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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Lundi 20 mars 1 20 /03 /Mars 03:52
Madame.

J’ai 22 ans et je viens de découvrir votre site, c’est vraiment passionnant. J’ai vraiment envie de dominer mon petit ami, mais je ne lui fais pas lire, je préfère le surprendre. Je sais qu’il a des tendances soumises, j’ai déjà joué à des jeux BDSM avec lui, mais voilà : Bruno adore la fellation, et je dois dire que je le suce régulièrement, pour son plus grand plaisir (moi-même je ne déteste pas). Or je vois dans votre beau site que souvent les dominatrices refusent de faire des fellations à leurs soumis.. Alors que faire ? Devrai-je arrêter quand Bruno me sera complètement soumis ? Déjà il me fait un bon service oral (cunnilingus) et souvent on le fait ensemble (en 69). Je crains qu’il le prenne très mal si je lui annonce que je ne le sucerai plus.
Magali.

Réponse de Ms.Dana :

Magali. Bravo pour nous avoir écris, et puis bravo pour cette "envie" de domination que vous éprouver. Vous verrez que ce désir peut, si vous le comprenez et l'utiliser bien, bouleverser votre vie.
Cette question là, bien des maitresses peuvent se la poser.
Le premier principe de ce mode de vie est de "vous faire plaisir". Vous ne devez rien vous interdire, et vous laisser aller à tous les bonheurs que cette vie vous offre.
Le second principe qui creer la dynamique de soumission d'un homme, et participe de manière essentielle à ses progrès en ce domaine, est la frustration.
Si vous avez encore envie de lui faire une fellation, mais pour vous, pas pour lui, et bien faite là. Mais je vous conseille de ne jamais mener celle ci à bout tant qu'il ne le merite pas par son comportement docile et dévoué. Le faire tout en le gardant frustré le rendra encore plus attentif et docile.
Il est évident que symboliquement, cette technique peut être sujet à débat (au sein de cercles de dominantes par exemple), mais vous avez le temps, le temps de changer.
Alors si vraiment cela vous plait, ne vous gênez pas. Et le jour où vous en aurez plus le désir et bien vous pourrez lui montrer que les choses évoluent et qu'il doit apprendre à vous suivre et faire uniquement ce qui vous plait à vous. Qu'il le prenne bien ou pas, n'est pas le sujet. La question sera alors plutot, veut'il ou non vous etre soumis. Et vous verrez que posé ainsi vous allez acquérir bien de l'ascendant et du pouvoir sur lui.
Bien du bonheur Magali, et surtout n'oubliez jamais que ce mode de vie est une clef pour la reussite d'une vie, une clef essentielle à votre bonheur.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 19:33

From: anse11

Subject: Date: Wed, 13 Oct 2010 23:12:16 +0200

Bonsoir,

J'ai besoin de vos conseils.

 


J'ai une relation avec un homme depuis plus de deux ans, que j'aime profondément.
Dès le départ nous avons oscillé entre domination et soumission. (chacun tour à tour) et relation normale.

  


C'est lui qui m'a fait connaître la domination et la soumission, que j'ignorais totalement.
La soumission n'a pas vraiment marché avec moi et je n'ai pas vraiment joué le jeu, ne l'acceptant que quand j'y étais bien disposé et jusqu'à un certain point
Il a accepté de se soumettre au cours d'une séance de dressage une première fois et j'ai senti que cela avait réveillé quelque chose chez lui.

  


Il y a une dizaine d'années il était resté plus de quatre ans avec une maîtresse.
Puis je n'ai pas poursuivi dans cette voie, n'y trouvant pas vraiment de plaisir.
J'avais peur qu'en devenant sa Maîtresse absolue je me détache de lui et que je n'éprouve plus d'amour pour lui....

  


Nous avons à nouveau tenté l'expérience, lui acceptant de se soumettre totalement à moi.
J'ai commandé les procédures (que nous n'avons pas encore suivies)
Cette fois ci j'ai ressenti de l'excitation sexuelle en le dominant.
J'ai commandé plusieurs jouets (cage de chasteté, gode ceinture, plug dont je me suis servie)
Mais là aussi, j'ai abandonné peu à peu.

  


Nous sommes à nouveau devant cette alternative, lui acceptant de se soumettre, de s'en remettre totalement à moi, mais à la condition que je séduise notre prof de sport (qui me plait bien), ou un autre de mes amis qu'il sait que j'aime bien.

  


Il veut être mon soumis, plus que mon soumis, mon esclave, mais je n'y parviendrai me dit-il que si je lui impose un ou des amants, lorsqu'il aura expérimenté mon pouvoir sur lui et ma détermination à ne pas tenir compte de sa jalousie maladive. C'est selon lui la seule façon pour moi d'être sa maîtresse absolue et d'exercer mon pouvoir.

 


Il veut une maîtresse "puissante" dit-il capable d'imposer ses désirs (en clair je dois lui démontrer que si je veux un homme, je suis capable de l'avoir). Sa précédente maîtresse (tarifée) était capable de lui imposer tous ses désirs et ses plaisirs.

 


Je suis donc mise au défi de séduire cet ou ces hommes sinon je ne pourrai pas être sa maîtresse.

 


J'ai parcouru votre site et je sens que cette "demande" n'est pas celle d'un soumis.
Ne suis je pas face à ces souminateurs dont vous parlez.

 


Je veux maintenant être totalement sa maîtresse, qu'il soit à mon service pour me choyer, mais j'ai le sentiment d'être prise au piège de ce défi...


J'ai l'impression d'être jaugée, jugée par rapport à l'expérience qu'il a déjà d'une maîtresse, alors que moi je n'en ai aucune, d'être mise au "défi de" et ça me met la pression, du coup j'ai peur de ne pas être à la hauteur. De ne pas être une vraie maitresse, je n'ai d'ailleurs pas le sentiment d'en être une, même si j'aspire à le devenir. Il dit que je dois libérer ma puissance... Je ne sais pas comment me sortir de ce dilemme.
Merci beaucoup par avance de votre aide.


Sophie

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REPONSE MS DANA :
 

Merçi Sophie de ce témoignage.
 
Nous sommes comme vous le dites en plein dans une relation de "souminateur". Pas que votre compagnon veuille vous manipuler, mais il a d'énorme désirs, pulsions, phantasmes qu'il aimerait réaliser.
Il oublit juste qu'en voulant aller trop vite, qu'en mettant la charrue avant les boeufs, malgré ce que vous avez pu déja ressentir comme frémissement du plaisir de dominer, vous pourriez aussi soit être dégouté par la pression qu'il vous met, soit qu'il pourrait même vous perdre en vous "jetant" dans les bras d'un autre.
 
En fait c'est à votre compagnon que je devrai m'adresser. On ne se soumet pas en posant ses conditions.
Peut être serait'il judicieux qu'il comprenne qu'avant toute autre chose il doit vous servir, et vous choyer, adopter une attitude humble et apprendre à vous obéir, pour vous donner le gout de dominer.
Car ce gout ne vient pas nécessairement par les "jeux" Ds, par les seances, mais plutot par le plaisir que l'on peut ressentir d'avoir un homme à son service et à ses pieds.
Il aura la maitresse "puissante" un jour que s'il en passe par là. Pas en imposant ou en vous contraingnant, pas en vous manipulant mais en se soumettant sincerement à vos désirs, pas au sien.
 
Bien sur comme ce mode est un échange, vous verrez que le voyant ainsi, vous aurez envie à votre tour de lui donner de la domination telle qu'il attend puisqu'il vous aura offert de la soumission comme vous l'attendez vous.
 
Il faut bien qu'il comprenne qu'il prend un risque en ce moment, qu'il risque de tout gacher. Il ne doit pas vous comparer, vous jauger par rapport à une autre ou par rapport à ses désirs, mais bien au contraire vous rassurer, vous encourager, vous laisser de l'espace et du temps.
 
Beaucoup beaucoup de temps. Ne rêvons pas, il faut des années pour devenir dominatrice. Et ça le jour où les soumis se mettront cela dans leurs petites tête ils auront bien plus de chance de vivre un jour ce qu'il désirent sans tout gâcher.
 
Sophie, je vous conseille donc de mettre les choses au clair avec lui, de discuter et que la situation soit bien posée. Vous vous sentirez apres plus libre et tranquille d'avancer à votre rythme, et surtout ne prenez pas d'amant avant que votre relation Ds soit tres solide et posée. Sinon vous risquez de tout détruire.
 
Ms Dana

 

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Par LO
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 16:56




Q. Quels sont vos sentiments à propos d’avoir un amant ? J'ai trouvée sur cette matière par hasard un certain nombre de discussions de femmes dominantes, de conseils et d'emplacements. Je sais que cela correspond au fait qu’une épouse dominante ait des amoureux autres que son mari. Tromper son soumis n'est ce pas un adultère ?
 
Dans la domination féminine ce terme est venu pour signifier une épouse libérée qui a d'autres amoureux dans le but unique d'humilier son mari et d'employer cette humiliation pour conduire le mari dans une soumission plus profonde. L'épouse dominante proclame qu'elle est libre de faire ce qui lui plait, y compris avoir des relations sexuelles avec qui elle désire. Le mari soumis doit être lui monogame et doit souffrir la honte d'être cocu. Dans la domination féminine, souvent l'abstinence et le contrôle de la jouissance du mari s'accompagne par le fait qu’il devienne cocu. L'épouse aime avoir des relations sexuelles avec un autre homme tout en refusant à son propre mari le droit d'en avoir elle. C'est un jeu d'esprit et un échange de puissance.
  
Mon sentiment personnel est que les femmes qui utilisent cela comme excuse pour tricher et en profiter, mettent en danger leur mariage. Avoir des relations avec un autre homme derrière le dos de votre mari est un adultère. Cependant, j'ai connu les femmes qui emploient cette méthode en tant qu'un outil et une façon pour conduire leurs maris dans une soumission plus profonde. Mon principe de base est que tant que le mari est présent et accepte d'observer ce n'est pas un adultère. Ce peut être un outil très puissant de humiliation et il peut ouvrir plus des désirs dociles du mari.
Rappelez-vous que dans le nouveau testament, l'adultère est un péché du Coeur. Il est possible de commettre l'adultère sans jamais avoir le sexe avec une autre personne. Jésus a dit cela “si votre convoitise et votre cœur vont vers un autre, alors oui il y a adultère ». De même, il est possible d'avoir des relations sexuelles avec une autre personne et de ne pas commettre l'adultère. Si l'épouse a des relations sexuelles avec un autre homme dans l’unique but d'humilier et de commander son mari et si son cœur est toujours vers son lui, alors ce n'est pas répréhensible du tout.
  
Maintenant il doit y avoir quelques règles à respecter. Le mari devrait être présent et si l'autre homme est marié également, son épouse devrait lui donner la permission. Il ne peut y avoir aucune fraude ou duperie. En outre, assurez-vous que l'autre homme est sain et protégez vous. Veuillez bien m'écouter. Je n'encourage pas ou ne décourage pas l’adultère. Mais seulement si les motifs de l'épouse sont véridiques, le faire cocu peut être une arme puissante dans la formation de son mari. Enfin même si elle ne passe jamais à l'acte, tout mari soumis devrait reconnaître explicitement le fait que l'épouse a le "droit" d'avoir d'autres amoureux tandis que lui n'existe que dans le but unique de satisfaire son épouse.
 
Le résultat ultime est que la domination féminine doit apporter un plus au mariage. Si l'un ou l'autre a un problème réel avec l’adultère, alors évitez le. Si une activité ne renforce pas le lien du mariage et le niveau d'intimité et la confiance entre le mari et l'épouse, alors l'activité n'est pas un plus. Comme toutes les choses, l’adultère doit être discuté ouvertement et honnêtement entre le mari et l'épouse pour voir ce qu'ils tous les deux pensent de ce sujet. Finalement, l'épouse prendra la décision basée sur ce qu'elle sent elle, comme la meilleure solution dans ce style de vie. Un mari qui désire être trompé ne doit jamais pousser son épouse dans cette activité. Elle doit décider ce qu'elle désire et estime que ce serait une expérience positive pour eux deux. L'épouse prend la décision.

Q. Mme. Sutton, je veux vous remercier pour votre site sur ce style de vie. J'ai également une question au sujet de l’adultère. J'ai lu les histoires et votre avis à ce sujet, mais il y a une chose que je ne comprends toujours pas; pourquoi un mari aimant et adorant sa femme désir t'il être cocu ? Ceci semble aller contre le plus fondamental des émotions humaines, pourtant ce que j'ai lu sur votre site (et d'autres) de ceci semble être un désir plutôt fréquent parmi les maris dociles.
J’ai été mariée et j’ai eue quelques rencontres extra maritales. Je ne chercherai pas à les justifier mais j’ai cédée à un moment de faiblesse. Le résultat a été infernal. Peut importe le nombre de fois où je lui ai demandé pardon et le nombre de fois que nous en avons parlés, il n’a pu me pardonner mon infidélité et nous avons divorcés.
J’ai été blessée mais j’ai persévéré, rencontré mon mari actuel et suis tombée amoureuse de lui. Après trois ans de notre nouveau mariage j’ai découvert que mon mari a des désirs de soumission. Je ne connaissais rien de ce style de vie mais j’étais intriguée alors je fus d’accord pour l’explorer avec lui. Votre site et vos procédures ont été très utiles. Alors que nous commencions à explorer ce style de vie j’ai découvert que mon mari avait un grand désir d’être cocu. C’était un de ses désirs les plus grands en D&S. Après mon expérience passé avec mon ex, j’ai rejetée son idée et lui ai dis que je lui interdisais à jamais d’en reparler.
Mais il glisse encore cette idée quand nous discutons de ce style de vie et je peux voir son excitation et son enthousiasme. Je suis déroutée. Je sais ce que l’adultère peut faire comme mal, même si elle est consentit entre adultes responsables, je ne vois que pour seul résultat de la douleur et du mal. Est ce que j’ai ratée quelque chose ? J’ai promis à mon mari que je garderai l’esprit ouvert quand nous vivons ce style de vie, mais sur ce sujet j’ai du mal à comprendre. Pouvez vous m’aider ?
 
R. L’infidélité du conjoint est un des événements émotionnels le plus douloureux que l’on puisse vivre. J’ai conseillé des hommes qui m’ont dit que la mort du conjoint est moins douloureuse à supporter que d’être trompé. Cela implique bien plus que la sexualité. Un adultère est un acte de la volonté et du cœur. Pour le conjoint cela représente la forme ultime de rejet. C’est la rupture des vœux et promesses du mariage. Spirituellement c’est le déchirement de deux chairs qui avant n’en faisait qu’une. Cela blesse tant que cela peut provoquer un total chaos des émotions. L’adultère est un mensonge. Le sexe est l’acte final mais n’est pas la somme des ces actes. La déception, la rupture des promesses, le rejet de l’amour du partenaire d’une vie en étant intime et courtisée par un autre, tout cela précède l’acte sexuel. Le résultat peut être dévastateur pour un mariage. Certain couple peuvent être suffisamment fort pour supporter ce traumatisme, mais de nombreux ne le peuvent pas comme vous lors de votre premier mariage. Pour un homme l’adultère de sa femme peut être une blessure supplémentaire en raison de la fragilité de son ego mâle. C’est comme si votre ex n’avait pu supporter ce que vous avez fait. C’est vraiment dommage, car si c’était vraiment une simple rencontre, il n’y a aucune raison pour que vous n’ayez pu tout deux sauver votre mariage. Vous lui apparteniez tout au long de votre mariage, sauf une nuit, mais il fut hanté par cette pensée et n’a pu vous pardonner. C’est vraiment dommage mais cela prouve la douleur et la puissance négative que peut porter l’adultère. J’ai exclue pratiquement le fait de « tromper » de mon site en raison des effets blessant de l’infidélité. Je suis pour renforcer les mariages à travers la domination féminine, pas pour le détruire. Cependant je ne peux ignorer que le désir d’être trompé et très fort chez certain soumis et que le fait d’avoir un amant est de plus en plus courant dans les mariages sous l’égide de la domination féminine. Alors plutôt que d’ignorer ce sujet controversé, j’ai décidé qu’il était mieux de l’inclure et d’en discuter de manière ouverte.
 
Ce qui compte avec l’infidélité ce sont les intentions et les motivations. Malheureusement il y a des femmes qui se servent de l’avantage de la nature soumise de leur mari pour vivre une vie aventureuse. Certaine ne le font pas, mais la majorité si. Le fait de mentir revient toujours à détruire son couple.
 
Ayant dit cela il y a des couples qui ont réussis à inclure l’adultère dans leur mode de vie. L’adultère signifie différentes choses pour différentes personnes, mais au sein de la domination féminine, l’adultère est une activité où la femme s’engage afin d’amener son mari à un niveau plus grand de soumission à travers cette humiliation intense.
 
L’adultère est aussi une marque sociale dans la domination féminine. Cela inverse la tendance de plusieurs siècles de mariage où les maris avaient des relations extra conjugales et où la femme ne pouvait se défendre en raison de sa dépendance financière.
 
Enfin l’adultère est une arme nouvelle dans l’arsenal de la femme dominante. C’est potentiellement dangereux si elle est incorrectement utilisée, mais le fouet aussi. Une femme peut blesser sévèrement son soumis si elle utilise mal le fouet, ou son god ceinture, ou tout autre outil de la domination et de la discipline. Mais utilisés avec la bonne technique et les bonnes motivations ces jouets peuvent amenés un homme dans le monde tranquille et plaisant du sous espace. Il en va de même de l’adultère. Ce n’est pas pour tous les couples, car tous les hommes ne sont pas aussi soumis. Cependant quand vous lisez l’histoire de Gary et Denise dans ma section histoire réelle, vous verrez ce que l’adultère lui fait et vous aurez une idée de pourquoi tant d’hommes soumis désirent cette activité. Il n’est pas unique. Il y a beaucoup de mari soumis qui désirent être trompés.
 
Fait correctement et avec les bonnes motivations, cela peut être excitant pour la femme comme elle va exercer son autorité féminine et vivre la libération sexuelle. Cela lui donne un pouvoir incroyable sur son mari cocu et cela ajoute de la dynamique dans toutes les autres activités de D&S au sein de la relation. L’infidélité dans la relation n’est pas une histoire de sexe mais de pouvoir et c’est ce pouvoir féminin et cette libération de la femme qui permet à la femme d’utiliser cette humiliation intense sur son mari afin de le transporter dans le sous-espace quand elle exerce cette autorité.
 
En d’autres termes c’est la stimulation mentale et la domination mentale qui transportent le soumis à un nouveau niveau de soumission. Le fait de le tromper revient à donner à la femme une expérience qu’elle peut utiliser comme une image mentale pour dominer les pensées de son mari. Ce n’est pas tellement une histoire d’épanouissement sexuel. Il peut y avoir des agréments sexuels, mais l’acte sexuel n’est que temporaire, alors que l’utilisation de cet acte comme un outil de domination mentale peut être permanent. Pensez à cela, votre ex n’a pas arrêté de penser à vous une fois votre relation finit. Ici votre départ ne dure qu’une nuit, mais l’image mentale de ce que vous avez fait, le tourmente lui nuit après nuit. Avec l’adultère au sein d’une relation aimante de domination féminine, la femme utilise l’image mentale de l’adultère pour exciter sans cesse et humilier son mari, et cela le rend plus soumis tout en lui apportant le plaisir d’un épanouissement dans sa soumission. Si le mari est présent et forcé de regarder sa femme le tromper, cela ajoute encore à l’image mentale et à son intensité. La même chose s’il est forcé d’écouter ou de participer de façon humiliante.
 
Cela ne signifie pas que quand il n’est pas dans le sous espace (au travail ou en conduisant sa voiture), le soumis ne puisse pas entretenir des pensées négatives. L’adultère est une attaque contre l’ego du mâle et c’est du pouvoir de la femme dominante expérimentée d’amener son mari à choisir la soumission plutôt que la jalousie. Ce n’est pas facile mais si c’est fait avec succès, c’est un des plus grand bénéfice de l’adultère. Un homme qui devient excité à la pensée d’être trompé est habituellement moins jaloux et cherche moins à contrôler ;
 
Ayant dit cela, laissez moi répéter que l’adultère n’est pas pour tous les couples vivant la domination féminine. Le soumis doit être mentalement prêt à cela et le fait qu’il soit excité à cette pensée ne signifie pas qu’il soit émotionnellement prêt à gérer l’acte en lui même. De même, la plupart des femmes ne trouvent pas d’intérêt à prendre un amant. Beaucoup de femmes adhèrent à ce style de vie pour renforcer leur relation avec leur soumis. Le compagnon et sa dame doivent tous les deux être prêt pour cette activité, autrement cela risque de finir par une expérience négative.
 
Je ne pense que c’est important que la femme réalise qu’elle a le droit et l’autorité sur son mari pour le tromper si elle aurait envie d’exercer ce pouvoir. C’est une chose puissante que de faire admettre à son soumis de s’en remettre à l’autorité et au bon vouloir de sa femme, même si elle n’a jamais eut l’intention ou le désir de le tromper. Le femme peut encore exciter son soumis en lui disant qu’il ferait mieux de se tenir à carreau ou sinon qu’elle pourrait vraiment le faire cocu.
  
Mon conseil est d’utiliser les désirs de votre soumis contre lui en lui faisant savoir que vous avez le droit d’avoir des amants, mais le fait que vous en ayez est totalement de votre ressort. Excitez le avec cela, mais si c’est contre votre conscience, laisser cela à l’état de fantasme. Ne lui permettez pas de vous influencer en vous poussant à faire quelque chose que vous n’avez pas envie de faire. Vous êtes la dominatrice alors vous décidez. Si vous jouer avec lui et l’exciter avec vos droits et votre autorité sur lui, cela pourrait suffire à lui donner la stimulation mentale et sexuelle qui comblent ses désirs de soumission. C’est une façon de satisfaire son besoin d’être dominé et de rester claire avec votre conscience et vos valeurs.    
 
Q. Bonjour Elise, quelle histoire vraie merveilleuse que celle d’Anna trompant son mari. J’aurai juste espérée que vous auriez suggéré le devoir à son mari de « nettoyer » après son infidélité. J’ai demandée à mon mari de lécher mon sexe pour nettoyer la semence de mon amant. Je le recommande fortement. Je ne peux trouver plus humiliant que cela. Je sais qu’elle utilise un préservatif avec son amant, j’aurai voulu qu’elle ordonne à son mari soumis de boire le contenu de celui ci. 
 
A. Ce que vous suggérez est pratiqué par certaines femmes dominantes, mais nous devons faire attention à la santé. Cette femme utilise un préservatif pour se protéger elle et son mari. Elle est à 90% sure que son amant est sans danger, mais à moins que vous le soyez à 100%, ce devoir de nettoyage n’est pas toujours une bonne idée. Je recommande que la femme se nettoie elle même avant qu’elle demande cela à son soumis.
Ce n'est peut être pas aussi érotique mais la santé est plus importante. Vous pouvez utiliser l’imagination et ne pas dire à votre soumis que vous vous êtes nettoyée avant de lui ordonner cela. Ainsi c’est encore humiliant pour votre mari mais en même temps plus sur. La créativité et votre attitude feront bien plus, en ce qui concerne l’humiliation par cet acte de votre soumis, que le nettoyage lui même.
 
Q. Elise j’ai 50 ans mais en ai l’air bien moins. Ajoutez à cela que j’ai perdu beaucoup de poids et coloré mes cheveux en toute blonde, je me sent plus sexy que je ne l’ai été.
Ces quelques dernières années, j’ai sentis une grande envie de tromper mon mari. Nous nous aimons énormément mais je me sens totalement l’envie d’avoir des rapports sexuels avec quelqu’un d’autre, cela me rendrait encore plus sexy. Mon soumis est très bien mais j’ai l’envie de trouver rapidement mieux et de lui dire. Je lui ai dit que j’avais prévu de le tromper et quand j’ai dis cela il a été blessé et totalement bouleversé. Il a dit que c’était une « très bonne blessure ». J’ai suggéré les changements suivant dans notre vie sexuelle :
1. Je peux le frustrer aussi longtemps que je le voudrais. Aucun orgasme sans mon accord et seulement en ma présence.
2. Je peux l’utiliser sexuellement à ma convenance quand je veux, et je peux avoir des rapports sexuels avec qui je veux, à chaque fois que je le voudrai. En cela ce n’est pas son problème et il n’a aucune question à poser.
3. Si il gémit ou se plaint quand je sort (où je vais ? qui je vais rencontrer ? Où étais-je ?) Je pourrai le frustrer plus longtemps encore.
 
Elise, nous sommes tous les deux d’accord que c’est très excitant. Il m’a dit qu’il a été heureux que j’aie été honnête avec lui. Cela lui a fait quelque chose que je veuille trouver mieux que lui. Quand je lui ai dis que je prévoyais de le tromper et ricanant un peu, je pourrai dire qu’il en a été blessé. Mais il a dit qu’il aimait cela et j’ai aimée goûter son humiliation ! Je porte souvent des bottes et je fume et il me dit que cela le rend fou quand je lui dis que je sors et qu’il ne peut pas demander où.
Elise c’est trop amusant et très vibrant pour moi. Je ne me suis jamais senti si sexy et puissante. Je lui ai dis de ne plus revenir son cet accord ou je serai très désappointée. Quand j’ai dis cela, il m’a répondu qu’il se sentait impuissant, et totalement dépendant de moi. Quelle est votre opinion là dessus ?  
 
A. Se sentir dépendant est de la domination mentale. Il expérimente le sous espace. Il ressent votre pouvoir dominant irradiant autour de vous et il ne peut y résister. Il aime perdre le contrôle et il aime vous voir si sexy et dominante. Il ressent que vous êtes sérieuse sur le fait de vouloir le tromper et cela le rend faible. Vous exprimez ainsi votre libération féminine après toutes ces années de mariage et cela vous exalte et vous finalise comme ayant la position dominante dans votre couple. Cela accentue sa soumission et l’amène dans le sous espace. C’est pour cela qu’il se sent impuissant et totalement dépendant de vous.
 
Si vous poursuivez sur cette voie de l’adultère, je vous prie soyez certaine de pouvoir garder votre amour pour lui et de garder votre attention concentrée sur votre soumis. Utilisez l’infidélité pour l’humilier, mais faites bien attention de le faire de façon à l’amener dans le sous espace. Ainsi ce sera une expérience excitante pour lui et pour vous. On dirait qu’il va rentrer dans le sous espace facilement.
 
Utilisez votre libération féminine et votre nouveau pouvoir pour le rendre encore plus soumis. Profitez de cet avantage pour rendre votre mari bien plus soumis encore dans tous les aspects de votre relation. Ne prenez pas de risque et prenez toutes les précautions utiles. Ne le trompez pas avec le premier venu sur lequel vous flashez. C’est quelque chose de sérieux et choisissez avec sagesse. Le simple fait que vous sortiez (sans votre soumis) et prenez du bon temps, est déjà suffisant pour l’amener dans le sous espace. Vous n’avez pas obligation de le tromper afin d’en tirer les bénéfice. Il suffit qu’il croie que vous le trompiez. Laissez le croire à cela et gardez votre attitude dominante.
J’aime vos règles. Si vous voulez en profiter, vous devriez vous procurer ma procédure sur le contrat de mariage. Je pense que vous approuveriez et que les termes et les conditions du contrat vous plairont beaucoup.
 
Q. Mtrs Sutton mon mari et moi vivons sous le régime de la domination féminine depuis neuf ans et nous nous aimons profondément. Il y a un an environ il m’a parlé de son désir d’être cocu. Ma première réaction a été que je ne désirai pas prendre le risque de le perdre et que je ne le voulais pas. Mais depuis que j’ai lu vos pensées sur ce sujet il y a quelques mois, nous en avons reparlés.
Mon mari m’a dit que ce serait sa preuve de soumission ultime et qu’il y pense depuis des années. Il disait qu’il a vraiment besoin de me voir avoir du plaisir avec un autre homme, alors que je le frustre de tout plaisir sexuel. Je crois que je commence à comprendre ce qu’il veut dire.
La pensée d’avoir des relations sexuelles avec un autre homme devant lui pour l’humilier commence à m’attirer beaucoup. Mais j’aime mon mari et ne veut pas le perdre. Alors je veux bien faire les choses. Pouvez vous me donner des conseils et me guider vers cette expérience ?
 
A. Le meilleur conseil que je puisse vous donner est de ne pas vous presser et de prendre votre temps. La plus grosse faute que font les couples et qu’ils laissent l’excitation de l’adultère fausser leur jugement. Jusqu’à ce que l’opportunité se présente d’elle même, je vous conseillerai de continuer à exciter votre soumis à ce sujet. Vous pourriez aussi vous inspirer de ma procédure sur le « contrat de mariage ». Je vous recommande de commander toutes mes procédures, mais au moins la procédure numéro 6, neuf et 22 car elles vous aideront pour explorer le fantasme de l’adultère sans pour autant passer à l’acte.
 
Je me demande si vous n’avez pas à l’esprit une personne avec qui vous pourriez tromper votre mari ? La solution est de trouver un homme qui n’attend pas une relation avec vous. Le challenge dans l’adultère est de trouver un homme qui est en bonne santé et qui le désir, mais qui n’attend pas une relation avec vous en retour. Lisez l’article de Mtrs Lilly dans ma section histoire vraie et elle vous donnera quelques petits trucs pour trouver un tel homme. Faites très attention sur ce qu’elle dit concernant les personnes avec lesquelles vous ne devez PAS tromper votre mari.
Enfin rappelez vous toujours que vous n’avez pas obligation de le faire. Aussi longtemps que votre soumis pense que vous cherchez un amant et aussi longtemps que vous l’excitez avec, le fantasme vous apportera beaucoup d’amusement et d’excitation.
- Vous pouvez même avoir un rdv avec un homme sans avoir de relations sexuelles avec lui.
- Vous pouvez aller en boite et danser avec d’autres hommes en obligeant votre mari à vous regarder.
Ce sont des façons de l’humilier sans avoir de relation sexuelles avec un autre. C’est toujours mieux d’y aller à petits pas et vous pourrez décider que ces petits pas vous comblent assez pour ne pas avoir à faire le grand saut. Mais vous aurez au final à prendre cette décision. Soyez certaine que c’est bien vous qui prendrez la décision et vous ne devez pas permettre à votre mari soumis de vous influencer. Une fois que vous êtes certaine que votre mari est prêt à accepter cela, c’est encore vous la femme qui décidera si et quand vous êtes prête à prendre un amant.
 
Q. Elise, j’apprécie votre sagesse quand vous parlez de l’adultère au sein de la domination féminine. Vous défendez habituellement la position des femmes quand il s’agit qu’elles aient des rdv avec d’autres hommes si leur relation est basée sur la domination féminine. Mais j’ai été suis surpris de votre réponse à une histoire vraie, celle envoyée par un homme nommé « mari obéissant ».
Je suis d’accord avec vous sur le fait qu’il doit communiquer et en discuter avec sa maîtresse. La communication est la chose la plus importante dans tous les mariages et spécialement au sein de ce type de relation D&S. Là où je ne suis pas d’accord avec vous est quand vous dites au « mari obéissant » d’être moins sensible et de rester avec sa femme et se battre pour son affection.
Il écrit que sa femme est pour la suprématie féminine et qu’ils sont tombés d’accord pour un mariage sous l’égide de la domination féminine où il se soumet totalement à elle. Ils ont toujours eu de plus ce type de relation avant et depuis leur mariage. Leur mariage n’est pas un partenariat où ils discutent et trouvent des consensus là où ils ne sont pas d’accord. Elle prend les décisions et il a donné son accord pour les respecter. Heureusement elle prend son avis en compte, mais toujours ses mots ont force de loi. 
Elle a prit la décision d’avoir un amant. Nous pouvons discuter sur le fait qu’elle ait du ou non aller si loin. Mais nous ne devons pas miner son autorité auprès de son mari. Il lui a dit qu’il n’était pas heureux sur le manque d’attention et d’intimité qu’il reçoit d’elle, et il apparaît qu’elle ait pris sa doléance en considération et fait en sorte de trouver une solution où toutes les parties soit heureuses. Elle a vu probablement des tendances féminines dans son mari soumis et je suis sur qu’elle le connaît mieux que tout le monde, alors peut être que sa solution d’explorer son coté féminin le comblera lui quand il se sera rendu à elle en ce domaine.
Il est évidemment difficile de faire des commentaires sur cette situation, car je ne les connais pas personnellement. Mon avis est que quelque soit ses motivation et son jugement, ses mots sont des lois et qu’elle a le droit de prendre ces décisions. Elle peut faire des erreurs (comme nous tous) mais son mari doit toujours se soumettre à elle et lui faire confiance. Elise vous avez dit souvent que la soumission n’est pas seulement se soumettre à ce qui nous plait. Si un homme veut se soumettre vraiment à une femme il doit se soumettre pour le meilleur mais aussi pour le pire. A mon sens il prend le risque de perdre la femme qu’il aime et provoquer des dégâts important si il se rebelle à son autorité et fait appel à ses droits de mari. Il a été d’accord d’abandonner ces droits quand il est entré dans un mariage avec une femme qui est pour la suprématie féminine. Il aurait pu choisir une autre femme et avoir un mariage plus traditionnel. Il a été d’accord pour vivre sa soumission, il doit en supporter les conséquences.
 
R. Je suis d’accord avec vous sur le principe ainsi que sur certains points. Ce gentleman a abandonné sa propre liberté en entrant dans cette relation avec une femme dominante. Il savait de leur relation avant le mariage que cette femme était sérieuse dans sa façon de vivre sa suprématie féminine et qu’elle lui demanderait obéissance et soumission. Cela l’a attiré et il disait même que sa façon d’être dominante et ses convictions et valeur à elle est ce qui l’avait conquis. Alors vous avez totalement raison dans votre introduction. Si un homme est d’accord pour vivre une relation de domination féminine, il doit laisser de coté ses volontés et besoins et se concentrer sur le service de sa femme. Cela signifie qu’il doit se soumettre à sa femme si il est d’accord avec son autorité et même s’il n’est pas d’accord. C’est facile de vous soumettre à quelqu’un quand vous êtes d’accord avec ses décisions mais le vrai test de soumission est quand vous devez laisser vos désirs de coté et vous soumettre aux désirs de votre supérieure que vous soyez d’accord ou non.
  
Cependant ce n’est pas ce que je voulais dire dans ma réponse à cette histoire de ce gentleman. Le mariage est un engagement et un engagement est un contrat permanent. La femme à le droit de prendre les décisions dans le mariage mais elle doit encore honorer sa parole en cet engagement. La femme a l’autorité sur son mari soumis mais cette autorité ne lui permet pas le droit de violer l’engagement qu’elle a prit précédemment. Ce que je disais sur cette histoire est une violation claire de la parole donnée et il a certainement le droit lui de le dire à sa compagne.
 
Comme je le disais dans ma réponse, je félicite la femme de la façon dont elle contrôle son mari et de la manière dont elle intègre la suprématie féminine au sein de leur relation. J’ai aussi souligné le fait que j’avais besoin d’entendre son avis à elle avant de pouvoir faire une évaluation honnête de la situation. Mais me basant sur ce que dit ce mari soumis, j’ai pu en toute conscience recommander qu’il puisse parler à sa maîtresse de cette situation très sérieuse et l’avertir. Ce dont elle a justement pas besoin en ce moment c’est le fait qu’il ignore sa transgression. Si un homme est soumis à sa femme et qu’elle a pourtant de gros problème de boisson ou de jeux, ce n’est pas de la rébellion d’intervenir à ses cotés. LA soumission est une expression de l’amour et parfois l’amour doit être dur.
 
Si ce qu’il a décrit est vrai, sa femme commet l’adultère en préférant un autre homme à son mari. L’adultère n’est pas trop une question de sexe mais de sentiments. Quand une femme passe la plupart de son temps avec son amant mais dénie à son compagnon des contacts intimes, comment appelez vous cela ? Ce n’est pas le faire cocu. Le faire cocu c’est quand une femme mariée a un amant (ou des amants) afin d’exprimer sa liberté et sa domination sur son époux. Cependant, elle doit garder son esprit vers son époux sinon elle lui ment. Je ne dis pas qu’elle ne puisse pas avoir de l’affection pour son amant, comme c’est presque impossible d’avoir des relations intimes avec un homme sans affection. Mais c’est bien différent que de donner son cœur à son amant. Montrez moi un homme dont la femme pense initialement à lui et passe la majorité de son temps libre avec lui et je vous montrerai qu’elle aime.
  
Enfin le mari doit avoir le titre de numéro un pour sa femme. Il n’est pas forcement son seul homme, mais le mariage lui donne la place de numéro un. L’adultère est la rupture du mariage et aucun homme ne doit accepter cela au nom de la soumission.
Le mari et la femme ont besoin d’intimité entre eux. Ce n’est pas nécessairement de la pénétration ou même du sexe physique, comme la D&S peut provoquer de l’intimité entre deux personnes. Fait correctement, le faire cocu peut aussi être un jeu de l’esprit entre la femme et son mari trompé. Il doit y avoir une sorte d’intimité qui fait un lien entre la femme et son mari. Ce couple ne s’engage jamais dans la pénétration, mais le lien s’est fait quand elle permet à son mari de la servir oralement et quand elle pratique des jeux de D&S de façon régulière. Cependant tout cela a stoppé quand elle rencontra son amant. Son amant lui interdit de garder une intimité avec son époux et elle se soumet à ses souhaits. Si cela n’est pas une violation claire de leur promesse de mariage, alors je ne sais pas ce que c’est.
 
Je n’ai aucun souci avec le bracelet Ankh et ce qu’il représente. Je n’ai aucun problème avec le fait qu’elle ait un amant et interdit l’orgasme à son époux. Cette situation donne à cette femme une vraie opportunité pour amener son époux à un nouveau niveau de soumission envers elle et lui permet d’accroître son contrôle sur lui. Cependant (et probablement de façon inattendue pour elle), la relation avec son amant a été trop loin et elle a franchit cette ligne dangereuse. Je dois encore entendre son avis, mais je prie pour qu’elle fasse le nécessaire pour corriger cette situation. Son mari l’aime et je prie pour qu’elle puisse retourner vers le genre d’intimité du mariage sous l’égide de la domination féminine qu’ils leur plaisaient tant.
 
Mes dames écoutez bien ce que je dis là. C’est un point critique. Si vous décidez de tromper votre mari, vous devez examiner votre cœur et vos motivations. Si vous n’êtes pas amoureuse de votre mari, vous n’avez aucune raison d’explorer l’adultère. Si vous vous sentez seule ou si vous sentez que votre mari ne comble pas certains besoins dans votre vie, ce ne sont pas des raisons de le tromper.
Vous devez tromper votre mari car vous savez qu’il est soumis et qu’il répondra positivement à cette sorte d’humiliation. Vous devez le connaître et déterminer si le faire cocu l’amènera dans le sous espace. Vous pouvez le savoir en le titillant sur le fait que vous pourriez prendre un amant et voir sa réaction. Est ce que cela l’excite ? Est ce que cela le rend plus soumis ? Cela le mettre t’il plus encore à vos pieds sans défense ? Si oui, alors oui cela peut être une activité que vous pourrez explorer avec lui.
 
De votre coté, il est naturel d’aimer les rdv avec d’autres hommes et d’avoir des relations sexuelles avec eux. C’est aussi normal de ressentir quelque chose pour ces hommes avec qui vous êtes intime. Mais vous devez voir l’adultère comme une activité de D&S entre vous et votre mari. Même s’il s’agit de sexe physique entre vous et votre amant, il s’agit encore d’un acte de D&S entre vous et votre mari. Tromper est un outil qui vous permet de jouer sur l’esprit de votre compagnon afin de repousser ses limites et l’amener encore plus loin dans sa soumission envers vous. Votre compagnon doit aussi aimer cela. Autrement c’est du mensonge et vous prenez de graves risques avec votre relation.
 
Je suis pour la libération des femmes. Je suis pour toutes les expressions de cette libération dans la société et envers leurs compagnons. L’adultère peut être un moyen puissant pour exprimer cette libération mais si seulement le compagnon est prêt à cela et si seulement il est le point focal de cela. Je suis une partisane dévouée de la suprématie féminine et j’aime quand les femmes poussent les hommes toujours plus loin et leur demande d’avoir le contrôle sur eux. Cependant je suis aussi l’avocate des promesses de mariage. Je crois au mariage et je crois que les femmes dominantes ont besoin de chérir leur compagnon soumis. La D&S est une façon de renforcer les liens du mariage. Toute activité qui pourrait faire du mal à cette union ou violer les engagements est une erreur.
 
Avec l’autorité s’accroît la responsabilité. Les hommes ont eut a tort cette autorité pendant des siècles et en ont abusés. Les femmes ont une moralité plus grande et elles doivent combiner l’éducation et l’amour avec leur autorité. Si les femmes ne prennent pas en compte les besoins de leur compagnon et si elles mésusent de leur autorité, le mariage ne sera pas mieux que si c’était l’homme qui le dirigeait. Je pour la suprématie féminine et je crois vraiment que la société et les institutions (y compris le mariage) sont bien mieux quand les femmes les dirigent. Mais avec ce pouvoir vient la responsabilité. Les hommes ont prouvés qu’ils ne respectaient pas leurs engagements. Quand les femmes gagnent le pouvoir et du contrôle, elles doivent montrer aux hommes ce qu’est l’autorité aimante. Les hommes ont envie de se rendre aux femmes. Les femmes peuvent accepter et utiliser cela pour le bien commun des deux sexes.


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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 16:50
Bonjour,

Ce qui suit est une expérience réelle, actuellement en cours, dont l'issue est à l'heure actuelle incertaine. C'est une histoire de domination et de cocufiage qui peut intéresser toute personne, homme ou femme, désireuse de se lancer dans la D/S et dans cette pratique en particulier. Dans la mesure où elle s'écarte de la vision systématiquement optimiste que proposent les sites dédiés à la Domination féminine, vision qui suppose toujours une amélioration des relations entre partenaires. Non pas que notre expérience soit totalement négative, loin de là, mais elle offre un imprévu qu'il va nous falloir gérer.

Ma femme a 47 ans, j'en ai 48. Nous sommes mariés depuis 25 ans et nous nous connaissons depuis 27 ans. Nous sommes tous les deux d'un niveau d'éducation plutôt élevé puisque nous avons achevé tous les deux des études universitaires. Notre niveau de vie est plutôt confortable.

C'est à l'âge de 21 ans que j'ai découvert l'attrait intense que représentait le SM et la D/S, par hasard, dans un peepshow dans lequel nous étions entrés plusieurs copains et moi. A côté de nombreux films pornos classiques, les quelques films SM exerçaient sur moi une fascination telle que je ne parvenais pas à détacher mes yeux et il n'a pas fallu 30 secondes pour que j'aie une érection forte et incontrôlée. Trois mois après, j'avais oublié cet épisode lorsque j'ai rencontré ma future femme. Cependant, au-delà de son physique, c'est son tempérament qui m'a plu immédiatement: sourire et tendresse mais en même temps du caractère, de la suite dans les idées, un tempérament fort et entreprenant.

Inutile de dire qu'une hiérarchie s'est rapidement établie entre nous. Ma femme portait la culotte et je suivais. Situation qui s'est renforcée rapidement dès notre mariage. Ma femme commandait avec le sourire mais elle commandait. C’était un gant de velours mais elle savait être main de fer aussi. Il y avait des règles à suivre et il fallait marcher droit.

Je l'ai découvert après quelques mois de mariage après une soirée passée chez des amis. J'avais selon elle "flirté" de manière trop appuyée avec une invitée. C'était léger mais j'admets que mon attitude n'avait pas été correcte. A notre retour, j'eus droit à plusieurs paires de gifles bien senties et elle me donna l'ordre de ne pas recommencer.

J'eus droit à d'autres claques par la suite. Mais sans excès et toujours pour un motif que j'estimais dans le fond de moi-même valable. En dépit de ce seul Aspect de domination physique, notre couple n'était en rien SM. Mais c'était déjà une couple DS sans que le mot soit jamais prononcé entre nous. Une seule fois seulement, lors d'un rapport sexuel qu'elle avait décidé, comme d'habitude, elle se retrouva très rapidement, comme d'habitude, à califourchon. Je luis dis: "tu sais que tu essaies toujours de me dominer?". Elle me répondit du tac au tac: "pardon, j'y arrive toujours et tu aimes ça".

Cette situation dura 10 ans. Seule ombre au tableau, j'eus l'impression à trois ou quatre reprises qu'elle avait des relations extraconjugales. Mais je n'en dis rien car notre couple fonctionnait bien et j'étais heureux de ma situation, je n'en étais pas certain, cela n'altérait pas et j'étais déjà...soumis.

Avec la naissance de notre enfant, la situation changea. Un enfant prend du temps et de l'énergie, ma femme était moins disponible, avait moins d'énergie, son travail était envahissant. Son emprise sur le couple faiblissait. Au lieu de l'aider j'ai commencé à vivre une sexualité solitaire. Pendant 8 ans, j'ai soulagé mon côté voyeur et multi-fétichiste en parcourant le web à la recherche de sites érotiques. J’ai téléchargé plusieurs milliers de photos. Disposant d'un revenu complémentaire que je cachais, j'ai fréquenté des dominatrices professionnelles pour des séances hard. Puis j'ai découvert une autre forme de jeu de DS: la lutte érotique. Je l'ai pratiquée d'abord avec des femmes. Mais le web a révélé également mon homosexualité latente. J'ai donc lutté avec des hommes également et j'ai eu ensuite quelques maîtres. Lorsque c'était possible (ma femme et moi voyageons régulièrement pour notre travail), je me travestissais. Devant toutes ces pratiques, j'avais un fort sentiment de culpabilité. Mais je ne pouvais m'empêcher de continuer.

Au début ma femme était sans réaction, occupée qu'elle était avec notre enfant et son travail. Ensuite, j'eus l'impression qu'elle retrouvait une vie de femme et non plus seulement une vie de mère...mais avec d'autres hommes. J’ai préféré garder le silence mais cette fois-là, c'était pour éviter qu'elle ne découvre mes propres dérives.

Au bout de huit ans, conscients tous les deux que notre couple s'effilochait, nous avons décidé de lui redonner des couleurs. Ma femme a fait régime, elle a rebâti une garde-robe décente, je lui ai fait part de mes souhaits en matière de mode et de look, éléments très importants pour moi en raison de mes multiples fétichismes. Le couple revivait mais malheureusement, je retombais toujours dans le travers de la fréquentation des professionnelles.

L'élément détonateur se produisit, suite à un mauvais calcul de ma part. Je privilégiais les séances SM avant mes ou ses voyages, ce qui permettait aux traces corporelles de s'estomper. Cette fois-là, le voyage de ma femme fut écourté et elle me surprit le corps encore marqué. Elle me questionna et mit une pression telle que je lâchai le morceau rapidement.

Pendant 24 heures j'eus à subir sa fureur et son mépris et j'étais dans mes petits souliers. Mais après ces 24 heures, en femme intelligente, elle reprit le dialogue, me demanda me m'expliquer et m'écouta attentivement. Son point de vue était clair: compréhension certes mais nécessité pour moi de changer. Etant écœuré par ma conduite et la promiscuité dans laquelle je me compromettais, je désirais changer également mais je ne m'en sentais pas capable sans l'aide de son encadrement et de son autorité. D'où notre décision d'opter pour la DS, mais elle fut claire: SA DS, pas la mienne.

Toujours en femme intelligente elle me demanda de pointer ses manques et de me dire ce que j'estimais nécessaire pour pouvoir supporter le changement de régime qui m'attendait. Je pointai 6 points qui semblaient importants pour moi. Elle en accepta trois et en refusa trois. Ce fut, pour ma femme, le début d'une période de lecture sur le sujet de la DS et du SM, pour moi, le début de la rédaction d'un historique détaillé, écrit et signé de mes dérives des années précédentes doublé de la rédaction d'un inventaire détaillé des pratiques du milieu et de leur évaluation selon une échelle 0 à 5, comme on en trouve sur Internet.

Une de ces pratiques concernait le cocufiage. Il n'avait pas d'attrait particulier pour moi mais je me voyais mal refuser alors que j'avais été pris en flagrant délit et que j'avais confessé un grand nombre de dérives. De plus, l'infidélité n'avait jamais été un problème en 20 ans. Certes j'avais des soupçons mais cela ne m'inquiétait pas d'autant plus que le souhait de ma femme était visiblement de redonner du lustre à notre relation. Je lui donnai un rating 3: pas d'attrait particulier mais aucune objection non plus.

Ma femme me donna 48 heures pour bien relire et réfléchir parce que ce qui serait accepté le serait définitivement. Je proposais une relation de DS, je l'aurais mais je devrais assumer mes choix.

S'en suivit un premier contrat temporaire, histoire de voir comment cela fonctionnait. Cela fonctionnait bien, ma femme multipliait les rapports sexuels, faisait des découvertes (uro, gode-ceinture, facesitting...) tout en resserrant déjà les boulons: une passivité sexuelle totale était exigée et la séance était sanctionnée par son plaisir, pas nécessairement le mien. Après 3 mois et quelques ajustements, l'expérience s'avérant concluante, ma femme rédigea un second contrat nettement nettement plus contraignant dans lequel figurait clairement son droit à avoir des relations extraconjugales sans limite.

Cela me surprit mais il n'y avait rien à redire. J'avais accepté. Alors que la relation avait évolué de manière prometteuse pour moi, dans la mesure où ma femme expérimentait des pratiques, elle marqua rapidement le pas. Je pensais naïvement que ma femme se rendrait tôt ou tard dans un sex shop pour y acheter menottes et fouet et donner un aspect caricatural à la relation et je me trompais. Elle privilégiait l'aspect didactique et m'expliquait sereinement ce qu'elle attendait de moi.

Certes, il y avait, après les explications cordiales, d'éventuelles sanctions mais elle veillait soigneusement à m'éviter tout plaisir. Une des obligations que je devais respecter était la sincérité de sentiments.

Je devais me mettre à nu. Si quelque chose me semblait ne pas fonctionner, je devais le signaler par email, argumenter sincèrement mais en termes mesurés. Je me retrouvais dans une situation classique pour un soumis. Tout en rêvant d'une soumission totale, je me voyais perdre le contrôle de la relation en constatant qu'elle évoluait dans un sens imprévu.

Point de décorum SM, point de cuir ou de latex,.... Mes mails, nombreux au début, témoignaient d'une frustration certaine. Ma femme lisait, en discutait et me remettait invariablement sous les yeux le contrat, m'obligeant à faire face à mes propres choix.

Chaque point perdu m'enfonçait un peu plus et chaque point gagné par ma femme me donnait un supplément d'admiration devant ce qu'elle était en train de me faire accepter: son projet à elle, sans concession. Elle me transformait en boniche passive, elle multipliait les facesittings entre rapports sexuels ce qui eut pour effet de porter rapidement les périodes d'abstinence à 30, puis 50/60 jours, puis bientôt 90 jours.

J'obtempérais sans discuter.

Après 18 mois environ, j'ai décelé un changement de comportement: rentrées tardives, coups de fil discrets, réponse à des sms et surtout un rayonnement bien perceptible. J'ai tout de suite suspecté une relation extraconjugale. Deux mois plus tard, comme mes soupçons se confirmaient, je lui ai fait part de mes soupçons. Elle m'a répondu avec calme: "tu es effectivement cocu. Mais depuis six mois environ. Je suppose que tu n'y vois aucun inconvénient?"

Elle a ajouté avec un petit sourire narquois."Je n'en ai pas parlé parce que je voulais savoir combien de temps tu mettrais à t'en rendre compte". J'ai répondu que je n'y voyais aucun inconvénient et je suis allé fumer une cigarette sur la terrasse aux prises avec une érection absolument phénoménale.

Je pensais avoir toucher le fonds de la soumission mais je me trompais encore une fois comme nous le verrons plus loin. Nous en avons reparlé le soir même et dès ce moment ma femme a utilisé l'arme du cocufiage pour m'enfoncer encore plus.

Ses qualités d'amants étaient mises en avant tandis que mes piètres performances étaient soulignées. Elle vantait son tempérament d'homme, pour mieux souligner ensuite ma médiocrité en la matière. Au-delà de la volonté, non de blesser, mais d'accentuer son pouvoir, je savais qu'elle disait vrai. Non seulement elle revenait de ses rendez-vous radieuse. Mais sa bonne humeur était générale et permanente.

En ce qui me concerne, j'avais eu plus d'une fois, avant mon mariage ou lors d'aventures passagères lors de ma période "libérée" des commentaires dans le même sens qui tous soulignaient mon manque de tempérament, ma passivité et mon incapacité à "faire l'homme". A partir de ce moment-là, je suis devenu progressivement une véritable carpette, ce qu'elle appelait non sans ironie "un progrès dans une soumission mure et acceptée".

Je l'admirais de plus en plus, elle était ma reine et elle le savait.

Mais ce n'était pas symétrique et mon prestige "sexuel" s'effondrait à vue d'œil. Cette situation a duré environ trois ans et demi, trois ans marqués par un dé tricotage progressif du couple au sens sexuel du terme. Facesittings, quelques queenings occasionnels en guide de récompense, suppression de tout ce qui est gratifiant sexuellement, suppression des baisers sur la bouche, périodes de chasteté de plus en plus longues (les deux dernières périodes sans éjaculation étant de 7 et 9 mois).

Les "soulagements" consistaient invariablement en des rapports à califourchon. Inutile de dire que dans l'état où j'étais, cela durait à peine 5 secondes. Comme je m'en excusais un jour, elle me répondit que ce n'était pas grave, qu'elle n'en avait pas besoin pour prendre son pied et qu'il s'agissait seulement d'entretenir la mécanique. Cette incapacité à me contrôler ajoutait une humiliation supplémentaire à une gêne quotidienne, celle d'être incapable de la faire jouir. Son plaisir ne dépendait plus de moi.

Mais curieusement, cette situation avait un autre effet. Je me sentais de plus en plus en harmonie avec moi-même, comme si la perte de toute responsabilité, hormis celle d'obéir servilement, la perte de responsabilité sexuelle notamment, celle de donner du plaisir, m'apaisait. Je me sentais de plus en plus frustré mais de plus en plus en phase avec moi-même.

Nos rapports sont restés excellents, notre complicité tacite est restée très élevée, chacun connaissant son rôle et restant à sa place. Je suis devenu un compagnon soumis, une boniche docile, un sextoy occasionnel témoignant de son amour à sa reine par l'obéissance, témoignage auquel elle tient encore en femme de pouvoir qu'elle est.

Il y a 3 mois environ, ma femme m'a annoncé que son amant divorçait. J'y ai vu un danger et je suis entré en crise. Je lui en ai fait part par mail. Je lui ai dit que je sentais une dislocation progressive du couple, qui se manifestait pour moi par des périodes de chasteté de plus en plus longues, que je souhaitais continuer avec elle et que si elle le désirait, j'acceptais même de revenir à la situation antérieure et de refaire un couple "vanille" dans lequel je serais de nouveau un amant classique.

Ma femme a lu, nous en avons discuté, pour me dire finalement très clairement qu'il était effectivement son partenaire numéro un, que mon largage était effectivement une option mais qu'elle ne souhaitait pas se séparer avant que notre fils ait achevé son école moyenne (ce qui me laisse 24/27 mois pour inverser la tendance), qu'il était hors de question de faire marche arrière parce que non seulement elle me considérait hors jeu en la matière mais parce qu'elle était convaincue que je ne le souhaitais pas non plus. Que vouloir changer quoi que ce soit à mon état ne pouvait qu'accélérer mon passage à la trappe, que le mieux à faire pour moi était de continuer à obéir et de voir ce qui se passerait, que la prochaine période d'abstinence serait d'un an ferme, que de toute façon elle savait que je ferais ce qu'elle dirait et que je le savais aussi.

Le tout avec un grand sourire. J’ai dit "oui maîtresse" et à ce moment j'ai su que je touchais le tréfonds de la soumission et du masochisme. L'avenir est comporte donc une série d'inconnues.

Ma femme m'a confirmé qu'il était fort peu probable que l'on reste ensemble au terme des 24/27 mois. Mais son option serait, non pas de rompre totalement, mais de conserver un ou deux jours par semaine un point d'attache. Je resterais son esclave mais mon rôle serait secondaire. Cette perspective est loin d'être idéale mais d'un autre côté elle me permettrait de conserver un lien avec ma maîtresse, lien auquel je tiens particulièrement.

Par contre la situation actuelle comporte déjà un certain nombre de certitudes. Je suis définitivement grillé comme amant, sa liaison durera probablement longtemps et il est quasi certain que si elle devait s'arrêter ma femme en aurait d'autres.

Il est clair que mon rôle se limitera désormais à celui de soumis total.

Cette histoire m'inspire plusieurs réflexions :

Première réflexion, positive, chacun de nous a appris à se comprendre, à comprendre l'autre et à comprendre le fonctionnement d'un couple. Notre vision est celle d'un couple constitué de 3 entités:

Deux individus ayant leur autonomie, leurs aspirations, leurs besoins et une troisième entité dont le bon fonctionnement dépend du bien-être des deux individus: le couple lui-même. Cette analyse débouche sur une vision plus mature des relations sentimentales, nettement moins fusionnelle, nettement moins Naïve et nettement moins hypocrite aussi. Certains lecteurs trouveront la perte de l'aspect fusionnel regrettable mais nous pensons tous les deux qu'il est plus profitable d'aborder le couple de cette manière pragmatique. D'accord pour dire que la fusion doit exister au début d'une rencontre. Mais après, mieux vaut voir la réalité en face.

Deuxième réflexion, cette expérience me permet dorénavant d'assumer pleinement ma soumission et mon masochisme. J'ai lutté depuis l'adolescence pour être un homme comme la majorité. Sans succès et j'étais malheureux. Depuis que je me soumets ouvertement, je suis en harmonie et en paix avec moi-même. Comme ma femme me l'a souvent fait remarquer, je n'ai jamais été aussi bien dans ma peau. Je sais que je ne chercherai plus qu'un seul type de relation: la soumission à une femme.

Troisième réflexion, je ne suis pas le type d'homme dont ma femme a besoin, en tout cas pas comme partenaire principal. Ma femme a besoin avant tout d'un vrai mâle, d'un homme fort et viril pour de relations "vanille" ultra-fortes. Elle avoue d'ailleurs lui être assez soumise et faire ses quatre volontés. A côté de cela, avoir un soumis pour se faire servir et en tirer profit, ne lui déplaît pas. Mais c'est un rôle subalterne, pas essentiel. D'où son projet de conserver son soumis, en doses limitées.

Là je prends mes distances par rapport à de nombreux sites actifs dans la promotion de la domination féminine, comme celui d'Elise Sutton. Laisser croire que tous les hommes sont des candidats à la soumission et que toutes les femmes sont mures pour la domination pour autant qu'on les stimule légèrement est une erreur grossière qu'il faut arrêter de répandre.

Il y a de nombreux candidats soumis et beaucoup de femmes portent effectivement la culotte, la mienne notamment. Mais la majorité des femmes recherchent un homme fort et viril au lit, pas un soumis passif.

La D/S reste possible, là n'est pas la question. Mais ce n'est pas pour tout le monde et mieux vaut ne pas se tromper de partenaire. Dans notre cas, j'ai surévalué le tempérament dominant de ma femme. Elle porte la culotte, elle cherche à faire ce dont elle a envie, elle tente de dominer mais ne désire pas nécessairement embrasser les pratiques du monde de la D/S et du S/M mais désire au contraire du sexe traditionnel à fortes doses dans les bras d'un mâle. L’idéal aurait été pour elle un soumis domestique docile mais un homme malgré tout très viril.

Quatrième réflexion et conclusion de la première réflexion, pour qu'un couple soit harmonieux, les deux individus doivent l'être d'abord sur le plan individuel. Dans notre cas, dans la mesure où je ne suis pas ce qu'elle recherche, le couple ne peut fonctionner correctement. Donc, l'expérience est, dans l'état actuel des choses, un échec. Echec du couple puisque l'idée de départ était de resserrer les liens. Echec personnel puisque je suis mis au placard.

Nous sommes dans une situation étrange. La D/S nous a permis de mieux nous connaître, de renforcer notre complicité. Nos relations quotidiennes sont excellentes, nous sommes d'excellents compagnons (d'ailleurs le contrat de D/S que nous avons signé court toujours) et nous nous sentons mieux qu'avant de démarrer l'expérience. Il n'y a aucune amertume entre nous. Bref le couple va nettement mieux mais en même temps il ne semble pas avoir d'avenir. Je me sens parfaitement bien, j'admire ma femme au plus haut point, j'aimerais rester son soumis mais en même temps je dois envisager sérieusement de passer à la trappe. Ma femme admire mon intelligence, ma compréhension des choses de la vie, ma tolérance, mon ouverture d'esprit, mon humour et ma capacité à assumer mes choix de manière responsable. Mais en même temps, elle considère que je ne suis désormais plus un partenaire valable, au mieux un soumis total. Etrange situation.

Cinquième réflexion, et ici je m'adresse aux nombreux candidats et candidates tentés par l'aventure. Je leur dirais simplement ceci:

- si vous ressentez le besoin de vous soumettre, allez   jusqu'au bout. Cela vous permettra peut-être d'atteindre un jour l'harmonie sur le plan individuel.

- ceux qui rêvent d'une soumission totale,   restez bien conscients qu'avant d'atteindre ce stade   que les dominatrices appellent le stade du soumis tranquille,   vous subirez une descente aux enfers progressive. Si vous n'êtes pas préparé et expérimenté, si votre   désir n'est pas profond, votre premier réflexe sera de tenter de dominer par le bas, d'influencer votre maîtresse et le second réflexe sera de préserver le fonds de machisme qui est en vous. Dans les premiers temps, chaque humiliation sera ressentie comme telle   et ce sera dur. Dans le même temps vous espérerez secrètement qu'elle vous brise et si elle y parvient, vous l'admirerez.

- par conséquent, et je m'adresse ici aux dominantes qui le deviennent "sur invitation du partenaire", ce qui est un cas assez fréquent, si vous acceptez de vous lancer vous devrez aller jusqu'au bout. Car il n'y a rien de pire pour un soumis qu'une maîtresse faible.   Une fois lancé, on ne peut plus faire marche-arrière.

- vivre c'est prévoir et il faut se préparer aux conséquences. Vous allez dominer, votre partenaire va changer, ses défenses vont s'affaiblir, il va perdre une partie ou tout ce qui l'identifiait aux mâles. Il faut vous demander si vous aimerez ce genre d'homme.

 Vous allez changer aussi, vous allez immanquablement orienter la relation vers vos besoins, vous allez mettre en avant votre égoïsme et mettre de côté, partiellement du moins,   votre altruisme. Vous allez vous sentir devenir "salope". Il faut être préparée également. Dans les relations de couple c'est le partage et le don de soi qui est le plus souvent mis en avant. Une dominatrice devra pratiquer l'inverse... sans jamais perdre de vue les besoins de son soumis, besoins qui consistent essentiellement à être dirigé et   encadré avec fermeté tout en arrachant quelques concessions quand-même. La D/S est un type de relation qui demande énormément de psychologie, d'intelligence et de connivence entre partenaires. Il faut allier spontanéité et réflexion.

Sixième réflexion. Pour éviter toute catastrophe, évitez de vous lancer dans une soumission totale dès le début.

Septième réflexion, liée au cocufiage. Il semble que ce soit un fantasme fort chez bon nombre de soumis. Mais pour qu'il fonctionne bien (je parle ici uniquement du cocufiage en relation avec la D/S, pas d'autres types de cocufiage comme lorsque le mari est simplement voyeur et la femme exhibi), je préconiserais de ne pas l'inclure dans la relation D/S dès le début. Car si votre maîtresse vous domine avec passion, elle vous cocufiera "par inclusion". C’est-à-dire qu'elle utilisera l'arme du cocufiage pour vous enfoncer de plus en plus bas. Si par contre, elle ne vous domine pas avec passion, elle risque de vous cocufier "par exclusion".

C'est-à-dire que vous serez tout simplement remplacé comme partenaire numéro un. Mieux vaut, selon moi, inclure cette pratique plus tard, lorsque le couple dominante/soumis a acquis une certaine maturité et que l'on est certain que le cocufiage ne le déstabilisera pas.

Enfin, toute dernière réflexion. Pour une bonne domination, il faut quatre choses. Il faut que (hormis le fait que le soumis le soit réellement, que son désir de soumission dépasse le stade du fantasme superficiel évidemment):

  • 1 la maîtresse comprenne son soumis
  • 2 la maîtresse l'admette tel qu'il est
  • 3 la maîtresse l'aime pour ce qu'il est (je parle en tant qu'être sexuel, non pas comme homme en général)

Si le point 1 n'est pas rempli, cela ne marchera pas. Mieux vaut oublier ou en tout cas, mieux vaut d'abord convaincre et être certain que l'on a convaincu.

Si le point 1 et 2 sont remplis, il y aura domination, mais une domination négative en quelque sorte. Elle sera pour vous importante, mais vous n'aurez pas la même importance à ses yeux. La domination sera probablement dure. Mais probablement sans chaleur. Et le risque qu'elle vous plaque pour un autre homme qu'elle admire plus existera peut-être. C’est à ce stade-ci que nous sommes ma maîtresse et moi.

Seul le troisième stade permettra de créer, à mon sens, une solidarité réelle, solidarité certes inégale car, un soumis ne devrait jamais l'oublier, il restera soumis et dans une relation D/S c'est la dominante qui a de nombreux avantages mais une solidarité réelle parce que chaque protagoniste désirera l'autre pour ce qu'il est.

C'était long mais j'en ai presque fini. Lorsque je vous ai écrit pour vous demander si vous étiez intéressée par mon témoignage 'négatif" avais-je écrit, vous avez dans votre réponse employé le mot "désarroi". Ce n'est pas le bon terme. Il n'y a pas d'amertume, pas de tristesse, pas de rage, pas de rancœur, ni chez moi ni chez ma femme. De la surprise d'en être arrivé là oui. Mais énormément de respect mutuel. Du reste, nous sommes pour l'instant toujours lié par un contrat précis que chacun honore. L’avenir ne s'annonce pas rose pour moi mais les choses peuvent encore changer. Je suis un optimiste de nature. Nous verrons et je vous tiendrai au courant si vous le souhaitez.

Tout commentaire est le bienvenu.
J'espère ne pas avoir été trop long ni trop ennuyeux.
Daniel


Réponse Ms.Dana:

Danielle votre analyse est fine, profonde et je ne pourrai que conseiller à tous les couples qui veulent inclure l’adultère dans leur relation, de bien comprendre le risque que cela représente.

Oui, comme vous le dites si bien, on ne peut faire marche arrière dans la D&s. On ne peut refermer une porte qui a été ouverte ensemble et qui a fait découvrir tous les avantages du statut de dominante à la femme.

Je suis totalement d’accord avec vos réflexions, même si j’y apporterai une grosse nuance :

Le besoin de soumission de la femme peut exister mais vous verrez qu’hormis quelques rares exceptions, une femme de caractère comme la votre ne le saurait l’être que parfois  dans sa sexualité. C’est son droit.

A mon sens l’erreur qu’a fait votre femme, est d’avoir confondu le fait d’avoir des amants pour sa sexualité et pour vous rabaisser plus, avec celui d’avoir une relation régulière avec le même amant, ce qui chez une femme engendre nécessairement des sentiments forts.

C’est un risque important, et les femmes pratiquant ou voulant pratiquer l’adultère doivent en être consciente, et pratiquer celui ci sans qu’il n’y ait aucune confusion dans leur esprit :

Je le rappel à toutes ! Une Maîtresse, en tant que Femme libérée, a le droit d’avoir d’autres partenaires sexuels. Le faisant, ce sera dans l’optique de renforcer la relation avec son soumis.
Je crois que la pratique de l’adultère met certains mâles, en état de profonde soumission à l’égard de leurs propriétaires. Ainsi, via la jalousie et l’excitation partagée, les liens et l’amour au sein du couple peuvent en être encore renforcés.

Si elle fait jouer ce droit, la femme ne devrait jamais mentir et savoir qu’elle peut avoir toutes les libertés sauf celle d’être infidèle en amour envers un homme qui s’est totalement donné à elle. C’est un exercice périlleux, réservé à peu d’entre nous.
Vous les soumis qui désirez ardemment que votre femme franchisse ce cap, ne l’oubliez jamais … vous jouez avec le feu.

Courage Daniel et merci pour votre témoignage si instructif et si réfléchis, car il est la preuve des dangers que l’adultère comporte dans une relation D&s. Messieurs réfléchissez y à 2 fois. Mes Dames ne faites pas l’erreur de cette Maîtresse.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 13:14

Date: Tue, 7 Apr 2009
From: larbiner



Bonjour Maitresse Dana
 
Je decouvre votre site avec un grand bonheur et j'aimerai connaitre votre opinion sur ma situation.
J'ai initié ma femme a la domination depuis presque 10ans et elle semble apprecier nops pratiques basées essentiellement sur l'humiliation , etant tres cerebral et peu porté sur la douleur physique ,violence ou agressivité gratuite.
Je me rends compte que nous nous allons progressivement plus loin chaque année ,las de faire la meme chose , et osons de nouvelles activités jusqu'a certaines pratiques extremes telles que la douche marron et l'adultere.
Regulierement (1 fois par semaine) ma femme m'enferme dans les wc , m'etale par terre pendant qu'elle reçoit des amis et passe sa soirée tranquillement , et viens ensuite se soulager sur mon visage en m'ignorant tel une simple cuvette .
Je prend soin de garder la bouche fermée pendant cette pratiquement ne lasissant rien penetrer dans ma bouche , et ayant les mains libres , je me lave apres une quinzaine de minutes resté dans ma position avec les excrements autour de ma bouche.
 
Je voudrai savoir si cette pratique represente un danger et quelle sprecautions pourrait on prendre afin d'eviter tout risque de santé.
 
Mon deuxieme probleme et que je deviens fou d'excitaton a l'idee qu'elle me fasse cocu , et pendant que nous faisons l'amour , je le lui demande et elle joue le jeu en me disant "tu le seras bientot"...mais je sais qu'lle n'ose pas franchir ce pas et moi non plus , etant un couple tres stable et sans faille.
Je ne vis pas ma soumission comme un mode de vie , mais de maniere reguliere et reprenons nos roles habituels apres.
 
Nous faisons l'amour regulierement et avons une vie de couple normale .
 
Je ne sais quelle reaction j'aurai si elle me cocufiait comme je le lui demande et je ne suis pas en mesure d'apprecier les consequences ...
 
Pourriez vous me donner vos avis a ce sujet ?
 
Merci
 
Tony

 



Bonjour Tony.

 

J'ai de nombreux retour me disant que mon site est différent, en ce qu'il est sérieux et permet d'avoir des réponses à bien des questions que se posent les couples, les femmes et les hommes seuls.

 

Ton témoignage ne fait que renforcer le fait que je crois que la plupart du temps, ce sont les hommes qui mènent leurs femmes à la domination. C'est un besoin très fort chez eux, et s'ils ont la chance d'avoir une femme non seulement de caractère, mais aussi très à l'écoute et ouverte à la découverte, alors l'avenir peut être radieux.

 

Chaque relation est différente puisqu'elle part des attentes de chacune et chacun. L'homme s'ouvre à  la femme, qui si elle sait écouter saura saisir là une chance de rendre sa vie bien plus plaisante, agréable, confortable et riche en sensations.

 

La domination mentale, qui est aussi respectable que la domination physique, est plus riche et plus complexe. Car elle nécessite que la dominante sache bien percevoir, connaître et comprendre le 'fonctionnement cérébral' de son soumis. Ce qui n'est pas simple et requiert des années d'écoute et d'observation. Mais elle est puissante et à mon sens porteuse d'une profondeur inégalée.

 

La pratique de la douche marron n'est souvent qu'un fantasme et ne devient qu'assez rarement une réalité. Et on peut comprendre pourquoi au regard de ses désagréments. Autant l'urologie est aisée et non contraignante, autant les douches marron sont délicates et ne peuvent être pratiquées qu'avec le plus grand soin. Car le danger physique est présent et nécessite de prendre les précautions que tu cites. Je ne la conseille pas pour cette raison, car elle comporte des risques pour la santé.

Je ne la pratique pas, mais il est vrai que c'est une pratique qui peut engendrer une profonde humiliation.

 

 

 

Ha, tant de soumis ont ce désir et cette peur que leur dominante les fasse cocu. Etrange et complexe pour appréhender cela. Sans en chercher les raisons psychologiques profondes, cet 'art' n'est pas à la porté de toutes. Car en effet, pour une femme il est assez bizarre au départ d'entendre dire 'trompes-moi', 'prends un amant'. Chez le soumis cela a une résonance profonde et cette vibration que cela provoque en lui, si elle est bien utilisée l'amène encore vers une plus profonde adoration de sa maîtresse et un désirs plus aigue.

Pour la femme le cheminement mental qui permet d'arriver à cette pratique est assez long ; il passe par l'incompréhension (ne suis je pas assez belle à ses yeux ?), l'interrogation (pourquoi veut'il cela ?), puis a l'hésitation (si je le fais, ma relation ne va t'elle pas se briser, et lui n'ira t'il pas vers une autre ?).

 

Tant de question qui nécessitent des réponses avant de franchir le pas. Le jour où nous sommes décidées, il est souvent trop tard pour le soumis pour revenir en arrière. Car prendre un amant, c'est se sentir de nouveau courtisée, désirée par un homme, et flirter est bien agréable.

 

Alors oui, le désir fort du soumis en ce domaine nécessite non seulement beaucoup de patience, mais par dessus tout un vrai échange. Car il existe un risque réel que la femme se donne à un autre non seulement physiquement mais éprouve pour lui de vrais sentiments. C'est le piège, qui risque de faire bien des dégâts.

 

Il faut donc qu'elle arrive à le faire dans l'objectif principal de soumettre encore plus son soumis, et ne l'oublis pas. Avoir en plus du plaisir est aussi indispensable, mais partager son intimité avec un amant sans rien éprouver pour lui n'est pas le fait de toutes, loin de là.

 

Si elle prenait un amant, vous risqueriez de devenir jaloux, surtout si elle lui trouve bien des choses et éprouve des sentiments. Mais il sera trop tard. Ce risque n'est pas improbable, mais pour autant tout dépend de votre réaction à vous soumis, qui ne doit pas montrer ou ressentir une jalousie trop aigue, et de sa réaction à elle qui doit faire attention à ne pas vous écarter de cette relation avec un autre.

Elle doit vous la faire partager en vous racontant, et pourquoi pas un peu plus un jour.

 

La meilleure démarche pour elle est de rencontrer un homme sans aller au départ au delà que le simple flirt. Voir d'en inventer un, ou d'exagérer les sentiments qu'elle éprouverait envers lui, pour juger de votre réaction. Si vous réagissez en ressentant la jalousie, que cela vous fasse mal, alors il ne faut pas qu'elle aille plus loin pour la pérennité de votre relation.

Si vous réagissez positivement, alors elle peut s'engager dans une vie de rencontre avec des amants, tout en sachant que vous restez son centre, et que les amants ne sont que pour quelques mois. Pas plus.

 

On peut aisément être cruelle à ce jeu des amants, c’est possible, si le soumis est un maso mental, mais là encore il faut en être certaine. Si vous vous sentez forte, et avec un profond attachement pour lui, alors oui, soyez-le et rendez le jalouse le plus possible. Car paradoxalement il aimera et n’en sera que plus soumis.

 

Mais je le répète, ce n'est pas une pratique donnée à toutes.

 

Bonne continuation dans vos découvertes de ce mode de vie.

 

Ms Dana

 


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Par LO
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