le blog suprematiefeminine

Je tiens tout d’abord à adresser mes respects à toutes les maîtresses du site.

Je vous écrits pour vous faire part de l’opinion d’un homme de 30 ans sur la cage de chasteté.

Si je le fais c’est pour faire comprendre comment fonctionne un homme à ceux qui ne le savent pas.

J’ai à peu près 30 ans et comme tous les hommes j’ai des pulsions sexuelles (je ne sais pas quoi cela est du sans doute aux hormones). Ces pulsations se traduit chez moi par un incroyable désir d’être humilié de servir une femme (la aussi je ne sais pas à quoi c’est dut).

Je ferais n’importe quoi pour servir une femme, image courante mais qui est vrai mon sexe contrôle mon cerveau.

Une femme qui a compris cela pourra me faire ce qu’elle veut mais voilà une fois que j’ai éjaculé ma raison revient. Je me sens un peu coupable, j’ai envi de faire ce que je veux, je ne suis plus le même homme. Cela peut paraître incroyable mais les hommes ont deux caractères.

Si vous avez compris cela, faite en sorte que la partie raison de l’homme soit bloquée et pour cela il existe des tas de façons comme l’explique le site (la frustration, une cage etc etc)

 La l’homme sera votre esclave 24h sur 24h et non pas un coup de temps en temps. Son sexe prendra place dans son cerveau à vie si je peux utiliser cette image.

Je suis un homme et je peux vous dire qu’on est heureux dans cet état, imaginez vous d’avoir un orgasme perpétuel.

Je voulais dévoiler mes sentiments et donc les sentiments des hommes pour une fois sans barrière. 

Merci Angus de votre sincérité. Ce témoignage est très parlant, car il est très révélateur de la façon dont fonctionne les hommes soumis. Elise Sutton les nomme les « mâles » et ce n’est pas pour rien : Elle a bien saisit qu'en effet comme le dicton populaire le dit si bien : « Ils fonctionne avec leur sexe à la place du cerveau ».

Bien sur c’est un raccourcis réducteur, mais pas tant que cela.

Un homme s’il est maintenu frustré par une femme dominante, ressent des pulsions sexuelles croissantes et comme le dit Angus finalement très agréables car ils vivent un peu un « orgasme perpétuel ». Plusieurs témoignages assertent le fait qu'il est bien plus agréable pour eux d’être maintenu vraiment frustré que d’avoir une jouissance souvent rapide chez eux, et qui de surcroit ensuite les frustre par bien des manières.

Pour les femmes vous avez compris que la frustration est la première des choses à faire pour rendre votre homme, votre ‘mâle’, plus soumis, plus attentif à vous, plus amoureux et plus heureux en définitive.

Pour cela rien de mieux qu'une cage de chasteté dont vous seule détenez la clef. Je conseille une cage pour qu'elle soit portée en permanence, car bien évidemment sinon elle perd tout son intérêt.

Alors investissez un peu plus de 100 € pour une CB et vous verrez votre homme devenir un mâle tout docile et heureux de l’être.

Certaine dominante ont quelques scrupules à frustrer ainsi leur soumis, et elles ont bien tord. Ils en sont heureux, car non seulement vous leur ferez vivre un fantasme que tant de soumis désirent, mais ils apprécieront la sensation que cela provoque.

Sensation physique de sentir une frustration délicieuse et croissante, mais aussi sensation mentale de sentir sur leur corps une matérialisation de leur appartenance à leur maitresse.

C’est un beau présent que vous leur ferez, et vous en tirerez vous-même tant d’avantages. Alors c’est une pratique gagnant / gagnant qui pour moi est une des premières chose à faire pour une maitresse qui débute.

Bien sur il leur faudra quelques jours d’adaptation, voir quelques semaines, le temps de trouver le bon réglage. Quelques fois ils auront mal en raison de la trop grand proximité de la cage avec leur bourses. Ce qui oblige la domina a acheter des poids ou un ‘ball stretcher’ (un anneau de fer, disponible à Démonia ou sur le net) afin d’étirer un peu la peau afin que les bourses se retrouve un tantinet plus basse.

N’ayez pas peur le corps s’adapte très bien et il en sera si heureux, car c’est quasiment toujours eux qui réclame la cage au départ.

N’ayez pas peur non plus de la lui faire porter en permanence. Bien sûr vous pouvez être douce et suivre les recommandations d’Elise Sutton en la mettant quelque jours, en l’ôtant, puis en la remettant toujours un peu plus, jusqu’à atteindre le temps qu'il vous plaira. Ainsi il ne jouira qu'avec votre permission.

Rien n’empêche pour les gourmande de la lui enlever, le temps d’utiliser notre ‘jouet sexuel’ pour notre plaisir, avec bien sûr interdiction pour lui d’avoir une jouissance.

Alors la question qui se pose est : combien de temps puisse le laisser sans jouir ? Tout un débat existe sur cela. Elise préconise une durée maximum de 2 à 3 mois. Ma conviction est que le corps de l’homme se débarrasse de lui même par des écoulements nocturne de son trop plein, et que finalement vous pouvez le garder le temps qu'il vous plaira.

Pour les maitresses très prudentes, sachez qu'une libération mensuelle ou tous les mois et demi est très suffisante. Pour les autres, tentez plus. Et pourquoi ne pas faire un challenge avec votre soumis, qu'il dépasse son temps record en échange d’une récompense qui lui plait. On peut toujours motiver nos petits adorateurs.

Pour augmenter la frustration je recommande une masturbation régulière devant vous. Rien de plus simple. Enlevez lui la cage (ne serai ce que pour la nettoyer régulièrement) et faites le se masturber devant vous dans la position qu'il vous plaira. Laissez-lui une ou deux minutes pour cela (Vous pouvez aussi vous amuser à réduire le temps au fur et à mesure de son éducation), avant de la lui remettre.

Certaines maitresses préfèrent que le soumis mette et enlève sa cage, Je pense qu'il est mieux de le faire soi-même pour leur faire comprendre, qui est propriétaire dans le faits, de la partie qu'ils jugent si importante de leur anatomie.

Et oui, c’est aussi leur faire comprendre que leur sexe ne vous est plus d’utilité et que vous ne dépendez en rien d’eux. Que vous vous servez d’eux comme il vous plait, comme vous pouvez vous servir d’un god à la place de leur appendice. C’est une pratique très mentale qui apprend au soumis, sa place et surtout que tout se mérite, et c’est bien agréable.

Là encore la liberté pour la dominante est totale. Certaines maitresses se servent régulièrement de leur soumis et de son sexe, d’autres préfèrent leur langue et gardent pour des moments exceptionnels l’ultime récompense pour le soumis que de pouvoir pénétrer sa maitresse.

C’est une frustration mentale très forte, et qui donne des résultats particulièrement plaisant pour le soumis, car lorsqu’il a cet honneur, il considère à raison cela comme un présent infiniment précieux, et non plus un ‘du’ comme cela l’était dans les mariages à l’époque de nos parents avec leur fameux ‘devoir conjugal’.

Certaines maitresse plus rares, prennent aussi un amant pour avoir ces plaisirs là. C’est une possibilité très agréable que leur donne ce mode de vie. Mais c’est un autre sujet.

1- Les hommes frustrés aiment à être humilié et à servir ?. Je suis persuadée que la frustration ne fait qu'exacerber les désirs de soumission, et que ces désirs prennent bien des formes chez les soumis. Les plus courant sont ceux de l’humiliation et de la punition.

2- Ils désirent perdre le contrôle et s’en remettre à LA Femme, adorer cet être si beau et si désirable. Ils désirent que celle-ci matérialise leurs fantasmes ainsi, ce qui n’est somme toute qu'une expression sexuée de retourner dans l’état de dépendance, d’amour et de protection qu'ils ont vécu étant tout petits.

Pourquoi rêvent’ ils qu'une femme puissent faire d’eux ce qu'elle désire ?. Pour la même raison. Ils sont aussi bien maladroit à savoir comment faire plaisir à la femme qu'ils convoitent. Ils aimeraient que tout soit « simple et tracé », que celle-ci leur dise exactement quoi et comment faire pour la rendre heureuse, sans qu'ils aient à anticiper ou à se poser de question, tout en ayant l’assurance qu’elle les aimera en retour.

C’est assez paradoxal d’ailleurs, que ce désir profond de se donner pour être aimé se manifeste parfois par le fantasme que leur maitresse les traite comme « un chien » et les humilie, voir leur montre qu'ils ne sont rien et qu'elle ne les aime pas.

Je dirai pour illustrer ; « Frappe-moi et ainsi je saurai que tu m’aimes, car tu t’intéresseras à moi ».

C’est flagrant d’ailleurs quand on lit les annonces si maladroites des soumis ; « cherche une Maitresse qui s’occupera de moi et qui saura me dresser pour faire de moi un esclave ».

C’est juste l’expression de ce désir d’être aimé vraiment pour eux même, malgré la honte qu'ils ressentent de leur soumission, et même finalement qu'on les aime pour leur soumission.

Ce qui est évident pour une maitresse expérimenté qui pour rien au monde ne voudrait autre chose qu'un homme soumis qui est bien plus agréable à vivre qu'un homme standard.

Bizarre me direz vous. Mais non. Au même titre qu'il nous faut à nous du temps pour aller au-delà de nos tabous sur la domination et la soumission, il faut comprendre que l’éducation a eu aussi des effets sur eux. Elle a aussi ancré en eux cette image qu'elle leur a donnée, cette image que la société projette encore si souvent, d’un homme « viril, entreprenant et protecteur ». Alors qu'ils ne ressentent pas forcement tout cela en eux, loin de là.

Qu'ils veuillent qu'on les aime pour ce qu'ils sont est légitime. Cela leur enlève la peur d’être rejeté, cela les aide et les rassure et simplifie leur tâche. Et oui, en les battant, en les frustrant, vous leur montrez que vous les aimer. Car à leur yeux vous vous intéressez à leur vrai moi, et vous les aimer pour cela. En les frustrant vous faites de même.

Et puis, vous verrez que ces hommes se transforment positivement, et deviennent des « hommes bien », car la frustration leur redonnent ce coté chevaliers servants que nous aimons toutes en eux, celui que les hommes ont les premiers temps d’une relation, et qu'’ils oublient si vite une fois la « conquête » faite.

Apprenons leur ainsi, en utilisant leurs pulsions sexuelles de cette façon, que rien n’est jamais acquis, et qu'ils doivent toujours nous mériter. Ils en seront les premiers heureux et vous combleront en retour !

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