le blog suprematiefeminine

De Oscar H :

Maîtresse, je voudrais tout d'abord Vous adresser toutes mes félicitations pour Votre merveilleux site. J'ai 58 ans, et je suis convaincu depuis longtemps de la supériorité des Femmes, et prêt à tout faire pour que triomphe la Suprématie féminine.
Pour ma part je suis veuf, et je n'avais pas eu, du temps de mon mariage, la possibilité d'expérimenter vos théories. Aujourd'hui, c'est mon vœu le plus cher. Cependant, étant donné mon âge et mes responsabilités, c'est devenu très difficile, me semble-t-il. En effet, les Femmes que je suis amené à rencontrer sont presque toujours plus jeunes que moi et dans une position d'infériorité socialement.
Je vais Vous donner un exemple qui me tracasse. Je dirige depuis quelques années une petite entreprise qui a une douzaine d'employés, dont les 3/4 sont des Femmes, et la plupart des jeunes Femmes. L'année dernière, j'ai engagé pour un poste de relations publiques une jeune fille de 23 ans - appelons-la Karine. C'est une jolie brune, mince, dont j'avoue que je suis tombé amoureux. Bien sûr, je ne lui en ai jamais parlé, d'autant que mon sentiment mêle complètement l'amour, le désir et la soumission.
Or pour moi c'est le monde à l'envers ! Karine m'appelle "Monsieur" et me vouvoie alors que je rêve de l'appeler "Mademoiselle" ou "Maîtresse", et de m'agenouiller devant elle pour la saluer. Je pense qu'elle a un petit ami et je fantasme sur leur relation, j'imagine (comme souvent elle porte des bottes de cuir fin) qu'elle le fait marcher à la cravache, et je voudrais être à sa place. En attendant, je ne sais comment me comporter devant elle, comment lui montrer mon respect, ma soumission. Dès que j'en fais un peu trop, je crains que les autres employées ne s'en aperçoivent et rient de moi sous cape. Que faire ? C'est la quadrature du cercle.....

  Réponse de Ms.Dana :  

Oscar, Vous semblez vous perdre dans une situation emplie de présupposés, où vous assimiler la soumission envers une femme aux rapports d’entreprise. Pourquoi mélanger le travail et la vie privée si ce n’est par choix ?

Commençons par le début : C’est tout à votre honneur de vouloir vous soumettre à une jeune femme, ou tout au moins de lui signifier que vous voudriez l’être.

Mais déjà vous devez être conscient que par envie de soumission vous risquez de la mettre dans une situation qu’elle aurait du mal à vivre. Encore faut’ il qu’elle le désire et qu’elle ait conscience vu son jeune âge que la domination telle que vous la souhaiter existe. Et de plus peut être à t’elle déjà une relation par ailleurs.

Supposons qu’il n’en soit rien, supposons de plus que la vie lui ait déjà offert suffisamment d’espace pour accepter d’endosser ce rôle et de le vivre. Supposons que d’entendre son patron lui annoncer qu’il souhaite se soumettre à Elle puisse lui convenir.

Alors comment faire en ce cas, pour briser la fameuse quadrature du cercle que vous évoquer. Comme je le disais pourquoi mélanger ? Rien ne vous empêche de créer une situation de rencontre en extérieur de l’entreprise (comme un diner de travail), de faire ainsi sa connaissance plus personnelle sur sa vie privée et avoir les validations de toutes les suppositions que nous avons faites précédemment. Si celles ci vous paraissent correspondre au fait qu’elle puisse être en situation d’accepter vos confidences très  personnelles, alors j’aurai tendance à croire que vous pourriez lui dire à mots couverts, (et sous couvert de promesse de n’en rien divulguer), déjà votre désir d’elle et d’en faire votre reine.
Il est vrai que cela peut paraître délicat, mais après tout, il est des moments dans la vie où il faut choisir. Et il faut s’en donner les moyens. Si vous faites ce choix, vous risquez si elle ne répond pas positivement qu’elle ait une opinion de vous certes totalement changée. Mais que risquez-vous de plus ?

Déjà elle risque d’être flattée, les femmes aiment la courtoisie et les images qui les valorisent. De plus, elle sait très bien que de divulguer quoi que ce soit risquerait de compromettre sa carrière. Donc il est peu probable que si vous pratiquez ainsi vous vous retrouviez dans la situation que vous évoquer.

Si d’aventure, elle acceptait ce rôle au lieu de vous éconduire poliment, ce que je vous souhaite bien sur, il faut que vous soyez conscient que ses motivations ne correspondraient alors pas nécessairement à celles que vous souhaitez. Surtout si elle n’a jamais dominé, et n’a donc pas conscience de la valeur du don que vous lui offrez et de sa symbolique forte. Ses motivations pourraient être plus prosaïques, que de se dire qu’elle n’a pas trop le choix d’une part que d’accepter, ou / et que d’en voir là tout un avantage qu’elle pourrait avoir pour sa carrière et pour le coté matériel que cela lui procurerait.
L’écart d’âge est là, vous en avez conscience, et il sera d’autant plus flagrant pour elle. Il faut bien comprendre qu’une femme a besoin d’éprouver du désir pour son soumis, que celui ci lui apporte quelque chose qu’elle recherche et qui lui plait. Il faut que son soumis lui plaise et qu’il satisfasse à un besoin fort, que ce soit le besoin d’admiration satisfait par le savoir ou la position sociale, le besoin d’amour, affectif ou sexuel, la sécurité ou tout autre désir personnel propre à chacune d’entre nous.

Mais dans le fond vous ne risquez rien de bien méchant si elle refuse. Et si elle accepte vous serez aux anges, mais vous devez savoir que cela aura un prix pour vous ; pas nécessairement un prix financier, vous me comprenez bien. Dans ce cas, je vous conseille cependant d’éviter toute manifestation de soumission visible dans le cadre de votre travail, même si vous seriez tenue au plus grand respect la concernant, et à obéir à toutes ses volontés.

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Mar 28 mar 2006 Aucun commentaire