le blog suprematiefeminine
Q.Bonjour Elise, pouvez vous me donner des suggestions pour « discipliner » un male soumis ? Je sais que mon mari en a besoin et je veux que cette relation fonctionne. Merci beaucoup. A. Quand vous disciplinez un male soumis, commencez doucement mais avec l’envie d’expérimenter. Commencer avec un classique, la fessée sur les genoux avec une brosse a cheveux. Habillez vous sexy, séduisez le, puis ordonnez lui de se mettre nu sur vos genoux. Commencez avec des coups léger, changez de fesse, attendez toujours 5 secondes entre chaque coup, puis donner un coup plus dur. Caressez sa fesse pendant et après la fessée. Acheter un paddle ou un fouet et expérimentez le. Commencez toujours doucement puis plus dur et sévère. Donnez lui un mot de sauvegarde qu’il peut utiliser si c’est trop douloureux. Cela prendra du temps pour l’amener à recevoir une vraiment bonne rossée, mais son endurance s’accroîtra avec le temps, plus vous le disciplinerez. Q. Chère Elise. Ma femme désire vous dire que les informations qu’elle a trouvées sur votre site ont été essentielles à notre mariage. Je crois que vous avez deviné, je suis soumis à ma femme. Comme j’ai un problème pour différencier la discipline et la punition, m’a femme m’a « suggérée » de vous écrire pour vous le demander. Pour moi la discipline et la punition sont presque pareil. Seriez vous assez gentille pour m’expliquer la différence ? Pourrait’ on avoir des exemples des deux ? La discipline est un style de vie basé sur les corrections dans un but positif. La punition est une condamnation pour avoir enfreint les règles Un hors la loi qui est condamné à la prison est puni pour ses crimes. Un athlète qui essaye d’améliorer ses performances à travers une vie de discipline, fait des sacrifices pour y arriver. Dans le style de vie ou la femme domine, l’homme est discipliné par la femme pour devenir s’améliorer et devenir un meilleur serviteur. L’homme est discipliné pour être corrigé afin d’être ce meilleur mari et serviteur. Une cession de dressage/discipline par semaine permet à la dominatrice d’améliorer les performances de l’homme dans les objectifs et taches qu’elle lui a assignée. Il lui est donné une correction afin que ses performances s’améliorent et qu’il soit correctement entraîné pour savoir comment servir mieux sa maîtresse. Une punition est un jugement ou une sentence pour une violation d’une loi que la femme dominante a édictée. L’homme qui a en connaissance de cause violer un des ordres des sa reine, est punis pour son comportement déloyal. Un exemple est celui ou la femme dominante a interdit à son époux de se masturber. Si il viole la règle, il sera alors punis pour apprendre sa leçon et payer pour son infraction. D’un autre coté le mari soumis est régulièrement discipliné, qu’il ait ou non violé des règles. Il est discipliné pour être dressé par sa femme dominante. Une activité D&S comme le fouet ou la fessé peuvent être un dressage ou une punition. Mais le but et la sévérité seront différents si c’est un dressage ou une punition. Une punition sera bien plus sévère que la discipline. La discipline est une excellente chose et le soumis peut être amené dans le sous espace par une correction donnée par la main de la femme aimante et autoritaire. La discipline est nécessaire pour la femme dominante pour correctement entraîner son mari. Un homme sans une discipline régulière est en général un mari désobéissant qui est égoïste et feignant. Par nature, les hommes ont besoin d’être discipliné par une femme. Plus un homme est dressé, moins il aura besoin d’être punis car il sera bien plus obéissant. La punition est un très mauvais moment à passer pour le soumis et n’est pas fait pour le satisfaire. C’est fait pour sévir contre des erreurs afin qu’elles ne se reproduisent pas. Une punition est aussi un acte d’amour, mais son but est de réprimander et reprocher. Ces deux termes sont cependant proches et nous les utilisons de manière connexe. Mais la terminologie n’est pas aussi importante que le but de la correction. Si c’est pour entraîner, guider, apprendre un comportement meilleur c’est de la discipline, du dressage. Si c’est pour réprouver, pénaliser, et châtier la désobéissance du mâle, alors c’est une punition. Q. Chère Mtrs Sutton, j’ai été initié à la supériorité féminine quand j’ai rencontré une femme superbe il y a deux ans. Elle m’a remarquée et a entrepris la tache de me faire comprendre la supériorité féminine. Après un an de relation, j’ai accepté son autorité (elle est plus âgée que moi) et ses mesures disciplinaires et j’ai été d’accord de vivre selon ce style de vie. J’obéis à ses règles a présent. Je n’ai pas à porter une cage de chasteté, mais je n’ai pas la permission de me toucher moi même. Elle veut que ses mots soient plus forts que toutes les contraintes. Une fois la semaine elle me permet de me soulager, et ses mains féminines mettent rarement plus d’une minute pour me faire jouir. J’étais puni que pour mes imperfections et je l’accepte car elle a prit la responsabilité de faire de moi un homme meilleur. Quand elle m’enlève les menottes (j’espère qu’un jour j’arriverai a supporter ses punitions sans avoir besoin des menottes), j’ai l’autorisation de la servir oralement. J’adore cela même quand elle perd le contrôle et que je reçois son nectar. Je suis très fier de savoir la faire jouir avec ma langue. Je fais le mieux possible pour la satisfaire, et nous nous marierons en automne. La semaine dernière elle m’a annoncée un régime pour renforcer ma chasteté et nos liens. A la place d’être corrigé quand je fais des erreurs, elle va me punir régulièrement. J’ai crainte des we car la séance de canne est a présent sévère. Elle me bat jusqu'à ce que je ne bande plus. Cela peut prendre deux douzaines de coups car elle me stimule après m’avoir battu avant de continuer la punition. C’est uniquement quand elle est sur que je ne banderai plus, qu’elle me libère et que je dois la servir oralement. Malgré la douleur je recommence à être excité mais elle est si épuisée après son plaisir qu’elle m’envoie au lit sans m’accorder mon plaisir. Quand j’ai demandé pourquoi, elle a simplement répondu que c’est son droit de me corriger comme elle veut. Elle m’a suggéré de vous demander des conseils. Mtrs Sutton, a t’elle le droit de me corriger comme elle le désir, alors que je fais le mieux pour lui faire plaisir ? A. Vous connaissez la réponse à cette question, et vous m’écrivez juste pour entendre une autre femme le dire. Bien sur qu’elle à le droit de vous punir pour son plaisir, mais elle a aussi une méthode pour sa discipline. Elle vous apprend le self contrôle. Elle fait en sorte que vos stimulations ne soient pas plaisantes afin que vous teniez plus longtemps entre deux orgasmes. Elle vous programme mentalement pour que vous puissiez lutter contre vos orgasmes. Selon ma définition ce n’est pas vraiment une punition, mais plutôt de la discipline. Je soutient des cessions régulières de disciplines entre la domina et son soumis. Cela permet de vous garder en état de soumission et de vous contrôler. Je dirai qu’elle est aussi un peu sadique mais que c’est très bien tant que la discipline est saine et sans danger. Je ne défends pas la brutalité mais vous êtes un grand garçon et vous pouvez supporter bien plus que vous ne le pensez. Si vous pensez qu’elle vous blesse physiquement, au delà du raisonnable, alors utiliser votre mot de sauvegarde et ayez une discussion ouverte, car c’est de votre responsabilité de lui dire qu’elle vous blesse. C’est de sa responsabilité de s’assurer que vous êtes ok pendant une session de discipline. La communication est cruciale, mais comme elle a le droit de vous dresser, bien sur elle le fait. Vous savez que vous aimer, et même si vous n’aimez pas la douleur physique quand ca arrive, vous aimez mentalement et cela vous amène un plaisir mental et la paix pour le reste de la semaine. Cela assure de plus que vous serez plus prêt à lui obéir et qu’elle pourra vous contrôler bien mieux après ces sessions de dressage. On dirait qu’elle sait ce qu’elle fait, alors qu’elle veut que vous soyez sous son contrôle total avant votre mariage. C’est une femme intelligente et je vous souhaite un long et heureux mariage avec de nombreuses session de dressage pour vous et plein de plaisir pour elle. Amusez vous ! Q. Bonjour Elise. Je veux déjà vous remercier pour vos procédures. Je les ai utilisée et c’était GENIAL ! Je le punis et l’amène de plus en plus dans la vraie soumission et je ne me suis jamais senti aussi bien. Il devient un vrai esclave. En fait j’aimerai tenter quelque chose de totalement différent pour moi. J’aimerai utiliser un long fouet en cuir sur mon mari ! J’en ai essayé un court d’une copine la semaine dernière. (Elle vie la D/s, ils ont une ferme et des chevaux). J’aime la sensation que cela procure, de faire claquer le fouet. Et je voudrais le pratiquer sur ma chose. Je vais l’attacher par les poignets afin qu’il ne puisse pas m’échapper. Qu’en pensez vous ? Les coups ne doivent’ ils porter que sur les fesses ? A. J’ai un fouet que j’utilise à l’occasion. Ce que vous voulez faire est une excellente idée. Vous devez beaucoup vous entraîner avec un fouet à main avant de l’utiliser sur votre mari. Ils sont très durs à utiliser au début. Je me suis frappé accidentellement moi même avant d’apprendre, et croyez moi ça fait mal. Si vous avez accès à un endroit approprié isolé, ce serait très bien de vous entraîner. Couvrez vous bien avec des vêtements épais quand vous vous entraînez. Mettez même une cible qui vous permet de visualiser le dos et les fesses du punis. Essayez de viser ces points là, et seulement ceux là. N’essayez pas de taper fort, mais apprenez à être précise. Le fouet fera mal, donc ne vous préoccupez pas de votre force de frappe au début. Concentrez vous sur le fait d’être précise et travailler sur le son qu’il fait. Le son aura un effet sur le mental du soumis plus que la douleur encore. Une fois que vous vous sentez à l’aise, alors utiliser le sur votre chose. Vérifier qu’il pourra supporter. S’il a appris à supporter la cane, alors il supportera le fouet, c’est l’opinion de nombreux hommes. Mais attention le fouet peut faire des dommages si vous n’êtes pas entraînée. Si vous n’avez pas d’endroit pour vous entraîner et que vous voulez encore apprendre, vous pourriez participer à une soirée bdsm où ils font des démonstrations et vous pourriez apprendre de cette façon. Mais si vous voulez le faire sur un soumis, votre instructeur doit vous guider. Une fois que vous maîtrisez l’art du fouet, c’est très agréable. Comme vous disiez, vous pouvez l’entourer autour du corps du soumis et même autour de ses parties si vous êtes très bonne. Le son du fouet est sauvage, et peut emmener votre soumis dans le sous espace. La vue d’une femme tenant un fouet et s’échauffant avant de se concentrer sur sa victime est très parlante pour le mental du soumis. Vous n’aurez pas besoin de taper fort pour l’effrayer car l’imagerie lui parlera. Le fouet laisse des traces très instructive et efficaces. Le fouet nécessite de la pratique mais toutes les femmes peuvent l’apprendre. Q. Chère Elise, merci pour votre superbe site. Je regarde chaque mois les nouveautés sur la partie Question/réponse et la partie « Expériences vécues ». J’ai ma propre question. Je sais que j’ai depuis longtemps des désirs de soumission, mais je ne suis pas certain d’être réellement soumis. J’ai une compagne qui vie loin de moi. Nous nous envoyons plein de mails, nous téléphonons, et nous rencontrons dès que nous pouvons. Elle connaît mes désirs, j’ai beaucoup partagé avec elle. Elle à l’air contente de m’obliger à la traiter en Reine, et de me punir si besoin. La plupart de cela s’est fait virtuellement par le net. J’ai des fantasmes qu’elle connaît où elle m’attache, me fesse, me fait porter une ceinture de chasteté et où elle est dominante au lit. Elle semble vraiment participer aux punitions. La dernière fois où elle est venue elle m’a punis pour une offense. Je lui ai acheté toute une variété d’instrument pour rendre sa tâche plus aisée. L’un d’entre eut est un tapette en cuir. Je dois vous avouer qu’il n’y avait rien d’érotique dans la fessée que j’ai reçue. J’ai vraiment eu mal mais bien sur je l’avais mérité. Mais du coup j’ai perdu l’envie d’avoir du sexe ensuite. Ce qui l’a vexée. Et après qu’elle soit partie je me suis senti beaucoup d’envie pour être soumis et je me pose des questions. Avez vous une explication à ma perte de libido ? Est ce que cela veut peut être dire que je ne suis pas soumis après tout, ou que mon amie ne m’a pas punis de façon assez érotique ? Je pense qu’elle aime vraiment le fait qu’elle puisse me punir quand je lui déplait, et que si l’on continue sur ce chemin elle ne voudra plus en changer. Expliquer moi pourquoi j’ai réagis comme cela à quelque chose que je désirai apparemment. ? A. Si elle vous punissait pour une offense, le but n’était pas érotique. J’ai expliqué la différence entre la punition et le dressage. Le but de la punition est de vous faire mal pour que vous n’ayez plus envie de recommencer. Elle vous apprenait et vous entraînait à être plus obéissant. Le problème vient du fait que vous ayez une relation à distance. Si elle était là avec vous, elle aurait pu vous consoler ensuite ce qui aurait pu rendre la punition plus efficace et plus positive pour vous. Il est aussi possible qu’elle l’a fait trop dur. Fesser et fouetter un homme est un art qui s’apprend. On doit commencer doucement et être de plus en plus sévère. Si c’était une session de dressage, une femme devrait la rendre érotique et sensuelle autant que douloureuse. Plus un homme est excité, plus il peut supporter un dressage dur. Cela vient avec la pratique, si elle vivait plus proche, elle pourrait plus aisément explorer vos niveaux de plaisir et douleur et apprendre à vous discipliner correctement afin de vous rendre plus soumis. Le but d’une séance de dressage est de développer votre soumission afin que vous soyez plus servile. Le but d’une séance de punition et de vous punir d’une faute. Vous avez de la chance d’avoir trouvé une femme qui aime vous dresser. Parler avec elle et permettez lui de s’épanouir dans cet art. Elle apprendra ce qui vous motive et ce qui vous démoralise en communiquant avec vous. Votre voyage ne fait que commencer. Ne l’arrêtez pas en raison d’une mauvaise expérience. Q. Chère Mtrs Sutton. Je suis une femme mure de 56 ans, dominante. Ma chose en a 57 et nous sommes mariés depuis 35 ans. Je suis la discipline dans la famille. Nous pratiquons la domination féminine 24h sur 24. Il porte une cage de chasteté, une CB2000 depuis 3 ans. Bien que j’ai cet age j’adore le sexe oral que je pratique 3 à 5 fois la semaine. Ma question est que pensez vous de la mise au coin comme punition pour une désobéissance. J’ai beaucoup lu votre site et il n’y a rien la dessus. A. Dans mon livre, j’ai consacrée tout un chapitre à la discipline victorienne et à la domination. Dans ce chapitre je décris certaines pratiques qui étaient utilisée pour éduquer les enfants à l’époque victorienne. Les mises au coin, les chapeaux de cancre, les lignes d’écriture, tirer les cheveux, faire porter aux garçons des vêtements de femme, et autres actions humiliantes qui étaient couramment utilisées à l’époque par les gouvernantes et les maîtresses d’école. Les organisations comme celle d’Alice Kerr Sutherland (AKS) ont incorporées l’habillage et les méthodes de discipline victoriennes dans la relation moderne et le style de vie basé sur la domination féminine, quand la domina éduque son époux. La canne est l’instrument préféré pour la correction pour eux, de nombreuses méthodes non physiques pour éduquer les enfants sont utilisées par les femmes dominantes pour éduquer leur époux. Le coin, la cuillère d’huile de ricin, le lavement punitif, être envoyé au lit sans manger, être punis de télévision ou d’ordinateur, tout cela pour punir le mari désobéissant. Ces types de discipline fonctionnent mieux si la relation se fait au sein d’un mariage ou la femme domine. Certaines femmes traitent leur mari un peu comme des enfants et aiment les jeux basés là dessus. Le coin peut être efficace, le mari devant rester le nez face au mur pour une période prolongée. C’est une punition qui peut être cruelle pour un homme qui aime être actif. Le coin est une démonstration de l’autorité de la femme quand elle lui ordonne d’y aller et qu’il obéit doucement, restant debout et silencieux jusqu’à l’autorisation de sa femme qui le libère. C’est comme des bondages sans lien. C’est un bondage de la volonté et un exercice d’obéissance mental. L’homme sait qu’il peut bouger, comme il n’est pas attaché, mais il choisit d’obéir à sa maîtresse et est prisonnier de ses mots et ordres. Ce genre d’expérience peut transporter certains hommes dans le « sous espace ». Mais plus probablement un male adulte verra le coin comme une servitude utilisée pour le punir. Si il en a horreur, il fera en sorte de mieux obéir sinon il sera mis au coin plus souvent et longtemps par l’autorité qu’est sa femme. RETOUR
Mer 22 mar 2006
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