêt de Lyon, très féministe et très expérimentée. Je vous envoie son email et vous souhaite le meilleur.
Si d'aventure d'autres dominantes sur Lyon sont interessées, je pourrais leur donner le votre.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 15:57
Q. Chère Elise, est-ce que la domination féminine est proche de l’homosexualité ? Il m’apparaît qu’un homme qui veut être pris avec un god ceinture ou féminisé a peut-être des tendances homosexuelles, mais qu’il les exprime plutôt avec une femme via la domination féminine. Qu’en pensez-vous ? 
 
A. Si un homme avait des tendances homosexuelles il ne voudrait pas s’engager dans une relation Bdsm avec une femme. Il voudrait aller vers un autre homme. 
Par définition, l’homosexualité est une orientation sexuelle vers les personnes du même sexe. Si vous aviez assisté à un événement pan-sexuel Bdsm, vous sauriez que le Bdsm est aussi pratiqué dans la communauté des gays et des lesbiennes. Les hommes dominent d’autres hommes sexuellement, et les femmes dominent d’autres femmes sexuellement. Quand un homme désire être dominé par une femme, quelle que soit l’activité, c’est une forme d’hétérosexualité. L’attraction sexuelle a lieu entre l’homme et la femme. Si vous avez peur que votre mari soit attiré par l’homosexualité car il désire que vous utilisiez un god ceinture, vous vous trompez. Croyez-moi, si ce n’était pas une femme derrière le god ceinture, votre mari s’enfuirait certainement. Il ne veut pas être pris par un homme. Il veut être dominé par une femme.
Le god ceinture est un échange de pouvoir et il n’a rien à voir avec les hommes désirant l’homosexualité ou les femmes désirant être des hommes. Bien au contraire, cette activité donne de la puissance aux femmes en leur permettant de libérer un autre niveau de leur pouvoir jusqu’ici dormant. Le god ceinture provoque une stimulation mentale qui permet un très important échange de pouvoir. L’homme soumis ressent une combinaison de stimulation sexuelle et d’humiliation quand il est pris ainsi. Il sait à présent que ce qu’il utilisait aussi souvent (son pénis), n’est plus un outil pour conquérir les femmes, mais qu’a présent les rôles ont changé, que la femme revêt les attributs symboliques de la masculinité et les utilise contre lui. La femme dit ainsi à l’homme qu’elle n’est pas impressionnée par son pénis masculin et qu’elle peut en acheter un plus gros pour son propre plaisir, qu’elle peut même l’utiliser comme un outil pour faire du genre masculin un esclave. Ce qui fut le symbole masculin de la conquête des femmes est maintenant utilisé par une femme pour prouver sa supériorité aux mâles. 
Le god ceinture, c’est la libération des femmes et la soumission des hommes à cette libération. Il y a des implications sociales et psychologiques à cela. A présent la femme détient l’ancien symbole phallique. Elle est dorénavant celle qui donne et l’homme devient celui qui reçoit. 
Le god ceinture enlève à l’homme sa masculinité et ses cotés macho et l'amène en général à abandonner sa force et sa volonté à la femme qui le prend ainsi. C’est un afflux incroyable de pouvoir pour une femme. De plus l’effet de cette activité dure un certain temps en général. Un homme qui se soumet à cette pratique n’est plus de sitôt macho avec sa femme dominante. Il devient très soumis en dehors de la chambre après cela.
Et la nature soumise d’un homme aime ce sentiment. Il aime la stimulation mentale et la signification sociale qu’une femme a quand elle le prend avec ce pénis artificiel. Le god ceinture touche au physique, à la sexualité, au mental et à l’émotionnel. Il n’a rien à voir avec l’homosexualité. 
Il en va de même de la féminisation. Le désir d’être féminisé est plus commun parmi les hommes qu’on pourrait le penser. Tout, chez les femmes, tout, dans la féminité, excite les mâles et éveille leur curiosité. Les femmes sont mystérieuses pour beaucoup d’hommes. Porter des vêtements féminins, des chaussures, etc. peut être une source d’excitation pour un homme. C’est comme devenir un peu une femme et explorer la féminité. C’est une forme de fétichisme assez courante parmi les mâles soumis. Beaucoup de jeunes garçons ont leur première excitation en touchant ou même en essayant les soutiens-gorge, les bas ou les collants de leur mère. Beaucoup d’hommes adultes conservent cette fascination ou cette excitation. Ces articles féminins provoquent des désirs de soumission du mâle et l’envie de se soumettre à une femme. Là encore, cela n’a rien à voir avec l’homosexualité.
La féminisation forcée est différente du propre désir de travestissement. La féminisation forcée vient de la femme qui force son soumis à s’habiller comme une femme, contre sa volonté. C’est une forme de domination et d’humiliation. L’idée de la féminisation forcée est d’obliger un homme qui n’en a aucun désir de se vêtir comme une femme pour l’amusement de la femme. L’homme se plie et se soumet car il aime ressentir l’obligation d’obéir aux volontés d’une femme. C’est un classique de la domination féminine.

Le god ceinture et la féminisation sont des pratiques communes dans les activités des femmes dominatrices dans les couples hétérosexuels. Si votre mari vous a demandé cela, c'est qu’il désire expérimenter votre domination dans ces domaines. Ces activités ont une signification pour lui, justement parce que vous êtes une femme. Il veut ressentir la domination et le pouvoir de la femme.  

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 07:43

 



COMMENT GERER LA DECOUVERTE
 : Pour les Dames

De Cindy B

Bonjour Elise : mon nom est Cindy et j'ai 26 ans et j'achève mes études de droit. J'aimerais partager avec vous l'histoire de ma progression dans la domination, et comment j'ai entrainé ce qui a été mon mari, mon "mâle Alpha", à être mon esclave. Quand j'ai quitté le collège à 18 ans, j'étais sexuellement naïve. J'ai rencontré mon mari Brian qui avait trois ans de plus que moi. Nous sommes tombés amoureux très vite. Nous étions jeunes, rebelles, et amoureux, alors nous avons décidé de nous marier.

A ce moment notre vie sexuelle était active. Nous avions des relations presque chaque jour, et j'étais très généreuse en ce qui concerne les fellations et les jeux de mains. Il est important de noter qu'il avait une personnalité très macho. C'était un sportif typique avec beaucoup de testostérone.

Tout semblait parfait. Il a finit ses études et a décroché un bon job. Je suis tombée enceinte à 19 ans et de nouveau à 21 ans. Nous avons eu un beau garçon et une belle fille. J'ai dû arrêter mes études mais ses revenus étaient suffisants pour vivre confortablement. 

Puis un jour tout a changé. Il y a environ 10 mois, nos enfants étaient chez leur tante, et moi en shopping avec des amies. Mon mari était à la maison, seul, et ne pensait pas que je reviendrais si tôt. Ce fut un CHOC, en entrant dans la chambre et en le découvrant se masturbant, portant une de mes paires de collants. Il fût extrêmement embarrassé. Je ne savais pas si je devais crier ou pleurer. Je quittai la maison chamboulée. Nous avons parlé au téléphone cette nuit-là et le lendemain nous avons discuté. Il me confessa qu'il était fétichiste des bas, des maillots et des collants. Il me confessa qu'il était aussi très soumis et aimait l'idée que je dirige.

Fétichisme, désirs de soumission? J'étais juste une jeune femme, et ne connaissais rien à tout cela. J'entamai des recherches sur ce sujet. Avec l'aide de votre site et de quelques autres, je finis par prendre connaissance de ce domaine que j'ignorais totalement avant. J'aurais dû deviner pour les collants. En plusieurs occasions, il m'avait acheté de la lingerie, y compris des bas. A chaque fois que j'en portais, il devenait fou. Il me dit ne pas m'avoir parlé de son fétichisme avant, car il en était gêné. Je  me suis aperçue qu'énormément d'hommes sont fétichistes.

En ce qui concerne la soumission, plus j'apprenais à ce sujet, plus cela m'attirait. Je n'y avais pas songé avant, mais l'idée de voir mon gros macho devenir mon esclave et moi être une Reine dominatrice obtenant tout ce qu'elle demande me plut vraiment. L'heure d'un changement de vie avait sonné. La première des choses que je lui ordonnai était d'en finir avec la masturbation. Je m'assure à présent qu'il pert cette petite habitude égoïste en lui faisant porter une CB2000.

Cela va sans dire, le temps des fellations est aussi révolu. Et pas besoin de pénétration. Nous avons déjà deux beaux enfants, et je n'en veux pas d'autres. Au départ, il supplia, il cria, il me demanda de ne pas lui interdire cela, mais je dirige à présent, et je fixe les règles. Cela prit un peu de temps pour tout lui faire accepter, mais il s'y est fait, y compris  le fait que je contrôle ses orgasmes. Bien sûr j'ai mes propres besoins sexuels, dont il prend soin avec sa langue ou avec un de mes petits jouets sexuels.  Il fait un superbe travail et mes désirs sont totalement comblés. En ce qui concerne son fétichisme, je l'utilise comme récompense pour un bon comportement. Mais je régule son accès à celui-ci. J'ai enfermé à clefs mes dessous car il aime l'idée d'en porter lui même. Ensuite j'en porte assez souvent, mais je ne laisse pas me toucher. Je l'excite de temps en temps en laissant trainer ma jambe contre la sienne, en lui souriant comme si de rien n'était. Ou parfois je porte mes collants sous mes pantalons. Je le laisse toucher mon pantalon en disant des choses comme "C'est super. Le collant que je porte sous mon pantalon est fin. C'est si bon de les sentir sur ma peau, quand tu te frottes à moi. Que c'est dommage que tu ne puisse les toucher". A la fin de la semaine (ou plus souvent s'il a été TRES bien), si la maison est parfaitement tenue, si les enfants ont bien été mis au lit, si le dîner a été bon, je le satisfais. Il y a bien des manières de le faire, mais elles incluent le port de dessous et le fait de les laisser les embrasser, les toucher, ou même de lui en faire porter. Comme j'aime l'interdire d'orgasme,  et comme l'idée de pratiquer le milking ne m'attire pas, je le laisse avoir un orgasme pour la bonne santé de sa prostate environ une fois toutes les six semaines. Il se masturbe en ayant mis une paire de bas roses puis en les frottant à son pénis. Puis il s'allonge sur le sol et éjacule (aucun lubrifiant autorisé) en me disant combien je suis belle, combien il m'aime et combien je suis une Déesse.

Elise, merci beaucoup pour votre site. Il m'a énormément aidée dans cette expérience. Comme vous pouvez l'imaginer, l'abstinence et l'interdit d'orgasme on changé en mieux mon mari. Il est plus attentif et aimant. Il n'y a plus aucune dispute et nous sommes tous les deux heureux. Nous nous aimons tellement… Ce style de vie est parfait pour nous. 

 

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 07:40
De Lisa R:
 

Je m’appelle Lisa et j’ai épousé mon mari Tom il y a 12 ans. Je vous envoie un GRAND MERCI pour votre site qui nous a aidé à découvrir une relation basée sur la domination féminine qui fonctionne très bien pour nous. Tom a 41 ans et travaille dans une société pharmaceutique alors que je suis professeur de faculté. Nous avons deux belles filles qui ont 11 ans et 8 ans et nous vivons dans un appartement confortable.

Notre vie a changé voici deux ans quand j’ai pris le contrôle de notre mariage pour l’amélioration de tout. Je ne suis pas prude ou sexuellement inexpérimenté mais j’avais été choqué il y a 5 ans quand j’avais découvert que Tom visitait des sites Bdsm sur l’Internet. Je l’avais mis en garde et il avait promis de ne plus le refaire, mais en fait il retournait les lire tous les six mois. De plus, notre vie sexuelle s’était étiolée à de rare fois par mois ou même par an. Je sentais que ma vie partait en quenouille mais je l’aimais tout comme nos enfants, alors j’ai compris que nous devions évoluer pour pouvoir rester ensemble.

Nous fîmes toutes les choses classiques d’un couple, comme de célébré une nuit anniversaire de notre rencontre une fois le mois, et nous avons tous deux suivit un régime pour retrouver la ligne, mais cela ne suffisait pas. Après plusieurs longues discussions avec Tom concernant sa fascination pour la domination et la soumission, j’ai été d’accord pour essayer mais seulement selon mes conditions. Je refusais de devenir une de ses « salopes » portant le fouet, vêtue de cuir afin de satisfaire les fantasmes de domination féminine de Tom, car je trouvais cela un peu ridicule. S’il voulait que je le domine au sein de notre couple, alors il aurait à accepter ma façon de le faire et que cela soit transparent vis à vis de nos enfants, de notre famille et de nos amis.

Avec l’aide de quelques sites parlant de ce sujet et particulièrement le votre, j’ai réussi à faire le distinguo entre le fantasme de domination et la vie courante. J’ai donc décide que nous essayerions honnêtement ce mode de vie, mais prévins Tom que si j’entendais seulement le mot fouet ou chaine je stopperais là cette expérience. Mon but était d’alléger ma charge de travail domestique car Tom ne m’aidait pas autant qu’il l’aurait dû, et de redonner de la vigueur à ma vie sexuelle. J’ai eu l’accord de Tom pour que je prenne le contrôle de tout pour la gestion de la maison et de notre intimité dans tous leurs aspects. Cela signifiais que nous pouvions parler de tout, mais que seule moi décidais toujours.

L’étape numéro un, fût les tâches ménagères. Je sentais que Tom ne s’en occupait que quand je lui demandais. Il ne prenait aucune initiative ou responsabilité à la maison et si je ne le harcelais pas il n’aiderait jamais. Je lui dis donc que tous les dimanches soir après le couché des enfants, nous ferions une petite réunion où je planifierais les tâches de la semaine. Les quinze premiers jours je le guidais ainsi dans l’élaboration d’un planning de tâches, car je doutais qu’il sache vraiment tout ce qu’il y avait à faire. Après cela il a du préparer avant la réunion, un planning que j’approuvais ou amendais. J’y ai aussi incluse du bricolage. La majorité des tâches devait être journellement effectuée, mais de plus il devint celui qui s’en occupait. J’ai continué à faire le plus souvent les repas, comme je rentrais plus tôt que lui à la maison, cependant les vaisselles, le linge, et plus de 50% du ménage hebdomadaire et tous les travaux (sauf mon jardinet) furent de son ressort. Les gouters des enfants furent partagé, comme je veillais à leur petit déjeuner.

Dans la logique de la domination il y eu désormais des conséquences pour ne pas avoir mené à bien les tâches ou les avoir mal faite. Les petites erreurs furent sanctionnées avec la perte de privilèges. Tom adore le sport. Le foot, le basket, le tennis, le golf ! Que ce soit pour voir les rencontres ou en faire. S’il ne faisait pas bien ses tâches ménagères selon le planning ou qu’elles n’étaient pas à ma convenance, je ne l’autorisais pas à voir un match à la TV. S’il y avait plus d’une ou deux erreurs dans la semaine, il avait interdiction de sortir avec ses amis ou interdiction d’une chose qu’il aimait faire. Aucune exception n’était recevable. Le planning était construit le dimanche et devait avoir été suivit.

La seconde étape fût de bouster notre vie sexuelle. Je sais que j’aurai à être un peu plus imaginative et coquine, mais j’avais encore l’intention de garder le contrôle total à mon plus grand bénéfice. J’ai instauré une heure de coucher pour Tom afin qu’il ne passe pas toute la soirée à regarder du sport ou je ne sais quoi à la Tv. Je ne fus pas une salope totale car je comprenais qu’il ait du plaisir à ces matches du foot du dimanche ou du lundi soir mais aussi pour d’autres sports à d’autres périodes de l’année. J’indiquais dans son planning qu’il avait deux soirs de son choix par semaine pour regarder ses matches, à condition que je n’aie pas planifié autre chose pour nous déjà. Tous les autres soir, couché à 22h – 22h30. En lui laissant ainsi certains soir où pour ses matches où il peut se coucher plus tard, je savais que je pouvais ainsi lui ôter ce privilège si je voulais le punir. Tous les autres soirs il a à être à mon service au lit.

Il a des devoirs différents chaque nuit. Parfois des massages, parfois utiliser sa langue pour mon plaisir. Parfois nous nous enlaçons juste mais le point le plus important c’est que c’est pour mon plaisir avant tout. Tom n’est pas autorisé à jouir même si je l’excite souvent avec mes mains et le mène prêt de l’orgasme, ou avec ma bouche s’il a vraiment été un bon garçon. En lui interdisant l’orgasme sauf quand je donne mon accord, je contrôle à présent la chose la plus importante chez tous les hommes. Son pénis.

Pour jouer avec ses fantasmes de soumis, je lui attaché parfois les poignets aux lit, ou je le fais mettre allongé et m’assied sur son visage pour qu’il me donne du plaisir.

Nous avons progressés petit à petit au cours des deux dernières années, et nous avons intégrés plus de bdsm au sein de notre relation afin de satisfaire les besoins de Tom et un contrôle quotidien plus poussé pour satisfaire à mes besoins. J’avoue franchement que j’ai vraiment commencé à aimer avoir le pouvoir bien plus que je ne m’y attendais. Nous avons acheté quelques jouets incluant un paddle, des menottes pour poignets et chevilles, un collier, une laisse et une cage de chasteté. Bien que nous n’utilisons que rarement ces jouets en raison de la présence des enfants, je nous réserve un We par mois et j’ai appris à aimer ces sessions. Le bondage et la fessée au paddle sont nos pratiques les plus courantes, mais croyez moi, quand je punis Tom, il sait qu’il est puni !

Pour moi c’est un grand changement, je n’appréciais pas du tout dans le passé ce genre de fantasme. Ce que j’ai découvert dans la modération et la progressivité (et seulement quand j’en ai envie !), c’est que j’ai vraiment commencé à avoir beaucoup de plaisir au bdsm. Sur un plan plus subtil j’exerce ma domination en obligeant Tom à avoir son appareil génital toujours propre et rasé, à l’obliger à faire pipi assis et si l’humeur m’en prend ou comme punition je lui fais porter un jolie paire de bas féminin un jour ou deux dans la semaine. Je lui fais retirer son slip dans les grands magasins. Ce que j’ai découvert, c’est que quand il porte des bas, Tom se souvient en permanence que j’ai le pouvoir. Mon contrôle s’est accru durant les derniers mois, Tom devant à présent demander la permission avant d’aller voir des amis ou de sortir faire du sport. Pour les achats il propose, mais je décide. Il ne conteste pas. Je lui donne de l’argent de poche une fois par semaine en monnaie et il doit demander systématiquement l’autorisation pour utiliser sa carte de crédit sauf l’essence ou les achats pour nos enfants.

Notre dernier rajout est le jour des punitions, que je nomme « les 24h de complète soumission ».   C’est fait pour redresser les mauvaises performances du mois même s’il a perdu des privilèges au moment où il a fait les infractions. C’est une façon pour lui de vivre ses désirs de domination soumission à un niveau plus élevé et pour moi de m’amuser avec les aspects plus évidents de la bdsm de notre relation. On le fait quand les filles sont chez leurs grands parents pour la nuit.

De 6h du matin et pendant 24h Tom est a moi. Pendant cette période il doit demander la permission pour tout, depuis prendre un verre d’eau, à utiliser les toilettes ou la façon de s’habiller. Aucune exception ! Même s’il est dehors et qu’il veut aller aux toilettes, il doit m’appeler sur son portable et demander la permission. Parfois je dis non et lui dis de rappeler dans 10 minutes juste pour le torturer. A la maison il est gardé nu pendant 24h sauf pour sa cage de chasteté ou tout autre bondage que je lui ai fait porter des heures, sauf si nous avons de la compagnie. Le grand avantage de la cage de chasteté est qu’il ne peut avoir d’érection. Il doit de plus s’asseoir pour faire pipi tout comme les femmes. Rien ne tombe plus sur la cuvette des toilettes.

En dehors de la maison il porte sa cage de chasteté et des bas sous ses vêtements. Si nous sommes dans une ville où l’on ne nous connaît pas et allons au restaurant, je commande pour lui et je demande que l’addition me soit porté à moi, car mon mari n’a pas l’autorisation d’avoir de l’argent sur lui. Les regards qu’il reçoit alors sont sans prix. Tom a l’autorisation de jouir en moi, mais qu’une fois par semaine. Pas de masturbation, jamais ! Si je crois qu’il triche j’utiliserai la cage et augmenterai le nombre de jours entre les relations sexuelles à deux semaines ou plus. Après tout je suis contenté par sa langue à chaque fois que je le désire, alors je n’ai aucun souci d’attendre les pénétrations. Ces We sont très amusants pour nous deux et nous permet de savoir pourquoi nous vivons ce type de vie.

Est-ce que mon mari est moins qu’un homme en raison de sa soumission à mon égard ? Non ! Il est au contraire bien plus homme car il peut suivre la direction d’une personne qu’il aime et il sait que je le protège et l’aime. Je suis si heureuse avec ces changements dans nos vies. Nous avons perdus tous les deux du poids car nous avons organisé notre vie aussi à ce niveau avec des exercices physiques dans le planning et le désir de nous plaire l’un à l’autre. Je suis bien plus confiante en moi dans ma vie et mon travail. Tom est heureux et content de vivre comme un mari soumis. Nos enfants sont plus heureux car nous ne nous disputons plus et qu’il n’y a plus de tension à la maison. Même nos amis nous voient comme un couple d’amoureux. Tout n’est peut être pas due à ce style de vie, mais l’essentiel certainement.

Merci encore pour votre site. J’encouragerai toutes les femmes, soft ou non, de prendre le pouvoir à la maison. Vous n’avez pas besoin de vous vêtir de cuir avec un fouet pour avoir un mari soumis et obéissant. Parfois il suffit d’une robe de soirée noire et d’une belle paire de chaussure.

 

Réponse d’Elise

 

Lisa, votre histoire est juste une preuve supplémentaire que si un homme désire vivre une relation sous la domination de sa femme, il doit se soumettre à elle à la façon dont elle le désire. La domination féminine parle de la manière dont un homme sert une femme. Ce n’est pas la manière dont une femme devient le fantasme de l’homme. C’est un art de vivre où l’homme se dédie et se donne à sa femme.

Votre mari à fait exactement cela et du coup vous avez pu découvrir et aime ce mode de vie. Pourquoi les femmes n’aimeraient’ elles pas ? Là où les hommes se trompent c’est quand ils essayent de diriger en sous main ; Mais quand un homme montre à une femme les intérêts, ou comme dans votre cas quand une femme est d’accord de devenir dominante tant qu’elle le fait à sa façon, la nature dominante de la femme se réveille et elle en vient à désirer à essayer un peu de D&s dans l’intimité. C’est ce qu’il vous est arrivé et à présent vous aimez la D&s autant voir plus que votre mari, mais vous le limiter, ce qui le rend spécial.

Je vous félicite et j’espère que votre histoire sera un grand exemple pour les autres couples.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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