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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

La compréhension

Mercredi 15 mars 3 15 /03 /Mars 08:05

Q. Aucun des livres de dressage que j’ai lu ne traite de la façon de gérer la nudité comme mode d’humiliation. C’est pourtant l’essentiel de mes fantasmes, être contraint de m’exposer nu devant une ou plusieurs femmes (dans une nouvelle que j’ai lu, il y avait une scène où un homme portait des vêtements féminins et rien dessous ; Il devait s’allonger sur un canapé dans une position où il était totalement exposé, alors que sa maitresse et ses hôtes faisaient des remarques dégradantes le concernant).

Quand j’étais à l’école (dans les années 1950), c’était humiliant de savoir juste qu’une fille pouvait deviner mes parties génitales sous mon pantalon, et d’être appelé au tableau avec une érection (elles avaient lieu souvent et de manière imprévue à cet âge), et c’était une frayeur constante que je ressentais. A présent j’admets que d’être nu n’est plus une chose qui m’embarrasse, mais c’est encore un fantasme, alors pourquoi ne pas utiliser cette humiliation psychologique ? Suis-je spécial que d’avoir ce fantasme ?



 
Réponse Elise Sutton : 


Non, vous n’êtes pas spécial. L’humiliation de la nudité me fait penser à Adam et Eve au jardin d’Eden. Ils étaient nus et trouvaient cela naturel jusqu’à ce qu’ils se rebellent contre Dieu, alors ils remarquèrent leur nudité et en eurent honte. La culpabilité provoque la honte.

Vous avez grandit dans une société opprimée sexuellement et le corps était sensé être couvert car la nudité totale ou partielle était considérée comme une honte. Cet état d’esprit était général et a été instillé aux enfants. Tous les descendants d’Adam et d’Eve ont été élevés à cette période avec l’idée de l’inconfort et de la vulnérabilité de l’état de nudité.

Ajoutez la pudibonderie de la société dans laquelle nous avons été élevés, et c’est un petit miracle de culpabilité et de honte à votre entrée dans la puberté.

 

Vous avez à l’évidence vécue des expériences embarrassantes avec les femmes durant votre enfance et votre adolescence ce qui explique la honte et la culpabilité que vous ressentez sur la nudité et votre sexe. Ces incidents embarrassant ont sans doute touché et alimenté votre nature soumise et ont laissé une trace durable dans votre sexualité.

En touchant votre nature soumise et votre sexualité, ces émotions embarrassantes et honteuses ont évoluées en des stimulants sexuels et en pensées plaisantes et en fantasmes.

La raison pour laquelle vous n’avez pas pu lire de littérature sur votre fétichisme particulier est que la plupart d’entre nous ressentons de la difficulté à être nu en présence de tiers. C’est courant. Même les acteurs ou top model habitués à être nus, se sentiraient embarrassés s’ils l’étaient devant une foule d’étranger ou devant la famille ou les amis.

Etre nu est très intime et la société nous protège en nous permettant de choisir qui partagera notre intimité. C’est contre la loi de forcer une personne et aussi interdit de faire de l’exhibitionnisme.

Alors naturellement un mâle soumis qui aime être humilié pourrait désirer être forcé de s’exposer par la volonté d’une femme dominante et dans les mains de ses amies. C’est tout à fait pareil que pour les hommes qui désirent être féminisé et être contraint de parader ainsi vêtu devant un parterre de femmes. L’humiliation peu ainsi toucher ses leviers psychologiques qui attisent l’excitation et qui fait qu’une situation embarrassante peut devenir une expérience plaisante.

Je crois que votre désir devient de plus en plus courant parmi les hommes, car on en retrouve de plus ne plus souvent sur les sites de domination. Alors que la femme continue à gagner sa place dans le monde du business, et que les hommes commencent à voir les femmes comme des images d’autorité, votre phantasme devient de plus en plus populaire.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 11:12
Q. Elise vous indiquez que vous n’avez pas d’enfants. Mon mari et moi avons deux enfants de 6 et 10 ans. Comment suggérez-vous que nous vivions notre mode de vie D&S avec des enfants à la maison ?
 
A. Il est important que vous protégiez vos enfants innocents, que vous les exposiez pas à n’importe quelle sorte de sexualité ou d’activité de domination entre vous et votre époux. Vous devez permettre à vos enfants de grandir normalement et vous devez les protéger pour qu’il ne voient ou n’expérimentent pas tout ce que leur âge ne leur permet pas de voir et d’expérimenter. Alors ne pratiquez votre D&S que quand les enfants sont ailleurs et que vous êtes loin d’eux.
Je vous suggère d’acheter un coffre cadenassé pour y ranger votre matériel et vos vêtements. Fermez-le bien. Cela ne diffère pas de l’acte sexuel traditionnel, que vous ne faites pas si les enfants sont derrière la porte.
Vos séances seront donc bien plus importantes car elles seront plus rares. La femme devra s’assurer la totale obéissance de son compagnon grâce à ces séances, afin qu’elle puisse lui inculquer comment elle entend qu’il se comporte dans la vie quotidienne. Elle lui assignera toutes les tâches domestiques utiles.
Si la femme utilise avec intelligence ces sessions, elle peut garantir que son mari lui montrera le respect nécessaire en présence des enfants et qu’il sera un bon père pour eux. Si jamais il fait quelque chose qui ne lui plaît pas à elle, elle pourra le lui rappeler lors de la prochaine session. Cela signifie moins de discussion en présence des enfants et donc que ceux ci vont grandir dans une maison pacifique et harmonieuse.
Puis quand les enfants grandiront et quitteront la maison, vous pourrez faire en sorte que votre relation de D&S profite de cette nouvelle liberté. Jusque là, protégez vos enfants en étant discrets.
 
 
Q. Elise je sais que ce n’est pas mon problème, mais je le demande quand même. Pourquoi n’avez-vous pas d’enfant ? Vous indiquez que c’est votre choix, je demande cela simplement car nous n’en avons pas nous même et que nous en avons assez des gens qui nous demandent pourquoi, et même notre famille qui nous considère comme égoïste.
 
A. Je sais bien ce que c’est. J’ignore votre âge, mais les questions et les commentaires sur le fait de ne pas avoir d’enfant s’arrêtent en général à 40 ans. J’aime les enfants, et j’aime être parmi eux. Mon âge favori est entre 3 et 9 ans. J’ai des neveux et nièces et je joue un grand rôle dans leur éducation. Je passe beaucoup de temps avec eux. Et le dimanche je donne des cours. J’aime les enfants.
Mais je n’ai jamais désiré en avoir. Certaines femmes existent pour avoir des enfants. Moi non. Mon mari en voulait mais j’ai été claire avant notre mariage. Si j’étais tombée enceinte nous aurions eu un enfant. Cela aurait pu arriver aussi dans les premières années de notre mariage. Quand je l’ai eu initié à ce style de vie, les pénétrations sont devenus rares. Même au début de notre union, nous utilisions des préservatifs. Je ne voulais pas être enceinte. Quand nous avons été profondément impliqués dans ce style de vie D/s, je fus vraiment contre le fait d’avoir des enfants. J’aimais trop notre style de vie. C’est peut-être pourquoi j’ai embrassé si vite la philosophie de la domination féminine et interdit à mon mari de me pénétrer. Je ne voulais pour rien au monde que nous cessions ce style de vie magnifique. Certains diront que c’est égoïste. Mais une femme qui veut des enfants l’est autant à la réflexion. J’admets l’être un peu mais cela ne veut pas dire que je n’aime pas les enfants.
Une autre chose : j’aime les animaux. J’ai deux chiens et nous les traitons comme nos enfants. J’aime en prendre soin et les dresser. Je ne les compare pas aux enfants, mais je les aime et y fais attention. Je souhaiterais que les gens aient moins d’enfants et s’occupent d’au moins un animal domestique.
En conclusion, je n’ai pas d’enfant car je n’en ai jamais souhaité.
 

 Q. Chère Elise, la suprématie féminine, ça va jusqu’à où, et qu’attend-on d’un mâle ?
Je demande cela car je rêve d’être avec une femme dominante, et bien que l’idée qu’elle puisse me traiter salement, constamment me déprécier ou m’infliger des tortures cruelles me laissent froid. Est-ce que toutes les relations D/S signifient que l’homme doit donner tout ce qu’il a ? Je ne veux pas paraître effronté en disant cela, mais je suis intéressé, et je ne sais vraiment pas ce qui est attendu. Ce n’est pas ma faute si je suis né mâle, mais je rêve de me soumettre.
Et puis comment voyez-vous les femmes dominantes élevant les enfants ? Ce n’est pas que mon opinion ait beaucoup d’importance pour vous, mais j’espère qu’ils seraient élevés de la même façon. Je n’aimerais pas qu’il y ait des différences, avec à l’esprit que tous les enfants sont innocents. J’espère que vous comprenez mes sentiments.
 
A. Je répondrai en premier à votre seconde question car elle est très importante. La D&S doit se faire entre deux adultes consentants. Les enfants ne doivent jamais y être mêlés. Les adultes doivent protéger l’innocence des enfants et ne jamais jouer ou pratiquer leur style de vie devant eux. C’est pour cela que je recommande que les couples mariés se procurent un coffre pour ranger leur affaire D&S et ne l’ouvrir que quand les enfants sont loin de la maison. Les garçons et les filles doivent être traités de la même façon, pour leur permettre de se développer à leur façon. Les enfants doivent se soumettre aux deux parents comme un gardien masculin doit avoir de l’autorité sur une jeune femme mineure car sa sagesse et sa maturité lui procurent cette autorité.
Le mariage sous l’égide de la domination féminine devrait encourager l’harmonie à la maison et la femme devrait gérer son mari et son comportement. Le mari doit montrer du respect à la femme et ne jamais discuter ses ordres. Il doit obéir à la femme d’une manière révérencieuse pour que l’harmonie existe à la maison afin de permettre aux enfants de s’épanouir. Si la femme dresse bien son mari pendant les sessions cela assurera un mari obéissant et un père aimant. Les enfants respecteront leur père aimant leur mère, étant un bon citoyen responsable, faisant les tâches ménagères de la maison et passant du temps de qualité avec eux. C’est un très bon exemple de modèle masculin pour les garçons et les filles. Les enfants noteront aussi que c’est la mère qui dirige et cela aidera grandement la fille car elle sera moins influencée par les schémas sociaux stéréotypés du rôle de l’homme et de la femme.
Aucun des parents ne devrait parler de sa sexualité ou de son style de vie à ses enfants, même quand ils deviennent matures. Chacun de nous sommes des individus et nous devons explorer et découvrir notre sexualité par nous-mêmes le temps venu. Les parents sont obligés de partager les éléments de la vie avec leurs enfants et les encourager à avoir un code de moralité. Cependant ils ne devraient jamais discuter D&S ou domination féminine. Leurs enfants découvriront tout cela naturellement le temps venu. Un homme soumis n’a pas besoin d’avoir eu des parents lui expliquant ce style de vie. Son désir se développera et sa nature se dévoilera.
Cela amène à votre autre question. Vous confondez le fait de permettre à un homme de vivre ses fantasmes et réaliser ses désirs de soumission avec le fait de le traiter comme un citoyen de seconde zone. La soumission et l’esclavage sont un style de vie volontaire. On parle là d’un homme abandonnant tout pouvoir à sa Reine et Déesse. C’est un acte de dévotion au genre féminin. Rien n’est forcé ou ne peut l’être. C’est une condition du cœur.
La femme discipline, domine, et humilie l’homme afin de satisfaire ses désirs à lui et de l’entraîner à mieux la servir elle.
J’explique ce phénomène dans un certains nombre de mes réponses aux questions. Les femmes ne sont pas meilleures que les hommes. Je n’ai jamais dit que les femmes sont meilleures que les hommes ou qu’elle ont une plus grande valeur. Ce que j’ai dit c’est qu’elles sont supérieures (au dessus des hommes, avec un caractère plus fort, faites pour les diriger, avec des atout pour les éduquer et faites pour leur fixer des règles).
Une femme dresse un homme pour qu’il soit une personne meilleure, un meilleur mari, un meilleur père. Elle casse l’agressivité du mâle et canalise sa force à son service à elle, et vers l’humanité dans son ensemble. Les mâles sont agressifs, voire violents. La force et l’agressivité peuvent être bénéfiques si elles sont canalisées vers les bons besoins. N’ayez pas honte d’être un homme. Les hommes sont de belles créations et sont très spéciaux. Chaque personne est unique et spéciale, vous compris. Vous avez juste besoin de trouver une femme que vous pourrez servir.   

 
Q. Grâce surtout à votre site, j’ai choisi de vivre ce mode de vie qu’est la domination féminine. Tout c’est passé comme vous le décriviez, et je ne peux me souvenir d’une période de ma vie où j’ai été plus heureuse. Mon mari m’a montré votre site avec l’espoir que j’essaierais. J’ai dépassée ses attentes les plus sauvages et il est à présent mon soumis complet et serviteur.
Nous avons deux garçons de neuf et onze ans. Je les aime plus que ma vie et j’ai suivi vos conseils avisés en leur cachant ce mode de vie et en ne pratiquant que quand nous sommes seuls à la maison. Je crois à la discipline des enfants et nous pratiquions la discipline aimante avec eux bien avant avoir choisi ce nouveau style de vie. Mon mari et moi venons de familles où l’on nous a appris les bonnes manières et nous avons été éduqué à travers des fessées et le conditionnement de plaisir en fonction de notre attitude. Nous avons la même approche avec nos enfants et ils sont devenus deux petits garçons bien éduqués.
Cependant, depuis que j’ai pris les rennes du mariage et depuis que je vois mon mari comme mon soumis et servant, je ne lui permets plus de punir les garçons. Je pense simplement que ce n’est pas le droit d’un mâle soumis de donner des fessés aux enfants. J’administre moi-même toute la discipline et les punitions de nos enfants quand ils ont fait des bêtises. Cela ne renforce pas seulement le fait que pour mes garçons (et mon mari) c’est maman qui dirige la famille, mais je pense aussi que j’entraîne mes garçons à accepter l’autorité féminine. Je crois que d’être disciplinés par leur maman seulement, leur donne une meilleure chance de devenir des mâles soumis comme leur père, ce que je leur souhaite vraiment pour eux.
Mon dilemme est le suivant. D’un coté je fais mon possible pour cacher notre sexualité à nos fils et j’essaye de leur permettre de grandir comme des petits garçons classiques. Mais d’un autre coté, je me sens une obligation de leur instiller l’attitude appropriée de respect et de soumission envers les femmes et le genre féminin. Après tout, les parents incluent leurs convictions religieuses, politiques et leur point de vue personnel sur la société et le monde à leur enfants, alors pourquoi pas moi ? J’en suis venu à croire fortement en la suprématie féminine et en la matriarchie. N’ai-je donc pas le droit de leur instiller mes croyances et ma philosophie en ce qui concerne ce style de vie ? Bien sûr j’évoque des aspects non sexuels de ce style de vie, du respect de l’autorité féminine et de la direction par la femme.
Cela m’amène à ma dernière question. Quand j’ai fait votre psycho-analyse sur mon mari, j’ai découvert quelque chose d’intéressant et peut-être de profond. L’événement qui a peut être planté la graine de sa soumission envers les femmes dans son enfance , fût une fessée qu’il reçut de sa mère alors qu’elle ne portait qu’un soutien-gorge et des collants. Apparemment elle était en train de s’habiller quand mon mari a fait quelque chose de mal, alors elle ne prit pas le temps de finir de se vêtir et elle le mit en travers de ses cuisses pour lui administrer une fessée. Sa mère était une belle femme et il n’a jamais oublié cet incident, alors qu’il devait avoir 10 ans. Cette révélation me fait penser à la façon dont je devrais m’habiller quand je discipline mes garçons. Quelle est la tenue appropriée qu’une mère devrait porter quand elle punit ses garçons ? Est-ce que ce serait une erreur de m’habiller sexy avec l’espoir que cela leur instille la graine de la soumission ?
 
R. J’ai eu de très nombreux clients qui ont des souvenirs analogues concernant leur mère ou un responsable féminin qui les avait en charge. Les femmes sont libres dans leur maison et en général ne pensent pas vraiment à ce qu’elles portent devant les enfants. De nombreux hommes se souviennent de leur mère portant uniquement un soutien-gorge et des collants, ou un string et des bas, alors qu’elle les disciplinait. Comme pour la mère de votre mari, de nombreuses femmes ne pensent pas à la façon dont elles sont vêtues quand leur garçon fait une bêtise dont elles pensent qu’elle mérite punition. La maman peut être en train de s’habiller quand un de ses fils rentre dans sa chambre, pleurant et se plaignant d’une dispute avec son frère, alors l’instinct de maternel prend le dessus et elle réconforte l’enfant qui pleure tout en déterminant si quelqu’un a besoin d’une punition. La maman peut être à moitié habillée ou même moins quand l’incident se produit. Certaines femmes sont plus familières que d’autres avec leurs enfants.
Je suis d’accord avec vous sur le fait d’instiller votre philosophie et votre vision du monde à vos garçons en ce qui concerne la façon dont ils devraient voir les femmes, mais vous devez le faire d’une façon non sexuelle. Apprenez à vos garçons à respecter les femmes et apprenez leur la façon de traiter une fille quand ils approchent de l’âge des premiers rendez-vous. Entraînez les à être de jeunes gentlemans et le reste devrait venir tout seul. De plus, le fait de voir votre mari vous traiter avec le respect nécessaire leur donne le bon état d’esprit pour qu’ils deviennent le type de jeune homme que vous souhaitez.
La façon dont vous êtes habillée quand vous punissez vos garçons dépend totalement de votre propre conscience. Mon conseil est de les punir quelle que soit la façon dont vous êtes vêtue. Pour ma part, je n’irais pas me changer à ce moment-là. Mon avis est que vous ne devez pas vous soucier de cela mais vous focaliser sur la façon correcte de les punir. La plupart du temps, une fessée n’est pas nécessaire. Enlever un privilège ou gronder un enfant peut être aussi efficace qu’une fessée. Particulièrement si l’enfant à plus de 10 ans. Vous ne pouvez pas cependant ne plus les fesser, particulièrement si la faute ou la rébellion est grande chez le garçon. Ce qui m’amène à la bonne façon de fesser un enfant. Comment une maman devrait-elle fesser un enfant ?
D’abord, ne le faites jamais si vous êtes en colère ou bouleversée. Envoyez-les dans leur chambre et accordez-vous un moment pour vous calmer. Faites-en sorte qu’il sachent qu’ils vont avoir une fessée, afin qu’ils puissent y penser pendant que vous vous calmez. Puis prenez un instrument pour la fessée. Je recommande un paddle en bois, une cuillère en bois ou une brosse à cheveux. Quand vous rentrez dans leur chambre, faites leur baisser leur pantalon et faites-les mettre en travers de vos cuisses. Ne frappez jamais un enfant qui cherche à s’enfuir ou qui n’est pas dans la bonne position pour être puni. Si l’enfant est encore rebelle, je suis ok pour l’attraper doucement et le disposer sur vos cuisses. Ensuite, fessez-le avec des coups légers mais fermes et seulement sur ses fesses. Ne frappez jamais un enfant ailleurs que sur ses fesses. Le nombre de coups devrait être fonction de l’importance de la faute.
Après la fessée, dites-lui de penser à ce qu’il a fait et pourquoi il a été puni. Quittez la pièce environ 5 minutes. Puis revenez dans sa chambre, prenez-le dans vos bras et dites-lui combien vous l’aimez et que maman ne l’a puni que pour son propre bien. Donnez-lui plein de bisous. La façon dont vous fessez est plus importante que la façon dont vous êtes habillée. Etre juste une femme qui punit son fils aidera à développer la fibre soumise qui est présente dans chaque mâle. Apprenez à chaque garçon à être un gentleman et le monde ira bien mieux.

 Q. Bonjour. Permettez-moi de prendre une minute pour me présenter. Je suis une femme bi de 38 ans, mariée à un homme de 4 ans plus jeune que moi. Nous sommes dans une relation D&s depuis presque 3 ans à présent. Il m’est totalement soumis. Je le fesse et lui torture un peu le sexe et les seins (il est très excité par les pinces), il fait les tâches ménagères nu ou féminisé, et je le fais cocu. Je ne le fais pas beaucoup sans lui, mais occasionnellement, et j’ai par deux fois ramené un homme à la maison pour qu’il nous regarde faire, et en une occasion il nous a servi les boissons au séjour. Ma question vient d’une de vos réponses que vous avez données précédemment. Vous conseilliez à une femme de ne pas pratiquer son style de vie devant ses enfants. Je suis d’accord avec le fait qu’aucune activité sexuelle de couple ne devrait être pratiquée devant les enfants. Comme vous, mon mari et moi n’avons pas d’enfant, mais j’ai une fille de 16 ans sexuellement active qui vit avec nous. C’est une jeune femme assez étourdissante, et j’ai envie de l’amener dans la relation. Je pense que ce serait assez érotique de la voir le dominer, rire de lui, et l’humilier. Je sens aussi que ce serait très dégradant et humiliant pour lui.
Je l’imagine habillée d’une jupe en cuir qu’elle possède avec une paire de bottes. Je lui ferais faire des tâches domestiques à mon mari pendant que ma fille et moi parlerions, ferions peut-être quelques allusions en riant doucement de lui pendant qu’il bosse. Finalement, je le ferais venir et bander pour moi en face d’elle et je pointerais du doigt sa masculinité en riant et disant « vois l’effet que je te fais ». Elle l’exciterait et ferait peut être quelque comparaison défavorable avec les pénis des garçons de la fac. Elle dirait peut-être «ça ressemble à ceux des élève de l’école primaire, est-ce qu’il bande jamais ? ». A ce moment, je le ferais peut-être se masturber pour elle. Dans tous les cas, je donnerais pouvoir à ma fille sur son sexe et son orgasme et il le ferait pour nous satisfaire toutes les deux.
Pensez-vous que c’est inapproprié pour une fille de 16 ans ? Comme je le disais plus tôt, elle est déjà active sexuellement et elle et moi sommes très ouvertes sur ce sujet. Pensez-vous qu’il puisse y avoir quelque mal dans ce que je vous ai décrit ? J’espère que vous me répondrez et je vous remercie pour votre site magnifique. Il est passionnant pour moi et je suis certaine qu’il aidera de nombreuses femmes et hommes, comme il nous aide.  
 
R. Pourquoi ai-je le sentiment que c’est votre mari qui vous a suggéré cette idée ? Votre fille est mineure et il est illégal pour votre mari d’avoir une relation sexuelle avec elle. De nombreux hommes sont en prison pour avoir vécu le genre d’activité que vous suggérez avec des filles de 16 ans. Qu’elle soit active sexuellement ou pas.
Elle est trop jeune pour ce que vous suggérez. En outre, votre mari n'est pas digne de servir sexuellement votre fille. Vous ne devriez pas lui donner ce privilège. Quand votre fille sera adulte, vous pourrez la faire servir par votre mari de façon domestique. Vous pourrez vous asseoir avec elle et lui expliquer la domination féminine et comment dominer votre mari, et vous pourrez lui permettre de le dominer de façon non sexuelle. Ce sera votre décision quand le temps sera venu.
En ce qui concerne votre fille, si elle est sexuellement active, assurez-vous d’avoir une conversation avec elle sur le fait qu’elle est une Déesse et assurez-vous qu’elle comprend que son corps est un temple et qu’aucun homme n’a le droit d’attendre du sexe d’elle. Elle doit toujours attendre des hommes qu’ils la traitent comme une Reine et elle a besoin d’apprendre que l’acte sexuel est fait pour son plaisir et non pas pour celui de son petit copain.
A 16 ans, elle ne devrait pas avoir de rapports sexuels avec les garçons. Elle a toute la vie devant elle et comme vous le savez, avec l’âge, le sexe devient meilleur pour les femmes. J’aurais horreur de voir son futur si prometteur altéré par un garçon qui n’est pas digne de votre fille. Si vous ne l’avez pas fait encore, assurez-vous qu’elle comprenne tout cela.
C’est l’âge parfait pour commencer à discuter des aspects non sexuels de la suprématie féminine et de la domination féminine avec votre fille. Les jeunes filles ont besoin d’attendre que les hommes les traitent avec respect. Le sexe doit être gardé pour ce garçon spécial qui lui prouvera sa valeur en dehors de la chambre avant qu’il lui soit accordé le privilège de la servir dans la chambre. Aidez-votre fille à développer une bonne image d’elle-même et le reste devrait venir de lui même. 

Q. Ma femme était une merveilleuse dominatrice qui est morte voici deux ans d’une rupture d’anévrisme. J’étais amoureux d’elle depuis des années quand elle m’a dit qu’elle m’épouserait sous deux conditions : Que je reste toujours chaste et obéissant, et que je ne lui demande rien concernant le sexe. J’ai été d’accord et nous avons passés 13 heureuses années ensemble.
La deuxième année de notre union elle donna le jour à deux jumeaux, un garçon et une fille qui ont à présent 11 ans. Depuis sa mort, j’essaye de les élever comme elle aurait voulu. Je travaille à présent à la maison pour avoir plus de temps pour eux. Ils sont bien éduqués et heureux, sauf bien sûr quand ils pensent à leur mère. Ma femme croyait que dieu était une femme. Elle leur a appris à dire merci à la Déesse, et nous avons pris l’habitude de la prier ensemble tous les jours. Je perpétue cette tradition. Je crois que non seulement cela aide mon fils à apprendre à respecter les femmes, mais cela donne à ma fille de la fierté d’être une femme. Cela nous réconforte aussi tous.
Bien que je croie profondément en la supériorité des femmes sur les hommes, et que j’essaye de traiter mes deux enfants de manière égale, et je leur donne autant d’attention à chacun. Je ne vois aucune façon pourtant d’essayer de leur inculquer les idéologies féministes. Ils savent que je soutiens la cause féminine, et je mentionne occasionnellement que les choses seraient meilleures dans un monde où les femmes auraient le pouvoir. J’ai aussi des magazines féministes et ma femme avait une grande collection de livres sur la matriarchie et son histoire, qu’ils consultent souvent. Je sais qu’ils se souviennent combien j’étais obéissant envers leur mère et quand je vais vers les femmes, je suis toujours très respectueux et déférent. J’aimerais savoir si je suis sur la bonne voie. Est-ce que j’en fais trop ? Pas assez ? Avez-vous des suggestions ? 
 
R. Vous avez tout l’air d’un très bel homme et j’admire votre amour et l’attachement à votre femme et à ses enfants. Je pense merveilleuse la façon dont vous l’honorez en élevant ses enfants comme elle l’aurait souhaitée. Vous l’aimiez visiblement énormément et vous avez été béni de passer ces 13 années avec elle. A présent vous pouvez canaliser votre attachement pour elle vers ses enfants. Vous avez fondé votre mariage sur la servitude et vous pouvez donc la servir encore en élevant et aimant ses enfants. Je pense que vous donnez un bel exemple de la pure soumission du mâle et les hommes peuvent prendre exemple sur vous. Mon seul conseil est que vous viviez votre futur tout en honorant votre passé. Ne vous interdisez pas de rencontrer une autre femme pour la servir. Vous mettez ses enfants au premier rang de votre vie mais cela ne signifie pas que vous ne puissiez pas rechercher une autre relation. Un homme comme vous a beaucoup à offrir à une femme. Un jour, ces enfants seront adultes et devront être indépendants. Ils pourront ou ne pourront pas choisir la même voie dans leur vie que vous et votre femme. Tout ce qu’un parent peut faire est d’instiller à ses enfants les valeurs auxquelles ils croit. Aux enfants ensuite de faire leur propre choix de vie quand ils deviennent adultes.
Il est admirable de se sacrifier ainsi pour ses enfants et j’espère que vous pourrez continuer à le faire. Mais pensez à votre avenir. Quand vous serez prêt, vous aurez besoin de chercher une autre femme que vous pourrez servir avec le même attachement. Vous êtes vraiment sur la bonne voie avec cette façon d’élever ces enfants et je vous souhaite à tous trois le meilleur.

Q. J’ai lu sur votre site l’histoire d’un homme qui avait perdu sa femme et qui éduquait seul ses enfants. Il tente de les élever avec des idéaux féministes. Il dit aussi que cela aide son fils à respecter les femmes, et sa fille à être fière d’être une femme. Bien que ce soient ses enfants et qu’il ait ses croyances, ne devrait-il pas juste leur apprendre la fierté de qui ils sont et le respect de l’humanité tout entière quel que soit son sexe ? Ne devraient-ils pas avoir le choix de découvrir eux-mêmes leur propre orientation quand ils grandiront ? Est-il bien approprié pour des parents d’élever leurs enfants, même d’une façon non sexuelle, dans le l’optique de la suprématie féminine ?
 
R. Avez-vous des enfants ? Ne leur instillez-vous pas vos croyances religieuses et politiques ? Combien de parents n’influencent pas leurs enfants politiquement et spirituellement ? Est-ce que les parents demandent à leurs enfant « A quelle église veux-tu aller ce dimanche ? » Non, les parents amènent leurs enfants à l’église de leur croyance.
Pourquoi la plupart des gens défendent-ils les même idéaux que leur parents ? Parce qu’ils en ont appris les valeurs par leurs parents. Bien sûr, vous devez encourager vos enfants à penser librement et vous devez toujours les soutenir quel que soit leur choix de vie. Mais il est naturel pour les parents d’élever leurs enfants avec les mêmes valeurs qu’eux. Ce sera aux enfants de décider les valeurs qu’ils défendront quand ils deviendront adultes.
Ce gentleman a simplement continué à élever ses enfants de la même façon que leur mère les élevait quand elle était en vie. Il l’a fait comme un cadeau pour elle. Je crois que c’est merveilleux. Aussi longtemps qu’il donne aux deux enfants autant d’attention et d’amour, aussi longtemps qu’il leur permet de garder leur innocence en ne les exposant à rien de sexuel, je ne vois aucun problème à élever les enfants dans les valeurs de leur mère. Vous pouvez choisir de ne pas élever ainsi vos enfants, et j’aurais pu ne pas élever mes enfants ainsi, mais nous sommes en démocratie et les parents ont encore le droit d’éduquer leurs enfants avec leur religion personnelle, leurs idéaux politiques et sociaux. Auriez-vous ainsi réagi s’il les avait amenés dans une église patriarcale ? La plupart le sont. Vous sentez-vous concerné par toutes les filles à qui l’on apprend que Dieu est masculin et que les femmes doivent se soumettre à leur mari ? La plupart des religions le professent et elles en ont le droit. De même ce gentleman a le droit d’éduquer son fils en lui inculquant les valeurs d’une société matriarcale et en lui disant que Dieu est une femme. Nous pouvons ne pas être d’accord avec la philosophie de sa femme mais nous devons être d’accord avec le fait qu’elle a le droit de l’avoir. Tout homme qui aime assez sa femme pour élever ses enfants en fonction des souhaits de la défunte (et peut-être même à l’encontre de ses siens) devrait avoir notre respect et notre admiration. S’il instille à son fils le même genre de loyauté, de caractère et de dévotion, son fils devrait devenir un jeune homme très bien. 

 Q.  J’ai été élevé dans une maison dirigée par une femme, et qui pratiquait la suprématie féminine. J’ai appris à obéir et à servir ma mère et ma sœur. Puis j’ai rencontré une merveilleuse femme dominante et me suis marié. Nous avons un grand mariage et je lui suis définitivement soumis. J’essaye toujours de faire au mieux pour elle. Nous sommes tous les deux satisfaits. Je suis aussi très content que ma femme s’entende très bien avec ma mère et ma sœur. Nous avons aussi un fils de 4 ans.
Ma question concerne mon fils. Ma femme veut le féminiser afin de l’éduquer selon les règles féminines. Elle vient de commencer il y a quelques semaines. Elle l’habille avec des vêtements de fille, ne lui permet plus de couper ses cheveux, l’encourage à jouer à la poupée et avec d’autres jouets de filles. Elle dit que dans un an elle lui apprendra le maquillage. Ses ongles sont polis et elle lui montre le rouge à lèvre.
J’ai toujours obéi aux souhaits de ma femme, mais j’ai des réserves concernant la féminisation d’un petit garçon. Je pense que cela peut nuire à son psychisme. Bien sûr je désire avoir un garçon respectable ayant un cœur bon et, bien sûr, je ne peux m’opposer à ma Maîtresse. Je ne suis pas très bien renseigné sur tout cela, alors je ne peux avoir de certitude. Laissez-moi vous dire ma gratitude.
 
R. Je suis de votre avis sur ce sujet. Il est bien d’élever un garçon à respecter l’autorité féminine aimante et de laisser les femmes diriger, mais vous devez lui permettre de grandir à sa façon et lui laisser ses propres choix sexuels et sociaux quand il sera mature. Votre femme essaye de le forcer à se féminiser en prenant des mesures avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Ces pratiques sont parfois utilisées chez des féministes extrémistes.
Votre femme prend le risque d’avoir un sérieux effet de retour quand il grandira. Au lieu d’aimer les femmes, il pourrait bien choisir la direction inverse. Il est mieux de le laisser choisir seul, de le guider avec amour. Elle devrait plutôt lui apprendre les vertus de l’autorité féminine, et il apprendra bien plus en vous regardant interagir avec sa mère qu’il ne le fera par son approche à elle. S’il vous voit vous soumettre avec humilité à sa mère et s’il voit la façon dont vous traitez les femmes avec déférence et respect, il y a des chances pour qu’il grandisse aussi dans ce respect et cet admiration des femmes. Sa nature soumise peut être cultivée par sa mère à travers la discipline et l’amour, pas par cette féminisation forcée.
S’il choisit de lui-même de jouer avec des poupées et des jouets féminins, c’est très bien de le lui permettre et de l’encourager. Mais s’il veut jouer au foot ou avec ses copains, alors vous devriez aussi le lui permettre. Laissez sa nature se développer d’elle-même, à son rythme. Le travail des parents consiste à éduquer les enfants et à leur instiller des valeurs positives avec amour. L’enfant jugera en dernier ressort votre style de vie par l’amour et l’harmonie qu’il constatera dans votre maison.
Vous pourriez vouloir montrer à votre femme ma réponse et j’espère qu’elle reconsidèrera et réexaminera son approche dans l’éducation de son garçon. Comme elle, j’ai envie que les garçons grandissent dans le respect des femmes et dans l’apprentissage de la soumission. Cependant, je crois qu’elle trouvera que mon approche est plus saine. Son fils doit découvrir de lui-même sa nature soumise, en son temps et à sa façon. Elle a besoin d’être là pour l’aimer et le guider, et vous avez besoin d’être là pour lui apprendre par l’exemple
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:46

 


 

De Yann : votre site est très intéressant. Je pensais jusqu'à présent que la domination féminine n'était qu'un fantasme que je pouvais réaliser par l'intermédiaire de professionnelles. Mon désir est de vivre ce fantasme au quotidien; est-ce possible, que dois-faire, ou dois-je m'adresser ? Pouvez-vous me guider ? Merci.

R. Ms.Dana : 
Merci Yann. Et non, ce n'est pas qu'un fantasme ! C'est un mode de vie qui devient de plus en plus courant à voir les publications que l'on trouve même dans la presse. Le petit livre "Osez le SM" ou les articles dans les magazines féminins expliquant que ce n'est pas "mal" que de vivre une sexualité libérée, démontrent qu'en France aussi, nous assistons à une évolution essentielle au sein de la vie de couple.
Le livre "Les hommes préfèrent les chieuses" où les femmes peuvent trouver de judicieux conseils nous prouve que le temps est révolu que celui où la femme devant dieu jurait fidélité et soumission à son époux. Et fort heureusement! Même les jeunes femmes peuvent lire ce livre finalement qui les aide à prendre conscience du "pouvoir féminin" qu'elles détiennent sur les hommes.
Ce sont là ouvrages de plus en plus courants qui ne sont, de plus, j'en suis persuadée, que le sommet de l'iceberg. Ils sont les prémices à la compréhension ouverte que la femme possède ce pouvoir et peut en avoir bien d'autres dans sa vie de couple. Car il est vrai que nous n'en sommes pas encore à pouvoir vivre ouvertement ce mode de vie. Les homosexuels sont en avance sur nous. Eux ont combattu à grand frais, victimes de rejets et parfois d'opprobre, mais ont finalement acquis un certain droit à vivre plus ouvertement leur homosexualité. Pensez à la Gay Pride.
C'est un doux paradoxe, car je ne doute pas qu'il y ait bien plus de couples dominantes/soumis que d'homosexuels, mais cette relation reste secrète et intime car elle est encore tabou dans notre société. L'image d'un homme soumis à sa femme n'a pas bonne presse, et pourtant un homme soumis apporte bien plus de bonheur qu'un macho. Alors laissons faire le temps et soyons les acteurs du futur dans notre monde personnel.
Nous pouvons leur léguer une vision de cette relation à nos enfants à travers notre mode de vie, de manière subtile et intelligente, dans l'objectif de les rendre heureux et de construire des couples pérennes. Il y a tellement de divorces et de célibataires, et en même temps tellement d'hommes qui désirent servir la femme comme un Reine, et tellement de femmes qui désirent l'être. Alors laissons le temps au temps, et apprenons déjà à vivre bien ce mode de vie, et à nous y épanouir.
Pour vous répondre Yann, il n'y a pas de méthode miracle, toute faite, clef en main, pour vivre immédiatement vos désirs de soumission. Il existe plusieurs façons pour vous de trouver une femme qui voudra bien devenir votre maitresse.
La plus rapide en dehors des professionnelles, est de chatter sur des sites dédiés à cela. Mais il y a bien plus de soumis que de dominatrices, et elles sont fort sollicitées. De plus beaucoup de soumis ne sont que des fantasmeurs sur ces sites, et n'osent pas vivre leurs désirs, et ne le faisant que de manière sporadique s'ils ont la chance qu'une domina veuille bien leur faire une séance.
Il faut savoir que les femmes sur ces sites cherchent des soumis, des vrais soumis désirant s'impliquer totalement dans une vie de servitude et d'amour, dans une réelle relation dominante/dominé quotidienne et de couple. Mais elles sont la plupart du temps dégoutées de n'avoir à faire qu'à des soumis de pacotille. Je connais en ce moment deux dominatrices proches de moi, qui n'arrivent pas à trouver un soumis voulant vivre ce mode de vie. C'est un comble quand on voit combien de messieurs écrivent en criant leur volonté de se soumettre à la femme. Evidement leurs fantasmes leur font imaginer qu'une top modèle, prix Nobel et millionnaire n'attend qu'eux ...
L'exigence de ces soumis n'a pas de limite, c'est étonnant. Là ne sont pas les hommes soumis, mais ceux qui luttent avec eux même contre la peur de l'engagement.
La meilleure façon de devenir soumis, à mon avis, consiste à rencontrer simplement une femme, comme le font tous les couples standards, et si elle vous plaît et que vous lui plaisez, de l'amener doucement à prendre le pouvoir par votre humilité et votre soumission. Ainsi elle pourra devenir votre dominatrice et votre compagne. C'est dans le couple que pousse la fleur du jardin de la domination féminine, et vous en êtes le jardinier. C'est plus long certes, mais plus sûr et combien plus sage et épanouissant, car la découverte se fait ensemble dans l'amour et la compréhension.
Alors vous pourrez vivre une vie heureuse de soumission comme tant d'hommes ont réussi à la vivre quand ils ont osé s'engager vraiment, ont appris à penser à leur femme avant de ne penser qu'à eux, et ont ainsi connu le bonheur de vivre une réelle soumission, qu'elle devienne soft ou dure, en fonction de la relation de couple. Sur ce terrain chaque couple dominante/soumis a son histoire, mais elles restent toutes respectables et désirables.
Tenez nous au courant Yann, et je vous souhaite bonne chance dans la recherche de votre future Déesse.

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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 07:40

Q. Bonjour Elise. Merci pour votre site et spécialement pour les réponses qu’il apporte. Je suis nouvelle : Il y a environ 3 mois j’ai commencé à rencontrer un homme soumis qui avait plus de 8 ans d’expérience dans le Bdsm. Bien que je ne sois pas très confiante et à l’aise dans le rôle dominant, je voudrai bien commencer doucement cela et découvrir mon niveau dans les différentes activités.

Ma question : Je travaille pour l’église catholique et je suis avocate pour défendre les droits de l’homme. Je crois que tous les gens sont égaux et méritent d’être aimés ; Nous sommes tous des créations de dieu et devons être traités ainsi. Comment puis-je réconcilier mes croyances qui me disent de « traiter mon prochain comme j’aimerai être traitée moi-même », avec les actions du bdsm, comme les humiliations, la douleur infligée, la soumission forcée, etc. Est ce qu’infliger de la douleur des humiliations, etc … est une façon morale d’agir ? J’ai eu une longue conversation la nuit dernière avec l’homme que je rencontre. Il m’a demandé en si ma moralité n’est pas un problème. Il est inquiet du fait d’un possible conflit entre mes valeurs et ces activités, et que je pourrais vouloir mettre fin à notre relation à cause de cela. Je me le demande aussi, si je vais arriver à concilier mes valeurs avec ce style de vie qu’il désire expérimenter avec moi.

Je vais essayer d’être plus explicite en décomposant les différentes parties de ma question :

  1. La question de l’égalité : Je crois que nous sommes tous égaux devant Dieu. Je sais que nous avons des capacités différentes, et que dans un couple c’est normal d’avoir des ‘rôles’ différents pour autant que l’on soit mutuellement d’accord et complémentaires. La D&s semble nous forcer à avoir des rôles stricts et définis.
  2. La douleur : C’est un vrai problème pour moi. Je ne voudrai pas que l’on me fasse mal, ni faire mal à quiconque, surtout à la personne que j’aime. C’est en plus contre mes principes de blesser intentionnellement. Je ne sais comment gérer ce dilemme.
  3. Les humiliations : Je crois que nous sommes fait pour mettre les autres en valeur, pas pour les faire pleurer et les casser. Je sais que vous faites un distinguo entre humilier son égo et sa propre estime. Mais je ne suis pas convaincue qu’il faille en rien humilier quelqu’un.
 Merci de vos réponses.
 

A. Merci de poser honnêtement cette question importante. J’aborde la compatibilité des croyances religieuse et de la domination féminine car cela est un vrai problème pour pas mal. Il y a des aspects de la domination féminine qui vous attirent en tant que femme, et il y a une partie de vous qui voudrait explorer ce style de vie, alors comment réconcilier tout cela avec vos valeurs ?

Naturellement je ne peux répondre pour tout le monde, je donne simplement mon avis. Vous devez en fin de compte réconcilier votre style de vie avec votre système de croyance basé sur votre propre conscience. Je suis cependant heureuse de répondre à votre question selon mon système de pensées à moi et mes croyances en tant que Catholique. Cela pourra vous aider mais vous devrez faire vous-même votre propre cheminement. Une partie du chemin spirituel est d’apprendre les uns des autres.

Je pense qu’une des erreures la plus courante qui existe sur ce style de vie qu’est la D&s, et la domination féminine, est qu’elle implique de maltraiter une autre personne. Cette assertion est faite par les gens qui ne voient que la surface des choses, de l’extérieur, mais ne prennent pas le temps d’examiner la profondeur et le contenu d’une relation D&s.

Votre compagnon a vécu ce style de vie depuis 8 ans, alors je suis certaine qu’il a vu toute une diversité de relation et de style de vivre ce mode de vie. Il a vu que dans la majorité des ces relations ces gens font vraiment attentions les uns aux autres. Il a intégré cela, mais cela reste un style de vie étranger encore pour vous. Alors vous ne pouvez simplement vous faire votre idée qu’avec vos connaissances limitées de celui ci, pour vous faire un jugement. Les hommes se jugent de l’extérieur. Dieu nous juge pour ce que nous sommes vraiment. Alors comment le fait d’infliger de la douleur ou d’humilier une autre personne peuvent être des actions d’amour et d’attention ? Cela vient de la motivation et de la compréhension. Regardons de plus prêt chacune de vos 3 questions.

Parlons déjà de l’égalité : Etre égaux ne veut pas dire que nous sommes identiques. Dieu nous aime tous pareillement, quels que soit le sexe ou la race, la classe sociale, les croyances politiques ou religieuses. Dieu nous aime quand nous sommes bons, quand nous sommes mauvais, quand nous allons à l’église ou pas, il nous aime inconditionnellement. Nous devons chercher aussi à aimer les autres inconditionnellement. Mais l’égalité ne veut pas dire que nous sommes des clones. Nous sommes tous différents avec des talents uniques, des dons et des personnalités.

La domination féminine n’est pas basée sur l’inégalité mais plutôt sur l’autorité de la femme, et en tant que catholique vous devriez comprendre ce qu’est l’autorité. En tant que telle vous êtes soumise à l’autorité de l’église et à sa hiérarchie. Personne n’est meilleur au sein de cette hiérarchie pour Dieu, mais néanmoins l’église reconnait cette hiérarchie comme une autorité. Là où je ne suis pas d’accord c’est que ces places au sein de l’église (prêtre, évêque, archevêque…) sont réservées aux hommes. Alors vous avez été élevée pour croire que les hommes doivent détenir les positions d’autorité car toutes ces soi disantes positions ordonnées par Dieu sont occupées par des hommes. Je ne vais pas débattre de cela ici (une autre fois), mais je vous disais cela pour vous expliquer que l’égalité n’est pas la même chose que l’autorité. Nous rencontrons l’autorité dans tous les aspects de notre vie. Le gouvernement a une autorité dans de nombreux domaines, et il en faut pour maintenir une société civilisée avec ses lois. Je suis certaine que dans votre travail vous voyez chaque jour l’autorité au sein de la structure juridique. Ces gens sont tous égaux aux yeux de la loi, mais dans leur monde structuré ils ne sont pas égaux et il y a de l’autorité. L’irrespect et la désobéissance envers un supérieur vous feront probablement licencier.

Au sein du mariage, la plupart des religions apprennent que le mari a l’autorité sur la femme. Beaucoup de catholiques croient que le mari dirige la femme. Ainsi la même église qui apprend l’égalité nous apprend aussi que les femmes doivent se soumettre à leur époux. C’est amusant de voir comment les croyants semble accepter cela, mais cela crée aussi des soucis si l’inverse existe : Et vous en êtes le parfait exemple, ce qui n’est pas une critique mais plutôt une démonstration de la façon dont les femmes ont reçu un lavage de cerveau par la religion. La doctrine de l’autorité spirituelle et de l’égalité fonctionne tant que c’est l’homme qui dirige, mais si la femme dirige l’église lui fait cadeau de ce dilemme à gérer. La domination et la soumission ne sont pas différentes de ce que l’église nous a apprit depuis des siècles. Nous pouvons tous êtres égaux devant Dieu, mais nous pouvons aussi avoir des relations où une personne a une autorité sur une autre. En cas de domination féminine, c’est la femme qui dirige la relation. Elle n’est pas mieux que l’homme, mais elle a l’autorité et l’homme doit lui obéir et l’honorer. La femme domine l’homme avec amour et l’homme se soumet avec amour. C’est le profil d’une relation de domination féminine réussit.

Les gens qui choisissent de vivre ce style de vie en sont venus à la décision qu’une relation bénéficiera d’harmonie et de paix quand la femme dirige en raison de sa nature féminine.

Ensuite vous parlez de la douleur :

Vous parlez d’infliger de la douleur à une autre personne. Blesser quelqu’un n’est pas la même chose que discipliner quelqu’un. Là encore cela dépend des motivations. Jésus avait douze disciples. Le mot discipline vient du grecque et signifie « un étudiant discipliné. Je suis certaine que vous connaissez la discipline de l’église. Quand j’étais à l’école catholique, les nones utilisaient des punitions corporelles pour discipliner les enfants. Les parents catholiques donnent aussi des fessés à leurs enfants pour les discipliner. Ont’il un problème de moralité ou de valeur  pour autant ? Non, au contraire, leurs valeurs encouragent même cela, de nombreux textes bibliques y font même référence.

La discipline est bonne et spécialement essentielle pour les hommes. Si un mâle a besoin et même désire « le bâton » afin de l’aider dans la vie pour être un homme meilleur, alors comment cela pourrait’ il être cruel de lui administrer ? Dans les mains d’une femme qui l’aime, « le bâton » (ou le fouet, le paddle, la cravache ou la cane) peut amener la paix à l’esprit du mâle indiscipliné. Alors ne voyez pas le « bâton » comme un instrument de douleur mais plutôt comme un instrument de correction. Cela fait’ il mal ? Oui, mais la douleur n’est pas négative si elle apprend à s’améliorer.

Dans de nombreux cas l’esprit du mâle désire ardemment le bâton car il lui amène le pardon de ses fautes. Là encore peu de gens se donnent la peine d’examiner pourquoi l’homme veut être discipliné par la femme. La simple vue extérieure d’une femme qui fouette un homme laisse à penser qu’il y a abus. Quand c’est fait avec amour, cela peut être très sain, et même très intime, et une expérience qui rapproche à chaque fois la femme adulte et son homme. 

Enfin vous évoquez l’humiliation : Je crois que vous avez deja des éléments de réponse ayant lu mon site. L’humiliation vise l’ego et la fierté du mâle. Vous dites que nous devons aider à construire les autres et non pas les rabaisser. C’est exactement ce que fait l’humiliation. Mais vous ne pouvez construire sur de mauvaises fondations. Si vous voulez construire une nouvelle maison, vous devez d’abord raser les vielles fondations avant de reconstruire. L’humiliation n’est pas donnée à tout le monde et je la considère comme une activité avancée de la D&s. Votre soumis doit désirer cela et doit surtout y répondre pour que cela soit efficace. Le revers de la médaille est que cela peut blesser l’esprit si cela n’est pas fait intelligemment. C’est pour cela que je recommande au sein de la relation D&s, mais pas dans les relations quotidiennes entre un homme et une femme. Fait correctement c’est un outil très puissant pour détruire les mauvais penchants et pour construire une relation plus puissante. Evidement là aussi tout vient de la motivation à l’origine de l’humiliation.

Avec la bonne motivation et la bonne attitude le style de vie de domination féminine est parfaitement compatible avec une vie chrétienne. Les anciens de l’église ne seront peut être pas d’accord avec moi, mais il y a des théologiens qui sont eux d’accords avec ma vision des choses. Ce qui manque le plus dans l’église protestante et catholique, est une meilleure compréhension de la nature féminine de Dieu. J’en parle dans mon livre en évoquant « le pouvoir latent d’Eve » et je crois que c’est une doctrine importante à comprendre pour saisir le coté féminin de Dieu.

Peut être qu’en explorant la domination féminine avec votre partenaire, vous pourriez gagner une plus grande compréhension de vous en tant que femme et de la nature féminine de Dieu.
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 18:17
De JP.C : Le 06/12/07
 

Nous sommes mariés depuis avril 2002, nous avons 55 ans, nous avons été marié chacun pendant plus de 20 ans, puis divorce. Je n'ai jamais eu le tempérament de dominateur, mais j'ai fais semblant avec les autres femmes.

Puis assumant peut-être à cause de l'âge, j'ai parlé de domination et soumission à mon épouse, il y a de cela 2 ans. Elle a accepté de jouer le rôle de dominante, cela n'a pas été évident au début, car moi je voulais 'aller' plus vite.

Dorénavant notre vie à complètement changer, mon épouse est devenue ma Maîtresse contrôlant absolument de notre ménage ainsi que ma sexualité en me faisant porter une cb 3000.

Avant elle m'a fait mettre deux piercing un prince Albert et un autre à la base de la verge, les deux piercings étaient reliés par une très courte chaînette, m'interdisant ainsi tout acte masturbatoire, je n'ai plus cette chaînette, je me sens beaucoup plus soumis avec le port de la cage.

Je porte sur mon épaule un tatouage représentant le visage de ma Maîtresse, je dois dorénavant porter une tenue de soubrette pour effectuer les tâches ménagères avec des collants, je suis très fier d'être habillée ainsi devant elle. Si mon travail n'est pas effectué correctement j'ai droit à la cravache.

Ma Maîtresse prend des amants, cela aussi me convient parfaitement.

Je suis laissé en abstinence complète sur de longues périodes, mais je désire rester comme cela, j'ai droit à beaucoup de sobriquets concernant mon sexe « qu'il n'est plus bon » par exemple, mais cela aussi j'adore.

Parfois ma Maîtresse m'autorise à la pénétrer, mais dans ces moments je me sens indigne, et je regrette d'éjaculer en elle, je me considère comme une véritable soubrette uniquement capable de servir. Elle m'appelle Pierrette.

Je sais parfaitement du moins pour moi qu'il hors de question de revenir en arrière, j'éprouve beaucoup trop de fierté et de plaisir à être son larbin cocu.

J'aimerai souvent qu'elle soit encore plus sévère
 

Ma Maîtresse est abonnée sur votre newsletter, ainsi je sais qu'elle lire mon récit ceci pour lui dire que je l'aime.

 
Mon nom est maintenant Pierrette.
 
 
Réponse Ms.Dana :
 

Pierrette.
 

A vous lire, elle a déjà parcouru un bon bout de chemin en l’espace de deux ans. C’est même assez impressionnant à bien y regarder. Ce qui me fait croire que vous l’avez d’une manière ou d’un autre bien influencé.

Je ne pense pas être loin de la vérité. Vous lui avez ouvert des horizons certes, et c’est parfait si elle s’épanouit de cette vie et si dominer lui plait, l’amuse et la comble. J’aurai aimé avoir le ressenti de votre maitresse. Savoir si ce que vous avez mis en place lui plait, si elle est heureuse d’être dominante, et satisfaite de vous.

N’oubliez jamais Pierrette, qu'il faut du temps, et que grâce à ce temps on arrive à des résultats bien plus solides.

Vous parlez beaucoup de vous, de ce qu'elle fait pour vous en vous dominant, mais je ne lis rien de ce que vous, vous faites pour elle. Et cela me questionne.

N’oubliez jamais, de d’abord la servir, prendre soin d’elle et de ses désirs. Car si elle domine pour vous, elle ne sera jamais vraiment dominatrice, et vous en serez frustré, et plus grave encore elle risque un jour de ne plus avoir envie.

Mais je peux me tromper. Elle peut adorer cela et découvrir très vite cet univers. Chaque femme a son rythme sur ce chemin là, l’essentiel est qu'elle le vive bien et ainsi qu'elle puisse rendre la relation heureuse.

 
Je vous souhaite à tous les deux toute la réussite possible.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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