le blog suprematiefeminine
Bonjour, Je vous envoie la suite de mon expérience. Vous aviez placer la première parti dans "FAIRE UN ENFANT" dans "FEMDOM ET LA PARTICPATION DES MEMBRES DE LA FAMILLE"
Je suis enceinte ! On a longuement réfléchi à une insémination artificielle, j'en ai discuté avec ma gynéco. Elle m'a retiré mon stérilet. Je lui ai fait part de mon désir d'avoir un enfant par insémination artificielle. Elle n'en comprenait pas la raison vu que je venais de porter un stérilet. Je n'ai pas osé insister. Et puis, c'était inutile, car elle m'a clairement expliqué qu'il fallait être accepté par une équipe médicale, et que mon port récent d'un stérilet compromettait toute demande. Mon amant a dû remettre des préservatifs. Et puis, aux vacances de la Toussaint, je suis partie une dizaine de jours à Barcelone. Mon mari travaillait. Je n'avais pas vu mon amant depuis une semaine, il était en séminaire, et j'avoue que cette ville me faisait de l'effet, ma libido était exacerbée. Je résidais chez des amis espagnols. Un couple fidèle, très conventionnel, voire conservateur... Je m'amusais à titiller le mari de mon amie, et puis l'idée m'est venu de le choisir comme géniteur. J'ai immédiatement téléphoné à mon mari, il était très tard, je l'ai réveillé. Je lui ai fait part de mon désir. Il a très peu hésité. Le lendemain, le mari de mon amie jouissait en moi. Il avait un sexe musclé. Je ne m'y connais peu en sexe d'homme, mais le sien était différent. Pas énorme, mais une fois en moi, dès le premier contact avec mon utérus, j'étais dans les affres de la jouissance... Il avait une fougue diabolique. Je me suis peu attachée à lui pendant ce séjour, juste à sa queue.
Je suis rentrée, j'étais enceinte, il n'en sera jamais rien ...Nous avons décidé avec mon mari, de garder ça pour nous, c'est pourquoi je vous en fais part ...Mon mari est encore plus précautionneux. Il était soumis et très attentif, maintenant, j'ai un futur papa soumis. Il ne porte plus de ceinture de chasteté. Elle n'est plus utile.
Depuis, que je suis enceinte, ma libido s'est décuplée. J'ai tout le temps envie. Mon psy adoré en profite, mais étrangement, mon mari aussi. J'ai toujours beaucoup de plaisir avec mon psy, et sans simuler, j'en est très peu avec mon mari.
Pourquoi le laisser me pénétrer alors ? Je ne sais pas, j'en ai juste envie de mon mari. Mon psy peut jouir en moi, il n'a plus besoin de préservatif.
Mon mari n'y est pas autoriser. Il me pénètre frénétiquement, et se retire avant de jouir sur mon ventre qui légèrement arrondi. J'adore le regarder lécher son sperme. Je le trouve touchant. Je ne peux pas l'expliquer. J'ai envie de lui parler. Il lèche délicatement, et je lui dis qu'il sera un bon père.
J'aime me dire que mon mari n'est pas le père de cet enfant.
J'ai demandé à mon psy de me sodomiser. C'est pour moi, une expérience très récente. Lors de ses incursions dans mes entrailles, mon psy rencontre de nouvelle parois, de nouveaux angles, de nouvelles fins. J'ai envie de crier "Arrête !", cette voix de l'instinct de conservation résonne dans ma tête dès que je sens une résistance. Mais, ce mot ne franchi pas mes lèvres, cette douleur me fait perdre ma fierté. Il perfore mon armure, je redeviens petite fille. Etrange sensation qui me rapproche de mon soumis. J'ai, d'ailleurs, très envie de le faire sodomiser par un homme. Peut-être le féminiser ? Je suis en train de découvrir, une nouvelle forme de domination. C'est très récent, je n'ai pas de recul, mais je suis heureuse. Je vis une situation étrange, je deviens de plus en plus soumise à mon amant, et je suis devenue une déesse pour mon mari.
Qu'en pensez-vous ? Bien à vous.Elsa
Réponse Ms.Dana :
Elsa.
On peut dire oui que vous vivez une situation très étrange et particulière. Situation que vous avez voulu. Etrange et pas sans conséquence.
Vous aimez jouer avec le feu, et je me demande un peu vos motivations. Je ne pourrai faire une analyse, votre ami psy aurait peut être son idée.
Sur le fond je reste l’esprit ouvert et ne peut rien reprocher de votre relation avec un amant tant que vous le faite dans le but de renforcer la soumission de votre mari, et donc pour votre couple. Votre mari semble bien le vivre et vous aussi.
N’oubliez pas cependant de l’inclure vraiment dans cette démarche qui doit être faite je le répète non seulement pour votre plaisir personnel, mais AUSSI dans le cadre du renforcement de soumission de votre compagnon et si vous en avez parlé préalablement ...
Le fait que vous lui fassiez mettre un préservatif à lui et pas à votre amant montre que vous désirez l’humilier et le soumettre. C’est déjà ca.
Mais, je crois que la pratique de l’adultère nécessite un couple solide, et beaucoup d’attention de la domina envers son soumis, vers lequel paradoxalement cette pratique doit être tournée. Même si vous en avez aussi une part de plaisir.
En résumé vous avec du plaisir physique avec votre amant, et un échange d’énergie de D&s avec votre mari, comme du sexe mental. Vous semblez l’avoir intuitivement comprit en le faisant partager après vos rencontre avec votre amant.
Mais est ce vraiment toujours le cas ? … à en juger par votre escapade espagnole, j’ai quelques doutes. Alors je dirai : repensez bien tout cela pour que la situation ne vous échappe pas un jour.
Mais que vous soyez devenu une Déesse pour votre mari, je n’en doute pas, car le fait d’avoir un amant provoque souvent cela sur le psyché des hommes soumis.
Que vous vouliez être soumise à votre amant dans le lit, pourquoi pas non plus. Chacune a la sexualité qu'elle désire. Et je ne vois pas que vous soyez soumise dans le quotidien. Une domina peut avoir parfois de telles envies qu’elle ne peut évidement vivre aisément avec son soumis. Les dualités de l’être sont assez fréquentes. Du moment que vous en êtes heureuse pour moi tout va bien.
Mais si votre mari est au courant de cette particularité, ne pensez vous pas qu’il pourrait avoir une image différente de sa Déesse dominante ?
Le psyché des soumis est tellement complexe, qu'il peut certes en être excité et se sentir encore plus humilié que celle qui le domine se soumette à un autre. Si là encore vous n’oubliez pas de partager cela avec lui d’une façon ou d’une autre et qu'’il réagit positivement par de l’excitation et un surcroit de soumission, alors oui, pourquoi pas. Chaque dominante est libre de sa sexualité.
Mais … il y a une chose qui m’échappe totalement, c’est d’avoir voulu un enfant d’un inconnu. Avez vous pensé une seconde à cet enfant ? Imaginez qu’il l’apprenne, car il y a fort à parier qu'’un jour ou l’autre il le saura ; comment le vivra t’il ?
Même si votre mari l’a reconnu, comment gèrera t ’il le fait que ce ne soit pas son père naturel. Et que vous l’ayez voulu ainsi ?
Avoir un enfant est pour moi une façon de concrétiser un amour. Mais je crois que là nous sortons vraiment du cadre de la psychologie de la D&s. Et qu’il faut chercher en votre passé, un abandon peut être ou une reproduction, une absence. Mais je ne peux en ce domaine vous conseiller.
Je vous souhaite d’être heureuse dans cette vie que vous vous faites.
Ton parcours semble en effet atypique ma chère Elda. Afin de ne pas interférer sur ta conduite et tes sentiments, je ne porterai donc aucun jugement.
Mais permets-moi d'évoquer une chose à laquelle Dana ne répond pas clairement : Ton envie de faire sodomiser ton mari par un homme et ton questionnement sur sa féminisation. A ce stade, je ne comprends pas que tu ne l'ais pas encore féminisé ni sodomisé toi-même.
L'envie d'être soumis à une femme amène toujours à l'inversion des rôles sexuels. En chaque soumis, il existe un désir inconscient d'être possédé à l'image d'une femme. A priori, c'est le cas de ton mari puisque tu lui fais lêcher le fruit de ses jouissances. C'est ce transfert des rôlesmasculin/féminin qui le conduit à se laisser sodomiser une fois féminisée, d'abord par sa maitresse puis par un homme qu'elle lui choisira pour la circonstance. Cela fait partie de nos fantasmes que de voir notre soumis sodomisé par un homme viril. Peut-être que tu penses à ton psy...
Maîtresse Dana,
Très respectueusement, je voudrais Vous signaler une faute d'écriture qui s'est glissée dans Votre réponse. En effet on n'écrit pas "comment le vivra t’il ? comment gèrera t ’il ..." mais "comment le vivra-t-il ? comment gèrera-t-il ...". C'est une faute de plus en plus courante, certes, mais cela reste une faute.
En toute soumission, Odomar.