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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

La compréhension

Lundi 6 février 1 06 /02 /Fév 06:02
De Aziz : Le 27/10/07
 

J’ai découvert ce ite il y'a quelques semaines, et je li avec une très grande attention tout le interventions.

Je suis un male de 7ans d’Alger, qui vie dans une société musulmane, je suis musulman qui laisse tomber ce religion qui est contraire a la suprématie de la Femme, je crois su fond de cœur en la supériorité de la Femme.

La religion et mon entourage a toujours été un obstacle pour moi, je m'adresse a la grande Déesse Elise Sutton qui et pour moi la vrais Déesse a qui je dois demander l'orientation qu je dois prendre et le chemin que je dois suivre, pour moi n'importe qu’elle femme et plus digne d'être vénérer et adorer que allah, et a vous Grande Déesse Elise Sutton, je m'avoue et je vous demande de m'aider et m'éclairer comment doit je faire pour vivre ma vie normal, la vie dont je rêve, la vie d'un soumis qui ne vis que pour servir les femmes et appartenir a celle qui veut le posséder, comment doit je me libérer de cette religion et ce croyance qui me bloquent toujours le chemin de ma soumission a la femme

 

Réponse Ms Dana :
 
Aziz.
 

Je ne suis pas une Déesse!
Ou plutôt je ne le suis qu’aux yeux de mon soumis ou de ceux qui veulent me voir comme telle.

Il est vrai que j’adore dominer, voir des hommes à mes pieds et mon soumis m’obéir dans une totale soumission. Je suis une maitresse exigeante, et j’attends la docilité et le respect le plus absolu. J’aime cette vie qui m’apporte tant, et dans laquelle je me sens libre, aimée et où tout m’est possible. J’ai un pouvoir qui deviendra absolu sur mon soumis. Pour autant je ne me prends pas pour une Déesse.

Même si je comprends ce qui vous amène à dire cela ; je le comprends fort bien et vous l’expliquerai.

Mais ne nous trompons pas de débats. Ce mode de vie n’est en rien une croyance religieuse ou sectaire. C’est même tout le contraire.

J’ai moi aussi mes convictions et je ne peux répondre et même me refuse de vous dire ce que vous avez à faire ou non pour vos croyances religieuses. Seule votre conscience peut vous guider en ce domaine.

Ne confondez pas Aziz. Les croyances religieuses sont du domaine du sacré, du spirituel, et votre âme vous dira à quoi croire et pourquoi.

 

Nous pourrions en effet critiquer tels ou tels aspects de chaque religion, mais ce n’est pas le lieu et le propos. Je crois personnellement que la femme trouveras sa place quelque soit les religions, mais que là encore comme il en est pour la société civile, il faut du temps. Les choses ne bougent pas en l’espace d’une simple génération. Peut être que c’est au sein de la religion même, en tant que pratiquant qu'’on est le mieux placé pour faire évoluer certaines règles ?

Mais c’est un autre débat.

 
Alors pourquoi avoir envie de nous voir comme Déesse ?
 

Nous sommes bien des Déesses aux yeux des hommes qui nous adorent et nous servent. Et c’est très bien ainsi, car ils sont heureux en faisant notre bonheur. Où est le mal ?

En y regardant de plus prêt : Il est vrai que les désirs profond que tant d’hommes connaisse s’expriment à travers une envie de ritualisation, qui place la femme au niveau de la Déesse. Mais comme je l’ai déjà dis, ce sont les hommes qui nous déifient, mais point nous qui leur sommes supérieurs en tout point.

 
Alors sommes nous ou non supérieures ?
 

Certains iront chercher tel ou tel élément factuel qui rendrait le sexe féminin plus intelligent, plus sage, plus ça ou plus ci.

Moi je n’ai pas cette approche, même si je lis avec intérêt tout ce qui identifie la femme, et la rend plus que digne d’être adorée par l’homme. Ce que j’aime et conçois. Je pense que nous sommes digne d’adoration et que l’adoration d’un homme peut faire des merveilles.

 

Dans la réalité nous sommes supérieur car les hommes nous voient comme telles.

Et étrangement, le fait de croire à quelque chose, sans pour autant avoir de preuves matériel a des impacts sur la réalité.

Au même titre que la bourse montera ou baissera sur des anticipations qui finiront par avoir un impact sur le réel, la croyance légitime qui fait que les hommes nous considèrent nous dominantes comme supérieures à eux, fait que nous changeons, nous évoluons vers le meilleurs.

Nous devenons plus sures de nous, plus entreprenantes, plus exigeantes, plus fortes en et certaine du pouvoir que nous nous sommes vu attribuer.

Alors oui, là nous devenons celles qui les guide, celles à qui ils se donnent et s’en remette,


et cela nous rend heureuse et épanouie, sure de notre pouvoir et nous leur offrons de vivre leurs rêve de soumission. Rêve qui devient réalité par nos soins, par la profondeur de leur soumission et du pouvoir que cela nous confère.

 

Aziz, si vous voulez une maitresse. Trouvez une femme qui vous plait, qui a du tempérament, et servez la docilement. Elle deviendra maitresse par l’expression quotidienne de votre docilité. Quelque soit la religion, vous pouvez servir et adorer une femme.


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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 6 février 1 06 /02 /Fév 06:00
De Soleil.B : 16/10/07
 

Merci tout d'abord pour votre site très riche et qui apporte beaucoup de réflexions voire de réponses à de nombreuses questions. Il y a quelques années j'ai initié mon amie à la soumission...et elle a voulu renverser les rôles. Je trouvais cela "amusant" : il ne s'agissait alors que de séances.

Je ne sais si elle a reçu des conseils, mais lentement elle est devenue une vraie dominatrice à temps complet que je vénère de plus en plus.

Les jeux de fessées ont cédé la place à un mode de vie de soumission plus développé, bien sûr acceptée, par moi. J'ai maintenant 54 ans et elle a 6 ans de moins. Elle doit s'absenter souvent et bien sûr je dois porter toujours ma cage de chasteté, qu'elle ouvre pour "traire son esclave".

Je n'ai plus le droit de posséder son corps. Au début il s'agissait d'une masturbation qu'elle pratiquait sur moi pour extraire jusqu'à la dernière goutte de liquide. Ce fut d'abord plutôt agréable.

Puis, sans doute sur des conseils, elle introduit maintenant index et majeur dans mon rectum afin d'extraire ma semence sans que je jouisse.(j'ai toujours été hétérosexuel).

 

Cela est devenu un peu une contrainte pour elle et elle m'a demandé de réfléchir à l'idée de me faire châtrer en Suisse. Elle me demande, si je le souhaite, d'écrire chaque mois mon désir à ce sujet. Depuis 6 mois j'écris donc donc régulièrement ma demande de castration libre et consentie. Cela semble lui convenir et je pense que cela va pouvoir se réaliser. Je sais que c'est irréversible. C'est une preuve totale d'amour et de soumission à ma déesse. Connaissez-vous des cas similaires? Avez-vous des conseils à donner? J'imagine parfois un monde où tous les mâles seraient châtrés, à part quelque étalons...temporairement...Ce serait un monde achevé de la suprématie absolue féminine.


 
 
Réponse Ms.Dana :
 
 

Je vois là une dimension particulièrement phantasmatique des désirs masculins. Et croyez que je suis étonnée que votre compagne veuille vous faire émasculer. Très étonnée.

 

Je me pose aussi la question de l’intérêt qu'elle pourrait en avoir. Je ne pense pas non plus qu’elle aurait plaisir à vous voir ainsi, car au delà de cette mutilation génitale qui d’ailleurs est interdite, votre maitresse perdrait de ce fait, tout le moteur qui fait que votre corps vous pousse à vous soumettre à elle.

Dois-je rappeler que c’est surtout la frustration sexuelle qui génère le désir de l’homme de se soumettre à la femme ? Donc sincèrement je doute fortement que cela lui apporte quoique ce soit. Et j’avoue que je reste dubitative.

 

Considérons qu'elle ne veuille vraiment plus s’occuper de votre sexualité, ce qui est son droit, rien ne l’empêche cependant de vous tenir encagé longtemps et de vous permettre de vous libérer sur un simple ordre de sa part une fois tous les deux ou trois mois. Est-ce là un effort si grand ? Et de plus c’est une arme pour elle qui pourra vous imposer un surcroit de soumission et d’efforts si vous voulez avoir du plaisir.

 

Je ne cache pas que je suis contre toute forme de mutilation, que je ne les comprends pas.

Vous dites que c’est une preuve totale d’amour. De votre point de vue peut être, mais du sien ? Qui veut cette mutilation en réalité. Vous ou elle ?

Je crois et j’espère que c’est vous, sinon je me poserais de vraies questions sur l’amour qui uni votre couple.

 

Quelque part, j’y vois une névrose liée à votre père, et si j’étais vous je regarderai un peu du coté de la finalisation de votre oedipe. Si ce désir est vraiment très fort et récurrent alors, vous devriez en parler pour demander conseil.

S’il fait partie d’un simple fantasme, je crois que vous centrez finalement trop vos désirs sur vous-même, et donc que vous n’avez pas fini d’avancer sur le chemin de la soumission loin de là.  Car paradoxalement c’est plutôt cela que cela signifie, et non pas l’envie de prouver votre amour de manière totale. Pensez y.

 

Vous savez, il y a milles autre façon bien plus belle de prouver son Amour.

 

Trouvez les et offrez les lui. Apprenez celles que les femmes attendent, et n’imposez pas les vôtres. Le bonheur que vous verrez dans ses yeux sera une récompense bien plus grande, et là vous pourrez dire qu'en écoutant ses désirs à elle vous lui prouver votre amour pour elle.
 

Je vous félicite d’avoir adopté ce mode de vie et je souhaite qu'il vous rende heureux, mais ne vous égarez pas, pensez à elle avant tout.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 10:52
Q. Déjà laissez moi vous remercier pour votre travail et vos enseignements, je vous trouve étonnante. J’admire ce que vous faites. J’ai une question pour vous. J’ai une relation avec un homme qui se réfère beaucoup à vos écrits, et je n’ai pas à m’en plaindre. Récemment nous avons parlé des « mots cochons » pendant la pénétration et je ne suis pas certaine de ce qu’il voudrait entendre. C’est assez neuf tout cela pour moi, tout du sexe à la domination. Alors si vous aves des suggestions, je les apprécierai.
 
A. C’est là où la communication rentre en jeu. C’est une partie du processus de découverte. Tous les deux vous êtes encore en train de découvrir ce qui fait réagir l’autre. C’est naturel aussi en cela de s’apprendre chacun. S’il ne peut vous dire quels types de mots l’excitent (peut être est’ il trop embarrassé ou pense t’il que vous allez être contrariée)
, faites lui souligner sur une histoire d’internet ou dans un livre ou un magazine afin que vous puissiez les lire. Et vous faites la même chose. Utilisez les histoires sur mon site et dites-lui lesquelles vous touchent et demandez lui lesquelles le touchent lui. Ainsi vous pouvez lire les histoires quand il n’est pas là, ce qui enlève le sentiment d’inconfort ou/et la pression ou/et le choc. Peut être voudriez vous souscrire à mon e-magazine pour 2006 qui incluse des histoires additionnelles. Je suis certaine que vous pouvez tous les deux trouver des histoires qui vous excitent et que vous pourriez partager tous deux.
Soyez préparée sur le fait qu’il puisse vouloir des choses qui ne vous plaisent pas, et vice versa. C’est pour cela que vous devez communiquer et explorer. Parfois vous verrez que ce qui attise sa nature soumise vous excite aussi. C’est un don et prenez le tout en n’oubliant jamais que vous n’êtes pas comme l’incarnation de ses fantasmes. Ce mode de vie est fait pour qu’il satisfasse à vos besoins et qu’il voit ses désirs comblés. Vous explorez sa nature soumise afin d’y trouver les leviers que vous pourrez utiliser pour le motiver à vous servir et à se soumettre toujours plus.
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 08:28
Mesdames,
 

Si je me permets de vous importuner c’est juste pour vous donner mon opinion sur le type de relation idéale entre les femmes (le vrai sexe supérieur) et les hommes (qui devraient être subordonnés aux femmes en général).

Dans une relation entre une femme et ses hommes (je dis bien ‘ses hommes’) :

 

La Femme devrait avoir la liberté absolue :

1-Choisir un partenaire à qui elle ferait porter son nom (oui, car dans mon opinion c’est la femme qui devrait donner son patronyme à la famille, au mari ainsi qu’aux enfants) et qui la seconderait et l’aiderait pour élever les enfants.

2-Des hommes qui lui plaisent pour pouvoir s’épanouir sexuellement.

3-Enfin, le ou les hommes qu’elle choisira pour être les pères biologiques des enfants (filles surtout, là le père se doit d’être parfait), l’insémination pouvant être artificielle.

4-L’éducation des enfants : les filles devraient avoir une éducation de choix car ce sont les vrais trésors de la famille, les garçons devront apprendre à respecter dés leur plus jeune âge le sexe supérieur.

 

En plus la Femme devrait contrôler strictement son mari (sur tous les plans cela s’entend) mais surtout sexuellement :

Il faut connaître la sexualité masculine : elle est basée sur un besoin impérieux de se libérer et ce n’importe où avec n’importe qui, quitte à le faire à la main.

Par contre la femme choisit soigneusement son partenaire et fait l’amour pas seulement un acte sexuel.

Donc il est clair que la Femme doit contrôler strictement les jouissances de son serviteur (c’est la seule bonne définition car un mari doit être au service de la Femme qui lui a fait l’honneur de lui donner son nom).

Par contre cela ne devrait pas nuire au propre épanouissement sexuel de la femme dont son serviteur devrait apporter la plus grande coopération même s’il n’a pas le droit d’y participer.

Donc pour moi, la Femme ne peut en aucun cas tromper son mari (son serviteur). De même le mari n’a pas le droit d’avoir de contacts avec d’autres Femmes car il appartient à son épouse et c’est elle qui décide pour lui en toutes choses.

J’espère m’être bien exprimé (pour un homme, car j’appartiens à ce sexe inférieur)

Et j’aimerais vivre assez longtemps pour voir mon rêve se réaliser : Les femmes dirigeront le monde et les hommes ne seraient là que pour être à leur service.

Un être inférieur parmi d’autres (mais au moins je le sais)

 
 
Réponse Ms.Dana :
 

Et bien quelle envolée …. En voilà une opinion claire et tranchée. J’espère que vous êtes de ceux qui respectent le fait que, chacun et que chaque relation, se vie sur une partition consensuellement consentie.

Certes ce mode de vie mène l’homme à se soumettre par amour et désir à sa Maitresse. Certes celle-ci est libre de développer sa domination très loin si ils le désirent ensemble. Mais il ne peut y avoir une seule façon de voir, un modèle type à reproduire, une façon unique de concevoir cette vie basée sur la domination de la femme.

Il ne faut pas oublier que le propre de la soumission est d’oublier un peu ses désirs et fantasmes pour se mettre au service de ceux de sa Dame. Et que c’est déjà une chose bien belle et bien longue pour y arriver vraiment.
 

Alors pour être précise je vais donner mon avis sur les différents points que vous aborder, à commencer par celui ou j’apporterai un gros bémol :

 

- Concernant les enfants, j’ai déjà donné mon opinion, et je ne suis pas d’avis qu’ils aient un autre père que celui qui partage la vie et se soumet à sa femme. Pour eux, car en ce domaine ce sont les enfants qui priment, il ne faut jamais l’oublier.

Eduquer les jeunes filles en leur montrant qui organise la maison et qui décide est à mon sens une bonne chose, comme d’éduquer les garçons en leur apprenant à participer et à savoir faire les choses du domestique oui. Mais sans jamais de connotation sexuelle d’aucune sorte, et sans jamais semer la confusion des rôles. Ils ont un père, et celui ci ne doit pas être humilié ni rabaissé à leurs yeux, mais au contraire servir de modèle à suivre pour le garçon, par l’amour qu’il porte à la femme et par son implication dans la gestion du quotidien et du service qu’il lui rend, à elle.

 

- La liberté sexuelle de la femme pour moi est une chose évidente, et toute dominatrice peut si elle le souhaite avoir des relations avec d’autres, en tirer du plaisir oui … mais le faire pour rendre son soumis jaloux et surtout développer ainsi sa soumission.

 
Faire porter son nom à son soumis est une chose qui peut plaire et qui symboliquement est très fort. Je souscris totalement à cette approche car elle n’est que positive et peut générer un surcroit de soumission et d’appartenance. Officialiser ainsi les rapports dominante/dominé est simple en cas d’union. Alors pourquoi s’en priver ?
 

Je ne vois pas les hommes comme « inférieurs » au sens propre du terme. Je pense qu’ils ont certes de nombreux défauts mais aussi de très belles qualités si on sait les canaliser. Et il est vrai que la frustration permet de les rendre meilleurs.

 

Je vois les hommes comme des être différents. Ho je ne suis pas dupe d’une société qui a pour principe LIBERTE / EGALITE / FRATERNITE …. Ce sont des beaux principes, mais qui pour moi ne restent que des vœux pieux. Il suffit de regarder autour de nous, et en particuliers nos dirigeants. Mais ce site n’a pas pour vocation la politique mais les rapports hommes / Femmes. Et en ce domaine ont peu faire quelque chose.

 

Je ne crois pas aux couples qui se prétendent égaux, vous savez l’utopie du 50/50. C’est rare que cela fonctionne sur le long terme dans la paix, l’harmonie et l’épanouissement de chacun. Je crois plutôt en une approche où le couple trouve un EQUILIBRE avec la soumission volontaire de l’homme qui s’épanouie car il peut vivre ce qu’il est, et avec l’autorité aimante de la femme qui s’épanouie en étant reconnue , aimée et libre.

Il n’y à pas d’égalité au sens propre du terme, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas dialogue, Bien au contraire. L’échange dans ce mode de vie est intense et profond, sincère et transparent puisque l’un comme l’autre peuvent parler sans fard, dans le respect et l’amour, sachant les rôles et place de chacun.

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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 07:32
 
De Lalou :
 

Bonjour, Une expérience mise en ligne il y a quelques temps, me questionnait. Il s'agissait d'un homme qui avec une caractéristique de belle assurance vous livrait son gout pour la domination féminine. Il ne s'était visiblement jamais engagé dans cette voie, mais il y pensait de temps en temps.

Il faut bien préciser que ce mode de fonctionnement ne peut-être que sans retour.

Dit comme ça, cela n'a l'air mais ce n'est pas si simple. Selon les moments, chez nous, hommes, il y a très pressante cette envie d'être pris en main par une toute puissance féminine qui n'est pas si étrangère à ces instants vécus et à jamais perdus de la première Femme que nous ayons côtoyé et qui était notre mère.

Ces désirs pressants de soumission se manifestent souvent lors de moments ou notre savoir y faire avec les contingences de la vie fait un peu défaut. A d'autres moments le bon sens de l'adulte que nous sommes reprend son allant et fait que notre désir de soumission est moins présent.

C'est quand même schématisé pour bien comprendre ce qu'il se passe chez la plupart. Nous sommes par nature ambivalents, il faut en avoir conscience. C'est pour ça qu'il n'est pas simple de s'engager dans cette voie sans mure réflexion des 2 complices dans l'affaire.

Personnellement nous avons choisi de vivre ainsi depuis 25 années et ça n'a pas réussi tout de suite. Le contexte a joué en notre faveur : Mon épouse a un fort caractère et moi aussi, d'où le côté compliqué de l'affaire, elle a une profession (chef d'entreprise) qui a fait qu'il a mieux valu que je lui sois disponible et non l'inverse. Elle a su avec beaucoup d'intelligence gérer cette ambivalence que je n'identifiais pas aussi précisément à l'époque, elle y a mis beaucoup de fermeté et m'a présenté ceci comme des défis à dépasser chaque fois, sans quoi notre vie commune aurait été ré-envisagée. Il faut admettre qu'il n'est pas tous les jours rigolo de devoir veiller au bien-être de sa Maîtresse, mais globalement, à 50 ans, je me dis que je suis très heureux de cette condition avec cette Femme. Peut-être qu'avec une autre cela n'aurait pas forcément fonctionné. En résumé, il faut 2 symptômes qui s'accrochent bien ensemble pour que ça marche. Amicalement 

 
Réponse Ms.Dana :
 

Vous soulevez là un point particulièrement intéressant et assez peu abordé jusqu’ici : La variabilité des désirs de soumission de l’homme.

Quelle maitresse ne s’est pourtant jamais heurté à ce soucis !!! Comme vous l’expliquez très bien, un soumis à envie de servir parfois et moins à d’autre moments.

Et pourtant ce mode de vie, qui veut que l’homme se mette au service de la femme, implique qu’il soit totalement tournée vers elle, et réponde à toutes ses exigences.

 
C’est finalement pour cela que :
 

-          Les femmes voulant développer la permanence de la soumission des hommes ont tout intérêt à les garder frustré sexuellement parlant. C’est un des fondamentaux pour la dominante.

-          Que l’éducation du soumis, tant au niveau comportemental qu’au niveau des services qu’il doit rendre, prend tant de temps et d’énergie. Eduquer un soumis, ce n’est pas simplement faire une session de dressage, mais surtout lui inculquer de manière à ce qu’il s’en souvienne et qu’il apprenne, que la maitresse à le pouvoir. Qu’elle peut utiliser son savoir faire qu’elle montre en dressage, pour le punir et l’amener là où elle veut qu’il aille. Il doit comprendre qu’il n’a plus le choix (et en fait c’est toujours ce que désir un soumis, ne plus avoir de choix), et qu’il doit obéir et servir sa maitresse, de manière humble, permanente et cela docilement.

 

L’ « éducation » d’un soumis est une affaire de longue haleine . On ne change pas si vite que cela les mauvaises habitudes, mais petit à petit le soumis qui vie en permanence avec sa maitresse, évolue et ressent de moins en moins ces « variations de désir dans sa soumission ». (Un soumis qui en vie pas en permanence avec sa maitresse sera bien plus difficilement éduqué, mais c’est un autre sujet).

Evidement la maitresse doit le dresser progressivement, faire preuve d’attention et de subtilité, pour apprendre à connaître ses réactions, les prévoir et lui montrer le droit chemin. C’est donc un art subtil que la domination, et tout en éduquant son soumis, la maitresse apprend elle même cet art.

 
Tout est mental et éminemment cérébral.

Au début une jeune maitresse, même talentueuse aura tendance à dominer physiquement. C’est finalement le plus simple.

Mais avec le temps, elle va connaître son soumis, et déterminer les ficelles qui le font réagir et entrer dans le sous-espace ; elle saura l’y conduire dès qu’elle le souhaite, quelque soit l’envie du soumis de se soumettre à un instant « t ». Elle va prendre possession de lui en anticipant ses réactions et en lui montrant que c’est elle qui à tout pouvoir, non seulement sur son corps en le punissant, mais aussi sur son mental en sachant ce qui le touche et comment l’amener à perdre ses défenses et se rendre totalement à elle. Si elle maitrise cet art, elle est devenue une grande dominatrice.

Tant de soumis écrivent et réclament une dominatrice qui les domine « vraiment ». Qui les dépasse et envers laquelle ils « ne peuvent que se rendre », sont nus et désarmés. Les hommes sont si impatient d’avoir « trouvé leur Maitre ». Ils la trouve, quand un jour, elle prend possession d’eux au delà de ce qu’ils voulaient, et qu’ils ne maitrisent plus leur vie et la situation. Qu’ils perdent le contrôle. Quand l’équilibre de l’amour et du pouvoir s’est totalement renversé au profit de la femme dominante. Là elle le domine et il se soumet car il sait qu’il ne peut plus faire autrement.

C’est un sujet passionnant sur lequel nous pourrions débattre bien longtemps. Je suis obligée cependant d’y répondre brièvement pour ne pas lasser le lecteur.

 

Les détracteurs crieront à la manipulation mentale. Cela peut certes y ressembler mais ce n’en est pas puisque le soumis qui se proclame souvent « esclave » de lui même, n’attend que cela pour connaître la paix, la sérénité et le bonheur de servir sa maitresse.

Les soumis réclament cet asservissement, par Amour et par désir de soumission profonde. Il faut les y mener, c’est leur donner le bonheur en échange de ce qu’ils apportent eux comme amour et comme servilité.

 

Ce chemin pour les deux est fort long. On passe par des doutes, des remises en question, des peurs, des rebellions, des périodes d’accalmie ou de régression … que ce soit pour le soumis ou la dominante. Mais si on prend son temps, et que l’on avance ensemble, c’est ce chemin qui constitue l’aventure d’une vie et qui en lui même est si passionnant.

Ce n’est pas l’objectif mais le voyage lui même qui constitue ce qui est le plus passionnant dans cet art de vivre;

Par LO - Publié dans : La compréhension
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