le blog suprematiefeminine
De Henri T:
Chère Maîtresse Sutton, quand on lit votre site on se demande pourquoi tant de gens désirent à se soumettre à une femme. Mon histoire peut aider à comprendre cela. J’ai compris mon désir de soumission assez tard en ma vie, à l’université où j’ai rencontré une femme qui a influencé ma vie. Elle avait plus d’expérience que moi. Notre relation débuta de manière assez ordinaire sans que rien d’étrange ne se passe. Parfois elle pinçait mes tétons, mais jamais fort, ou jouait avec mes bourses, mais rien d’autre en fait. Cependant elle me toucha de moins en moins. Avec le temps il y eut de moins en moins de pénétration et je dus lui donner du plaisir de plus en plus souvent avec ma langue. Elle ignora mon membre. Elle guidait ma tête entres ses jambes. Je ne me suis jamais plaint, mais je me sentais le droit absolu d’embrasser son sexe quand elle écartait ses cuisses. J’en avais tellement envie… Elle accepta ma langue ardente. Elle ne m’expliqua pas comment je devais l’exciter car j’apprenais à interpréter le moindre de ses mouvements et soupirs. Je suis encore étonné de constater à quel point elle fut discrète, tremblant silencieusement et si légèrement quand elle jouissait. Elle le faisait toujours comme une lady. Après je pouvais laisser ma tête sur sa poitrine et me masturber. Une fois, elle admit qu’elle aimait mon savoir faire. Je suis peut être fou, mais je suis fier que ma langue puisse lui donner un tel plaisir. J’ai passé de plus en plus de temps à l’attendre pour qu’elle vienne à la maison, passé de plus en plus de temps à masser ses pieds après une longue journée, et à attendre toujours plus la moindre de ses indications pour savoir si je pouvais la servir oralement. Un jour elle me tendit une enveloppe et me demanda de suivre les instructions mentionnées à l'intérieur. Elle avait pris un rendez-vous avec une dominatrice professionnelle.
Ses instructions étaient très spécifiques et la dominatrice les suivit scrupuleusement. Je revins tard à la maison. Mes fesses étaient rouges, endolories. Elle m’ordonna de me déshabiller et contempla silencieusement les traces sur mes fesses. Elle me fit pencher et m’écarta les fesses pour constater que la dominatrice avait vraiment profité de ma vulnérabilité quand j’étais sur le pilori.
Elle me fit relever et commença à frapper mon membre, ce qu’elle n’avait pas fait de longtemps. Pas besoin de dire que cela me fit bander. Quand je me rhabillai, elle me dit que c’était notre dernière rencontre. Elle partait pour une autre université. Puis elle me congédia. J’ai été comblé par elle, par son sexe, et même par sa permission de me prendre, et je me sentis très seul. Il m’a fallu plusieurs jours pour m’en remettre. La vie continuait. Elle était partie. Je retournai à Amsterdam. Je ne l’ai jamais revue depuis mais je pense encore à elle. La sérénité que ma servitude m’a donnée me manque tout comme son gout à elle.
Réponse d’Elise: Henri vous avez eu le privilège de servir une belle femme. On vous a donné un cadeau spécial et même s’il ne dura qu’une année, il reste encore en votre esprit et votre âme. Chérissez-le. Cette femme sans l’ombre d’un doute aimait vous dominer d’une manière sensuelle. Elle vous a apprit la beauté de la femme, et comment adorer la femme en mettant de coté votre propre plaisir pour ne penser qu’au sien. Son désir que vous alliez voir une domina professionnelle était probablement ancré en elle, comme son besoin de vous apprendre l’autorité féminine avant qu’elle mette fin à la relation avec vous. Pour une raison ou pour une autre elle n’a pas désiré vous discipliner elle-même. Peut-être qu’elle ne voulait pas être physique avec vous ou qu’elle ne désirait pas que ce soit la dernière image que vous ayez d’elle. Mais quelle que soit la raison, elle voulait que vous expérimentiez sa domination de manière physique tout comme vous l’aviez expérimentée de manière mentale. Alors elle l’a fait faire par une dominatrice pour elle, et cela a scellé à jamais la domination qu’elle a sur votre psyché, et a affecté à jamais votre façon de voir le genre féminin. Je répète, vous avez eu un cadeau spécial et je vous remercie de l’avoir partagé avec moi. Vous honorez cette femme en partageant cette expérience d’une façon aussi humble et adoratrice.. RETOUR