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L'EDUCATION DU SOUMIS
VRAIMENT REEL
De Paul C :
Chère Maîtresse Sutton : Je suis un esclave depuis quelques années. Je suis la propriété de la plus belle et merveilleuse femme que j’aie jamais rencontrée. Elle est non seulement très belle et sexy, mais sa vraie beauté, sensualité est en elle-même. Pour décrire Maîtresse, les mots sont même inadéquats, mais je dirai beauté, sexy, avec de l’allure, forte, intelligente, joueuse, intense, sensuelle, attentionnée, aimante, en demande, sadique, compréhensive, spirituelle, charismatique, exotique, irrésistible et féminine ce qui me rend… vulnérable. Imaginez une femme avec autant de force, de pouvoir, de grâce et d’intelligence, et qui, de plus, a assez confiance en elle pour montrer à son esclave sa vulnérabilité. Je trouve que c’est un lien si puissant. Cela en fait une déesse, une Reine, qu'il faut protéger, à laquelle il faut se dévouer, qui ne doit pas être salie par des expériences mondaines, sauf si, bien sûr, elle le désire. Je suis tombé à genoux, amoureux d’elle, de son esprit, de son âme, de son corps. Elle me permet d’avoir l’honneur et le privilège de lui appartenir, de la servir, d’être une petite partie de sa vie glorieuse. Je suis, grâce à sa bénédiction, le plus heureux des esclaves du monde. Si cela ressemble à de la vantardise de mâle, ainsi soit-il, je ne trouve pas d’autre façon de dire sa gloire. Cela commença de manière assez innocente de ma part. Pourquoi dis-je cela ? Car je n’avais aucune idée de l’intensité et de la beauté de ce voyage. Ce que je faisais, je peux le décrire comme un jeu de rôles uniforme, un fantasme, un jeu fétichiste car il n’y avait aucune implication réelle, pas de sincère dévotion, pas d’accomplissement, aucune reddition. Rien à voir avec maintenant, rien même s’en approchant. Quand j’ai rencontré Maîtresse, elle m’a mis en garde, m'a dit que ce serait intense, que ma reddition et ma perte de contrôle seraient bien plus grands que je pouvais l’imaginer. J'acceptai. Sans comprendre la signification profonde de ce que je faisais. Je n’avais aucune chance. Son pouvoir, sa force, son contrôle vous tombent dessus. Je ne le sentais pas venir. Je ne pensais pas sentir mon pouvoir s’éloigner, mon contrôle s’évaporer et mon désir d’être prêt d’elle prendre possession de moi. Tout cela arriva d’un seul coup et me frappa, et j’ai pleuré avec bonheur et crainte. Cela arriva quand je me mis à genoux chez elle alors que j’étais sur le départ, un soir. Elle a capturé mon regard dans le sien et y a cherché mon âme. J’ai senti une porte s’ouvrir, une porte en mon esprit, une porte sur notre voyage, une porte vers un nouvel accomplissement et une nouvelle compréhension. Ce que je compris d’un coup, c'était que la Femme devant moi tenait ma vie, mon bonheur dans ses mains. Je lui avais complètement abandonné mon être. J’étais sans défense devant elle. Je n’avais aucun contrôle, Je fondais de soumission. Je pleurais de m’ouvrir ainsi, sans honte de mon besoin, de mon abandon, de ma vulnérabilité, de mon appartenance. Je réalisai que je n’étais plus le même. Que j'étais devenu propriété, bien, jouet, animal domestique, esclave. Ce qui plia devant elle, inondé de larmes d’amour, de dévotion, de perte de contrôle et de désir, était son garçon, son esclave, son chien. La porte s’ouvrit et l’émotion me submergea. Comment cela arriva ? Quand cela arriva ? Est-ce sa force ou mon abandon ? Il n’y avait plus rien que je ne pouvais lui refuser. Je ne pouvais plus contester en rien son autorité. Il n’y avait plus de désir personnel sauf un, l’impérissable, le persistant, immense désir de se voir autorisé à essayer de lui plaire. A mettre un sourire sur son visage, à faire que sa vie soit plus facile et douce, à l’adorer, lui obéir, lui appartenir. En lisant cela il semble que son garçon ait droit à beaucoup de désirs. Alors imaginez quel bonheur elle me donne. Comment maîtresse avait-elle fait cela ? A travers l’amour, une éducation attentive, la compréhension, la connaissance d’elle-même et de quel type de garçon elle avait besoin pour satisfaire ses désirs. Elle me façonna littéralement en un garçon qu’elle désirait avoir. Je recherchais une servitude sexuelle. A notre première discussion, maîtresse, qui est mariée, me dit qu'elle cherchait un travailleur, un garçon ayant un profond désir de servir. Une période, pas de négociation, pas d’espoir, pas de discussion. Comprends, accepte et fais-le dans la joie ou continue à chercher. Honnêtement, comme je le disais plus tôt, je ne comprenais pas vraiment. Je pensais que cela devait être un jeu. J’avais besoin de servitude sexuelle. J’ai eu un profond désir de servir une belle femme, mais j’avais besoin de plus. De sentir son pouvoir. Etre prêt d’elle serait suffisant pour un moment, jusqu'à ce que nous soyons fatigués du jeu. Elle a dû voir quelque chose en moi. Elle a dû comprendre qu'en me permettant le vrai bonheur de la servir, j’embrasserais ma vraie nature. Maîtresse me donna une chance de lui prouver cela. Elle a admis qu’elle avait des doutes me concernant. Nous en sourions aujourd’hui. Elle a admis aussi honnêtement qu'elle avait bien fait de me laisser ma chance. A présent je prends soin de sa voiture et enlève la neige qui la recouvre l’hiver en allant le

Dim 5 fév 2006
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