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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

suprematiefeminine

Jeudi 2 mars 4 02 /03 /Mars 17:09

Réflexions sur les soupirs d'un ex soumis professant un " ahhh Lady ma nouvelle amie n'est pas Domina..." 

Alors messieurs les soumis déprimés, réfléchissons un brin ensemble à la chose, voulez-vous ? tout d'abord j'ai envie de dire, que cherchez vous au juste ? Jusqu'ou rêvez vous qu'elle le soit ?
Cherchez vous à "jouer" en chambre ( ou ailleurs, lol ) ou rêvez vous d'une épouse ou amie bien plus Domina ?
 

Quelle que soit votre envie, je gage que vous l'exprimez mal, et j'ai souvent raison. Ainsi je me souviens le message exposé un jour d'un monsieur fantasmant sur sa pénétration.
J'imagine la tête de madame qui, entre la poire et le dessert, se voit gratifiée comme cadeau d'un superbe gode ceinture flambant neuf... rhoo vilaine que je suis, j'en ris ! Mais, avouez messieurs qu'à peu de choses près c'est souvent présenté comme ça !

Loin de vouloir jouer à "docteur Ruth", j'ai envie de dire... 

 

Madame:
Rangez moi ce vilain truc au fond d'un tiroir,( bouh ), et envoyez môssieur faire un tour à son club préféré et réfléchissons ensemble à la domination féminine.
Lààà respirez un bon coup et relaxez vous ma chère, je ne vais pas vous parler de cravache ni de pinces monseigneur...

J'ai simplement envie de vous faire réfléchir un brin. D'accord? Ca vous le voulez bien ? Ok, parfait.

Maintenant réfléchissons ensemble de façon plus générale sur la position féminine, voulez-vous ?

Premièrement dites vous bien que je ne suis pas féministe... C’est pour moi une aberration, je n’aime pas parler de supériorité de l’un ou l’autre sexe, mais plutôt de complémentarité, cela me semble plus équitable dans nos différences, car des différences nous en avons n’est-ce pas, et non seulement physiques !

Mais si nous y réfléchissons, l’homme, en tous temps, a porté hommage à la femme. A commencer par le Néanderthalien qui sculptait des vénus de pierre rondes et fécondes et qui était à genoux devant la femme qui si mystérieusement donnait la vie... Il fallu un moment à son petit cerveau pour comprendre qu’il y était pour quelque chose !
    Et même si depuis il a compris, l’homme est encore bien petit devant ce mystère qu’il ne peut ressentir et auquel il participe comme il peut. Tout homme qu’il est, le choix de la vie, le pouvoir de la donner ou de la refuser ne lui appartient point.

Plus proche mais tout autant éloigné : sachez que dans l’Egypte antique la femme avait autant de droits que l’homme. Elle gérait ses propres biens, faisait du commerce, avait le droit de divorcer de son mari et récupérait toujours sa dot qui lui appartenait en bien propre... C’était il y a plus de 3.000 ans. Que dire de ce Pharaon Aménophis III qui choisit comme épouse principale une roturière et la fit régner à ses côtés ?

Enfin songez au sociétés matriarcales qui fonctionnent aussi bien que leur pendant masculin et réfléchissez au dicton qui dit « derrière chaque grand homme il y a toujours une femme ».
Pas à moi à vous donner des exemples tout de même, vous en connaissez assez qui ont agi dans l’ombre.

Tout ceci pour vous faire réfléchir au pouvoir de la femme sur l’homme, pouvoir dont elle use depuis toujours en finesse pour dominer la situation. 

 

Mais parlons de vous maintenant : 

Faites un petit effort : rappelez vous vos premiers pas de jeune fille, quand vous testiez le rouge à lèvre et les talons hauts de maman, quand vous sortiez dans la rue ainsi affublée, jeans moulant, tee shirt tout autant et maquillage flambant... peu importe la tenue.
Vous souvenez vous des sifflements des garçons, des regards sur votre passage ? Et ne me dites pas que CA ne vous est jamais arrivé, vous mentiriez ! 

Bien, vous vous en souvenez non ? 

Alors rappelez-vous votre sentiment à VOUS, votre jubilation, votre petit sentiment de gloire face à ces mâles qui vous regardaient.
Vous vous sentiez tellement bien, tellement femme et tellement PUISSANTE ! Vous dominiez la situation madame et vous aimiez ça !

Maintenant, rappelez vous votre rencontre avec monsieur.

    Il vous a fait la cour, sans nul doute et le jeu de la séduction a encore agi.
Vous devez avoir souvenir des moments où vous l’avez fait tourner en bourrique: par la robe que vous portiez, par le parfum que vous lui faisiez respirer, par votre regard appuyé...
Et vous en avez encore usé de ce pouvoir que vous aviez sur lui, usé pour qu’il soit à vous pieds, pour qu’il vous aime et qu’il vous le dise.
 

Là aussi vous avez dominé la situation et vous avez aimé cela. 

    Et maintenant dans votre vie de tous les jours, vous n’usez plus jamais de ce pouvoir ??
Quand vous mettez cette petite robe moulante qui lui fait sortir les yeux de la tête, quand vous lui cuisinez ce petit plat qu’il adore pour lui murmurer a l’oreille que la porte du garage a besoin d’être repeinte.

Cherchez bien... il y a plein de moments comme ça où vous l’avez eu en votre pouvoir et où vous avez aimé cela avouez-le !

    Ne me dites pas que l’avoir à vos pieds, admiratif, amoureux et ne regardant que vous, n’est pas une chose qui vous plaît ! Soyez honnête vis à vis de vous même, avoir un mari ou ami les yeux plein de désirs pour vous, professant à qui veut l’entendre que vous êtes une femme merveilleuse, vous trouvez que c’est un rêve, non ?? 

Eh bien la domination féminine, c’est ce pouvoir que vous avez sur lui... et que vous ressentez très bien à certains moments. Le reste n’est que jeux.. 

Oui, me direz-vous, mais Madame, quand je lis ou je regarde les sites sur la domination féminine, ça me choque, je ne pourrais jamais faire CA ! 

Eh bien vous avez raison, lol, de vous à moi, moi non plus ! 

    Comment vous expliquer la chose ? Imaginons que vous soyez encore vierge, que le sexe et ses plaisirs vous soient tout à fait inconnus...
    Alors replongez-vous dans cette époque. Imaginez que votre cher et tendre, dont vous êtes follement éprise, désire vous apprendre les plaisirs de la chair et que pour vous expliquer ce qu’ils sont, il vous fasse lire des revues hards et visionne pour vous des films pornos.
    Quelle serait votre réaction ? Moi je gage que vous n’aimeriez pas ce que vous verriez, et pourtant maintenant que vous n’êtes plus cette vierge effarouchée…vous aimez faire l’amour !
Alors sachez qu’il y a autant de différence entre les films pornos et votre vie amoureuse qu’il peut y en avoir entre votre position de femme Dominante et les sites que votre amoureux « soumis » vous a fait voir dans sa maladresse d’homme !! 

Une relation Dominante/soumis se fait en douceur, avec respect, amour et don de soi des deux côtés.

Elle évolue au gré des deux partenaires dans un désir et un plaisir partagé en toute complicité et n’a rien à voir avec la vision que vous en avez.
   Votre mari ou ami, s’il désire se soumettre a vous, désire en premier lieu S’OFFRIR à vous, vous mettre en valeur, vous chérir.

    C’est un très beau don croyez-moi que celui d’un homme qui se donne à une femme au point de se mettre tout entier dans sa main en toute confiance.

   C’est un don difficile aussi pour l’homme car il est total et sans équivoque dans une société qui se dit patriarcale, où le « mâle » se doit d’être dominateur et fort.
    Un don qu’il exprime, mais qu’il exprime avec maladresse, avec ses mots et sa sensibilité d’homme.

Mon but n’est pas de vous convaincre de saisir une cravache, il est de vous faire réfléchir à tout ce qui précède, peut-être comme une grande sœur qui a vécu tout cela et qui le vit encore passionnément et dans toute sa beauté. 

Et si vous savez prendre un autre regard, comprendre que tout ce qui précède va changer votre vision des choses. Alors vous allez au devant d’une vie plus riche, en sensations mais surtout en complicité avec votre partenaire.La première chose que veut cet homme qui met ses désirs à vos pieds, c’est de vous respecter, vous choyer, s’offrir tout entier à vous. 

Quel est votre sentiment à cet égard ? Ne vous sentez vous pas tout d’abord flattée, mise en valeur, belle et désirée ? Je gage que oui... 

    Alors si cette idée vous tente un tant soit peu, laissez-la faire son chemin et imaginez le plaisir que vous en retirerez.
    Plaisir tout aussi grand d’être adorée que plaisir de le sentir troublé, tremblant sous votre coulpe.

Prenons là aussi un exemple très fort : lors de vos jeux amoureux, vous l’avez déjà fait trembler, lorsque votre main a saisi sa force, lorsque votre bouche a joué de sa raideur, jouant de tout votre langage a le faire vocaliser.
    N’avez-vous pas pris plaisir à tenir ainsi en main... dans tous les sens du terme... son plaisir à lui.
    Eh bien vous dominiez Madame, et il s’en remettait à vous en toute confiance dans sa fragilité.
    Bon admettons, direz-vous, mais ensuite ?? Je l’ai là à mes pieds…que suis je donc censé faire ??
C’est simple : vous faire plaisir !!

 

Vous voyez les choses différemment à présent et vous êtes prête à tenter, l’expérience ? VOTRE expérience, j’insiste... 

    Dans ce cas, communiquez avec lui et commencez par lui dire que vous acceptez de jouer le jeu, mais puisque vous serez SA Domina, il doit bien entendu vous respecter et suivre vos envies, donc pour ces raisons évidentes, vous mènerez le jeu et les moments où vous jouez. Pensez tout d’abord à vous, à vous amuser, à tester votre pouvoir sur lui. Ne vous inquiétez pas il y prendra plaisir, vous verrez. 

    Amusez-vous par exemple à vous promener mine de rien en dessous sexy, offrez-vous des bas auto-fixants et rajoutez les à l’ensemble, enfilez-les devant lui de grand matin et s’il tente une main baladeuse, repoussez-le l’air mutin en lui disant « que cela se mérite ».
    S’il tente de vous amadouer, faites-lui dire ce qu’il a fait pour mériter de vous toucher, laissez le partir travailler et mijoter tout cela une bonne journée.
    Téléphonez-lui dans la journée par exemple et demandez lui s’il est sage, bref :JOUEZ et amusez-vous, vous verrez il adorera cela !
    Offrez lui un joli carnet et demandez-lui, que dis-je, ordonnez-lui d’y noter tout ce qu’il ressent face à vos petits jeux. Vous voulez tout savoir, ou vous ne jouez plus… 

    Fixez-vous même le temps qu’il vous faudra pour passer à la phase suivante.
    Durant ce temps, troublez-le, téléphonez-lui, envoyez-lui des messages, inventez, innovez…

Un exemple ? Bon soit.. rire… que diriez vous de celui-ci :

    Allez manger au restaurant, choisissez de vous asseoir en face de lui.
    Pendant le repas, disons entre la poire et le dessert (plus tôt si vous êtes diabolique), absentez-vous, repoudrez votre joli nez, ourlez vos lèvres de votre plus beau rouge et... glissez votre petit string dans votre sac.
    Retournez vous asseoir et déposez le tranquillement à coté de son assiette en le fixant, l’air amusé.
    Appelez le serveur et commandez votre dessert en disant que monsieur s’en passera, il est déjà servi...
    Imaginez la suite, votre retour en voiture, faites-le humer votre dessous sans vous toucher…bien sûr.
 

    Vous souriez... bien, vous avez compris l’idée. 

    Rentrés chez vous, quand vous voudrez (après une ballade, un ciné, tout ce que vous jugerez utile) passez à l’étape suivante.
    Apprenez à jouer là aussi de la même façon. Déshabillez-vous un peu sans qu’il puisse vous toucher et faites le mettre nu, à genoux, devant vous, assise confortablement.
    Et là, faites vous plaisir Madame... dites-lui qu’il a ignoré votre corps depuis bien trop longtemps, qu’il est grand temps qu’il en apprenne tous les détours.
    Demandez-lui de vous caresser et lorsqu’il avance la main, dites-lui qu’ainsi c’est bien trop facile et liez-lui les mains derrière le dos avec un de vos foulards de soie.
    S’il approche de votre intimité, fâchez-vous et faites-lui recommencer son parcours.
    Profitez-en, les hommes ont souvent tendance à oublier bien des endroits sensibles et je gage que le vôtre ne connaît pas toute la route !
    Prenez un joli marqueur et cotez les endroits qu’il visite en écrivant à même votre peau.
    Compliquez le jeu en lui bandant les yeux si vous en avez envie. Et dites-moi ensuite que vous n’y avez pas pris plaisir;
Je pourrais continuer ainsi à l’infini, mais c’est à vous à trouver vos jeux et vos plaisirs, en communiquant avec lui .Vous trouverez très vite une nouvelle dimension à vos jeux et vous évoluerez peu à peu ensemble pour votre plaisir commun. 

Il n’y a point de limite a votre imagination... 

Inventez-vous une jolie boîte à malice, mettez-y votre foulard, d’autres liens et plein de jouets ramenés de vos ballades à deux ou confisqués dans votre maison, et jouez. Vous rirez aussi bien plus souvent ensemble au souvenir de certaines situations. Votre partenaire sera de plus en plus conquis, sous votre emprise et vous vous sentirez mise en valeur. 

 

Mais n’oubliez pas : ne vous forcez pas, allez à votre rythme, c’est la seule condition qu’il se doit d’accepter. 

Ne pensez vous pas que cela vaille la peine d’essayer ? Je vous laisse juge...

Par Devilish Lady

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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 13:33
Pour moi, le 1er signe fut la tendance qu’eut mon époux à éviter la conversation. Pas qu’il ait toujours été bavard, mais c’était extrême pour lui. Puis il devint de plus en plus irritable sur de petites choses. Sentant qu’il n’allait pas bien, je lui demandais si il y avait quelque chose dont il voulait me parler. Bien sur il dit que tout allait bien … puis il dit « oui il faut que nous parlions »
Quand un homme dit cela … on peut s’attendre au pire… j’avais d’immenses craintes, mais lui fît un sourire. En l’écoutant je passais par la surprise, l’incrédulité, le choc, la pitié sur sa santé mentale et finalement du dégoût.
Ce qu’il me disait est qu’il ne pouvait plus tenir et qu’il voulait que je prenne le contrôle de notre relation. Au départ je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire. Quand je réalisais enfin j’ai commencée à avoir des problèmes. Il ne voulait pas seulement que je prenne le contrôle de la vie à la maison et de ses activités quotidiennes, il voulait aussi que je prenne le contrôle total de notre relation personnelle et sexuelle. Puis il m’acheva … en me disant qu’il voulait que je le fasse d’une manière très autoritaire stricte et dominante !
Mon esprit fut prit de panique en voyant les images des femmes e bottes noires tenant un fouet avec des esclaves rampant a leurs pieds. Aussitôt mon esprit tenta de rejeter tout ce qu’il venait d’entendre. Tout ce que je pu penser est « pourquoi moi » ? Qu’ai je fait pour mériter cela ? Je me demandais comment j’avais fait pour aimer un tel homme jusqu’ici et ne pas avoir sentit tout cela. Me battant pour garder une composition, je lui dis que tout cela était assez nouveau pour moi (euphémisme de l’année) et que j’avais besoin de temps pour faire le point. Je passais la semaine suivante dans les bibliothèques aux sections psychoses anormales…. Achetais tout ce que je pu sur ce sujet et tentais de rassembler le plus d’information possible afin de me permettre de prendre une décision.
Ce que je trouvais fut plus que je ne m’y attendais, et que ce qu’il lui arrivait était loin d’être unique. Il semble que dans nos société les hommes sont mis tellement sous stress surtout chez les cadres…. Et que quand ils rentrent à la maison d’autres types de problèmes les attendent… on attendent d’eux qu’il soient « macho » ou très fort solide … rassurants …
C’est pourquoi la charge est trop lourde pour eux …
Armée de mes connaissances et de mon intuition féminine, j’avais confiance sur ma capacité de gérer cette situation nouvelle avec mon habituel aplomb.
Je commençais à avoir des doutes quand nous avons parlés un peu plus des « détails ». Sur l’importance qu’il attribuait à ce que je prenne le contrôle absolu de notre vie sexuelle, comme c’était une source de stress pour lui. Comme toute les femmes j’ai toujours pensé que pour les hommes ce n’était pas un problème le sexe pour eux … mais bien souvent au contraire les hommes ont peur de ne pas y arriver, car ils ressentent que les femmes et la société les jugent sur leur capacité à bander vite et fort, à être « macho » … ce pourquoi tant d’hommes se demandent et demandent si ils ont bien fait jouir leur partenaire, …. Ce qui est important pour eux…. Si on comprend bien leur stress en ce domaine…. Et la peur que leur partenaire feigne la jouissance. Pour la plupart des femmes ce problème paraît bénin, mais pour l’homme il est sérieux …. Et peut amener des problèmes majeurs dans le couple. Et cela même dans les couples mariés de longue date.
Bref cela peut bien vous arrivez, alors soyez y préparez ! Mais surtout réagissez bien. Même si cela vous paraît étrange, fou, ou enfantin, ne paniquez pas. Ayez l’esprit ouvert et évitez les décisions trop rapides.
Si vous pensez que votre relation mérite d’être sauvée alors écoutez le. Souvenez vous qu’il est honteux de vous avoir avoué cela. S’il garde cela pour lui et vie autrement, vous verrez sa frustration monter et prendre bien des aspects. Fuite, boisson, énervement …. Et il ne vous dira pas pourquoi pour autant. Cela sera insupportable pour lui. En tant que femme nous aimons a penser que nous pouvons gérer à peut prêt tout, mais quand cela nous arrive vous allez devoir prendre une décision.
Puis je vivre comme cela ou faut’ il que je laisse tomber ? Seule vous pouvez répondre à cette question, mais je dois dire qu’il y a des avantages réels. Ses besoins de contrôle sont assez facilement réalisables. Ce qu’il cherche est comme un pseudo retour à la semi-enfance et à sa sécurité, il recherche une mère autoritaire pour lui dire quoi faire. Mais comme un ado il a aussi besoin de limites fermes qu’on lui interdise de dépasser. Le degré de contrôle dont il a besoin varie en fonction des situations. Certains hommes ont seulement besoin de sentir la sécurité d’être contrôlé, d’autres ont besoin que leur vie soit micro-dirigée dans les moindres détails.
Bien qu'ils puissent se chevaucher quelque peu, il y a trois secteurs principaux que vous devrez traiter.
Le 1er est d’établir les règles quotidiennes.
Cela peut inclure combien et jusqu’à où il devra s’impliquer dans les taches ménagères, où il va, à quelle heure il doit rentrer à la maison…etc. Je peux vous dire que rien que l’aspect ménager vaut la peine !
Un autre domaine est le sexe.
Vous verrez qu’il prend bien plus de soin de vous et à vous satisfaire qu’avant. Tout d’un coup il est impatient de faire tout ce que vous aviez vainement tentée de lui inculquer durant des années. Imaginez. Tout ce que je peux dire est profitez en, profitez. Vous pourrez aussi remarquer de sa part le besoin de limiter son propre plaisir sexuel. Cela semble être en quelque sorte une expiation ou le sacrifice qu'il estime qu'il doit vous offrir. C’est a vous de choisir si vous voulez inclure dans votre vie sexuelle les élément du BD/SM, selon ses désirs et vos envie de les réaliser.
Un troisième domaine est la discipline ;
Un domaine ou la limite entre le besoin de contrôle et le BDSM est flou, et c’est là ou la plupart des femmes paniquent ! Apres tout, comment discipliner un adulte. La plupart des femmes se sentent incapable d’assumer cette partie de leur rôle, et puisqu’il est à présent largement incapable de fonctionner sans discipline la relation en souffre. D’abord et pour l’essentiel, les punitions pour non respect des règles, non respect tout court … prennent souvent la forme d’une fessée ou d’une séance de fouet nu. Pourquoi nu ? En demandant ceci il enlève ses défenses avec son pantalon. Il devient inconsciemment le vilain petit garçon dont je parlais. Mais quelque soit la forme de punition que vous utilisez,Il est extrêmement important que ce soit réel et que cela lui fournisse assez de malaise véritable pour qu’en réalité il ne veuille plus refaire l’erreur dans le futur.C’est la seule façon de lui apprendre à progresser vraiment. Si il avait pu le faire lui même il l’aurait fait ! Une chose en plus, la punition doit être si dure pour lui qu’il doit à tout prix chercher à éviter de faire l’erreur dans le futur. Soyons réaliste. La majorité des hommes sont plus fort et solides que les femmes. Si il décidait de ne plus accepter vos punitions, il pourrait facilement le faire. Il ne doit pas être capable de l’éviter… et cela jusqu’au bout, pour qu’elle soit efficace. De manière réaliste la seule façon au début est de l’attacher lors des punitions. C’est pourquoi tant de femmes ont des soucis avec les punitions. D’après mon expérience personnelle (oui j’ai vécue tout cela), je sais que c’est difficile surtout au début. Cela va à l’encontre de tous nos principes d’éducation, sans parler vos attente d’un « partage » et « d’intimité » avec cet homme. Mais comme je le disais, si vous voulez que votre relation perdure, vous allez avoir à apprendre quelques nouveaux « trucs ». Au début, gardez à l’esprit sur les résultats attendus des punitions et de la discipline, non sur la punition en elle même.
Souvenez vous que vous êtes l’autorité et qu’il est le vilain garçon. La plupart des femmes n’ont aucun souci en tant que mère à discipliner leurs enfants pour qu’ils apprennent à avoir l’attitude correcte. Vous n’avez qu’à penser qu’il est un enfant particulièrement vilain un peu plus grand et vieux c’est tout. Vous pouvez être aussi créative que vous voulez en ce domaine. Apres un année de fessées, j’en avais assez et je décidais de m’amuser et j’expérimentais d’autres formes de punitions, liées à l’anatomie des hommes. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais l’utilisation de pince, de poids et de chocs électriques font partis de mon répertoire disciplinaire. Est ce que je pense que cela est « malade » ? Je le pensais au début, je me sentais un peu coupable surtout quand je me suis aperçue que je pouvais aimer lui donner les punitions dont il avait besoin. Vous devez garder à l’esprit que vous n’allez pas lui infliger une agonie, mais juste un moment particulièrement pénible pour lui permettre de progresser à façon dont les hommes ont besoin. Mais surtout ce doit être vrai et il doit savoir que c’est sérieux quelque soit votre façon de le discipliner.
Quand vous le faites, ce n’est pas différent que de dresser un chiot. Vous devez juste mettre les règles, vérifier qu’il les respecte, et le punir si il ne les respecte pas. Vous vous apercevrez que (comme les enfants ou les chiots), il vous testera occasionnellement pour voir si vous êtes sérieuse. Croyez moi, il souhaite sincèrement que vous le soyez, et que vous n’allez pas le laisser faire n’importe quoi. Si vous habiter dans une grande ville vous pouvez contacter une femme dominante professionnelle. Elles sont une excellente source d’information pour les stratégies et les trucs de la discipline et du dressage et comment faire sans a coup. Les grandes villes ont aussi des associations et des Club de femmes dominantes qui se rencontrent pour échanger leurs expériences. C’est vous qui choisissez si vous voulez vous investir un peu ou beaucoup en rejoignant une telle association. Souvenez vous, ce qui marche pour une autre ne marche pas forcement pour vous, et que cela prend du temps de trouve son propre « style » et la façons de gérer un situation donnée.
Si vous arrivez à passer les 1ers moi ce cette situation nouvelle, les choses seront bien plus faciles pour vous deux. Vous commencerez à vous familiariser avec les habitudes, et si vous êtes comme la plupart des femmes, vous commencerez à réaliser qu’il y a bien plus de coté positifs dans ce nouveau rôle. Croyez moi ou pas, mais de nombreuses femmes aimeraient être à votre place. Les anciens disaient : Si la vie te tend un citron, fait une citronnade. Regardez juste les vrais bénéfices de cette situation.

1. Il va devenir bien plus attentif à vous, vos besoins, vos désirs.

2. Vous pouvez lui assigner les taches ménagères que vous avez envie, la façon de les faire et la périodicité. Tenez le strictement responsable de la qualité

3. Puisque vous établissez les règles du sexe aussi, vous décidez ce que vous voulez, quand vous voulez, et le temps que vous voulez. Ne le laissez jamais jouir avant vous. En réalité, quand et combien il peut faire quelque chose pour lui c’est vous qui le décidez.

4. Toutes les femmes ont leur petit coté « chienne ». C’est la situation idéale pour le satisfaire avec des résultats positifs.

5. Vous pouvez le modeler comme vous le désirez, ne la refusez pas, une chance que si peu d’autres femmes ont avec leur homme.

Alors si jamais en votre vie vous vivez une telle situation, n’en faites pas une crise ! Voyez cela comme une opportunité pour améliorer votre vie commune mais aussi pour renforcer votre relation. Enfin si il ne vous en parle pas, vous devriez peut être vous …. Casser la glace et vous ne pouvez jamais savoir mais …. Dites vous simplement « essaye …tu pourrais bien aimer » !

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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 17:40

De : Dim C  31/12/07 

 

J'aime une dominante et j'accepte d'être dominé sauf sur un point... que faire ?

 

Je souhaite que ma question reste anonyme s'il vous plaît: 

J'ai été diagnostiqué bipolaire par un psychiatre, un autre psychiatre a revu mon diagnostique en disant que j'avais été victime de troubles schizophréniques et que je ne devais plus prendre de médicaments à vie. 

Mon amie dominante m'a emmené voir un troisième psychiatre et veut absolument que je reprenne des médicaments car souvent j'ai des angoisses, des crises d'épuisement, je me fâche et elle ne supporte pas mes colères qu'elle assimile à la maladie. 

La psychiatre n'est pas de son avis et pourtant mon amie me prétend le contraire en bonne dominante qui veut toujours avoir ce qu'elle désire. 

Elle veut je cite: "que mon cerveau soit gavé de médicaments quitte à ce que cela entraîne une impuissance sexuelle totale" car elle ne peut plus faire face à mes sautes d'humeur et à mes crises de colère et puis comme elle me le dit souvent elle a déjà connu tous les plaisirs sexuels qu'une femme peut vouloir connaître dans sa tendre jeunesse et ce y compris avec une femme et elle se préoccupe peu du sexe.  

Elle veut un homme qui s'occupe des enfants, rapporte de l'argent et lui accorde tous les petits plaisirs qu'elle est en droit d'attendre de la vie. 

Je l'aime. Nous avons deux enfants un grand de dix ans que j'ai adopté et un petit d'à peine six mois que nous avons conçu ensemble. 

Qui plus est, j'adore les plaisirs sexuels qu'elle m'accorde toujours, en tant que bonne dominante bienveillante, c'est-à-dire:

selon son bon vouloir, nous faisons souvent l'amour, parfois elle me laisse jouir en elle, parfois elle me baise sauvagement.

Parallèlement, je suis décris tel un cheval sauvage, à la fois gentil et doux et parfois rebelle et envahi de peur tel un étalon terrorisé à l'idée de souffrir d'avantage. 

Je veux être son soumis et je refuse d'accepter d'être réduit à une impuissance mentale et sexuelle. 

Nous nous sommes séparés pour la 4ème fois déjà et je veux retourner avec elle. 

Quel est votre conseil pour sortir de cette spirale infernale et vivre notre vie dominante/dominé heureux avec nos enfants?

 

 

Réponse Ms.Dana :

 

Je ne suis pas docteur. Je suis femme. Et femme dominante. Vous vous doutez donc quelque peu de ma réponse.

D'un coté votre femme : Elle vous connaît, vie avec vous, et sait ce qui est le meilleurs pour vous.  Vous voulez devenir son soumis, alors commencez simplement par l'écouter et faire ce qu'elle vous conseille. Elle vous aime visiblement et est emplit d'une sincérité et d'une franchise que j'apprécie énormément.

De l'autre un psychiatre : Il cherche à vous soigner. Mais visiblement pour le moment il n'y arrive pas. C'est là qu'il vous faut trouver la solution. Un médecin qui vous aidera et vous permettre de vivre une vie à laquelle vous avez le droit.



Je n'ai pas de réponse à vous donner ;
Je dirai, suivez l'avis médical. Mais si celui-ci ne change rien à vos comportements, vous aller perdre définitivement votre femme et vos enfants. Et je ne suis pas certaine que cela améliore votre état, loin de là.

Dilemme.

Mais comprenez votre femme. Mettez vous à sa place. Ce que je fais moi.
Soit c'est une affreuse manipulatrice qui veut vous exploiter, mais je me refuse de le penser sans la connaître, soit elle recherche une vie avec vous.

Quelle femme accepterait de vivre longtemps avec un homme qui a des colères et des sautes d'humeur imprévisibles et régulières ?

Ce que je sais moi :  La soumission vous aidera à trouver un équilibre de vous même en vous rapprochant plus de vos désirs profonds, mais je ne crois pas qu'elle soit un remède miracle dans votre situation.

Vous devez comprendre ce qu'elle ressent quand vous êtes dans ces états là, et comment pourrait' elle devenir vraiment dominante, comme vous la rêver, si souvent vous vous mettez en colère et casser toute la confiance d'elle même et de son pouvoir, que votre soumission lui donne préalablement. 
C'est peine perdu. Il faut une dominante expérimenté déjà pour savoir gérer de manière ferme les crises de son soumis. Vous risquez fort de la dégoûter d'aimer dominer, si par une colère vous saper tout l'ascendant qu'elle voudrait prendre sur vous.
 
Donc, votre situation repose sur la qualité de votre thérapie.
Je crois qu'ensuite, vous devrez faire comme elle vous ordonne, et suivre les conseils médicaux, vous aurez ainsi bien plus de chance de la rendre heureuse, et de l'être donc vous aussi. 

Merci de vous être ouvert à moi, et je vous souhaite de tout coeur de revivre le bonheur au sein de votre famille.

Ms Dana.

.

 


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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:23
Date: Wed, 27 Jan 2010
Subject: Nos debut dans la D/S
From: hugo31bo



Bonjour,

Tout d'abord merci pour votre site, c'est avant tout grâce a celui ci que nous avons vraiment découvert la D/S, bien sur au départ c'était une idée de monsieur, comme apparemment très souvent, pour résumer notre situation il y a encore quelque mois, Lady était plutôt passive dans notre couple pas soumise ce n'était pas vraiment le cas, mais elle me laissais gérer notre sexualité , nous avions alors 3 ou 4 rapports semaine;  j'étais un macho, imposant souvent mon statut de "mâle", j'abusais très souvent de sa gentillesse. Mais il y avait un problème et même un dilemme, comment pouvais-je jouer les machos alors que je portais des dessous féminins sous mes jeans, et que je passais une partie de mon temps libre a tromper ma femme avec des hommes , déjà a l'époque je jouais la soumise travesti !!!, bien sur Lady était au courant de tout cela , disons qu'elle tolérait et ne voulait pas savoir... notre couple était donc plutôt en perdition.
Après avoir décider Lady a lire quelques articles de votre site; j'ai eu la surprise un jour de l'entendre me dire, " je veux bien essayer la domination, la première chose que je voudrais te demander c'est d'arrêter de porter des dessous féminin une semaine par mois " , je dois dire que j'ai accepter de suite.
Ayant découvert la cage de chasteté, je lui ai proposer d'en porter une, afin de me soumettre a sa libido, bien sur je ne m'attendais pas a ce qui allais ce passer; Lady a voulu que je lui donne du plaisir oralement et a commencer a me frustrer, nous sommes passer a un rapport mensuel qui se terminais toujours comme cela: je devais la nettoyer de ma semence, je dois dire que c'était assez humiliant . j'ai compris assez rapidement que Lady avais lu quelques articles sur l'éducation, la discpline et les punitions, car elle m'a demander d'acheter une cravache.
des le lendemain je crois, j'ai reçu ma première éducation une dizaine de coup sur les fesses, c'était assez marquant, elle a recommencer tous les jours.
Bien sur je devais faire le ménage a la maison ainsi qu'une parti du repassage, n'étant pas satisfaite du travail que j'avais fait dans la salle de bain, elle m'annonça " 30 coups de cravache" le miroir n'est pas clean !!!,
elle m'entraîna dans la chambre me fit baisser mon pantalon et m'administra ma première correction,j'étais honteux, j'avais devant moi désormais une Maîtresse .
Assez rapidement elle m'imposa le port de la cage du vendredi soir jusqu'au lundi matin, en contrepartie de tout cela Lady me permettais quelque chose auquel je ne croyais pas, elle me permettais de rester en dessous féminin devant elle, et surtout que je porte mes escarpins pendant le ménage, chose qu'elle ne supportais pas avant; elle me trouva méme un prénom féminin " Bree", elle me parle maintenant régulièrement au féminin, bref je suis devenu sa " soumise" Jamais je n'aurais pu imaginer que cela se produise un jour.
Nous avons franchi des étapes incroyables en 6 mois et surtout le principal, nous avons retrouver une vrai complicité .
Depuis 3 mois environ Lady me frustre encore plus, je dois la servir oralement, la masser bien sur, parfois elle se pénètre avec son toys, et quand elle a fini de jouer, elle me souhaite une bonne nuit, je dois dire que j'ai du mal a m'endormir étant en érection a ce moment la, la cage me fait mal.
Lady a introduit des nouvelle règles le samedi soir, quand elle en a envie elle me demande d'aller chercher un verre, d'enlever ma cage, et de me masturber devant elle, si j'arrive a jouir je dois alors boire ma semence,et bien sur remettre la cage ensuite.
Étant un adepte de la sodomie a l'époque ou je fréquentais le milieu homo, Lady me frustre car elle sait que j'aime cela, nous avons acheter un gode ceinture,une des règles est que le samedi soir je dois me faire un lavement; je ne sais bien sur jamais si Lady auras envie de faire quoique ce soit, la première fois, elle m'a fait mettre a quatre pattes j'étais rester en fille affubler de ma guêpière et de mes bas, lady cracha dans mon sillon pour me lubrifier, je me sentis humilier, ma femme me traitais comme je le faisais a l'époque avec elle, les temps changent....
Elle m'introduisit un petit plug pour me préparer et sorti l'artillerie lourde un gode asse gros ... j'eus le temps de mettre un peu de lubrifiant, et elle força mon entrée sous le coup de la douleur je m'esquivais, elle me fit remettre a quatre pattes et me pénétra.
J'attends patiemment le jour ou elle enfilera son gode ceinture pour me posséder vraiment. REALITE.jpg
Depuis de nouvelle règle me sont imposer, je ne doit jamais manquer de respect a Lady, je ne dois pas la toucher sans sa permission, le simple faite de lui avoir toucher les fesses m'a valu 10 coups de canne ( Lady a introduit la canne pour les punitions, et la cravache pour l'éducation, elle pense au fouet de plus en plus ), dernièrement elle m'a demander de me calmer sur ma consommation de vin ( j'aime bien boire 2,3 verres après le repas) , m'ayant demander de ne plus me resservir, je lui ai désobéi , elle a donc comptabiliser 10 coups de plus, avec toutes les bêtises précédentes je me suis donc retrouver un lundi midi a quatre pattes cul nu afin que Lady me punisse, jamais je n'aurais penser qu'elle irais jusque la, j'ai pris 70 coups de cravache qui mon totalement anéantie , j'avais mal, les larmes au yeux, j'ai embrasser les pieds de ma Maîtresse pour m'excuser, je me sentais totalement soumis a ma Maîtresse, mais j'étais heureux du traitement qu'elle m'avait fait subir...
Bien que Maîtresse n'en formule pas le désir, je me vois de moins en moins pouvoir lui faire l'amour, ma libido a baisser, j'ai l'impression que ce n'est plus mon rôle maintenant,  elle m'a dit que le fait d'éjaculer en elle, me redonnerais du pouvoir et que cela bien sur elle ne le voulais pas, je suis devenu sa soumise, il lui arrive aussi parfois de me gifler pour me rabaisser, je dois dire que c'est très puissant, je pense de plus en plus ressembler a une lopette a ses yeux, chose qui dans un sens a toujours été une vérité, mais aujourd'hui c'est Lady qui m'a transformer en cela, et a la vitesse a laquelle elle progresse, je pense ne pas être au bout des mes surprises...En autre surprise sur la métamorphose de Maîtresse, elle se sent plus sur dans son travail ( elle travaille dans l'immobilier ) et dans les relations avec les personnes surtout les hommes bien sur !!! 
Mais le vrai bonheur avant tout, c'est que nous sommes redevenu un couple, je chérie ma Maîtresse du mieux que je peux et je pense même ne jamais l'avoir autant aimer....
Merci de nous avoir aider a découvrir cette nouvelle vie.

Maîtresse Lady Val et soumise bree.


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REPONSE MS.DANA :


Bonjour

Et merci. Ce site est justement fait pour cela, et cela me récompense de mon implication quand je reçois des témoignages m'indiquant qu'une femme s'en instruit  et y trouve de quoi appuyer les débuts de sa prise de conscience.

Devenir dominante n'est pas evident, même si les hommes pensent que ce pourrait être simple, il faut franchir un certains nombres de barrières. Alors bravo encore à ta maitresse, qui de toute évidence a comprit tout l'intérêt pour elle et pour sa relation d'embrasser si judicieusement ce mode de vie.

C'est intéressant de noter l'évolution, qui ressemble à celle de nombreuse femmes devenue maitresse, non pas par envie de faire plaisir, mais parce qu'elles ont eut elle l'occasion de découvrir le plaisir de la domination. Avoir un homme à ses pieds et le transformer pour en faire un soumis avec lequel c'est bien plus agreable de vivre est une chose fantastique.

Je lui souhaite de continuer sur ce chemin, elle a fort bien débuté et comprit comment marche les hommes.
A toi je te souhaite de la suivre et de devenir vraiment soumis, tu verras que non seulement ta maitresse te surprendra, mais elle te rendra totalement heureux de l'être quand tu auras franchis l'etape de l'abandon, tout comme elle franchit l'étape de la prise de pouvoir.

Tant de couple devraient suivre votre exemple, et en verrait leur vie bouleversée dans le bon sens.

Ms Dana

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Par LO - Publié dans : suprematiefeminine
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Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 23:40

 


 De Paul C : 

Chère Maîtresse Sutton : Je suis un esclave depuis quelques années. Je suis la propriété de la plus belle et merveilleuse femme que j’aie jamais rencontrée. Elle est non seulement très belle et sexy, mais sa vraie beauté, sensualité est en elle-même. 
Pour décrire Maîtresse, les mots sont même inadéquats, mais je dirai beauté, sexy, avec de l’allure, forte, intelligente, joueuse, intense, sensuelle, attentionnée, aimante, en demande, sadique, compréhensive, spirituelle, charismatique, exotique, irrésistible et féminine ce qui me rend… vulnérable. Imaginez une femme avec autant de force, de pouvoir, de grâce et d’intelligence, et qui, de plus, a assez confiance en elle pour montrer à son esclave sa vulnérabilité. Je trouve que c’est un lien si puissant. Cela en fait une déesse, une Reine, qu'il faut protéger, à laquelle il faut se dévouer, qui ne doit pas être salie par des expériences mondaines, sauf si, bien sûr, elle le désire. Je suis tombé à genoux, amoureux d’elle, de son esprit, de son âme, de son corps. Elle me permet d’avoir l’honneur et le privilège de lui appartenir, de la servir, d’être une petite partie de sa vie glorieuse. Je suis, grâce à sa bénédiction, le plus heureux des esclaves du monde. Si cela ressemble à de la vantardise de mâle, ainsi soit-il, je ne trouve pas d’autre façon de dire sa gloire. 
Cela commença de manière assez innocente de ma part. Pourquoi dis-je cela ? Car je n’avais aucune idée de l’intensité et de la beauté de ce voyage. Ce que je faisais, je peux le décrire comme un jeu de rôles uniforme, un fantasme, un jeu fétichiste car il n’y avait aucune implication réelle, pas de sincère dévotion, pas d’accomplissement, aucune reddition. Rien à voir avec maintenant, rien même s’en approchant. Quand j’ai rencontré Maîtresse, elle m’a mis en garde, m'a dit que ce serait intense, que ma reddition et ma perte de contrôle seraient bien plus grands que je pouvais l’imaginer. J'acceptai. Sans comprendre la signification profonde de ce que je faisais. Je n’avais aucune chance. 
Son pouvoir, sa force, son contrôle vous tombent dessus. Je ne le sentais pas venir. Je ne pensais pas sentir mon pouvoir s’éloigner, mon contrôle s’évaporer et mon désir d’être prêt d’elle prendre possession de moi. Tout cela arriva d’un seul coup et me frappa, et j’ai pleuré avec bonheur et crainte. 
Cela arriva quand je me mis à genoux chez elle alors que j’étais sur le départ, un soir. Elle a capturé mon regard dans le sien et y a cherché mon âme. J’ai senti une porte s’ouvrir, une porte en mon esprit, une porte sur notre voyage, une porte vers un nouvel accomplissement et une nouvelle compréhension. Ce que je compris d’un coup, c'était que la Femme devant moi tenait ma vie, mon bonheur dans ses mains. Je lui avais complètement abandonné mon être. J’étais sans défense devant elle. Je n’avais aucun contrôle, Je fondais de soumission. Je pleurais de m’ouvrir ainsi, sans honte de mon besoin, de mon abandon, de ma vulnérabilité, de mon appartenance. Je réalisai que je n’étais plus le même. Que j'étais devenu propriété, bien, jouet, animal domestique, esclave. Ce qui plia devant elle, inondé de larmes d’amour, de dévotion, de perte de contrôle et de désir, était son garçon, son esclave, son chien. La porte s’ouvrit et l’émotion me submergea. Comment cela arriva ? Quand cela arriva ? Est-ce sa force ou mon abandon ? Il n’y avait plus rien que je ne pouvais lui refuser. Je ne pouvais plus contester en rien son autorité. Il n’y avait plus de désir personnel sauf un, l’impérissable, le persistant, immense désir de se voir autorisé à essayer de lui plaire. A mettre un sourire sur son visage, à faire que sa vie soit plus facile et douce, à l’adorer, lui obéir, lui appartenir. En lisant cela il semble que son garçon ait droit à beaucoup de désirs. Alors imaginez quel bonheur elle me donne.
Comment maîtresse avait-elle fait cela ? A travers l’amour, une éducation attentive, la compréhension, la connaissance d’elle-même et de quel type de garçon elle avait besoin pour satisfaire ses désirs. Elle me façonna littéralement en un garçon qu’elle désirait avoir. 
Je recherchais une servitude sexuelle. A notre première discussion, maîtresse, qui est mariée, me dit qu'elle cherchait un travailleur, un garçon ayant un profond désir de servir. Une période, pas de négociation, pas d’espoir, pas de discussion. Comprends, accepte et fais-le dans la joie ou continue à chercher. Honnêtement, comme je le disais plus tôt, je ne comprenais pas vraiment. Je pensais que cela devait être un jeu. J’avais besoin de servitude sexuelle. J’ai eu un profond désir de servir une belle femme, mais j’avais besoin de plus. De sentir son pouvoir. Etre prêt d’elle serait suffisant pour un moment, jusqu'à ce que nous soyons fatigués du jeu. Elle a dû voir quelque chose en moi. Elle a dû comprendre qu'en me permettant le vrai bonheur de la servir, j’embrasserais ma vraie nature. Maîtresse me donna une chance de lui prouver cela. Elle a admis qu’elle avait des doutes me concernant. Nous en sourions aujourd’hui. Elle a admis aussi honnêtement qu'elle avait bien fait de me laisser ma chance. 
A présent je prends soin de sa voiture et enlève la neige qui la recouvre l’hiver en allant le matin tôt de chez moi à chez elle afin qu’elle ne soit pas en retard. Je ratisse sa cour. Je lave sa voiture. Je nettoie son sous-sol, je vide les poubelles, et je lui achète ses objets féminins, soutien-gorge, collants, bas, dessous, tampons, rouge à ongle... Je fais ses courses, je lui apporte le café le matin, son dîner et son repas ou l’amène à son restaurant, je lui sers de chauffeur en ville, et j’ai le droit de l’amener dans des boutiques fétichistes et lui montrer ma vraie place dans sa vie, je la suis dans les virées dans les centres commerciaux en portant ses sacs, ses manteaux, tout en tentant de lui ouvrir les portes, de lui faire les ongles, de nettoyer ses chaussures ou ses bottes, je fais la plupart des choses qu’un bon esclave ferait. Pas tout chaque jour, bien sûr, mais j’ai fait toutes ces choses bien des fois. J’ai même quitté le travail pour la conduire à un rendez-vous en ville et je l’ai attendue à l’heure afin qu’elle ne soit pas en retard. Je lui prends ses tickets de parking, et elle me remercie d’un sourire. N’ai-je pas de la chance ?
Je l’aime, je l’adore, je la vénère, je lui appartiens. Quand Maîtresse est contente, je le suis. 
Chaque matin, je la remercie de se souvenir de moi, de me donner un peu de son temps précieux, de me permettre d’être son serviteur. J’ai tant de chance.
 
Réponse d’Elise: 
C’est un bel écrit. Merci d’avoir partagé ces pensées aimantes. J’aime votre manière de la servir, avec une dévotion si pure. Tant de maris devraient apprendre de vous. Vous n’êtes peut-être pas son époux, mais vous servez cette femme comme très peu d’hommes le font. 
J’adore que vous alliez chercher les tickets de parking pour elle. Je pense que bien des femmes lisant mon site voudront utiliser cette idée, surtout un jour bondé pendant les vacances de noël. Envoyez vos soumis plus tôt le matin, avant l’ouverture des magasins et faites leur trouver une place prêt de la porte du centre commercial. Puis, quand vous arrivez, utilisez le téléphone portable pour le trouver, prenez sa place. Combien d’hommes feraient cela pour leur maitresse ? Mais n’est-elle pas digne de ce genre de sacrifice ? Mieux encore, faites-le se garer loin une fois quand vous avez pris sa place, et qu'il vous rejoigne pour porter vos achats. 
Vous êtes un home chanceux, mais aussi béni. Et j’ajouterai qu’elle est une femme bénie d’avoir un soumis si dévoué, qui comprend vraiment ce que c’est que servir une femme. Les soumis, prenez-en de la graine !
 
 
De Ms Claire:
Elise, j’ai découvert un autre moyen de frustrer l’homme que j’aime, mon mari. Comme si l’interdit de sexe et d’orgasme à travers l’adultère n’était pas suffisant, j’ai décidé de pratiquer l’art de « la frustration des bottes ». Laissez-moi expliquer. 
 Mon mari est un fanatique des bottes. Les hauts talons ne lui font rien, mais mes bottes en cuir noir à talons hauts le rendent fou. Il a beaucoup travaillé et il m’a acheté cette paire de bottes. J’ai décidé que mon mari ne me verrait qu’en chaussure à talons désormais. Je ne porterai mes nouvelles bottes que lorsque j'irai voir mon petit ami. J’ai dit à mon mari que, même s’il a travaillé dur pour acheter ces bottes, elles ne sont pas « pour lui ». Elles sont pour mon petit ami qui, coïncidence, est aussi fou des bottes. C’est un honneur de les porter pour lui.
De plus pour essayer d’humilier encore plus mon mari, il doit acheter le préservatif que mon petit ami et moi allons utiliser dans nos ébats. Nous gardons notre argent pour profiter du temps que nous allons passer ensemble, mais les revenus de mon mari financent notre riche mode de vie. Je lui ai toujours demandé d’acheter la taille « extra large », celle dont mon petit copain bien monté à besoin.
Je crois que cela doit faire 4 mois que mon mari n’a pas eu d’orgasme. Il souffre, je peux le dire. De mon coté, je profite bien de la vie avec mon petit ami. J’adore jouer les salopes, excitante, humiliante et dure avec mon mari. Il supporte plus mal l'interdiction d'adoration de mes bottes que l'interdit d’orgasme. Mais il m’a dit une chose: il m’aime. Et je l’aime.
 
Réponse:
 
Quelle dynamique intéressante. Alors interdire le sexe à votre mari n’est pas suffisant pour votre nature dominante, alors vous avez décidé de lui dénier le droit au fétichisme, ce qu’il aime encore plus que le sexe ? A l’évidence, frustrer votre mari développe votre nature dominante et sa nature soumise. C’est risqué, mais vous devez connaître votre mari mieux que personne.
Qu’est-ce qui développe sa soumission? Etre frustré ou son fétichisme des bottes ? Si c’est le fétichisme, alors votre interdit pourrait avoir de mauvais résultats, car il pourrait se démotiver. Une femme sage utilise le fétichisme de son mari contre lui, ce que vous avez fait quand vous lui avez permis de devenir votre mari cocu. Maintenant, si le fait d’être frustré de son fétichisme l’amène dans le sous-espace, votre technique pourrait en faire un meilleur soumis.
Cela dépend donc de ce qui développe sa nature soumise. Son fétichisme des bottes ou l’interdiction de ce fétichisme ? Etre humilié ? Etre traité cruellement par la femme qu’il aime ? Laissez toujours la porte de la communication ouverte et explorez avec lui ses désirs de soumission en détail. Puis faites-moi savoir ce que vous trouverez. Une chose est certaine, vous avez des tendances réellement sadiques...
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