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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 06:22

Bonjour à toutes;


Nous sommes un couple Lyonnais de 47 (moi) et 49 (lui/elle) ans. Je domine mon compagnon depuis plusieurs années; ceci tout en gardant pour l'extérieur l'apparence d'un couple "normal", travail, enfant etc... Et il est évident que la domination ne doit pas diminuer ou entacher son rôle de père.
  Pour le détail, je le féminise dessous la plupart du temps et dessus dès que c'est possible. Il a un surnom féminin et dès que possible doit parler d'elle au féminin et se comporter de manière plus délicate. Elle n'a plus aucun sous-vêtement masculin à part un seul slip pour aller chez le médecin ou à la visite médicale du travail.
Je l'ai aussi amenée à se trouver bien en vêtements et dessous  féminins, à choisir ses vêtements, dessous, et chemises de nuit, etc sur ses critères personnels... Elle ne dort qu'avec un soutien-gorge et des faux seins, assez volumineux, qu'elle porte également quand elle est totalement féminisée.
Elle n'a plus droit a aucun rapport sexuel "normal", ni orgasme réel., et n'est vidée que périodiquement, et ceci sans érection.
Lorsqu'elle est autorisée à avoir une érection, c'est toujours en vue d'un supplice ou d'un acte humiliant et dégradant.
Je l'ai aussi rendue éjaculateur précoce dans certaines conditions.
Elle subit bien sûr nombre d'humiliations, punitions, martinet, sodomie etc...
Pour la punir et l'humilier, j'utilise beaucoup les couches-culottes, l'obligeant à s'en servir, l'enfermant dans des grenouillères ou barboteuses.

D'autres femmes ici utilisent elles les couches pour dominer et punir leur soumis?

Je serais contente d'échanger correspondance par mail et des idées  avec d'autres femmes  aimant dominer, humilier et ridiculiser  leur  soumis (e).
Et peut être nous rencontrer un de ces jours

Amitiés à toutes,
Christine.

 
Réponse de MS.Dana

Félicitation pour avoir pris les choses en main. Chacune à ses façons de pratiquer, l’essentiel est que vous vous épanouissiez dans votre nouvelle vie de dominante, et qu’il apprenne à vous rendre heureuse.

Pour vous répondre, oui il y a sûrement d’autres dominantes qui ont cette pratique. Plus le temps passe, plus je m’aperçois que nous sommes des milliers en France à vivre ainsi, encore est-ce sûrement simplement le haut de l’iceberg et que bien plus encore vive cela dans le secret de leur foyer. Donc oui très certainement des dominatrices utilisent des couches pour humilier et punir leur soumis. Je trouve l’idée excellente, car elle doit avoir un impact sur le mental du soumis, qui doit psychologiquement non seulement se sentir très humilié, mais inconsciemment y associer des situations vécues dans sa petite enfance. Et ce lien là est puissant et le rend dépendant de votre bon vouloir.
Oui je connais une dominatrice prêt de Lyon, très féministe et très expérimentée. Je vous envoie son email et vous souhaite le meilleur.
Si d'aventure d'autres dominantes sur Lyon sont interessées, je pourrais leur donner le votre.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 15:57
Q. Chère Elise, est-ce que la domination féminine est proche de l’homosexualité ? Il m’apparaît qu’un homme qui veut être pris avec un god ceinture ou féminisé a peut-être des tendances homosexuelles, mais qu’il les exprime plutôt avec une femme via la domination féminine. Qu’en pensez-vous ? 
 
A. Si un homme avait des tendances homosexuelles il ne voudrait pas s’engager dans une relation Bdsm avec une femme. Il voudrait aller vers un autre homme. 
Par définition, l’homosexualité est une orientation sexuelle vers les personnes du même sexe. Si vous aviez assisté à un événement pan-sexuel Bdsm, vous sauriez que le Bdsm est aussi pratiqué dans la communauté des gays et des lesbiennes. Les hommes dominent d’autres hommes sexuellement, et les femmes dominent d’autres femmes sexuellement. Quand un homme désire être dominé par une femme, quelle que soit l’activité, c’est une forme d’hétérosexualité. L’attraction sexuelle a lieu entre l’homme et la femme. Si vous avez peur que votre mari soit attiré par l’homosexualité car il désire que vous utilisiez un god ceinture, vous vous trompez. Croyez-moi, si ce n’était pas une femme derrière le god ceinture, votre mari s’enfuirait certainement. Il ne veut pas être pris par un homme. Il veut être dominé par une femme.
Le god ceinture est un échange de pouvoir et il n’a rien à voir avec les hommes désirant l’homosexualité ou les femmes désirant être des hommes. Bien au contraire, cette activité donne de la puissance aux femmes en leur permettant de libérer un autre niveau de leur pouvoir jusqu’ici dormant. Le god ceinture provoque une stimulation mentale qui permet un très important échange de pouvoir. L’homme soumis ressent une combinaison de stimulation sexuelle et d’humiliation quand il est pris ainsi. Il sait à présent que ce qu’il utilisait aussi souvent (son pénis), n’est plus un outil pour conquérir les femmes, mais qu’a présent les rôles ont changé, que la femme revêt les attributs symboliques de la masculinité et les utilise contre lui. La femme dit ainsi à l’homme qu’elle n’est pas impressionnée par son pénis masculin et qu’elle peut en acheter un plus gros pour son propre plaisir, qu’elle peut même l’utiliser comme un outil pour faire du genre masculin un esclave. Ce qui fut le symbole masculin de la conquête des femmes est maintenant utilisé par une femme pour prouver sa supériorité aux mâles. 
Le god ceinture, c’est la libération des femmes et la soumission des hommes à cette libération. Il y a des implications sociales et psychologiques à cela. A présent la femme détient l’ancien symbole phallique. Elle est dorénavant celle qui donne et l’homme devient celui qui reçoit. 
Le god ceinture enlève à l’homme sa masculinité et ses cotés macho et l'amène en général à abandonner sa force et sa volonté à la femme qui le prend ainsi. C’est un afflux incroyable de pouvoir pour une femme. De plus l’effet de cette activité dure un certain temps en général. Un homme qui se soumet à cette pratique n’est plus de sitôt macho avec sa femme dominante. Il devient très soumis en dehors de la chambre après cela.
Et la nature soumise d’un homme aime ce sentiment. Il aime la stimulation mentale et la signification sociale qu’une femme a quand elle le prend avec ce pénis artificiel. Le god ceinture touche au physique, à la sexualité, au mental et à l’émotionnel. Il n’a rien à voir avec l’homosexualité. 
Il en va de même de la féminisation. Le désir d’être féminisé est plus commun parmi les hommes qu’on pourrait le penser. Tout, chez les femmes, tout, dans la féminité, excite les mâles et éveille leur curiosité. Les femmes sont mystérieuses pour beaucoup d’hommes. Porter des vêtements féminins, des chaussures, etc. peut être une source d’excitation pour un homme. C’est comme devenir un peu une femme et explorer la féminité. C’est une forme de fétichisme assez courante parmi les mâles soumis. Beaucoup de jeunes garçons ont leur première excitation en touchant ou même en essayant les soutiens-gorge, les bas ou les collants de leur mère. Beaucoup d’hommes adultes conservent cette fascination ou cette excitation. Ces articles féminins provoquent des désirs de soumission du mâle et l’envie de se soumettre à une femme. Là encore, cela n’a rien à voir avec l’homosexualité.
La féminisation forcée est différente du propre désir de travestissement. La féminisation forcée vient de la femme qui force son soumis à s’habiller comme une femme, contre sa volonté. C’est une forme de domination et d’humiliation. L’idée de la féminisation forcée est d’obliger un homme qui n’en a aucun désir de se vêtir comme une femme pour l’amusement de la femme. L’homme se plie et se soumet car il aime ressentir l’obligation d’obéir aux volontés d’une femme. C’est un classique de la domination féminine.

Le god ceinture et la féminisation sont des pratiques communes dans les activités des femmes dominatrices dans les couples hétérosexuels. Si votre mari vous a demandé cela, c'est qu’il désire expérimenter votre domination dans ces domaines. Ces activités ont une signification pour lui, justement parce que vous êtes une femme. Il veut ressentir la domination et le pouvoir de la femme.  

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 20:28

Bonjour, tout d'abord félicitation pour votre site il est fabuleux et m'a permis de comprendre beaucoup de choses sur moi-même et sur ma vision de la domination féminine. Je vais vous raconter mon histoire et les questions que je me pose.
J'ai 22 ans je suis un garçon grand, élégant et athlétique ayant du charme. Dans ma vie de tous les jours, je suis plutôt du genre à être le chef de bande et à prendre des décisions dans un groupe, j’ai toujours su prendre des responsabilités dans un groupe pour le faire avancer, par contre je suis depuis toujours de nature soumise avec les femmes qui me séduisent.
Depuis tout petit, autant que je m'en souviens ce genre de choses à commencé à se manifester dès l'école primaire, dès 4 ans. C'était lorsque l'on jouait dans la cour de récréation à des jeux classiques à cet âge là comme « au papa et à la maman », « au docteur », « au loup ». Lorsque l’on jouait « au papa et à la maman », j'étais soit le petit chien de la maison et la maman (une camarade de classe) me faisait promener dans la cour de l'école et me faisait mettre assis ou couché comme un petit chien ; ou alors j'étais l'enfant malade à qui il fallait faire des piqûres pour le guérir et la maman me piquait le bras avec un petit bâton de bois. Ou bien même lorsque l'on jouait au loup j'adorais me faire attraper par une fille et me laissait faire alors qu'avec un gars c'était plutôt l'inverse, j’adorais me faire mettre dans la prison est être surveillé par une fille. Mais malheureusement déjà à cet âge on est conditionné pas la société à courir après les filles, car c’était souvent les gars qui devaient attraper les filles à mon grand désarrois. Tous ces jeux où j'étais en fait soumis ou dominé par une fille me procuraient beaucoup de plaisir et d'excitation, mais le soir je faisais des rêves sur mes jeux de la journée. J'allais même jusqu'à mettre des nouvelles règles pour satisfaire mes désirs d’être dirigé et puni par une fille, comme recevoir une fessée, ou se faire pincer par les filles si on se faisait attraper ou que l’on tentait de s’échapper de la prison, et le pire quand on y repense, c’est que tout le monde acceptait ; Les filles avaient l’air de bien aimer cela, mais pas tous les garçons. Bien sur à l'époque je n'avais aucune idée de ce que cela signifiait et je n'y cherchais pas de sens, c'était mon petit plaisir.

Puis j'entrais au collège avec son flot de nouveautés : Le collège fut pour moi très difficile et m’a longtemps marqué. Certains de mes camarades avaient trouvé un jeu de mots avec mon nom pour se moquer de moi tout le temps, en classe, dès que je me faisais interroger, dans la cours, ils se moquaient de ma façon de m’habiller qui ne correspondait pas à la mode du moment en 6° je n'avais pas d'amis!!! Le pire c’est que ces moqueries se passaient devant les filles, j'en ressentais un sentiment étrange, bizarre, je me sentais humilié et honteux par la présence des filles, mais j’avais de la haine et de la colère contre ces garçons. Certaines filles se prenaient au jeu des autres garçons, et en rajoutaient en se moquant de moi en disant qu’aucune d’elle ne voudrait sortir avec moi parce que j’étais moche. Je fus très traumatisé par cette époque et j'en pleurais tous les soirs une fois rentré  chez moi, mes parents essayaient de m'aider du mieux qu'ils pouvaient, mais en vainc. Il m'a fallut beaucoup de temps pour réparer par la suite ce traumatisme, reprendre confiance en moi et en mon apparence physique qui après la puberté été largement mieux.

Pendant ce temps dans mes fantasmes, j'étais toujours puni par des filles du collège que je trouvais belle avec qui j'avais envie de sortir. Mais ma réputation était faite et aucune ne désirait sortir avec un garçon dont tout le monde se moquait. J'étais très frustré (ma première frustration sexuelle). Je rêvais qu’elles étaient mes infirmières et qu’elles devaient me faire des piqûres car je n’étais pas sage et qu’il fallait me punir. Ce qui est curieux pour l’époque c’est qu’elles portaient toujours dans mes rêves des blouses blanches brillantes et lisses. Je rêvais de leurs fesses moulées dans leur jeans. Tout cela me faisait jouir énormément.

En 4° il y a eu un événement marquant, une humiliation par un groupe de filles sur mon sexe ! C’était en cours de sport, je portais un jogging un peu trop petit pour moi, si bien qu’il me moulait un petit peu les parties génitales. Une fille l’a remarqué et l’a dit à une de ses copines, si bien que le groupe de filles me regardait en rigolant. Je leur ai donc demandé ce qu’il se passait et elles m'ont toutes répondu en regardant mon sexe que je bandais et elles ont éclaté de rire. Bien sur je ne bandais pas, mais là encore j’ai ressenti un drôle de sentiment. Je m’en suis défendu en leur disant qu’elles étaient connes et jalouses de ne pas pouvoir voir une grosse bite ! Et là je n’ai pas compris, une fille s’est levée du banc sur lequel elles étaient assise, elle s’est dirigée vers moi, m’a regardé et une fois arrivée à ma hauteur, m’a décoché une gifle avant de repartit s’assoir. Toutes les filles rigolaient et se sont moqué de moi. J’étais tout penaud au milieu du terrain de sport, me touchant la joue ne sachant plus quoi dire. Bien sur après les gars s’en sont mêlés et ont continué à en rajouter en disant que je bandais devant les filles. A l’époque sur le moment je n’ai pas pris de plaisir à subir cette humiliation, car j’étais en conflit intérieur pour ne plus qu’on se moque de moi, et ne pouvant accepter aucune humiliation, mais en y réfléchissant j’ai pris un certain plaisir à recevoir cette gifle.

Dans cette même période, il y avait aussi un jeu qui existait et qui consistait, à se faire gratter le dessus de la main par une personne d’un autre sexe, cette même personne nous disait les lettres de l’alphabet et on devait deviner dire un nombre de nom de sexe opposé autant que l’on avait de lettre dans notre prénom, et lorsque l’on ne trouvait plus, la personne appuyait plus sur le dessus de la main, et lorsque l’on arrêtait, cela était sensé nous donner le nom de notre amoureuse, jeu stupide que l’on pratique à cet âge. Si bien que bon nombre de gars et de filles avait à cette époque le dessus de la main abîmée. Pour ma part, personne ne voulait me faire ce jeu, puisque j’étais rejeté pas les autres. J’ai quand même demandé à une fille de me le faire, et elle a dit oui avec beaucoup de plaisir, je la vois encore prendre plaisir à me gratter le dessus de la main surtout lorsque je séchais sur certaines lettres évidement x et y ne sont pas les plus simples, mais je faisais tout pour que le jeu dur longtemps et bien sur le soir venu, j’en aie rêvé très fortement pendant plusieurs jours.

En 3° j’ai recommencé à avoir des contacts avec des filles sans moquerie de leurs parts, dont une en particulier. Lors d’un voyage scolaire, dans le métro elle se tenait à la barre, et nos mains étaient côte à côte. Je lui ai fait remarquer qu’elle avait des ongles très longs et très jolis et j’ai rajouté qu’il ne fallait mieux pas se faire pincer par elle. J’ai même rajouté que j’imaginais comment cela pouvait faire mal et que j’aurais bien aimé le savoir. Elle m’a dit « ah oui, c’est gentil » et elle m’a pincé le dessus de ma main en me regardant dans les yeux avec un sourire qui en disait long sur le petit plaisir qu’elle prenait à le faire. Alors ça fait quoi m’a telle demandé ? Je lui répondu que ça faisait mal et elle a arrêté, quel dommage, je bandais très fort pendant qu’elle me pinçait. Puis après ce voyage en cours, toujours avec la même fille (car j’étais attiré par elle, elle possédait une très jolie poitrine, qui m’excitait beaucoup), nous nous échangions des messages sur des petits bouts de papier. Elle me fit remarquer que je faisais beaucoup de fautes d’orthographe (ce qui n’a pas changé). Je lui ai demandé si elle voulait m’aider, elle a dit oui. J’ai donc instauré un petit jeu. On s'envoyait des petits billets en cours, et comme j'avais une mauvaise orthographe elle me corrigeait les fautes et devais me pincer le dos de la main à la récréation pour chaque faute que j'avais commis!! Là encore forte excitation, elle le faisait en pleine cours de récréation et j'ai pris peur et j’ai eu honte lorsque mes copains se sont approchés, peur de leur réaction. J'ai alors arrêté ce petit jeu qui me plaisait énormément et me donnait beaucoup de plaisir, je n’assumais pas encore le fait que j’aimais me faire dominer par une fille, c’est pourquoi je me cachais et évitais de le montrer aux autres.1

Puis il y a l’accès à Internet. Comme beaucoup de garçon de cet âge j'ai commencé à chercher des sites pornographiques via des mots clefs (infirmière, fessée, fouet) malgré tous les interdits de mes parents. J'ai découvert qu'une femme dominante se faisait appeler Maîtresse par son esclave. Mais à cet âge je ne m’occupais pas de la psychologie d’une relation dominante/soumis, je recherchais surtout des images pour pouvoir alimenter mes fantasmes d’ado. A partir de là j'ai découvert de nombreux site de Maîtresse, j'étais tout excité à la vue de ces femmes vêtues de cuir, de latex et de cuissardes, avec un fouet ou une cravache à la main et punissant des hommes. Je me masturbais devant les images et les vidéos (j'avais 12, 14 ans). On dit que la pornographie et dangereux pour les enfants et bien j'en suis convaincu par mon expérience, je ne l'étais pas à l'époque et étais très content de trouver tous cela pour mon éducation sexuel, mais cela aurait pu être dévastateur pour mon équilibre et à mon avis j'en suis passé de peu...Imaginer un enfant de 13 cela laisse des marques dans sa sexualité et sa vision de l'amour et de la relation avec le femme. C'est d'ailleurs cela qui m’a conditionné jusqu'à ce que je rencontre ma petite amie avec tous les problèmes que cela suppose, mais j'y reviendrais dans la suite.

Ensuite j’ai commencé à vouloir faire mes propres expériences, les photos et le fantasme ne me suffisaient plus (de 15-16ans). Je testais bien des choses tout seul, mais je ne connaissais pas encore le sens profond de se soumettre à la volonté d’une femme. Je recherchais la jouissance par le biais de mon côté maso et rêvais d’être ainsi traité par une Maîtresse expert. A l'époque je commençais juste à me poser des questions pour savoir si oui ou non c'était normal de faire ce genre de choses. Mais je n’ai jamais osé en parler auprès de mes parents, j’avais trop peur (aujourd’hui encore) de leurs réactions et du regard qu’ils porteraient sur moi, surtout que dans ma famille. C’est mon père très autoritaire qui commande et je supporte de moins en moins là façons dont il se comporte avec ma mère, a tel point que je réfléchis comment faire découvrir ce site Internet à ma mère sans la choquer, pour qu’elle change le comportement de mon père pour la libérer, mais cela est une autre histoire !! Bien sur je me cachais pour faire tout ça, jamais je ne me suis fait surprendre par mes parents. Je prenais du plaisir à découvrir ce monde différent, mais j'avais une folle envie de le vivre avec une fille.

C'est arrivé au lycée, j'étais dans un très grand internat privé (les filles étaient séparées des garçons). Il y avait une fille à qui j'ai commencé à lui faire des questionnaires du genre qu'est ce que tu aimerais faire pour punir ton copain qui t'a désobéi, qu’est ce que tu préfères comme punition, avec quoi préfères tu l’enculer etc. A ma grande surprise elle ne fut pas choquée et elle m’a répondu positivement et a joué le jeu. Cela m’a beaucoup excité, car je commençais à parler de mes fantasmes ouvertement avec une fille. Mais on n'a jamais été plus loin que de me pincer le dessus de la main, car justement elle avait un petit ami.

En même temps, je commençais à discuter avec mon collègue de chambre de sexualité, il n'avait lui aussi aucun expérience, mais était très libre et ouvert sur le sujet, de plus il avait eu de nombreuses discussions avec sa mère qui lui passait régulièrement un magazine soft très connu pour adulte (Union), j’aurais rêvé de pouvoir parler de tout cela avec ma mère, je pense qu’un partir d’un certain âge, les parents devraient guider leurs enfants dans leur découverte de la sexualité qui ne devrait pas être un sujet tabou. De fil en aiguille j'ai pu lui parlé de mon secret sur ma sexualité et c’est là que j'ai commencé à comprendre que cela n'était pas vraiment classique comme pratique, mais que cela existait, je ne me sentais donc plus seul. Grâce à nos conversation j'ai pu affiner mes goûts, j'ai pu mettre des noms à cela sadomasochiste, domination, il m’a également dit que je n’étais pas maso, mais que j’aimais la domination, ce qui n’a rien à voir en soit. Sur le moment je n’ai pas forcément fait la distinction entre les deux, mais aujourd'hui elle m’est évidente et je suis heureux de savoir que je ne suis pas vraiment maso, mais que j’aime la domination féminine et que la punition est un moyen de plus me soumettre et non de prendre du plaisir par le simple fait de la douleur. Là encore cette découvert est venu plus tard (voir la suite de mon histoire) lorsque j’ai rencontré ma petite amie avec qui je suis toujours. J'ai alors cherché un peu plus tard à comprendre d’où me venait cette sexualité, ce n’est que récemment que je l’ai trouvé à force de réflexion, de lecture sur la psychologie et d’utilisation de méthodes que mon psychologue m’avait donné lorsque j’avais été le voir pour une tout autre raison (le décès de mon grand père).
Mais j'étais toujours en recherche d'une copine qui accepterait de jouer avec moi à mes jeux comme je disais. Alors je tentais de sortir avec toutes les filles qui me faisaient fantasmer la nuit dans des situations SM, je leur envoyais de magnifique lettre d’amour elles étaient toujours ravie de recevoir ces lettres, mais après avoir fait connaissance je devenais bien souvent leur meilleur ami et confident, mais jamais leur copain à mon grand désarrois, je commençais à douter de ma capacité à sortir avec une fille, cela me préoccupait beaucoup. Bien sur j'étais très peu doué pour la drague et plutôt timide, donc j'ai pris beaucoup de râteau, mais on était loin des moqueries du collège, bref tous allais bien dans mes relations avec mes camarades, car en y repensant il y en avait beaucoup dans le même cas que moi à ne pas réussir avec les filles.

Je n'avais encore jamais avoué cela à une fille, et bien c'est arrivé, j'avais 16 ans, elle avait 2 ans de plus que moi, très manipulatrice, elle savait y faire pour séduire les garçons, pourtant elle n'était pas plus belle que cela mais avant un certain charme, j'ai failli sortir avec elle. Au lieux de ça, elle est sorti avec mon meilleur ami, qu'elle frustration. Pourtant elle avait commencé à me séduire et me faisait des massages à la récréation. Elle prenait un malin plaisir a me chatouiller avec le dos de ces ongles sur les parties les plus sensibles de mon corps (mon ventre) et je m'avançais pour qu'elle arrête car cela me donnais de forte érection et me mettais mal à l'aise. Mais là elle me pinçait ou me griffait et me disait de rester et de me laisser faire en souriant. Elle souriait et rigolait de moi de ma réaction, j’étais aux anges... qu'elle dommage que mon copain me l'ai prise!!!!  Dans la suite, j'ai continué à avoir des relations soumises avec elle, petit à petit je me confiais à elle. Un jour on parlait que son père l'avait mal traité et lui donnait le martinet lorsqu’elle n’était pas sage, cela l’avait beaucoup marqué dans son enfance, puis ces parents avaient divorcés et elle avait quitté son père. Je ne sais plus comment c'est venue, je crois que j’ai du lui dire que je ne savais pas ce que cela faisait de recevoir le martinet et elle m’a répondu en me demandant si je voulais le savoir. Elle connaissait ma nature soumise. Je n’ai pu lui refuser, et c’est en tremblant de tout mon corps que je lui répondu que oui. On est alors parti tout les deux dans le parc de l’école derrière un buisson, c’était le soir. Elle a pris ma ceinture et m’a dit de mettre mes fesses en arrière, et elle m’a donné un coup de ceinture, je n’ai rien senti, car le jean et mon manteau que je n’avais pas enlevé ont amorti le coup. Elle m’en a donné un deuxième coup avec le même effet. Bien que la douleur n’était pas présente, je bandais et tremblais très fort d’être ainsi soumis à la volonté d’une femme. J'ai ainsi reçu ma première fessée de soumis. Puis d’autres élèves sont passés non loin, on s’est caché puis on a pris peur. Pendant plusieurs nuits j’ai fantasmé et jouis de toutes mes forces de cette situation en espérant pouvoir le revivre.

Par la suite, je lui ai avoué mes penchants SM de la façon qui suit : je lui ai dis qu'il y avait une force qui me poussait à être comme cela. Un second moi dont je ne voulais plus car je ne trouvais pas cela normal. Je voulais arrêter de me toucher tout le temps, car j'avais trouvé un moyen de me caresser en ayant une main dans le poche. Je lui est avoué cela et lui ai dis que lorsqu'elle voyait mon second moi, il fallait qu'elle intervienne en me donnant une petite claque ou en me punissant. Je venais de trouver ma première Maîtresse, mais je ne le savais pas à l'époque. J'ai été assez machiavélique pour me faire croire que j'étais malade d'un mal et qu'il fallait qu'elle me soigne de ce mal par le mal !!! En fait au fond de moi je pense que je recherchais la punition car je devais pertinemment savoir que je ne tiendrais pas une seconde à ne pas être soumis, parce que cela est implanté au plus profond de moi. On a donc commencé ma « guérison ». Lorsqu’elle remarquait que c’était mon soit disant deuxième moi qui apparaissait au grand jour, elle me punissait. Elle m'a fait copier des lignes de punitions que je faisais en étude. Elle était assez sadique, car elle voulait que je change de couleur à chaque mot et elle n’y allait pas de main morte sur le nombre de lignes ; plusieurs centaines. En plus ça se cumulait, première faute 50, deuxième 100… elle doublait le nombre à chaque fois!!! Je précise que les idées de punitions venaient de moi, mais elle en trouvait toujours quelques une à rajouter pour pimenter la chose. Et je contrôlais toujours le jeu, je l'arrêtais lorsqu'il ne m'amusait plus. Et cela me décevait, car je n'étais toujours pas sous son contrôle, et elle sortait toujours avec mon ami qui d’ailleurs était au courant de nos jeux et parfois présent.

Un jours après avoir lu sur Internet un article sur la chasteté, je voulu connaître cela et je lui en ai parlé, elle m'a alors dit d'arrêter de me toucher pendant une semaine puis deux. Bien sur je ne tenais jamais et elle me punissait en me faisant copier des lignes et des lignes. Mais à ce moment là, il faut bien avoir conscience que je découvrais encore tout. J'étais un ado en fin de puberté et n'avais pas du tout compris la domination féminine, ni d'où cela venais etc.,

Je me croyais malade d'un mal que j'essayais de guérir seul en évitant d'aller voir les photos pornos, mais c'étais plus fort que moi, il fallait que j'y aille et je rêvais toujours des scènes vues sur le net. C'était une période trouble pour moi où je me cherchais sexuellement. J’ai eu bien d’autres petits jeux avec cette amie : un jour pour jouer mon petit caïd devant mes copains, j’ai dis que je faisais souvent des pompes pour me muscler et que je pourrais en faire avec cette amie sur le dos. Elle m’a pris au mot, je ne voulais pas me ridiculiser devant tout le monde, mais elle m’a dit « A genoux » en montrant du doigt le sol. Je me suis alors exécuté tout excité de la situation, j’ai alors fait des pompes avec elle assise sur mon dos et rigolant et mes copains qui hallucinaient de la situation. Une autre fois je l’ai mise au défi de savoir combien de temps je pourrais tenir avec sa cigarette posé sur le dos de ma main. Le encore elle m’a pris aux mots et m’a demandé de tendre la main, je m’exécutai, ça m’a brûlé j’ai tenu 15 secondes sans bouger. Puis j’ai voulu retirer ma main, mais elle m’en a empêché pendant encore 10 autres secondes. Là encore j’ai bandé très fort et jouis pendant plusieurs jours de cette situation. Je n’étais pas excité par la douleur, mais par le fait de subir la volonté de mon amie ce qui est différent, bien qu’à l’époque je pensais que c’était la douleur qui me faisait jouir comme un maso, je me trompais.

Pendant cette période il m'est arrivé de nombreuses choses, à croire que tout été fait pour que je devienne un futur soumis.

J'ai connu une autre humiliation en publique grâce à elle en jouant à action ou vérité, bien sur vous vous doutez bien que je prenais action lorsqu'elle me posait des gages et elle me savais soumis à elle. Elle en a profité et je me suis retrouvé petit à petit torse nu le jean au niveau des genoux à lui faire un bisous sur ses bottes (car pour mon plus grand plaisir la mode des bottes était revenue) devant notre bande d'amis.

Puis il y a eu le bac et j'ai quitté le lycée pour la classe préparatoire. Mais j'ai continué à explorer le net et à découvrir des nouveaux sites de maîtresses ou de domination. J'ai également commencé à me faire des collections de photos. Parfois lorsque j'en avais marre ou que je trouvais que j'allais trop loin je supprimais les fichiers, mais peu de temps après à mon grand désespoir je recommençais. C'est mon copain d'internat qui m'a aidé à m'accepter avec ceci, que c'était ma sexualité et que je ne pourrais pas allez contre. J'ai fini par accepter.
         En prépa j'ai enfin fait la connaissance d’une fille, et nous avons plus discuté de l’un et de l’autre que de faire des cours ensemble. Puis nous sommes allés en ville et bu un coup ensemble dans un bar, j’avais remarqué que je lui plaisais. Le soir venu est venu ce qu’il devait arriver, nous nous sommes embrassés, qu’elle merveilleuse sensation bien. J’ai remarqué que je ne savais même pas comment faire, de même quand nous avons passé notre première nuit ensemble, je ne savais pas faire l’amour et j’avais peur de lui dire. Je savais mieux comment fouetter et torturer un esclave que l’amour, ça été le premier électrochoc. Alors j’ai fait ce que m’avait dit une amie de lycée, si tu ne sais pas quoi faire tu la caresses doucement et tu laisses faire jusqu'à ce qu’elle prenne les choses en main. C’est ce que j’ai fais. Je ne sais pas si elle a joui, mais le lendemain elle m’a demandé si j’avais déjà eu des relations sexuelles. Je lui avouais que non et lui ai dit que c’était pour moi la toute première fois. Elle fut très surprise et me dit que pour une première fois, j’avais été très bon. Lors de cette soirée je n’ai pas joui, elle m’a bien masturbé, mais je n’ai pas bandé ni joui : J’étais trop impressionné et envahie par les sensations que je vivais pour la tout première fois de ma vie. Après tout mes échecs du lycée j'étais ravis, mais j'avais tellement peur de la perdre que j'en étais soumis à elle pour la satisfaire. Malheureusement elle m’a trouvé trop pot de colle, et elle m'a quitté au bout d'un mois.

Pendant ce temps je poursuivais mon exploration et ma recherche de connaissance sur le sujet sm, j'ai même tenté de prendre contact avec une Maîtresse professionnelle sur Londres mais j'ai vite abandonné quand elle m’a demandé un tribut de 200 euros pour une séance d'une heure. A 19 ans on n'a pas vraiment les moyens!!! Mais ce fut une nouvelle étape dans ma recherche de domination, je commençais à être prêt à payer pour connaître la domination et le supplice d’une femme dominante.

Heureusement il y jours pour jours 2 ans et 10 mois j'ai rencontré ma petite amie avec qui je suis toujours, elle a un an et demie de moins que moi, c'est avec elle que j'ai eu mes premières relations sexuelles. C’est une fille incroyable, qui est adorable, pleine de vie, c’est mon rayon de soleil qui réchauffe mon cœur. Au début je ne lui ai rien dit de mon penchant pour le sm. Puis un après midi, nous avons décidé de faire l'amour, cela faisait 1 mois et demie que nous sortions ensemble. Je n'ai jamais réussi à la pénétrer, lorsque l'on mettait le préservatif mon sexe se dégonflait, je n'arrivais pas à tenir l'érection, pourtant je savais que j'étais capable d'avoir un sexe bien dur lors de mes masturbations devant mes photos sm. J'en ai conclu qu'elle ne m'excitait pas comme il fallait et qu'il me fallait quelques choses de particulier. Je lui en ai alors parlé, je lui ai même montré quelques sites que j'avais l'habitude de visiter. Elle n'a rien dit et m’a écouté, au fond de moi je tremblais de honte et de peur. J'avais peur qu'elle me dise que j'étais un pervers, un malade et qu'il fallait que je me soigne, mais non elle n'a rien dit. Elle a été un peu choqué, mais l'a accepté. J'ai su par la suite qu'elle avait trop peur de me perdre, qu’elle m’aimait trop et qu'elle l'a fait pour me faire plaisir...

Alors on a commencé à jouer à mes jeux. Les premières fois c’étaient très intense, nous faisions ça le week-end. Elle m'attachait et me mettait des pinces à linges sur mes tétons et mon ventre, me donnait la fessés, faisait couler la cire chaude sur mon corps. Mes fantasmes se réalisaient enfin un à un, même le face-sitting ce que je préfère le plus et elle aussi maintenant. Tous cela me donnait de belles érections certes, mais je n'arrivais toujours pas à la pénétrer et à la faire jouir car mes érections ne duraient pas!! On jouait à nos jeux, mais de moins en moins, elle commençait à se lasser et puis elle m'avoua qu'elle faisait cela pour me faire plaisir, ce qui m’a énormément déçu puisque je ne ressentais pas la véritable soumission.

Bien sur il y avait un ou deux truc qu’elle avait appris à aimer dont le face-sitting, mais le reste du temps elle le faisait pour moi. Je lui ai dis que ce n'est pas comme cela que je le voyais, qu'il fallait que ça vienne d'elle, qu'elle prenne le contrôle. On a alors changé de jeux fini les fois où elle m'attachait et on faisait des séances qui ressemblaient presque à celle que l'on peut voir sur le net!!! (J’ai compris plus tard mon erreur en partie grâce à votre site). Ensuite j'ai réussi à la pénétrer sans le préservatif, effectivement il me gênait beaucoup, mais il m'a fallut du temps avant d'arrivé à éjaculer dans elle, je n'y arrive d'ailleurs rarement, pourtant aujourd'hui, elle m’excite, mais je suis beaucoup plus lent qu'elle et elle jouît largement avant moi à chaque rapport. Si bien que je pourrais largement la faire jouir plusieurs fois de suite. Pourtant elle n’en abuse pas, une seule jouissances lui suffit pour la soirée, de plus elle aime bien que je la serve oralement, mais elle est très vite satisfaite et elle me demande alors de venir la pénétrer. Après notre rapport je me masturbe devant elle, et elle me pince les tétons ou me met ses fesses sur ma figure et utilise un martinet que l'on s'était acheté dans une animalerie, et là il ne me faut pas longtemps pour éjaculer...

Je lui ai demandé aussi qu'elle me fasse des périodes de chasteté, mais bien sur je ne tenais jamais et elle montrait son mécontentement, mais jamais de vrais correction. J'étais déçu car en fait je voulais la tester pour voir si c'était une vrai Maîtresse!!! (Mais qu'elle con j'ai été, à 20 ans comment voulais vous que la pauvre soit une vrais Maîtresse ?? elle ignorait tout de cela et puis nous avions si peu d’expérience !) Alors elle m'a dit qu'il lui fallait du temps, et qu'elle ne comprenait pas pourquoi je n'arrivais pas à jouir en elle. Elle voulait absolument que je jouisse en elle. J'ai réfléchie et je lui ai répondu que je n'avais pas ce qu'il me fallait, que je n'étais pas humilié par elle, qu’il fallait qu’elle me dise des choses humiliantes, je lui ai fait des exemples, elle l'a fait une ou deux fois où j'ai joui très fortement en elle. Mais depuis plus rien, il ne se passe pas grand choses, nous avons toujours nos petits jeux de temps en temps, mais ceci sont beaucoup plus soft qu'au début. Elle m'a pourtant avoué que si on se quittait elle continuerait à faire ces jeux avec son autre copain, car cela lui manquerait désormais. Donc maintenant elle prend du plaisir quand elle me domine, mais moi je ne suis jamais satisfait de ce qu'elle me donne, j'en veux toujours plus, alors je vais sur le net pour alimenter mes fantasmes. J'essais de trouver des sites qui pourrait l'aider, sans photos et pas en anglais et je trouve votre site, un miracle, je le dévore, je le lit, et je découvre plein de choses, et je comprend plein de choses...
Tout d'abord j'ai compris que j'ai été en quelques sorte choqué par les images sm que j'ai pu voir sur le net quand j'étais ados, elles mon conditionnées dans une sorte de sexualité parfait, où les Maîtresse sont magnifiques et savent très bien dominer un homme. Et moi ne connaissant que ça, j'ai commencé directement par cela avec ma petit amie, une chance qu'elle ne soit pas partie en courant chez ses parents et qu'elle ait pris le temps de découvrir la chose. Même si j'ai certainement du la choquer, je m'en excuse et je lui ai déjà dit plusieurs fois. Alors que nous aurions du commencer par le début si je voulais ce genre de rapport avec elle. Surtout qu'elle n'a pas forcément un naturel dominant. En y réfléchissant je ressent chez elle une domination, elle a horreur que je ne sois pas rasé ou mal habillé, et m’a déjà forcé à essayer de nouveaux habits à la mode que je n'apprécie guère et que j'ai porté pour elle. Elle adore qu’on la serve, que je lui fasse à manger, elle apprécie toutes les attentions que je lui porte et dieu sais combien je lui en donne. J’aurais du commencer tout doucement patiemment, mais comme je suis encore très conditionné par les photos et toutes ces situations fantasmant, j'ai du mal à être patient. Je sais à présent que c'est à moi de l'être et de l'amener à découvrir la chose en profondeur pour son plaisir et pas pour le mien. Même si avant je lui disais que je faisais cela pour son plaisir, elle n'a jamais vraiment compris. Je vais donc tout naturellement la diriger vers votre site où je pense qu’elle trouvera tous ce qu'il faut pour comprendre et prendre le contrôle. Car jusqu'à présent j'avais toujours l'initiative des jeux, des envies... sauf quelques rares fois où là je sais qu'elle à pris son pied et s'est transformée en vrai Maîtresse : car elle faisait les choses avec un tel plaisir que je l'ai vraiment ressenti. C'était merveilleux et j'aimerais que se soit toujours comme cela. J'essaie alors maintenant de ne pas lui désobéir surtout lorsqu'elle me dit que je ne dois pas me toucher ni jouir, même si je sais que si je le fais il n'y aura pas de punition. Elle ne sera pas contente c'est tout, mais je m'entraîne à ne pas la désobéir, et si jamais par mégarde je lui désobéi, je lui demande pardon et je m’excuse de ne pas avoir fait ce qu’il fallait et de ne plus recommencer. Pour lui montrer combien je lui suis soumis et combien je désir qu’elle me domine pour son propre plaisir et pas le mien. J'essaie également de me déconditionner de cette fausse sexualité que j'ai eu lorsque j'étais ados. Cela viendra petit à petit, à force de me forcer à la satisfaire, et qu’elle prenne le contrôle petit à petit. Il faudra que cela vienne d'elle pas de moi. Il faut donc quelle aussi oublie nos petits jeux et s'y prenne différemment, que l'on recommence tout à zéro, pour repartir sur de bonnes bases où son plaisir vient bien avant le mien. Elle est d'accord pour recommencer. Il faut que je m'arme de patience, mais je sais que cela viendra surtout avec l'aide de votre extraordinaire site internet.

Ensuite j'ai compris d’autres choses. Pour comprendre ma sexualité, j'ai lu des livres de psychologie enfin des extraits, des articles sur des sites de santé où l'on parle de sexualité, bref je me suis renseigné. J'ai compris que je n’étais pas plus maso que ça, mais que j’étais soumis (se qui est bien différent) car j'ai découvert avec ma copine, que lorsque la douleur et trop forte je n'ai pas du tout de plaisir. Je préfère la peur de la punition, la domination mentale, ce que ma copine à du mal à réaliser, mais je sais désormais pourquoi, et je sais qu’en me soumettant sans condition, cela va l’aider à trouver son propre style, notre style et pas une copie des autres.

Je sais aussi que cette soumission naturelle vient de ma petite enfance, j'ai même pu trouver le moment exact de cela : lorsque j'avais 3 ans, je me souvient que ma mère me réveillait tôt le matin avant qu'elle embauche et il y avait pendant le petit déjeuner une infirmière qui venait me faire les vaccins obligatoires de l'enfance, ma mère me prenait sur les genoux pour ne pas que je bouge trop et elle tendais mon bras à l'infirmière qui bien sur me piquait avec l'aiguille puis je pleurais et ma mère me consolait, et je finissais de déjeuner, le soir je rêvais d'être piqué par des infirmières en blouse blanche et qu'elles m'attachaient pour ne pas que je bouge, puis me consolaient... je ne sais pas combien de temps ont duré ces séances de vaccination, mais en tout cas, je suis convaincu que le fait que je sois naturellement soumis avec les femmes provient de ce moment là!! Bien sur par la suite il y a eut d'autres événements révélateurs, mais je pense que c’est à cet instant que tout a été conditionné pour moi. Comme quoi un simple vaccin peut avoir des conséquences inattendue, la domination féminine dès le plus jeune âge. A quand l’émancipation total de la femme dans le monde et de voir les femmes au pouvoir. Les rares femmes qui ont pu y accéder ont toujours eu de très grands règnes. L’avenir de l’homme et chez la femme

Voila je pense que j'ai presque tout dit sur mon histoire, j'aimerais savoir ce que vous en pensez en tant que psychologue et maîtresse, et de savoir si vous pouviez nous donner de petits conseils pour ne pas faire d'autres erreurs qui pourraient gâcher notre sexualité à moi et ma copine pour les années à venir et de repartir du bon pied. Car nous voulons (malgré notre jeune âge je sais, mais de tout façon pour moi, je ne peux avoir d'autres relations que la domination féminine) nous orienter dans un style de vie de domination féminine en trouvant notre propre style et notre propre façons de faire. Mais je pense que pour recommencer il nous faut des conseils de gens expérimentés pour ne pas commettre des erreurs de jeunesse et il n'est pas facile de trouver des gens compétents comme vous. (Nous nous aimons vraiment et envisageons de nous marier après nos études).

Je vous remercie d'avoir lu jusqu'au bout mon histoire en espérant ne pas vous avoir trop dérangé. Mais je pense qu'elle est intéressante sur le plan psychologique. Je vous remercie d'avance pour la réponse que vous y ferez. Merci de votre compréhension et encore merci pour votre site et peut-être vos futurs conseils. Un futur soumis heureux et amoureux

 
Réponse Ms.Dana :
 

Et bien, voilà un témoignage touchant d’un jeune homme qui s’ouvre à nous, et nous dévoile son parcours de vie et de découverte. Merci à toi, de nous l’avoir fait partager ; Je crois que finalement tu n’as pas besoin de conseil, car vois-tu tu as compris l’essentiel.

Tu as compris qu’i faut laisser le pouvoir à la femme, le laisser vraiment, sans chercher à l’influencer en prenant le pouvoir en sous main. Sans cela tu ne ressentiras jamais qu’elle prend ce pouvoir de façon réel et total, comme tant de soumis rêvent que leur compagne le fasse.

Il faut aussi s’ouvrir à Elle, ça tu l’as déjà fait, et la servir tous les jours, en s’appliquant toujours mieux, en étant humble, docile, gentil doux et à l’écoute. Accepter toutes ses décisions, bonnes ou mauvaises. Ne jamais lui mentir et tout faire pour son bonheur. Ainsi ta propre soumission va développer, sa prise son autorité. Il te faut faire preuve de patience, d’abnégation parfois et tu verras le jeu en vaut la chandelle. Je connais plusieurs dominatrices qui ont pris pour époux celui qui était leur soumis, et qui sont aujourd’hui devenu leur esclave, et qui vivent ce bonheur depuis plus de 20 ans.

Mais tu as une chance formidable. Elle a été d’accord pour jouer avec toi, et ainsi a découvert et partagé ton secret. Remercie là chaque jour, et prouve lui combien tu l’aimes. Continuez tous deux ainsi, et vous serez heureux.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 20:10

De : bertrand D 

Envoyé : sam. 26/04/08 

 


Chères et nobles Dames, chères et nobles Demoiselles, Je ne sais plus comment j'ai découvert votre forum et le site français d'Elise Sutton, mais je ne les aurais sans doute pas découverts sans être habité ce qui me motive beaucoup, intérieurement, depuis des années : susciter des moqueries féminines sur ma personne.

 

Par exemple, et pour commencer, en déclarant à une femme, à une caisse jusqu'à présent, ou après une prise de sang qu'elle allait rigoler de moi, et de lui montrer des photos de moi en situation ridicule : déguisé en lapin, voire même avec des mini couettes, sachant que le haut de mon crâne est dégarni.

L'attitude quasi unanime des Dames à qui j'ai montré ces photos a été de s'esclaffer.

 

Je n'ai hélas pas le temps de synthétiser toute mon évolution depuis que, passant à l'adolescence, dont je ne suis peut-être jamais sorti, j'ai été troublé de voir ma mère habillé d'une certaine manière et plus encore lorsque, ainsi habillée, elle s'est un jour moquée de moi.

Jusqu'à sa mort, alors que j'avais 23 ans, j'ai entretenu avec elle une relation dans laquelle, à certaines occasions, elle se moquait de moi. Mais maman ne prenait pas souvent l'initiative de se moquer de moi, souvent je lui demandais de s'habiller dans une tenue dans laquelle elle me troublait et suscitait en moi des envies de la voir se moquer de moi.

Ce n'est que plus tard, lisant un ouvrage de Marie-France Hirigoyen, que je me suis posé la question du caractère peut-être pervers de ce type de relation, en ce sens qu'elle cousinerait avec l'inceste. Mais, ressentant plus généralement des désirs de susciter des moqueries féminines sur mon compte, j'en suis venu à me poser la question de mon éventuelle tendance à la soumission.

Pourtant, je ne suis pas certain que l'on puisse parler de réelle soumission.

En effet, même si des femmes ont pu se moquer de moi, j'avais pris, même tenaillé par l'émotion et une certaine crainte du ridicule, bien objectif lui tant il est vrai que se déguiser en lapin est ridicule, l'initiative de les faire rire, profitant même d'attendre certaines circonstances jugées favorables à mon goût : absence de collègues et chefs à mon étage (oui, j'ai commencé par susciter des moqueries d'une collègue et de deux femmes de ménage travaillant pour là où je travaille), savoir que ces femmes étaient en pantalon noir, mais ce n'est pas obligatoire pour que j'offre mon ridicule à une femme.

 

Je ne suis pas non plus certain que je serais un soumis acceptable dans les différents travaux ménagers, et je suis tellement mauvais bricoleur que certaines tentatives, dont j'avais parlé à des femmes, ont suscité des moqueries. De plus, même si la lecture de certaines histoires de domination féminine ou de soumission masculine m'ont excité et troublé, je ne suis pas certain d'en arriver à supporter certaines des douleurs évoquées dans les textes, même par amour pour une femme dominante. J'ai compris que l'ironie et la dérision au dépens de l'homme étaient des éléments du pouvoir de la femme sur l'homme, en lisant des expériences de domination et soumission de femmes dominantes pour lesquelles ridiculiser, parfois énormément, un homme est une source de plaisir profond.

Mais la vraie soumission ne serait-elle pas que j'accepte, sans avoir la moindre idée, ni surtout possibilité, de me défendre, des moqueries que je n'aurais pas moi-même provoquées ? Le cas ne s'est pas encore produit, mais une femme qui se serait moquée de moi en tête à tête pourrait faire venir une/des amie(s) ou une/des collègue(s) à elle, afin de de se moquer de moi devant elle(s) et que ces amies ou collègues se moquent à leur tour de moi ? Je suis célibataire, et j'ai l'impression que ma relation à ma mère, à l'adolescence, m'a bloqué dans ma relation aux femmes en général. D'après ce que j'ai pu lire d'histoires d'hommes soumis, la soumission est née dans le cadre d'une histoire d'amour commencée classiquement, la soumission de l'un, la domination de l'autre, ne se révélant qu'une fois le couple constitué, parfois après plusieurs années de vie commune.

 

Me sentant, paradoxalement (?) plutôt timide, n'aimant pas spécialement sortir en dehors du travail à la rencontre de personnes inconnues que je ne saurais pas aborder sans en avoir une raison précise. Je me suis inscrit, à certains moments, sur différents sites de rencontres, mais ce n'est que sur les derniers sites que j'y assume mon penchant à susciter les moqueries féminines, avec un profil clair et des photos de moi dans des habits ayant suscité un jour la moquerie d'une jeune femme croisée dans la rue, et qui a demandé à son copain, en voiture, de faire demi-tour pour repasser en face de moi et se foutre de moi. J'ai aussi ouvert un blog sur un site féminin au possible, , sous le même pseudo que sur suprematiefeminine. Mes articles ont certes suscité des interrogations et parfois de franches moqueries (en particulier celui du 11 mars dernier, si vous avez envie de vous moquer de moi, je vous invite à écouter, les premières femmes aux moqueries desquelles je m'étais offert sur mon lieu de travail ont été pliées de rire en écoutant l'enregistrement), mais j'ai aussi évoqué des sujets plus neutres et sérieux.

Ce qui peut me freiner dans ma démarche ?- Plus généralement, la crainte, justement après avoir lu le livre de Marie-France Hirigoyen, de tomber sur des femmes qui ne concevraient pas le domination de leur compagnon dans une relation d'amour, mais pour le détruire psychologiquement, comme le font les pervers narcissiques, dont les victimes, destructurées, n'arrivent parfois plus à être heureuses.

 

Bref, j'ai un peu peur.- Ma famille ne connaît pas mon penchant à provoquer les moqueries de femmes qui me plaisent, et je serais très étonné que mon père accepte mon orientation. Je ne voudrais pas provoquer de clash s'il apprenait mon penchant. Et, si je recherche des moqueries féminines, je ne recherche pas de moqueries masculines. Ceci dit, une dominatrice pourrait, pourquoi pas, chercher à me ridiculiser devant des femmes, mais aussi, devant des hommes. Et si j'étais un vrai soumis, je devrais l'accepter, même si cela devait me coûter. En définitive, nobles Dames et nobles Demoiselles, je n'ai pas encore expérimenté clairement la soumission à une femme. Du moins je ne pense pas. J'espère que la lecture de mon message ne vous a pas ennuyées. Respectueuses salutations Bertrand

 


Réponse Ms.Dana :

 


Et bien Bertrand, c'est simple. Tu fais parti des soumis essentiellement mentaux. Tu es ce que je nomme un maso mental. Et ce qui te fait vibrer c'est l'humiliation.

 

A l'évidence comme souvent, c'est dans l'enfance et avec la relation avec la mère que ce désir est né. L'association pouvoir de la mère et humiliation fait que tu recherches plus ou moins consciemment une femme qui aura le pouvoir sur toi et qui aura comprit que pour te soumettre il lui faudra avant tout utiliser le mental.

 

Mais je n'ai aucun doute que tu sois soumis. Ton doute ne provient que du fait que tu n'ai pas encore trouvé 'Ta Maitresse', tout simplement.

 

 

 



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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:42
From: maitresse_1
Date: Mon, 21 Sep 2009 20:17:57 +0200

 

Bonjour,

Je viens de découvrir votre site et je suis très intéressée par les articles proposés, très instructif !

J’ai découvert récemment ma véritable nature et je pratique depuis quelques mois la domination virtuelle avec quelques soumis «de qualité » qui me sont fidèles, et dont je suis très contente. Juste pour un plaisir virtuel partagé sans contrainte ! Il faut bien commencer par quelque chose ! Le réel viendra sûrement par la suite !

Je suis dans l’expectative au sujet de la démarche à suivre avec un de ces soumis virtuels.

En effet, ce dernier me propose d’utiliser sa CB, même de me l’envoyer afin de l’utiliser à outrance. Je dois vous dire que je ne suis pas du tout une dominatrice vénale mais en même temps c’est très tentant. En plus, ce dernier insiste et risque de me quitter « virtuellement » à cause de cela.

Mes interrogations sont mes suivantes :

-         si je me décide à utiliser sa CB via achats sur internet par exemple, je ne voudrais pas qu’il remonte par ce biais à mon nom et à mon adresse personnelle. Est-ce que cela est envisageable ?

-         Je sais que je ne devrais pas avoir de scrupules, vu que cela m’est proposé de bon cœur, mais j’ai encore un peu de mal à accepter sa proposition

-         Existe-t-il des combines pour qu’il ne m’identifie pas ?

D’avance, je vous remercie de votre réponse diligemment.

Je vous souhaite bonne continuation et longue vie à ce site formidable.


Princesse

 

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REPONSE DE MS DANA :


Bonjour Princesse.

Merci Princesse pour ces mots encourageants. Ce site est fait justement pour que le plus de couple possible changent leur mode de vie et rendent leur relation passionnante et riche d'expérience personnelles.

Je comprends aisément que la virtualité permette une certaine sécurité et un anonymat. Mais cela a ses limites.

Ha le virtuel. Souvent les femmes avec le net commencent ainsi. Mais voilà, le net fourmille de servant1.jpg fantasmeurs et n'aboutit souvent à rien.


Sauf si vous l'utiliser pour faire connaissance avant une rencontre réelle.
La distance, la liberté, et tout un nombre de facteurs vous permettrons de faire le tri.

Je trouve plus judicieux de commencer par du réel assez vite, quitte à dominer ensuite virtuellement celui que vous avez choisit. Ainsi vous pourrez ne pas être déçue et construire une vraie domination gratifiante.


Cacher votre adresse, c'est bien sur possible via la poste restante, mais j'avoue que cela reste une solution temporaire. La clef, faites-lui envoyer à votre bureau postal si vous n'avez pas encore confiance, mais cela reste fastidieux.

Croyez-moi, rien ne vaut un soumis réel, vos sensations de pouvoir seront décuplées, et qu'il est bon de voir un homme en adoration à ses pieds.

Alors lancez vous Princesse.

Ms Dana

 

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Par LO - Publié dans : Débuter
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