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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 07:50

 

From: valerie...@hotmail.fr
Date: Tue, 5 Apr 2011 20:32:47 +0200

Bonjour,
 
Vos conseils ont été très précieux pour notre couple.

 


Ce week end j'ai longuement parlé à Christophe (non féminisé), et il m'a dit à plusieurs reprises qu'il aimait sa façon de vivre actuelle.

A un moment il m'a ouvert une porte en me disant que jamais il me refusera quelque chose et la très naturellement je lui lance "même un amant ?".
Il ne m'a pas répondu mais le mot amant était laché ! et j'ai continué avec vos mots "si tu désires vivre une situation de soumis tu dois accepter que cela se produise".
Et à ma grande surprise jn n'ai pas eu trop de mal à le convaincre. Je lui ai dit que j'était la plus queen_elizabeth_i.gif heureuse maitresse du monde !

 

Je suis allée très loin dans la discution en lui disant que j'aimerai qu'il prenne du plaisir en me sachant dans les bras d'un autre homme.
Qu'il accepte sa présence chez nous et que j'aimerai qu'il nous soit soumis(e) à nous deux.

Afin de le priver de toute liberté sans mon autorisation je lui ai demandé de disposer de l'ensemble des ces revenus.
Il n'a opposé aucune résistance, et trouve cela tout à fait normal que je dispose de l'ensemble de ses revenus.
A partir du mois prochain il me fait virer son salaire sur mon compte!
 
Nous avons aussi longuement parlé de sa féminisation car je prends énormément de plaisir à modifier sa personnalité.

 


Mais l'apparence est une chose, mais je voudrai qu'il se comporte avec moi comme une femme.
C'est à dire s'interresser à tout ce que les femmes aiment.

Pouvez vous me donner des conseils pour lui faire ressortir un côté féminin trés prononcé.
Que pensez vous de l'hynose ?
 
A vous lire
 
Valérie

 

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Bonjour Valérie.

 

Et ce domaine très particulier qu'est la féminisation, le meilleur conseil que je puisse vous donner est d'écouter.

 

Ecoutez votre soumis, faites lui parler de ses désirs. Rajouter en plus quelques notes personnelles comme le fait qu'il doivent parler de lui au féminin, et vous aussi devez apprendre à lui parler au féminin.

Ecoutez votre propre vie de femme, et faite la lui partager. Autant pour la toilette, l'habillage le maquillage, que pour les boutiques, ainsi que la vie d'intérieur. Rajouter cela au fait que vous pouvez lui interdire tout ce qui touche au masculin, loisir, emission sportive, etc...

 

Vous devez lui dire d'apprendre à ne penser que comme une femme, et le lui apprendre.

 

Pour terminer, je dirai que si vous n'en avez pas déja, l'achat d'un bon god ceinture est indispensable (n'hésitez pas pour cet objet à mettre le prix, il y a tant de camelote. En cuir à bande large).

Il va faloir aussi qu'il n'ai plus qu'une sexualité féminine. A Vous de faire en sorte qu'il s'ouvre. Vous pouvez regulierement le faire avec des gants en latex, et lui faire porter des plug de plus en plus gros. Une heure par jour est ideal.

Ainsi au bout de quelques mois vous pourrez le prendre, ou meme le faire prendre sans soucis.

 

Concernant l'hypnose, je n'ai aucune expérience en ce domaine et ne peux vous conseiller.

 

 

Bonne chance.

 

Ms Dana.

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Par LO
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 07:45
Bonjour à vous ,

Je suis le mari d'un couple, dominé sur le plan sexuel depuis maintenant deux ans par mon épouse . Nos rapports sexuels ne comblant plus mon épouse , je lui ai proposé la possibilité de me tromper quand elle le souhaiterai . après beaucoup d'hésitations de sa part, nous nous sommes mis d'accord sur le principe d'une domination sexuelle totale et entière de sa part , libre à elle d'avoir des amants si elle en manifeste l'envie, par contre obligation pour moi de lui rester fidèle.

Nous fonctionnons de cette façon depuis deux ans ,nos rapports sexuels lorsqu'elle le décide , sont de sa part biens plus actifs qu'ils ne l'étaient avant cette décision.

Patrick
 

Réponse de MS.Dana :
 

Je ne suis aucunement surprise par ce que vous nous racontez. Quand un couple se met d’accord dans ce mode de vie pour que la maitresse puisse avoir des amants, c’est souvent un élément moteur d’excitation du soumis.

 

Il a une dimension éminemment psychologique :

 

Et cette excitation que de savoir que sa femme et maitresse peut librement sortir avec d’autres hommes ou femmes a un effet immédiat et évident sur la libido. Elle la renforce et donne à l’homme soumis un surcroit de désir envers elle, en plus d’un surcroit de soumission.

C’est souvent un jeu mental. La domination est avant tout mentale en réalité. Tant d’hommes soumis ont ce désirs avoué ou non que leur Dame aient un ou une amante, qu’ils en viennent à en parler puis à la pousser à franchir ce cap.

 

Seulement c’est un cap qui n’est pas si simple à franchir. Surtout dans les couples nouvellement formé. On peut imaginer que pour des couples vivant de longtemps ensemble, la maitresse peut avoir envie d’aller vivre ailleurs des aventures. Mais pour un couple récent elle n’a pas forcement envie d’aller le faire de suite.

 

Il lui faut donc du temps, malgré cette liberté acquise après discussion avec son soumis. Car on ne peut imposer cela à un homme qui se donne à vous. On peut en parler, lui dire ses souhaits, mais ce domaine de la domination est très particulier, car il comporte des risques évidents pour la relation.

 
Les risques :
 

1/ La plupart des femmes vivent l’amour intime par le sentiment. On dit souvent qu’une femme doit aimer pour faire l’amour et qu’un homme doit faire l’amour pour aimer.

 

2/ Le risque est cependant double : Il faut que l’homme ne devienne pas trop jaloux, ce qui le ferait entrer dans une démarche destructrice, mais qu’il canalise sa jalousie en une soumission plus grande. C’est très facile à tester d’ailleurs.

Il suffit d’inventer des sorties avec d’autres en étant un peu fine, et de voir comment il réagit. S’il réagit bien c’est qu’il sera prêt à l’accepter.

 
Les avantages :
 

Comme je le disais un surcroit de libido au sein du couple.

Une soumission plus grande du compagnon.

Une liberté de la femme qui peut vivre ce qu’elle ne soupçonnait pas.

 

Alors oui, c’est une démarche qui n’est pas si facile. Mais une fois gouté, une fois soulagée de cette culpabilité et du poids de l’éducation sociale en ce domaine plus qu’ailleurs, il est plus que fait probable que le plaisir et la découverte puisse être au rdv.

 

Mais cette façon d’ouvrir des nouveaux horizons, malgré ce qu’elle peut apporter comme énorme bénéfice aux couples y réussissant, n’est pas offerte à tous les couples. Alors prenez votre temps … et laissez là vivre ou non ce qu’elle a envie de vivre et de découvrir.

Et vous pourriez être là aussi surprit … qu’elle aille bien plus loin que vous ne l’auriez pensé… mais prenez conscience qu’une fois la boite de pandore ouverte, vous ne pourrez plus aisément revenir en arrière. Quand on goute à des plaisirs et que l’on aime, il est bien difficile de s’en voir ensuite frustrée.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 07:08

LE GUIDE DE L’ADULTERE

Le fantasme de voir ou savoir que votre femme prend du plaisir avec un autre est très commun, mais qu’en est’ il de la réalité ? Voici la dynamique des motivations du parfait cocu ; le plaisir d’être trompé !

Le mot « cocu » vient probablement du fait que la femelle « coucou » va avec d’autres mâles avant de retourner toujours vers le sien, et qu’ensemble ils élèvent les oisillons qui résultent de ses rencontres à elle. Traditionnellement chez les humains l’homme cocu est tourné en dérision ; quand on découvre qu’une femme prend son pieds dans le lit d’un autre homme, elle devient la femme adultère et lui le cocu.

Dans le contexte d’une vie alternative, le cocu est au courant des « infidélités » de sa femme et en est excité. Il peut soit avoir des relations sexuelles classiques avec sa femme, ou il peut avoir admit qu’elle ait choisit un autre homme pour le remplacer complètement dans sa vie sexuelle.

1/ Pourquoi une personne choisirait’ elle d’être cocu ?

Plusieurs combinaisons d’explication peuvent expliquer cette règle dans un couple ayant ce mode de relation.

La soumission : Devenir cocu est souvent une preuve de totale soumission, avec l’élément supplémentaire qu’au moins une autre personne (l’amant) est au courant du statut du cocu. Les cocus peuvent prendre plaisir en servant leur femme et, dans certains cas, son amant aussi. Si une personne veut vivre une grande soumission, elle peut devoir amener le petit déjeuner dans le lit à sa femme et son amant ; et s’il veut se sentir particulièrement dominé par sa femme, elle pourra lui dire de les laisser seuls afin qu’ils fassent l’amour sans être gênés, ce qui sera particulièrement excitant. De plus le fait de savoir qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut dans le domaine sexuel, alors que lui est frustré et ne peut en avoir que si et comment elle le décide, est probablement la soumission ultime.

L’humiliation :

C’est de la D&s mentale. Pourquoi quelqu’un choisirait d’être “dressé”, et trouverait cela sexuellement excitant ? Si vous pouvez comprendre cela, vous pouvez comprendre l’attrait de l’humiliation comme un stimuli sexuel. Si un homme cherche à être humilié, qu’est ce qui pourrait être plus humiliant pour lui de voir, d’entendre et d’apprendre que sa femme a choisit un autre homme pour son lit ? Si cette expérience inclus le fait que la femme dise ouvertement que l’amant est mieux pourvu, ou meilleurs amant que le mari, l’humiliation est complète.

La jalousie :

La jalousie est excitante pour les soumis. En fait c’est probablement ce qui les fait vibrer le plus. Après tour, voir ce qu’il a perdu ; la fidélité de sa femme, le corps de sa femme (temporairement, ou définitivement), sa place de partenaire sexuel égal, sa dignité … et tout cela le transforme en un autre homme. Personnellement quand j’ai commencé à sentir la jalousie, je me suis sentis vraiment cocu et très excité !

Le voyeurisme :

Bien que je pense que cela soit secondaire aux deux raisons évoquées plus haut, il est vrai que nous avons peu d’occasion dans la vie de voir un couple faire l’amour. C’est pour cela que les films sexy se vendent si bien. Mais rien ne peut égaler la réalité, votre femme devant vous … ayant invité un autre homme.

La peur : 

Un cocu explique son plaisir par le fait qu’il vient « en partie par la peur et par l’excitation ». La peur est un aphrodisiaque puissant … peut être mon corps a t’il besoin d’un certain montant d’adrénaline, qui ne peut être produite que par la peur. Qu’y a t’il à craindre là ? Un cocu peut avoir peur (et en être excité) de la pensée d’être humilié par sa femme devant son amant. Il a peur qu’on puisse l’empêcher de jouir pour une période prolongée. Il peut avoir peur d’entendre des soupirs de plaisir de sa femme qu’il n’a encore jamais entendu quand elle était dans le lit avec lui. Ou il peut avoir juste peur de l’inconnu….

L’inconnu :

La plupart des cocu dissent qu’ils ne savant pas pourquoi cela les met dans cet état là, mais pour la plupart, c’est un fantasme sexuel des plus puissant. Comme je le disais à ma femme; je préfèrerais la voir avec un autre homme dans un lit plutôt que d’avoir moi des relations avec une autre. Comme la plupart des fantasmes, on peut en expliquer certains éléments, mais pas la globalité. Beaucoup de cocus disent qu’ils ne savaient pas que cela les attirait, jusqu’à ce que leur femme discute avec un bel homme, ou leur raconte qu’elle a été draguée. Soudain l’homme ressent alors comme une « injonction » et se demande ce qui lui arrive. C’est ainsi que cela apparaît souvent.

2/ Pourquoi une femme choisirait’ elle l’adultère ?

Bien qu’il y ait des femmes qui mentent simplement à leur mari, ce n’est pas le sujet, car il ne s’agit pas alors d’une décision mutuelle. Si vous découvrez que votre femme vous ment, ne lisez pas cet article et aller voir un avocat.

Tant de cocus décrivent des années et des années où ils ont demandé à leur femme de prendre un amant. En général la femme s’y oppose pour plusieurs raisons. Déjà cela va à l’encontre des promesses de fidélité, et elle ne peut croire à autre conséquence que la ruine de leur relation. De plus, ce qui fait souvent peur aux femmes, est que si elles prennent un amant leur compagnon lui prendra une maitresse. Enfin, beaucoup de femmes surtout à partir d’un certain âge ont peur qu’aucun autre homme ne puisse les trouver attirantes et ne veulent pas se trouver face à un échec. Enfin elles ont peur (avec de bonnes raisons) de faire de mauvaises rencontres.

Alors pourquoi disent’ elles oui ?

Bien que certaines le font simplement parce que leur mari ne sont pas d’assez bon amants, je crois que la plupart commencent (notez bien que je dis « commencent ») tout simplement pour satisfaire à la demande de leur compagnon « d’essayer cela ». De plus si elles ont eu assez peu d’expériences sexuelles avant leur mariage, elles peuvent être curieuses de voir ce qui existe, et si elles en ont eut de médiocres elles se demandent pourquoi le faire.

Une fois que la femme commence à voir d’autres hommes, elles franchissent un pas, et ce n’est pas facile souvent : celui de l’adultère. Après tout elles aiment leurs compagnons, et c’est difficile de croire que leurs maris veulent réellement qu’elles aient des amants et qu’elles puissent aimer plus encore le sexe avec eux.

C’est tout aussi difficile de croire de plus, que le mari puisse vouloir entendre cela de sa femme. En général elle commence tout doucement, car elle hésite à relater en détail à son mari les plaisirs qu’elle à eut. Elle remarquera incrédule la réaction que ce qu’elle racontera provoquera, et notera que plus elle est explicite, et plus elle en dit sur son plaisir, plus son compagnon deviendra fou d’elle.

Si son compagnon la regarde dans son lit avec son amant, elle sera très hésitante pour extérioriser son plaisir, alors qu’il est évident que cela l’exciterait lui beaucoup.

Alors pourquoi le faire ?

Selon les mots de ma femme , « Je peux avoir le beure et l’argent du beurre ». En quoi est-ce mal pour une femme de comprendre que son mari fera tout pour qu’elle s’éclate avec son amant, et qu’il l’attendra impatient à son retour (souvent avec une maison impeccable) après son plaisir !

Revenons à la peur de la femme qu’aucun autre homme pourrait la trouver belle ; imaginez sa surprise et son bonheur quand un bel homme, intelligent qu’elle va rencontrer est très excité ! Le voir bander pour elle, le voir excité quand elle se déshabille, quand il la touche … lui fait ressentir à elle des sensations géniales pour son égo !!

Quel est la différence entre un cocu et un homme avec une femme nymphomane ? Tout simplement l’assentiment de son mari.

3/ LES PRINCIPAUX THEMES DE L’ ADULTERE
« Il est plus gros que toi » :

Nous ne pouvons pas changer ce dont Dieu nous a pourvu. Peu de femme épousent un homme en raison de la taille de son sexe, mais ce sujet a fait couler beaucoup d’encre et sur le fait que bien des femmes disent combien c’est agréable de se sentir « totalement remplit ». Alors la femme cherche (ou fait chercher par son cocu) un homme qui est bien membré. Certaines femmes disent qu’un gros sexe est douloureux et inconfortable, mais si elle découvre un jour l’expérience d’être totalement remplit, même leur compagnon reconnaissent qu’ils ne peuvent leur apporter ce que leur apporte leur amant.

Dans nos société, dans laquelle « plus c’est gros plus c’est bon », c’est vraiment humiliant pour un homme de voir que son propre sexe est plus petit que celui avec lequel sa femme a choisit de prendre du plaisir et qu’elle prend entre ses jambes à elle. Sans mentionner les conversations avec son amant, qui lui dit combien il est bon d’être « bien au fond d’elle », et se moque du fait qu’il ne peut pas lui mari comprendre cela.

« Il est meilleur que toi » : 

Pourquoi les femmes ne s’apercevraient t’elle pas avec une certaine surprise, après 5, 10 ou 20 ans de mariage que le sexe est bien plus amusant qu’elle ne le pensaient ?

Et pour les cocus l’embarras est même bien plus grand que si son amant était au moins mieux doté. Au moins s’il est mieux doté vous pouvez dire que vous n’y pouvez rien. Mais s’il est meilleurs, particulièrement s’il est de la même taille que vous, alors la simple vérité est ; « Tu n’es pas un aussi bon amant que lui » (c’est une vérité diplomatique, la simple vérité est que le cocu est médiocre sexuellement parlant).

L’amant de Sabine, l’homme qui l’a décidée à me tromper de façon permanente, est doté comme moi. Mais quand je demande à Sabine de nous donner une note, il a un 20/20. Après m’avoir demandée si je voulais vraiment savoir la vérité sur moi, elle à dit 10/20. A présent quand on fait l’amour, elle dit souvent qu’elle préférait que ce soit lui qui soit en elle. Je serai très blessé par cela, si je n’étais pas devenu un éjaculateur précoce.

 
« Ne me touche pas !” :

C’est là la plus grande différence entre une nymphomane et une femme pratiquant l’adultère. Les cocus en général n’ont plus le droit de « toucher » à leur femme avant ses « rdv », sauf pour la nettoyer, l’habiller ou l’aider à se maquiller ! Et bien sur, cela a un sens : Si le mari n’est pas l’amant, pourquoi ruinerait’ elle son maquillage ? Dans mon cas environ 4 jours avant ses « rdv », Sabine m’interdit de la toucher ou même de la voir nue ; Ses propres mots sont : « Je me garde pour lui ».

Dans des cas plus extrêmes, quand la femme a remplacé sont mari par un autre hommes (ou par des hommes), sur une base permanente, elle peut lui interdire son corps de façon permanente. Dans ces cas là, la simple vue de sa poitrine ou de la chair de son pubis peut lui amener un orgasme !

« Nettoies la maison pendant mon absence !” : Si le mari reconnaît son infériorité sexuelle, il cherchera à la compenser et à montrer qu’il est indispensable à sa femme de toutes les façons possibles. Il va devenir le mari le plus obéissant de la planète ! Rappelez vous que vous le frustrez, et qu’en lui ordonnant de nettoyer la maison fera que le simple fait de faire les tâches domestiques lui rappellera qu’il les fait car il n’est pas bon au lit. Cela pourrait même engendrer pour lui des érections en faisant les travaux domestique. Là encore dans mon cas, Sabine m’appelle ainsi « He le médiocre … » et je m’exécute.

Regarder ou attendre ? :

Il y a de nombreuses discussions pour savoir ce qui est le plus érotique : regarder sa femme dans un lit avec un autre, ou l’attendre seul à la maison (ou ailleurs), alors qu’elle s’éclate avec lui. En général le cocu n’a pas voix à la question. Sa femme sera plus à l’aise dans une situation ou une autre, c’est pourquoi c’est elle qui choisira.

Voir une scène sexuelle devant vous et réaliser, encore et encore, que la femme que vous regardez et qui montre autant de passion est votre femme, est à couper le souffle. Même si vous participer vous ne l’oublierez pas. Voir un pénis entrer et sortir dans un vagin est très excitant, mais quand il s’agit de votre femme, c’est bouleversant. Et voir et entendre ses orgasmes … est génial.

D’un autre coté, si l’esprit est l’orgasme sexuel le plus puissant, pas mal disent que le soumis qui reste à la maison en se masturbant, se demandant ce que sa femme et son amant sont en train de faire. Si vous pensez que les ado jouissent beaucoup en se masturbant, je vous assure qu’ils sont des amateurs au regard d’un cocu pendant les 6 heures d’attentes !

« Crème pâtissière » :

Je vais parler d’un lieu commun, qui transporte tant de cocu ! Que ce soit par soumission ou humiliation, lécher la semence d’un autre home qui coule du sexe de votre femme est le fantasme numéro 1. Pourquoi ? Je crois que c’est la combinaison d’un certain nombre de tabous masculin :

Les hommes ne sont pas sensés boire du sperme.

Les hommes sont sensés garder leur femme dans la chasteté des rapports de couple.

Ejaculer dans une femme est un fort symbole de possession, et voir la semence d’un autre homme couler de l’endroit le plus intime est la preuve que vous n’êtes plus le seul dans sa vie … ou tout au moins dans son corps.

Si une chose symbolise le mieux que votre femme vous trompe c’est bien de voir la semence de son amant couler de son vagin, quand vous savez que ce n’est pas vous.

La seule raison pour qu’elle ait du sperme qui s’écoule d’elle est qu’elle a fait jouir son amant ; La semence qui s ‘écoule veut alors dire : « Non seulement elle te rend cocu, mais elle le fait bien ».

Le sperme n’a pas bon gout ; Devoir le lécher surtout s’il y en a beaucoup est très, très difficile, et constitue une humiliation terrible de la part de votre femme.

Si vous devez le faire devant son amant, alors qu’elle le lèche et l’embrasse, votre « place » est clairement définie pour tous. Surtout si les deux se moquent de vous en vous voyant avoir des difficultés à le faire.

Pour toutes ces raisons, la majorité des cocuS trouvent que « la crème pâtissière » est leur plus grand fantasme, et la plus érotique des expériences.

Une note sur les « femmes salopes » : Il y a très peu d’hommes qui veulent que leur femme soient une salope en couchant avec tout ce qui passe. Peu de cocu le souhaite, et je crois que c’est du à l’immense respect qu’ils ont de leur femme. Nous aimons à être humiliés, mais pas à ce que notre femme le soit.

LES PIEGES

Alors tout va pour le mieux, pourquoi s’inquiéter, et y a t’il seulement des pièges ?

 
Pleins !

Déjà le couple doit avoir une relation forte, positive et ouverte. Là vous allez jouer en vrai, et les deux doivent savoir exprimer ce qu’ils ressentent, et « d’arrêter » dès qu’il y a danger. De la bouche même d’un cocu : « l’amour, la confiance, la compréhension et l’esprit doivent être ouverts et honnêtes, ou le mariage n’y survivra ».

Le sexe est très puissant: C’est pour cela que les publicitaires l’utilisent !

Vous ne pouvez vous attendre à ce que votre femme ait des relations sexuelles avec un autre et qu’elle ne développe pas de sentiments pour lui (à moins que ce soit un raté). En fait l’adultère est même plus dangereux à ce sujets que les relations des nymphomanes, car le fantasme ultime du cocu est qu’elle aime plus son amant que lui !

 
Alors allez y étape par étape.

J’ai discuté avec de nombreux couples pour lesquels c’était un fantasme génial, mais en commençant à le matérialiser, ils réalisèrent qu’ils n’aimaient pas trop là où cela le menait. Je les ai applaudis, car il y a assez de divorces.

 
« Quelles sont nos limites ?” :

C’est une question qui devrait être posée encore et encore. Si vous vous aimez tous les deux, et que vous faites cela pour vivre une nouvelle expérience, alors vous allez être bouleversés et concernés par la façon dont l’autre vie cela, et si la dernière avancée a été bien gérée.

 

Mesdames l’excitation de votre mari, que ce soit lors de votre première rencontre ou si vous partez une semaine en vacances avec votre amant, vous dira si c’est une bonne idée ou si vous allez trop vite !

Rappelez vous, particulièrement quand la femme un amant, qu’il ne s’en ira pas comme un mouchoir jetable. Il est réel, et sa présence dans votre vie est réel. Comme le disait un cocu : « L’humiliation est très réelle. Elle ne s’arrête pas une fois que vous avez jouis trois fois. Son Amant est encore là et bien là ». Alors songez y, c’est une chose sur laquelle vous ne pourrez « revenir en arrière » ; Vous pouvez stopper certes, mais vous ne pourrez effacer ce qui a été fait, ou ce que vous avez dit. Si un homme ne veut pas vivre avec le savoir que l’amant de sa femme est plus doué que lui, ou qu’elle adore être avec lui, ou qu’il est mieux doté par la nature, alors ne commencez pas.

 

Messieurs, je peux vous donner juste la suggestion que Sabine m’annonça un jour : Elle a un veto absolu et un pouvoir sur tout, à tout moment. Elle peut sortir au restaurant, aller à l’hôtel ou avoir une conversation ; elle peut dire qu’elle va voir quelqu’un, elle peut dire quelque chose qui la rend mal à l’aise, … dans tous les cas je serai toujours d’accord. Une fois qu’elle aura comprit cela (qu’elle a peur de me décevoir, mais que ce sont pas mes fantasmes si elle n’y prend pas plaisir), cela lui donne la liberté de tester ses propres limites.

Soyons réalistes : L’internet est magique, mais il faut être prudent. Les gens peuvent être différents de ce qu’ils dissent être. Parlez beaucoup avant de rencontrer quelqu’un. Commencez par des emails, puis par le téléphone.

Allez ensuite au restaurant pour une première rencontre (souvenez vous les cocus payent toujours la facture !), et ne recevez pas la première fois. Cela donne à tout le monde la possibilité de se rencontrer, et à la femme la possibilité de savoir si elle veut partager son lit avec cet homme, et la possibilité de dire oui ou non, à tête reposée.

Par ailleurs comme on dit ; « prenez vos précautions ». Tout le monde a une vie, un travail, des enfants, et vous voulez conserver votre vie privée. Alors utiliser des pseudonymes jusqu’à ce que vous connaissiez bien la personne.  

 
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 06:49
De: dominique.

Subject: un long passé de D/s
Date: Sat, 7 Mar 2009 06:25:40



Chère Ms Dana,


Souffrez d’abord que je vous remercie pour la qualité de votre site et les bienfaits qu’il apporte a tous les pratiquants novices ou expérimentés des relations D/s. Vos réponses à leurs interrogations sont un modèle de pertinence, de tempérance et d intelligence. C’est un régal, si rare sur la toile.


Je viens ici vous conter ma longue histoire de soumis dont le vécu enrichira la variété de ceux que vous publiez. J’ai 54 ans.


Dans une relation amoureuse comme je l’imaginais déjà a huit ou dix ans, je me voyais vraiment kidnappé par ma maitresse dans une maison fermée de hauts murs et munie d’anneaux partout, de cages et de carcans, à la merci permanente de ses envies sexuelles égoïstes. Elle me faisait travailler, me fouettait ou m’attachait comme elle l’entendait, me promenait en laisse dans le jardin ou m’attelait pour me « driver », m’enfermait pour avoir la paix, bref ne tôlerait aucun écart et s’en tenait a ses envies. Je passais des heures à guetter son bon vouloir et à espérer qu’elle m’accorde un peu de plaisir mais sa satisfaction en était la condition. J’étais trempé par sa chatte excitée, rougi par ses lanières claquantes et ses appétits ne trouvaient de cesse qu’après m avoir usé au service.


Après bien des tentatives avortées d’aveux maladroits, j’ai fini par sauter le pas et livrer mes fantasmes a quelques amourettes de jeunesse qui dans la plupart des cas se sont offusquées en m’abandonnant a grands pas. Seules deux d’entre elles se sont essayées maladroitement mais sympathiquement au rôle de dominatrice.  


Celle qui en a eu la primeur se prénommait Joëlle ; ravissante petite brunette d’origine espagnole, gaie, souriante a souhait, douce, délicate, sensuelle, elle se contenta de sourire et m’encouragea  à chercher des ficelles, m’attacha en croix sur le lit pour m’utiliser a sa guise avec le plus grand naturel. Elle ne prit pas vraiment un pied phénoménal mais me remercia pour le plaisir partagé et ma sincérité avant de m’encourager à chercher encore la « cravacheuse » de mes rêves. Elle venait de rendre l’impossible envisageable ! Mes mille mercis n’auraient su en rendre compte…


Enhardi par cette expérience j’ai mis encore quelques années à trouver la femme de ma vie. A 27 ans je me mariais enfin à celle, de sept ans ma cadette, qui allait la bouleverser en me prenant au mot. Elle comprit très vite le parti qu’elle pouvait tirer de mon fantasme : se marier en évitant la contrainte de la fidélité qu’elle trouvait insupportable, pour mieux dire, avoir un homme a ses pieds taillable et corvéable à merci, tout en gardant les autres disponibles.


Apres une lune de miel de deux ou trois ans pendant lesquels elle explora dans l’intimité les jeux d’une relation D/s, elle m’indiqua que la satisfaction que j’en tirais devait aller de pair avec la sienne et qu’elle se réservait le droit de prendre un amant quand bon lui semblerait. Elle testa d’abord mes réactions de soumis en s’offrant a trois ou quatre reprises des amants qui n’avaient ses faveurs qu’une nuit  et qu’elle recevait dans une pièce contigüe a celle ou elle m’avait préalablement attaché. Je n’avais droit qu’à un cunnilingus avant ses ébats et une traite après si j avais été sage. Rassurée par ma docilité et toute absence de jalousie dangereuse, elle chercha un amant attitré qui convienne mieux à ses attentes et remplisse le rôle d’étalon que son mari avait perdu. Et lorsqu’elle le trouva elle m’imposa sa venue chaque fin de semaine du vendredi soir au lundi après-midi et pendant toutes les vacances. Pendant ces cinq années, voici comment se déroulait un week-end : âpres m’avoir attaché sur une chaise avant l’arrivée de l’amant ma maitresse montait sur celle-ci pour poser ses fesses sur mon visage et me laisser humer sa chatte en me donnant les consignes d’usage. Elle m’abandonnait dans l’obscurité, rejoignait son amant dans la chambre voisine. Celle-ci, dans notre petite maison de plain-pied, était munie d’une porte donnant accès directement à l’extérieur, ouverture pratique pour les allées et venues discrètes du visiteur. Je restais la toute la soirée avec pour seul plaisir les sons étouffés de leurs ébats amoureux. Vers minuit, l’homme s’endormait en ronflant bruyamment ce qui permettait a l’épouse comblée de venir me détacher après avoir essoré sa chatte humide sur ma  cuisse, pour me rattacher aussitôt à un anneau du bas du mur. Je passais ainsi la nuit sur une couverture. Au réveil tardif de ma maitresse, j étais détaché, préparais le déjeuner que je prenais avec elle et nous reprenions ensemble le travail dans notre commerce pendant que l’amant se prélassait. Les deux nuits suivantes me valaient le même traitement et les mêmes frustrations en plus des journées à travailler sous les ordres de ma maitresse chef d’entreprise. Enfin la journée du lundi parachevait ces trois jours de D/s. Apres le petit déjeuner, j’étais de nouveau attaché sur la chaise et y restais parfois jusqu’en fin d après-midi, le temps pour les deux amoureux de s’épuiser physiquement avant que mon remplaçant ne quitte le foyer. J’avais alors parfois droit à une suprême récompense ; mon épouse venait s’empaler sur ma hampe et me vidait en une fraction de seconde en se moquant de mon manque de tenue.


Ces jeux ont quelque peu varié au fil du temps (placard, menottes et glace sans tain au lieu de chaise, branlette pour finir ou même l’amour avec ma maitresse (une ou deux fois seulement !), sans autorisation d’éjaculer, pour compenser un raté de l’amant, mais ils ont rythmé toutes les fins de semaine de ces cinq années de ma vie d’une frustration hallucinante et inoubliable. Elle m’utilisait pour bien d’autres tâches humiliantes : lavage de la voiture de son amant, préparation de leur chambre ou de leurs repas, tous travaux domestiques… et ne manquait pas de me traire attaché pour me vider avant de me faire retrouver mon simple rôle de bouillotte dans son lit (Les cb auxquelles nous pensions tous deux étaient introuvables a cette époque).


Puis notre relation s’est longuement détériorée jusqu’au divorce survenu après 16 ans de mariage. Mon épouse vivait cette relation D/s sans amour et par intérêt. Elle allait crescendo dans des exigences matérielles et un mépris sordide qui me devenaient insupportables. Comme vous le dites si justement, une relation D/s n’est viable a long terme que si l’amour en est le fondement.


Je suis reparti en quête de l’âme sœur, frénétiquement, sur le net et l’ai trouvée : une jolie petite femme bourrée de qualités de cœur bien trempées, au regard autoritaire, à l’aplomb impressionnant et a la libido gourmande. En préambule a notre histoire et juste après un premier week-end passe ensemble, j’offris a ma nouvelle compagne le récit écrit et romance de mon expérience D/s pour tester sa réaction. Elle était totalement novice en la matière mais se pencha avec passion sur le sujet (dans les deux sens !) et entreprit de m’attacher aux poutres de son salon avant de partir au travail ! Découvrir qu’on pouvait aller a son bureau pendant que son mâle, ficelé ne peut que bander en attendant votre retour lui procura une totale excitation. En femme curieuse et pragmatique, elle s’empressa d’approfondir ses connaissances sur la domination (par le biais entre autre de votre site si passionnant) et commença à les mettre en pratique avec l’aide de son imagination jamais en reste ainsi que des gadgets que je lui fabriquais ou fournissais: poulie de suspension, menottes, chaines, corde, laisse, réveil de libération automatique, cage, fouets, bâillon-didot etc.…


Apres quelques tâtonnements et tests destinés à trier ses propres envies et mettre un frein aux manipulations de son esclave (c’est là l’essence même des soumis !), elle est parvenue à m’asservir à son idée et m’a fait signer un protocole de servitude qui lui fournit, sur des périodes décidées par elle, l’esclave docile dont elle n’avait jamais osé rêver.


Une soirée parmi tant d’autres se déroule ainsi à la maison : je dois l’accueillir à genoux à son retour de travail, lui ôter ses bottes et lui baiser les pieds. Suivent le service d’un plateau repas et les taches de cuisine et de vaisselle que ma maitresse surveille attentivement. Si la télé propose un programme a son goût je me retrouve menotté au poteau du salon pendant qu’elle le suit, ou je suis occupe à des taches ménagères qui me laissent sans répit. Apres quoi je l’assiste dans sa toilette puis la suis dans la chambre ou je la sers sexuellement selon son humeur. Une fois satisfaite, elle me boucle dans la cage installée a demeure au pied du lit, harnache de ma CB pour la nuit, se met en levrette le cul tourne vers la cage pour que je lui procure un dernier plaisir avec mon pouce a travers les barreaux avant de rejoindre son lit lentement a quatre pattes pour me laisser une dernière vision de sa chatte inaccessible. Elle m’impose le silence puis me laisse dans un état de frustration indescriptible et s’assure ainsi de ma parfaite docilité pour le lendemain.

Elle entrecoupe ces périodes d’asservissement total de courts répits de liberté pour éviter la lassitude de part et d’autre et garder les épisodes « cœur d’artichaut » qu’on sait apprécier tous deux. Mais au premier claquement de doigt,… c’est reparti… et c’est merveilleux.


Si je peux terminer par un conseil à vos jeunes lecteurs et lectrices novices tentes par une relation D/s, laissez-moi leur dire qu’elle peut réellement cimenter un couple pour longtemps tant qu’elle se double d’un respect mutuel et d un partage constant des envies de chacun. Elle peut être destructrice  par le biais de l’adultère, (tellement excitant mais qui demande la prudence et la solidité d’un couple très soudé)  mais, bien menée, une telle relation conduit ses deux acteurs au paradis !



 

 

Réponse de Ms Dana :

 

Dominique. Merci pour ce long récit qui a été passionant à lire. Je le comprend et partage. Il ouvre des "futurs" et des portes par une expérience vécu. Oui comme tu le dis si bien, un couple où il y a une Maitresse qui a les pieds sur terre, et sait garder raison, peut tout se permettre.


Il peut tout vivre tant qu'il se réserve des moment "artichaut", des moments de tendresse et de complicité intense, qui viennent compléter cette vie Ds qui peut aller fort loin touchant au limites des désirs et des phantasmes.


Quelle femme, quel soumis ne s'en trouveraient pas épanouie au sein d'une telle relation où les deux vivent ce qu'ils ont envie de vivre et se permettent de le faire de manière 'sage' et intelligente. Le socle, la base d'une telle relation n'est viable qu'à deux. Deux dans les sentiments, deux dans la compréhension, deux dans l'écoute.


Rien ne me choque tant que cette fondation est là. Que le maitresse prennent des amants, que le soumis devienne esclave et vive comme un chien pourquoi pas.
On peut asservir totalement un soumis et le rendre esclave, si le désir et là. On peut aller très loin dans l'exploration de la vie et de l'inconscient. Peu de maitresse l'osent mais c'est aussi une des possibilités qu'offre ce mode de vie.
Paradoxalement, un esclave peut être totalement épanoui d'être asservi et traité comme un chien. Allez parfois comprendre l'inconscient.

Souvent je ne cherche pas a comprendre. Je ressents. Je prends. Je vis. Il est toujours temps ensuite de rectifier le tir, si je m'aperçois que moi ou celui que je dresse à l'esclavage le vivons mal. 
On ne peut revenir en arrière dans ce mode de vie. Il restera toujours mon serviteur zélé et soumis. Mais on peut tenter des expériences, les vivre, essayer et voir. La vie sinon serait bien moins riche.

 Il faut seulement ne jamais perdre de vue que le besoin de partager aussi autre chose, main dans la main, est aussi important et essentiel à cette pérénité que l'on souhaite à tous. Car vivre sans vraiment s'explorer, sans vraiment essayer, sans exhaltation ni désir d'aller voir au delà des portes que l'on souvre, n'est pas vraiment vivre.


Alors bravo Dominique, et merci de cette leçon de vie et cette sagesse que tu illustres si bien dans ton récit.

 

Je te souhaite continuer à vivre cette vie pour laquelle tu as toujours été destiné, et qui t'a offerte la chance de rencontrer des maitresses qui ont comprit, qui t'ont aussi compris.

 

Ms Dana 



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Par LO
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 06:10
From: tais.t
Subject: Inquiétude
Date: Wed, 28 Oct 2009


Bonjour Ms DANA,

 

Avec mon amie de longue date, nous avons commencé une relation DS depuis deux ans.

 

Tout d’abord, je vous voudrais dire que les choses évoluent très lentement et que désormais je sais que première qualité d’un soumis c’est la patience dans la dévotion : ne rien brusquer, ne rien anticiper, ne plus projeter ses fantasmes.

 

Ma compagne commence à se comporter comme une dominante, cela me fait plaisir et m’inquiète en même temps.

 

Jusqu’alors nous avions une sexualité vanille parfaitement épanouie et elle me considérait comme un bon amant. Depuis quelques mois, elle se dérobe et n’est plus très désireuse de faire l’amour. Elle a fait choix de deux lits séparés. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, qu’elle m’aime toujours ll.JPG autant, j’en suis d’ailleurs convaincu, mais qu’elle ne veut ni dormir ni faire l’amour avec son soumis. Lorsque je lui demande si elle n’est pas frustrée de ne plus faire l’amour, elle me dit que non et de me concentrer sur ma soumission. Elle ne m’empêche toutefois pas de jouir à mon gré, mais comme un soumis : rapidement et dans mon lit-panier.

 

Cette évolution me trouble. Lorsque je lui en parle, elle me répond que j’ai fait choix d’être son soumis, qu’elle ne m’a pas forcé et que je dois assumer mon choix…et ma nature.

 

J’ai un double désarroi.

 

En premier lieu, j’éprouve de la honte de ne plus être l’homme qui donne du plaisir à sa chérie chérie. J’ai le sentiment d’être dépossédé de ma virilité, que celle-ci est devenue inutile. Est-ce nécessaire pour accéder à davantage d’humilité ? La prise de conscience de son infériorité passe-t-elle par là ?

 

En second lieu, je crains qu’un jour elle fasse choix d’un amant. Elle me dit que cela n’arrivera pas. Je crains néanmoins qu’avec le temps cela n’arrive malgré tout. Quoi qu’elle en dise, j’imagine mal qu’elle renonce définitivement à des relations sexuelles vanilles. Pourquoi s’en priverait-elle ? Personnellement, je  crois que  je ne pourrai ni l’accepter ni le supporter. Progresser dans la soumission est-ce repousser à ce point les limites de l’humiliation ?

 

Pourriez-vous m’éclairer par rapport à ce double désarroi ?


D'avance, je vous en suis reconnaissant.

 

Bien à vous,

 

TT

 

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REPONSE DE MS DANA :

 

 


Deux ans, une évolution lente, quoi de plus normal. C'est un sacré changement de vie, et il faut que le temps fasse les choses. Chaque dominante vit ce mode à sa façon, a son chemin et son évolution.
Quoiqu'il en soit la meilleure façon d'avancer c'est de prendre son temps. Il est vrai que cela se fait par l'interaction Dominante/soumis, que c'est en montrant ta soumission au quotidien que ta maitresse devient autoritaire toujours plus. Tu as donc comprit, tu le voulais profondément, et cela arrive doucement mais surement.

Elle a franchit un cap, celui de ne plus vouloir de toi comme compagnon ou soumis dans sa sexualité. La nuance est d'importance. A te lire, puisque tu utilises les mots de 'bon amant', de 'faire l'amour', je pense que vous aviez encore des relations vanille et que la pénétration était de mise. Mais les choses changent.
C'est un choix de sa part. Peut être est'il teinté de plusieurs choses : Le désir moins fort de toi, et la volonté d'avancer. T'interdire son lit n'est pas anodin, c'est un acte fort. Elle commence a dominer vraiment et à te montrer la place qu'elle désire que tu ais.

Alors pourquoi être dans le désarroi ?

Tu devrais être heureux au contraire, s'il n'y avait ton ego, cet égo qu'il faut que tu oublies si tu veux devenir soumis.

Le propre de la soumission est d'accepter de se remettre entièrement à une personne qui dirigera tout de ta vie.
Tu ressens de la honte, la belle affaire !
Ce n'est que le début, un soumis est souvent humilié et désire l'être. Cela te rends heureux quelque part, alors remercie là plutôt que de douter.
Et comprends une chose, que souvent les dominantes ne voient plus leur soumis comme des hommes, et qu'il est normal et même positif de le leur faire comprendre pour qu'ils apprennent leur vraie place.
Tu as voulu vivre soumis, alors assumes le fait que tu n'es plus son amant. Tu deviens son soumis.

Tu as d'autres liens avec elle, bien plus profond bien plus riche.

Certaines dominante gardent leur soumis dans leur lit, d'autres non. Je fais partie de celle qui ne mélange pas. Mon soumis n'est pas mon amant, il n'est pas dans ma sexualité, et je me sert de lui quand il me plait, mais il n'a plus les droits qu'un vrai homme pourrait prétendre avoir.
Je sais que les mâles ont un rapport à leur virilité très fort, et c'est une excellente chose que ta maitresse ait fait ce choix. Pour que tu deviennes plus soumis encore, et que tu perdes cette assurance que donne le fait de 'prendre'.
D'ailleurs, il serait judicieux si ce n'est pas encore fait, qu'elle te prenne toi, ainsi elle aurait sur toi un ascendant psychologique fort et te ne serai que plus amoureux d'elle.

Alors oui, la prise de conscience de ton statut passe part là. Preuve en est de ta réaction, qui pour moi est salvatrice. Tu verras, tu n'auras que plus de désir d'elle, elle le sentira et vous n'en serez que plus heureux. Vos liens ne seront que plus forts et solides.



Vous êtes ensemble depuis longtemps dis-tu. Alors je ne suis pas étonnée qu'elle avance sur le chemin que tu décris. Elle s'est quelque part lassée des rapports physiques avec toi, et cherche plutôt des rapports mentaux dominante à soumis plus fort encore.

Est-ce passager ou pas, t'utilisera t'elle encore pour ses services sexuels, je l'ignore. Elle le fait normal Know Thy Place by MinouMinou visiblement encore et c'est son droit le plus absolu. Mais peut être voudra t'elle gouter un jour à un vrai homme.  C'est très agréable, et un amant apporte ce qu'un soumis ne peut pas nous donner. J'aime et j'en ai, et continuerais à en avoir.

C'est une nouvelle porte ouverte qui permet bien des choses.


Pour le moment comme toutes celles qui suivent ce parcours, elle va à son rythme. Tu auras peut être encore parfois accès à son intimité, mais saches que cela risque d'être de plus en plus rare, et fais-toi une raison.
En tout cas je lui donne moi raison. Elle utilise le pouvoir qu'elle a, elle a comprit l'impact psychologique de l'interdiction de pénétrer, et celui de t'interdire son lit.
Comprends qu'elle peut prendre des amants. Te mettre au pieds de son lit c'est quelque part inconsciemment t'enlever ton rôle d'homme, et te le faire comprendre. Tu voulais vivre soumis, tu dois assumer.

A présent, ce n'est pas sans risque. Car il faut qu'elle n'oublie pas que si elle en prend, c'est non seulement pour son plaisir à elle, mais pour te 'faire partager' cette possible avancée. Elle ne devrait alors pas t'écarter de ces moments là. Que ce soit en parole ou en acte.
Et le plus dur sera de ne pas tomber dans le sentiment que provoque ce partage d'intimité avec un autre. Donc elle doit t'apprendre à accepter, et le faire doucement. Ta réaction lui montrera le chemin à suivre. Vous pourrez en parler, tu devras être un livre ouvert pour elle et lui exposer tous tes ressentis.
Mais seule elle, choisira ce qu'il convient de faire. Continuer ou cesser pour le bien de votre relation dominante à soumis.
C'est un jeu dangereux mais qui peut apporter beaucoup. Seulement deux ans de domination c'est encore peu. Donc méfiance, et laissez vous le temps.

Remercie-là de tout ton coeur. Elle 't'aime', évolue comme tu le souhaitais, et te désarçonne. L'apprentissage de la vraie soumission en passe par là. C'est donc le preuve qu'elle devient vraiment dominatrice.

Je vous souhaite à tous les deux, beaucoup de bonheur et de vibrations, une vie pleine de découvertes. Le chemin qu'elle a choisit est une découverte de vous même, c'est une avancée. Alors félicite t'en et apprends que ton ego n'a pas sa place dans votre relation.

Ms Dana.

 

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Par LO
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