le blog suprematiefeminine


Bonjour Maitresses, j'admire votre travail, ca me fait toujours plaisir de voir que d'autre personne, tout comme moi, crois en la suprématie féminine. Je suis un jeune étudiant de 20 ans et j'ai eu l'occasion de commencer une relation de soumission en tant que cyber slave. Je recherchai un moyen de vivre une telle relation en réelle mais c'est difficile d'aboutir.

En attendant entretenir cette relation me permet de "m'entrainer" et d'affirmer mes gouts pour la domination féminine. Pour le moment j'en suis content mais j'espère un jour vivre une relation réelle de soumission. J'espère qu'un jour cela se réalisera et que je pourrai satisfaire une Maitresse au quotidien, je ne perd pas espoir vu mon âge, cela viendra. En attendant à moi de me préparer au mieux pour servir le jour J. Cependant j'ai un arrière gout amer de frustration et de rôle non accompli. Vu mon intérêt pour la suprématie féminine j'aimerai œuvrer pour ces idées et faire quelque chose de concret pour cette philosophie. C'est pour cela que je me permet de vous offrir de mon temps et de mes compétences, j'aimerai bien vous aidez... Merci Maitresse de m'avoir lu et j'espère que je pourrai vous aider, n'hésitez pas a me demander plus de détails si vous êtes intéressé par mon aide.

 
Réponse Ms. Dana :  

Oui à ton âge on a tout le temps et c’est bien que tu en sois conscient, même si les relations virtuelles je m’en méfie, car elles sont souvent fausses.

Comme tu le dis, tu restes frustré. Alors, comment te rendre utile et participer au développement de ce mode de vie : Et bien c’est tout simple. Trouves une douce amie, plaisez-vous, et sers la comme une Reine. Ouvres-toi à elle et ainsi tu aura montré une porte à une nouvelle femme vers cet univers que nous méritons toutes.

Le "Forum" doit te permettre de faire des connaissances, de poser des questions, et surtout de comprendre plus encore ce qu'est la soumission. Car la soumission se vit, mais la façon de se soumettre bien s'apprend et se comprend.
Et c'est là d'années dont tu auras besoins.
Il te permettra aussi de passer une annonce, et ainsi de te mettre à la disposition de dominantes.

Pour nous aider directement, tu dois soit être un cador en orthographe, car nous en aurions bien besoin, soit connaitre tres bien l'anglais pour nous assister dans nos traductions. Si tel est le cas, va sur le forum et laisse un MP à LO.

A bientôt peut être.

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Jeu 2 fév 2006 1 commentaire

A propos du complexe maso/sadique


Ceci vous confortera peut-être dans la bonne voie de votre action qui est à mon sens une des meilleurs oeuvre que l'on puisse faire pour "le couple" homme femmme depuis si longtemps .


Un grand merci


(propos et extraits à remettre dans le contexte de l'époque)


Entre chien et loup ferez vous la différence?


d'après R. Schwaller de Lubicz "Adam l'homme rouge" (Suhalia 21 Aout 1926)


Le sens de l'excès


C'est le sens de l'excès qui fait ce qu'on appelle les génies, les inventeurs, les expérimentateurs hardis des premières inventions, les héros de la guerre, tous les grands chefs, tous les mystiques en général".



Mais c'est aussi le sens de l'excès sans exutoire, qui provoque les cas les plus graves et les plus dangereux, celui du criminel sadique, il faut voir les motifs qui peuvent pousser un homme à cette extrémité.


"La particularité de l'érotisme d'un être, c'est à dire ce fait par lequel il est plus spécialement touché érotiquement (ce qui peut être produit par n'importe quoi), devient ce que j'appelle "le point érotique" C'est dans le sens mathématique, un point, un croisement de lignes de sa conscience morale, un point spécial qui l'affecte. La femme, qui pourrait être, dans son apparence, appelée le point érotique le plus universel, n'entre pas dans cette définition, car jamais elle n'agit érotiquement dans sa totalité d'être féminin. Quelque chose en elle, ou émanant d'elle plus particulièrement, peut être un point érotique pour l'homme. Toutefois, quel que soit l'énorme intérêt pour tout homme de découvrir en lui ce "point", afin de déterminer le mécanisme de son érotique, il faut considérer l'existence d'un seul point érotique comme nuisible, pouvant facilement par son exacerbation mener à des états pathologiques détruisant la vie au lieu de l'exalter. Dans la plupart des cas il s'agit d'états pathologiques contre lesquels il n'y a rien à faire. Le spasme génésique est ici produit par le fait de voir le sang (ou toute autre emprise), jusqu'à accomplir le coït dans la plaît faite à la victime. D'autres cas, certainement guérissables, découlent de cette obsession du coït avec une femme inerte. C'est plus souvent qu'on ne pense la cause du crime. Le troisième motif du meurtre peut résider dans le fait de torturer la victime pendant ou immédiatement après l'orgasme. Ceci est un phénomène psychologique très fréquent, et, sous une forme atténuée, commun à tous les hommes. C'est une sorte de colère contre la femme qui a provoqué l'affaiblissement, une vengeance du Moi contre cette puissance qui attire pour diminuer la force de "l'adversaire", et aussi une réaction du sens de la honte, ce premier sens de la défense morale.

Ces deux cas, (le premier je le classe inguérissable), ont pour première cause l'attitude de la femme. Si celle-ci savait se prêter entièrement à la fantaisie de l'homme, et que l'homme soit assez "cultivé" pour pouvoir s'exprimer, le deuxième cas (obtenir cette inertie par la violence) n'aurait plus de raison d'être. Si la femme, au lieu de se poser en Moi, vis-à-vis de l'homme, savait chercher comme lui, cet "affaiblissement" dans une rage érotique et en même temps que lui, la tendance de cette vengeance étrange disparaîtrait, et en beaucoup de cas ne deviendrait pas criminelle; ainsi le troisième cas n'aurait plus de raison d'être".




"La prostituée s'offre à l'homme comme une chose inerte et méfiante; la femme s'offre à son époux comme une victime, l'amante s'offre à son amant comme une tigresse possessive. Ce sont trois attitude fausses. Que la prostituée ne se modifie pas ? C'est une question de métier, elle aurait besoin d'un enseignement philosophique; mais que la femme et l'amante ne se modifie pas : c'est une question d'ignorance et d'indifférence que rien n'excuse.


Ces femmes jouent un rôle si important dans la vie, qu'elles devraient s'éduquer à tout prix.


Les cas de criminalité dont j'ai parlé ne doivent servir que d'exemples pour illustrer ma pensée. Pour que la femme puisse atteindre cette conscience de l'attitude juste à avoir, afin d'éviter chez l'homme l'éclosion de pensées criminelles, il faudrait qu'elle-même sache pousser l'érotique à un excès tel que son attitude ne soit plus un simulacre, mais une réponse à une impulsion vers l'infini, en attendant que pour elle aussi naisse la conscience de l'Eternité.


On délimite beaucoup trop facilement les tendances érotiques en homosexuelles, fétichistes, masochistes, et sadiques. Ces tendances sont des classifications globales, et chacune représente une multitude de particularités, difficiles quelquefois à situer dans l'une ou l'autre catégorie. D'ailleurs, à mon avis, il importe peu de classer en catégories définies des tendances, dont la nature affecte principalement le sens moral avec ses instincts de défense. Il y a ainsi dans le sadisme beaucoup de chose dont l'action et l'effet ne sont nullement criminels. Mais il y a en l'être humain un sens de la vie qui peut être malade; alors ces effets peuvent devenir criminels: autrement dit toute action qui va contre le sens de la vie est criminelle. D'ailleurs les crimes "sadiques" sont toujours la conséquence de l'exaltation d'un "point érotique"; c'est pourquoi j'ai dit que cet unique point érotique était à considérer comme dangereux en tout sens. Or, une chose cesse généralement d'être dangereuse lorsqu'elle peut être envisagé clairement, sans fausse pudeur"


aor - le 24/12/2007 à 22h12